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Etats-Unis : 300 prêtres accusés de pédophilie

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Kira

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 061 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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il y a 22 minutes, PASCOU a dit :

Oui je m'en souviens aussi!

Ce qui est ahurissant, ce sont les dates à laquelle toutes ces saloperies se sont passées...

C'est pas si loin de nous aujourd'hui...

La mémoire est sélective!

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 18 minutes, Morfou a dit :

Oui je m'en souviens aussi!

Ce qui est ahurissant, ce sont les dates à laquelle toutes ces saloperies se sont passées...

C'est pas si loin de nous aujourd'hui...

La mémoire est sélective!

Ce qui est étonnant c'est que la presse ne va jamais jusqu'au bout..

Et que si on parle de protection par le pouvoir on voit bien que ça existe toujours.

  • Like 2
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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 061 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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à l’instant, PASCOU a dit :

Ce qui est étonnant c'est que la presse ne va jamais jusqu'au bout..

Et que si on parle de protection par le pouvoir on voit bien que ça existe toujours.

Oui, nous en avons des échos assez régulièrement!

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 1 heure, Morfou a dit :

Quand on lit les noms des signataires...à vomir!

Oui, ça laisse sans voix!

«Libé» en écho d'un vertige commun.

Par Sorj CHALANDON 23 février 2001 à 23:08

A la fin des années 70, la pédophilie est une déviance écoutée.

  • «Libé» en écho d'un vertige commun.

Dimanche, dans son éditorial, Jean-Claude Guillebaud, journaliste à Sud-Ouest (et au Nouvel Observateur), écrivait à propos des années 70 et de la pédophilie: «Des crétins dans le vent allaient jusqu'à vanter la permissivité en ce domaine, sans que cela ne suscite beaucoup de protestations. Je pense à ces écrivains qui exaltaient dans les colonnes de Libération ce qu'ils appelaient "l'aventure pédophile".»

«Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j'ai eu fini, la petite s'est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit "à mon tour, maintenant". Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans.» C'est un homme qui parle. Il s'appelle Benoît. Son interview, titrée «câlins enfantins», est précédée d'une phrase du journaliste: «Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s'embrasent de tendresse.» C'est terrible, illisible, glaçant. Et publié dans Libération le 20 juin 1981.

Une autre fois, en 1979, défendant à pleines brassées de mots et de pages un moniteur d'éducation physique condamné pour détournement de mineur, Libé titre «baudruche» une affaire qu'il estime se dégonfler. Des journaux avaient mis en scène des accusations de «prostitution enfantine», de «traites d'enfants». Tout cela était faux. Ce qui était vrai, en revanche, c'est que cet homme mêlait des enfants à ses saloperies d'adulte. Le journaliste de Libération interroge le juge d'instruction chargé de l'enquête. «Cet homme était-il violent avec les enfants?» «Non, répond le juge, mais il les faisait pisser et chier dans les partouzes.» «Mais y a-t-il proxénétisme?», continue le journaliste. «Non, mais il leur faisait faire des horreurs, jouer avec leurs excréments, ils en mangeaient.» Presque victorieusement, l'article estime avoir démonté la machination parce qu'aucune violence n'avait été exercée sur les enfants. Voilà. Alors «lâchez-nous les baskets», grondait l'article juste à côté, pour lequel cette «baudruche dégonflée» n'est rien de plus que l'expression d'«une campagne d'ordre moral».

Laboratoire. L'ordre moral. Voilà l'ennemi. Et Libération de cette époque n'est rien d'autre que l'écho particulier du vertige commun. Nous sommes à la fin des années 70. Les traces du mai des barricades traînent sur les murs et dans les têtes. «Interdit d'interdire», «contestons toute forme d'autorité». C'est plus qu'une période, c'est un laboratoire. Accoucheur d'espoirs, de rêves, de combats insensés. Et de mons tres. A Libération comme ailleurs, l'affrontement fait rage sur tout. Une page de courrier pédophile déclenche la polémique. Mais est néanmoins publiée. Il y a panique à revêtir les oripeaux du censeur. Mais dans les locaux, des coups sont échangés. Des coups encore, lorsqu'un chroniqueur de la nuit arbore une croix de fer allemande au comité de rédaction. Celui qui frappe est conspué par de nombreux présents. L'interdiction, n'importe laquelle, est ressentie comme appartenant au vieux monde, à celui des aigris, des oppresseurs, des milices patronales, des policiers matraqueurs, des corrompus. La pensée est en confusion. La violence politique est un autre moyen de la politique. On a raison de séquestrer les patrons, on a raison de traquer les possédants, on a raison de se révolter et de jouir sans entrave. On a raison de soutenir les prisonniers, les homosexuels, les fous, les drogués. Les femmes se révoltent, et les hommes cherchent une nouvelle place. Dans ce tumulte, ce retournement des sens, cet ancrage de repères nouveaux, dans cette nouvelle préhension de la morale et du droit, cette fragilité et cette urgence, tout ce qui se dresse sur le chemin de toutes les libertés est à abattre.

A Libération même, soucieux de traquer en chaque mot l'ordre établi, la déviance libérale ou gauchiste, des journalistes ont pour tâche de contester tout établissement d'une ligne figée. C'est la fièvre. Un homme en jupe, inconnu, ivre, couvert de pisse et de morve, hurlant et pleurant s'invite au comité de rédaction pour dénoncer le reste du monde. Il n'est pas mis à la porte. Les journalistes l'écoutent jusqu'à ce qu'il parte. Il ne faut mépriser personne, entendre toute minorité. Respecter le droit à la différence. La pédophilie, qui ne dit pas son nom, est un simple élément de cette tourmente. Sauf pour ceux qui la revendiquent comme un acte «d'éducation militante», elle ne vient que rarement sur le devant de la scène. Le mot est terrible aujourd'hui. Mais elle n'est pas le problème d'alors. D'elle-même, et seulement, elle s'inscrit dans un bouillonnement chaviré, où chacun puise ce qu'il croit salvateur. C'est ainsi, c'est hier. C'est comme ça.

Pétitions. En janvier 1977, trois hommes comparaissent devant la cour d'assises de Versailles pour «attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans». Leurs trois années de détention préventive déclenchent une pétition relayée par Libération. Le texte ne laisse aucune place à l'ambiguïté. Une fois encore, il affirme que les enfants n'ont subi «aucune violence», qu'ils étaient «consentants». «Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c'est pour quoi faire?», demande la pétition. Le texte estime qu'il n'y a pas «crime» et que «trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit». Qui signe? Aragon, Bernard Kouchner, André Glucksmann, François Chatelet, Jack Lang et bien d'autres encore, de Félix Guattari à Patrice Chéreau ou Daniel Guérin. Un peu plus tard, une lettre ouverte à la commission de révision du code pénal exigeait que soient «abrogés ou profondément modifiés» les articles de loi concernant «le détournement de mineur», dans le sens «d'une reconnaissance du droit de l'enfant et de l'adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix». Qui signe? Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Françoise Dolto, Jacques Derrida. Interrogé aujourd'hui, Philippe Sollers, signataire lui aussi de cette supplique, ne se souvient pas. Mais il a une formidable phrase de ce temps: «Il y avait tellement de pétitions. On signait presque automatiquement.»

Du plaisir à la souffrance. Sollers exagère à peine. En cette époque de violence extrême, sociale, politique, humaine, certains ont publié des textes, signé des manifestes, sont descendus dans la rue même, pour sou tenir des actes que parfois ils n'approuvaient pas. D'autres, comme ces pétitionnaires qui demandent la modification de la loi, associent sans malice, sans calcul, sans démagogie le texte protégeant les mineurs aux textes ­ tout juste abrogés ­ réprimant «l'adultère, l'interruption de grossesse et les pratiques anticonceptionnelles». Coucher avec un enfant? Une liberté comme les autres. Sous toutes les plumes, toujours, d'articles en tracts et de prises de parole en tribunes libres, les mêmes mots reviennent : «l'évolution de notre société». «Il faut changer la vie», écrit en 1979 dans Libération, un pédophile emprisonné. «Nos lois sur la sexualité des mineurs ne sont plus en adéquation avec cette époque», écrivent d'autres pétitionnaires. Ils estiment que l'on doit aborder autrement tout le système éducatif. Que nier sa sexualité à l'enfant, c'est nier qu'il est un être à part entière. Et que la société leur donnera bientôt raison. Ils ont eu tort.

«Elle gazouille quand elle éprouve du plaisir», écrit encore Benoît le malade, racontant la petite fille de cinq ans. Et il aura fallu du temps, tout ce temps, pour que le gazouillement ou le silence des enfants souillés se transforment en mots. Puis en colère. En accusation, enfin. Et que les voix d'adultes prétendant que l'enfant trouve du plaisir à ces jeux soient recouvertes par les voix d'enfants qui disent que tout cela n'est que souffrance.

Il en pense quoi père @Anatole1949

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 421 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 4 heures, PASCOU a dit :

Oui, ça laisse sans voix!

«Libé» en écho d'un vertige commun.

Par Sorj CHALANDON 23 février 2001 à 23:08

A la fin des années 70, la pédophilie est une déviance écoutée.

  •  
    «Libé» en écho d'un vertige commun.

Dimanche, dans son éditorial, Jean-Claude Guillebaud, journaliste à Sud-Ouest (et au Nouvel Observateur), écrivait à propos des années 70 et de la pédophilie: «Des crétins dans le vent allaient jusqu'à vanter la permissivité en ce domaine, sans que cela ne suscite beaucoup de protestations. Je pense à ces écrivains qui exaltaient dans les colonnes de Libération ce qu'ils appelaient "l'aventure pédophile".»

«Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j'ai eu fini, la petite s'est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit "à mon tour, maintenant". Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans.» C'est un homme qui parle. Il s'appelle Benoît. Son interview, titrée «câlins enfantins», est précédée d'une phrase du journaliste: «Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s'embrasent de tendresse.» C'est terrible, illisible, glaçant. Et publié dans Libération le 20 juin 1981.

Une autre fois, en 1979, défendant à pleines brassées de mots et de pages un moniteur d'éducation physique condamné pour détournement de mineur, Libé titre «baudruche» une affaire qu'il estime se dégonfler. Des journaux avaient mis en scène des accusations de «prostitution enfantine», de «traites d'enfants». Tout cela était faux. Ce qui était vrai, en revanche, c'est que cet homme mêlait des enfants à ses saloperies d'adulte. Le journaliste de Libération interroge le juge d'instruction chargé de l'enquête. «Cet homme était-il violent avec les enfants?» «Non, répond le juge, mais il les faisait pisser et chier dans les partouzes.» «Mais y a-t-il proxénétisme?», continue le journaliste. «Non, mais il leur faisait faire des horreurs, jouer avec leurs excréments, ils en mangeaient.» Presque victorieusement, l'article estime avoir démonté la machination parce qu'aucune violence n'avait été exercée sur les enfants. Voilà. Alors «lâchez-nous les baskets», grondait l'article juste à côté, pour lequel cette «baudruche dégonflée» n'est rien de plus que l'expression d'«une campagne d'ordre moral».

Laboratoire. L'ordre moral. Voilà l'ennemi. Et Libération de cette époque n'est rien d'autre que l'écho particulier du vertige commun. Nous sommes à la fin des années 70. Les traces du mai des barricades traînent sur les murs et dans les têtes. «Interdit d'interdire», «contestons toute forme d'autorité». C'est plus qu'une période, c'est un laboratoire. Accoucheur d'espoirs, de rêves, de combats insensés. Et de mons tres. A Libération comme ailleurs, l'affrontement fait rage sur tout. Une page de courrier pédophile déclenche la polémique. Mais est néanmoins publiée. Il y a panique à revêtir les oripeaux du censeur. Mais dans les locaux, des coups sont échangés. Des coups encore, lorsqu'un chroniqueur de la nuit arbore une croix de fer allemande au comité de rédaction. Celui qui frappe est conspué par de nombreux présents. L'interdiction, n'importe laquelle, est ressentie comme appartenant au vieux monde, à celui des aigris, des oppresseurs, des milices patronales, des policiers matraqueurs, des corrompus. La pensée est en confusion. La violence politique est un autre moyen de la politique. On a raison de séquestrer les patrons, on a raison de traquer les possédants, on a raison de se révolter et de jouir sans entrave. On a raison de soutenir les prisonniers, les homosexuels, les fous, les drogués. Les femmes se révoltent, et les hommes cherchent une nouvelle place. Dans ce tumulte, ce retournement des sens, cet ancrage de repères nouveaux, dans cette nouvelle préhension de la morale et du droit, cette fragilité et cette urgence, tout ce qui se dresse sur le chemin de toutes les libertés est à abattre.

A Libération même, soucieux de traquer en chaque mot l'ordre établi, la déviance libérale ou gauchiste, des journalistes ont pour tâche de contester tout établissement d'une ligne figée. C'est la fièvre. Un homme en jupe, inconnu, ivre, couvert de pisse et de morve, hurlant et pleurant s'invite au comité de rédaction pour dénoncer le reste du monde. Il n'est pas mis à la porte. Les journalistes l'écoutent jusqu'à ce qu'il parte. Il ne faut mépriser personne, entendre toute minorité. Respecter le droit à la différence. La pédophilie, qui ne dit pas son nom, est un simple élément de cette tourmente. Sauf pour ceux qui la revendiquent comme un acte «d'éducation militante», elle ne vient que rarement sur le devant de la scène. Le mot est terrible aujourd'hui. Mais elle n'est pas le problème d'alors. D'elle-même, et seulement, elle s'inscrit dans un bouillonnement chaviré, où chacun puise ce qu'il croit salvateur. C'est ainsi, c'est hier. C'est comme ça.

Pétitions. En janvier 1977, trois hommes comparaissent devant la cour d'assises de Versailles pour «attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans». Leurs trois années de détention préventive déclenchent une pétition relayée par Libération. Le texte ne laisse aucune place à l'ambiguïté. Une fois encore, il affirme que les enfants n'ont subi «aucune violence», qu'ils étaient «consentants». «Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c'est pour quoi faire?», demande la pétition. Le texte estime qu'il n'y a pas «crime» et que «trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit». Qui signe? Aragon, Bernard Kouchner, André Glucksmann, François Chatelet, Jack Lang et bien d'autres encore, de Félix Guattari à Patrice Chéreau ou Daniel Guérin. Un peu plus tard, une lettre ouverte à la commission de révision du code pénal exigeait que soient «abrogés ou profondément modifiés» les articles de loi concernant «le détournement de mineur», dans le sens «d'une reconnaissance du droit de l'enfant et de l'adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix». Qui signe? Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Françoise Dolto, Jacques Derrida. Interrogé aujourd'hui, Philippe Sollers, signataire lui aussi de cette supplique, ne se souvient pas. Mais il a une formidable phrase de ce temps: «Il y avait tellement de pétitions. On signait presque automatiquement.»

Du plaisir à la souffrance. Sollers exagère à peine. En cette époque de violence extrême, sociale, politique, humaine, certains ont publié des textes, signé des manifestes, sont descendus dans la rue même, pour sou tenir des actes que parfois ils n'approuvaient pas. D'autres, comme ces pétitionnaires qui demandent la modification de la loi, associent sans malice, sans calcul, sans démagogie le texte protégeant les mineurs aux textes ­ tout juste abrogés ­ réprimant «l'adultère, l'interruption de grossesse et les pratiques anticonceptionnelles». Coucher avec un enfant? Une liberté comme les autres. Sous toutes les plumes, toujours, d'articles en tracts et de prises de parole en tribunes libres, les mêmes mots reviennent : «l'évolution de notre société». «Il faut changer la vie», écrit en 1979 dans Libération, un pédophile emprisonné. «Nos lois sur la sexualité des mineurs ne sont plus en adéquation avec cette époque», écrivent d'autres pétitionnaires. Ils estiment que l'on doit aborder autrement tout le système éducatif. Que nier sa sexualité à l'enfant, c'est nier qu'il est un être à part entière. Et que la société leur donnera bientôt raison. Ils ont eu tort.

«Elle gazouille quand elle éprouve du plaisir», écrit encore Benoît le malade, racontant la petite fille de cinq ans. Et il aura fallu du temps, tout ce temps, pour que le gazouillement ou le silence des enfants souillés se transforment en mots. Puis en colère. En accusation, enfin. Et que les voix d'adultes prétendant que l'enfant trouve du plaisir à ces jeux soient recouvertes par les voix d'enfants qui disent que tout cela n'est que souffrance.

Il en pense quoi père @Anatole1949

Il pense que dans les années 70 ou avant, la pédo a toujours été condamnée sauf par quelques gauchistes anarchistes qui se la jouaient "libertin".

Ces gens ne représentaient rien et si la pédo était comme tu le crois dans les normes à cette époque, alors explique moi pourquoi l'église cachait la pédophilie de ses prêtres et pourquoi les familles dont les enfants avaient été victimes n'osaient pas parler et encore moins s'attaquer à l'église.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 7 minutes, Anatole1949 a dit :

Il pense que dans les années 70 ou avant, la pédo a toujours été condamnée sauf par quelques gauchistes anarchistes qui se la jouaient "libertin".

Ces gens ne représentaient rien et si la pédo était comme tu le crois dans les normes à cette époque, alors explique moi pourquoi l'église cachait la pédophilie de ses prêtres et pourquoi les familles dont les enfants avaient été victimes n'osaient pas parler et encore moins s'attaquer à l'église.

Non je ne pense pas je cite.

Puis pas envie de m'éterniser sur le sujet .je bouffe du curé.

Si un sujet sur la pédophilie ouvre j' irai..

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 421 messages
76ans‚ Debout les morts...,
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Il y a 6 heures, Morfou a dit :

Pour la double église c'est parce que deux villages ne font plus qu'un! c'est le cas là où demeure ma petite soeur et aussi où demeure deux de mes filles...double noms reliés...

Les calvaires, jusqu'à preuve du contraire, ce sont les familles qui les élève...les chapelles étaient souvent des chapelles de familles bourgeoises ou autres...

Je n'irai pas jusqu'à avancer que l'église les y poussait...

Les vitraux de l'église de mon bled ont été commandés et payés par des familles ayant perdu des enfants à la guerre de 14 pour les unes et pour d'autres en remerciement de la survie des leurs!

Profitez de ces beautés sans vous faire de noeuds à la tête à cause de ce que vous pensez de la religion!;)

Bonnes vacances!

 

"Pour la double église c'est parce que deux villages ne font plus qu'un! "

Au oui, églises séparées de seulement quelques dizaines de mètres...

"Les vitraux de l'église de mon bled ont été commandés et payés par des familles ayant perdu des enfants à la guerre de 14 pour les unes et pour d'autres en remerciement de la survie des leurs!"

Ah bon, en payant (offrant) des vitraux ces familles remerciaient donc dieu pour leurs morts comme d'autres familles remerciaient dieu pour la survie des leurs...

Excusez moi, mais question bêtise on fait difficilement pire !

Les calvaires très nombreux remontent à la nuit des temps, les familles payaient (encore !), vous n'imaginez quand même pas que l'église allait débourser un centime ?

Nombre de cathédrales ont été construites grâce à des impôts que l'église pouvait lever, relisez l'histoire de la cathédrale de Chartres c'est édifiant !

"Profitez de ces beautés sans vous faire de noeuds à la tête à cause de ce que vous pensez de la religion!"

Rassurez-vous, j'adore visiter les petites églises romanes ou gothiques  quand elles ne sont pas définitivement fermées, car cela arrive de plus en plus souvent.

Affichage: 2 messes par mois !

 

il y a 1 minute, PASCOU a dit :

Non je ne pense pas je cite.

Puis pas envie de m'éterniser sur le sujet .je bouffe du curé.

Si un sujet sur la pédophilie ouvre j' irai..

 

"Si un sujet sur la pédophilie ouvre j' irai.."

Et ça c'est quoi ?

Etats-Unis : 300 prêtres accusés de pédophilie

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 2 minutes, Anatole1949 a dit :

"Pour la double église c'est parce que deux villages ne font plus qu'un! "

Au oui, églises séparées de seulement quelques dizaines de mètres...

"Les vitraux de l'église de mon bled ont été commandés et payés par des familles ayant perdu des enfants à la guerre de 14 pour les unes et pour d'autres en remerciement de la survie des leurs!"

Ah bon, en payant (offrant) des vitraux ces familles remerciaient donc dieu pour leurs morts comme d'autres familles remerciaient dieu pour la survie des leurs...

Excusez moi, mais question bêtise on fait difficilement pire !

Les calvaires très nombreux remontent à la nuit des temps, les familles payaient (encore !), vous n'imaginez quand même pas que l'église allait débourser un centime ?

Nombre de cathédrales ont été construites grâce à des impôts que l'église pouvait lever, relisez l'histoire de la cathédrale de Chartres c'est édifiant !

"Profitez de ces beautés sans vous faire de noeuds à la tête à cause de ce que vous pensez de la religion!"

Rassurez-vous, j'adore visiter les petites églises romanes ou gothiques  quand elles ne sont pas définitivement fermées, car cela arrive de plus en plus souvent.

Affichage: 2 messes par mois !

 

 

"Si un sujet sur la pédophilie ouvre j' irai.."

Et ça c'est quoi ?

Etats-Unis : 300 prêtres accusés de pédophilie

Un sujet qui flatte ta haine de l'église. 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 061 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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à l’instant, Anatole1949 a dit :

"Pour la double église c'est parce que deux villages ne font plus qu'un! "

Au oui, églises séparées de seulement quelques dizaines de mètres...

"Les vitraux de l'église de mon bled ont été commandés et payés par des familles ayant perdu des enfants à la guerre de 14 pour les unes et pour d'autres en remerciement de la survie des leurs!"

Ah bon, en payant (offrant) des vitraux ces familles remerciaient donc dieu pour leurs morts comme d'autres familles remerciaient dieu pour la survie des leurs...

Excusez moi, mais question bêtise on fait difficilement pire !

Les calvaires très nombreux remontent à la nuit des temps, les familles payaient (encore !), vous n'imaginez quand même pas que l'église allait débourser un centime ?

Nombre de cathédrales ont été construites grâce à des impôts que l'église pouvait lever, relisez l'histoire de la cathédrale de Chartres c'est édifiant !

"Profitez de ces beautés sans vous faire de noeuds à la tête à cause de ce que vous pensez de la religion!"

Rassurez-vous, j'adore visiter les petites églises romanes ou gothiques  quand elles ne sont pas définitivement fermées, car cela arrive de plus en plus souvent.

Affichage: 2 messes par mois !

 

Manque de curés...

Je connais assez bien toutes ces histoires d'églises, de cathédrales, de calvaires...

Oui, c'était ainsi...les gens "remerciaient" indifféremment pour la vie ou la mort!

Mais plus en mémoire pour les morts...

Et oui, seulement quelques mètres, qui définissaient les terres des seigneurs ou propriétaires!

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Membre, 113ans Posté(e)
cambronne Membre 1 233 messages
Baby Forumeur‚ 113ans‚
Posté(e)
Le 15/08/2018 à 19:59, Répy a dit :

Salauds de pédophiles curés ou pas !

Exactement .

De plus , on parle des catholiques à juste titre , mais faut quand même savoir que dans les religions , c'est loin d'être les seuls malheureusement .EX:  les bains traditionnels de l'orthodoxie juive, quelqu'un connait le scandale ?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, cambronne a dit :

Exactement .

De plus , on parle des catholiques à juste titre , mais faut quand même savoir que dans les religions , c'est loin d'être les seuls malheureusement .EX:  les bains traditionnels de l'orthodoxie juive, quelqu'un connait le scandale ?

 

il y a 13 minutes, cambronne a dit :

Exactement .

De plus , on parle des catholiques à juste titre , mais faut quand même savoir que dans les religions , c'est loin d'être les seuls malheureusement .EX:  les bains traditionnels de l'orthodoxie juive, quelqu'un connait le scandale ?

Pas sûr que ça ait autant de succès que pour les curés.

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Membre, 113ans Posté(e)
cambronne Membre 1 233 messages
Baby Forumeur‚ 113ans‚
Posté(e)
il y a 48 minutes, PASCOU a dit :

 

Pas sûr que ça ait autant de succès que pour les curés.

 

il y a 48 minutes, PASCOU a dit :

 

Pas sûr que ça ait autant de succès que pour les curés.

Il y a des chances , mais ça reste la réalité .

Comme quoi certains qui se croient irréprochables feraient bien de revoir leurs copies .

Moi j'estime , et CE pour n'importe quoi , que c'est tout le monde ou personne .

Ce problème existe chez les catholiques , certes , mais le coté " je montre du doigt" alors qu'en face on ne fait pas mieux , et où c'est bien plus l'omerta , n'est juste qu'une hypocrisie de plus .

Ce qui me gêne , c'est qu'en l'état on veut nous faire croire que cette déviance est le pré carré des catholiques .

Je n'ai aucune religion et les considère plus comme un problème que une solution , mais je ne suivrais pas pour autant le troupeau de la bêtise et de l'hypocrisie .

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, cambronne a dit :

 

Il y a des chances , mais ça reste la réalité .

Comme quoi certains qui se croient irréprochables feraient bien de revoir leurs copies .

Moi j'estime , et CE pour n'importe quoi , que c'est tout le monde ou personne .

Ce problème existe chez les catholiques , certes , mais le coté " je montre du doigt" alors qu'en face on ne fait pas mieux , et où c'est bien plus l'omerta , n'est juste qu'une hypocrisie de plus .

Ce qui me gêne , c'est qu'en l'état on veut nous faire croire que cette déviance est le pré carré des catholiques .

Je n'ai aucune religion et les considère plus comme un problème que une solution , mais je ne suivrais pas pour autant le troupeau de la bêtise et de l'hypocrisie .

Oui cibler un secteur permet d'épargner les autres.

Je ne crois pas que ce soit un problème religieux .

Mais les secteurs ou il y a des enfants vulnérables. 

Il y a peu j'écoutais une emission en voiture ou un pedophile expliquait son parcours avant d'être arrêté. 

Il a commencé jeune, puis disait qu'il a cherché un poste d'educateur puiis il a fini par sen prendre a ses propres enfants avant d'être épinglé. 

Un pedophile cherche de jeunes enfants et tous les moyens sont utilisés ou les circonstances.

 

 

Modifié par PASCOU
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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 421 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 12 heures, cambronne a dit :

Exactement .

De plus , on parle des catholiques à juste titre , mais faut quand même savoir que dans les religions , c'est loin d'être les seuls malheureusement .EX:  les bains traditionnels de l'orthodoxie juive, quelqu'un connait le scandale ?

Et que dire des petits garçons envoyés par leurs parents dans des monastères bouddhistes isolés ...

Le problème avec l'église, c'est que c'est une institution mondiale et qui en plus dissimule ses méfaits.

Sans les dernières révélations, nombre de curés auraient continué leur sale petite besogne en étant "protégés" par leur hiérarchie.

?

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Membre, 113ans Posté(e)
cambronne Membre 1 233 messages
Baby Forumeur‚ 113ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Oui cibler un secteur permet d'épargner les autres.

Je ne crois pas que ce soit un problème religieux .

Mais les secteurs ou il y a des enfants vulnérables. 

Il y a peu j'écoutais une emission en voiture ou un pedophile expliquait son parcours avant d'être arrêté. 

Il a commencé jeune, puis disait qu'il a cherché un poste d'educateur puiis il a fini par sen prendre a ses propres enfants avant d'être épinglé. 

Un pedophile cherche de jeunes enfants et tous les moyens sont utilisés ou les circonstances.

 

 

Ce n'est pas effectivement un problème religieux ou pas seulement , simplement le fait que cela se passe AUSSI dans ce genre d'institutions  dans lesquelles on a du mal à imaginer que cela soit , exacerbe l'indignation .

Comme je l'ai dis , c'est tout le monde ou personne, de fait, qui avait entendu parler des bains traditionnels ?

Et j'en passe avec surement beaucoup d'autres .Du coup ça ressemble à une indignation sélective car cette histoire de bains est tout aussi grave , sauf pour les médias de toute évidence et de leurs ovins serviles .

Et tout est comme ça aujourd'hui , avec n'importe quel sujet , on s'indigne unilatéralement en suivant bien gentiment  et servilement ce que dicte la presse .

Regarde sur un autre fil pour ne parler que d'ici , ce qui se dit sur la morale  et ultimatum US face aux Russes .

On oublie et c'est volontaire , de dire que les US sont loin de pouvoir se le permettre car ils ont fait et font pire .

Tout cela est une volonté de se donner bonne conscience à pas cher, mais d'une hypocrisie sans nom .

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  • 3 semaines après...
Animateur, Le gras c'est la vie, 36ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 22 692 messages
36ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)

Pédophilie dans l'Eglise : le poids du silence - Cash Investigation (Intégrale)

 

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  • 2 semaines après...
Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 421 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Le 11/09/2018 à 13:00, Kyoshiro02 a dit :

Pédophilie dans l'Eglise : le poids du silence - Cash Investigation (Intégrale)

 

Super reportage !

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Membre, 72ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 3 320 messages
Mentor‚ 72ans‚
Posté(e)
Le 16/08/2018 à 16:08, Morfou a dit :

Le célibat n'a rien à voir! point!

Tous ceux qui gravitent autour des enfants, mariés ou pas, sont des pédophiles en devenir...quand ils n'ont pas encore "sauté le pas"!

c'est vrai, mais quand des faits sont prouvés, toutes religions comprises, les prêtres ou pasteurs coupables devraient être révoqués. Dans les professions hors église aussi.

Modifié par Cochise 90
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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 061 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, Cochise 90 a dit :

c'est vrai, mais quand des faits sont prouvés, toutes religions comprises, les prêtres ou pasteurs coupables devraient être révoqués. Dans les professions hors église aussi.

Tout à fait d'accord, cela éviterait que cela se reproduise...enfin normalement...

 

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