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Faut-il mépriser la masse?


Invité Quasi-Modo

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Invité hell-spawn
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Et quelle garantie a t-on de ne pas faire partie de la masse ?

Parce que ce qui serait comique ce sont les personnes qui la méprise alors qu'elles en sont partie intégrante.

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Invité Vilaine
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Invité Vilaine
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il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

Et quelle garantie a t-on de ne pas faire partie de la masse ?

Parce que ce qui serait comique ce sont les personnes qui la méprise alors qu'elles en sont partie intégrante.

Notre regretté swam aurait dit: "Mais le plus important, c'est de ne pas mépriser son âme". 

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Invité hell-spawn
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Invité hell-spawn
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à l’instant, Vilaine a dit :

Notre regretté swam aurait dit: "Mais le plus important, c'est de ne pas mépriser son âme". 

Je ne pense pas qu'il aurait dit cela, il avait quand meme un peu de cohérence le bougre.

 

 

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 513 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
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Pour ma part je ne vois pas de raison vraiment valable à penser qu'on ne devrait être qu'admiratif de la population sous le seul prétexte qu'on en fait partie. Il pourrait s'agir de lâcheté, ou de peur de se remettre aussi soi-même en question de temps en temps. On peut bien critiquer une entreprise par exemple, discerner ses forces et ses faiblesses, même si on en fait partie et même si on a une part de tort. C'est aussi comme ça qu'elle peut progresser à mon avis.

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Il y a 21 heures, sirielle a dit :

Pour ma part je ne vois pas de raison vraiment valable à penser qu'on ne devrait être qu'admiratif de la population sous le seul prétexte qu'on en fait partie. Il pourrait s'agir de lâcheté, ou de peur de se remettre aussi soi-même en question de temps en temps. On peut bien critiquer une entreprise par exemple, discerner ses forces et ses faiblesses, même si on en fait partie et même si on a une part de tort. C'est aussi comme ça qu'elle peut progresser à mon avis. 

Oui c'est bien vu. L'adoration ou l'exaltation de la masse reste assez stérilisante d'un points de vue intellectuel je présume.

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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Le 31/05/2018 à 08:28, truebypass a dit :

Ne pas suivre les comportements de masse n'induit pas nécessairement de proposer une contribution alternative à l'humanité.
On peut très bien vivre modestement son existence, à l'écart du troupeau sans rien chercher à prouver ou à apporter à l'humanité. Surtout si on la rejette, par exemple.

Non bien entendu, j'essayai surtout de montrer à quel points nous sommes des moutons dans notre quotidien. Que la plupart du temps nous nous inscrivons dans un mouvement qui préexiste, peu de personnes par exemples en philosophie, auront la possibilité de développer leur propre approche. Au mieux seront-ils une pâle copie d'un autre grand penseur qui aura poussé la même logique beaucoup plus loin.

Le 30/05/2018 à 18:39, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Quasi-Modo, poigne de mains

As tu déjà été témoin d'un mouvement de panique et d'une panique dans une masse de gens. Je l'ai été plusieurs fois témoin, c'est franchement pas beau à voir, quand tu vois les enfants piétiner, quand tu vois son comportement.

D'autres expériences sur le conformisme comme l'expérience de Asch (une dizaine de personnes complices donnent la mauvaise réponse à une question simple tour à tour, et quand c'est au tour de la personne interrogée, elle donne la mauvaise réponse aussi, de peur de se distinguer du groupe). Il paraît que dans cette expérience le sujet est vraiment victime d'une déformation de la réalité : il pense comme le groupe pense en déformant sa vision.

Le 30/05/2018 à 19:34, CAL26 a dit :

Le terme "masse" a une connotation péjorative mais elle est devenue l'histoire de l'humanité. Le fonctionnement du haut en bas et du bas en haut de nos sociétés, notre fonctionnement intellectuel et cognitif d'homo sapiens ont atteint leur niveau d'abstraction uniquement par le collectif, c'est-à-dire par l'émergence de valeurs, d'aspirations, de sentiments, d'émotions communes.

Cette unification, symbolisée dans sa genèse et l'étymologie par la religion, est nécessaire pour l'intelligence collective. Alors mépriser la masse c'est mépriser l'humanité. Dans ses folies et ses idioties mais aussi dans sa magnifique intelligence.

Finalement l'attitude la plus raisonnable serait sans doute la neutralité envers les masses.

 

 

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Membre, 40ans Posté(e)
truebypass Membre 2 060 messages
40ans‚
Posté(e)
il y a 18 minutes, Quasi-Modo a dit :

Non bien entendu, j'essayai surtout de montrer à quel points nous sommes des moutons dans notre quotidien. Que la plupart du temps nous nous inscrivons dans un mouvement qui préexiste, peu de personnes par exemples en philosophie, auront la possibilité de développer leur propre approche. Au mieux seront-ils une pâle copie d'un autre grand penseur qui aura poussé la même logique beaucoup plus loin.

Et puis à côté de ça, tu as tous ceux qui ne se doutent de rien, qui pondent des gosses "parce que c'est comme ça", qui "écoutent de tout", qui mettent sur leur CV dans les loisirs "TV/internet". Des gens sans relief, sans envies propres.
 

Ca me fait penser à ce titre de DYING FETUS, Pissing in the mainstream.

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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 513 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Quasi-Modo a dit :

Oui c'est bien vu. L'adoration ou l'exaltation de la masse reste assez stérilisante d'un points de vue intellectuel je présume.

Je crois qu'elle a de nombreuses facettes susceptibles de provoquer toutes sortes d'émotions, dont éventuellement le mépris et l'admiration, surtout si on s'intéresse de près à l'ethnologie. La constructivité de ces émotions dépend alors de la façon de les interpréter. 

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Membre, 57ans Posté(e)
landbourg Membre 2 074 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
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Mdr je me suis trompé de sujet.... 

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Invité
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Invité
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Le 30/05/2018 à 17:43, aliochaverkiev a dit :

Je suis "assez" d'accord avec notre analyse. La masse est un produit social, un produit de l'économie libérale, qui est affranchi de toutes les relations anciennes (historiques), économie qui fait de l'homme et de la femme seulement un acteur économique, un consommateur et un producteur.

La masse se caractérise par un abandon de toutes les mémoires. La masse évolue vers un athéisme de bon aloi, vers une gentillesse de bon aloi, vers une conception du bonheur gnan gan, la masse est totalement arrachée à la mémoire. Elle pense que la fin du monde est arrivée et que le bonheur est de passer son temps à jouir. Consommons, baisons, jouissons, produisons (en défendant tout de même nos intérêts), oui la masse est déconnectée de toutes les histoires.

Supposons qu'une catastrophe, écologique par exemple, casse tout ça. Je ne vous dis pas. Cette masse informe, oui, cette masse produira un nouveau totalitarisme. C'est une masse qui a une inertie énorme certes, mais qui, mise en branle dans l'adversité peut tout produire, surtout le pire. Espérons que l'économie parvienne à maintenir un niveau de vie minimal, prions,  sinon cette masse sans histoire deviendra le pire cauchemar de l'humanité. 

Je file un peu la métaphore des sites et applications de rencontre. J’y vois nettement le mécanisme qui nous conduit à constituer une masse. L’application permet de se construire des profils pour interagir. Sur son profil chacun se présente. On se situe par catégories, hommes, femmes, hétérosexuels homosexuels, par âges, tailles, affinités politiques... Et on voit défiler indéfiniment les profils fondus sur ce modèle, avec toutes sortes de déclinaisons à l’interieur du modèle. Chacun est spécifique mais une identité formelle nous inclut tous à priori dans le même mécanisme, bien concret. Elle nous inclut absolument, par avance. Ainsi nous connaissons nous en tant que masse, par ce mécanisme. Il est aussi vrai que c’est le site ou l’application qui nous situe par rapport à lui.

La masse est le négatif de l’individu. C’est cette identité formelle à priori inclusive et totale sur fond de quoi j’existe concrètement comme individu dans la masse. Cette identité formelle se produit par division et combinaison d’éléments manipulables - l’individu, le corps ultimement, de l’espace, du mesurable, une chose dont on puisse disposer. La constitution des masses est très directement liée à la croissance des techniques et à leurs applications. Du point de vue de l’avion je suis ce corps, cette portion d´espace standard dont il faut assurer l’acheminement. Et dans l’avion je me comporte comme tel. Peu importe les variations personnelles’ dans mon comportement tant qu’elles n’entrent pas en contradiction avec cette forme en fond. Dans la mesure où en tant que cette portion d’espace prévue j’adopte le comportement prévu, je suis libre d’etre moi-même ou n’importe quoi d’autre. Mais en revanche ma subjectivité est aussi prise en charge par d’autres moyens qui pour être appliqués supposent eux une certaine manière d’etre. La tv me situe comme spectateur par rapport à elle. L’application m’inclut dans un continuum indéfini de profils. La sécurité sociale m’attribue un chiffre, l’ecole me garde une place, l’insee calcul mes chances d’etre au chômage, la formation me recycle. L’hopital, jusqu’aux cimetières. Mon existence paraît immobile dans cette excroissance phénoménale d’administrations et de moyens qui me situent constamment par rapport à eux sur le fond de cette identité formelle qui ne peut pas tolérer le résidu, qui doit tout conquérir. 

L’individu est actif. Mais il est tellement enfoncé dans ce milieu qu il ne peut littéralement rien faire d’autre que de participer au phénomène, qu’il le veuille ou non. La question ne se pose même pas pour ce mécanisme qui de lui même nous inclut déjà théoriquement avant même notre naissance. Et plus la participation individuelle est grande et l’identifixation totale, plus on obtient satisfaction. Mais comme vous dites alors nous sommes liés à ce milieu jusque dans la folie. Il nous est indispensable, sans lui plus de possibilité d’etre. 

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Invité Vintage
Invités, Posté(e)
Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
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Que fait @curieux dans cette masse ?

 

L'HOMME%20PARLE%20-%20logo%20black.jpg

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Membre, Posté(e)
Garalacass Membre 1 029 messages
Baby Forumeur‚
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Le 01/06/2018 à 14:29, Quasi-Modo a dit :

 

D'autres expériences sur le conformisme comme l'expérience de Asch (une dizaine de personnes complices donnent la mauvaise réponse à une question simple tour à tour, et quand c'est au tour de la personne interrogée, elle donne la mauvaise réponse aussi, de peur de se distinguer du groupe). Il paraît que dans cette expérience le sujet est vraiment victime d'une déformation de la réalité : il pense comme le groupe pense en déformant sa vision.

 

 

"seul contre tous" ce n'est pas donné à tout le monde non plus. C'est peut-être dû un manque de confiance en soi ou une certaine humilité. "Si tout le monde dit le contraire, alors c'est probablement moi qui me trompe" ce n'est pas pour autant qu'il se met à  penser comme le groupe, ça c'est juste une possibilité parmi d'autres.

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Invité philkeun
Invités, Posté(e)
Invité philkeun
Invité philkeun Invités 0 message
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Ce cas de figure (raison seul contre tous) doit bien exister, mais est certainement plus rare que l'inverse...

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 7 heures, Garalacass a dit :

"seul contre tous" ce n'est pas donné à tout le monde non plus. C'est peut-être dû un manque de confiance en soi ou une certaine humilité. "Si tout le monde dit le contraire, alors c'est probablement moi qui me trompe" ce n'est pas pour autant qu'il se met à  penser comme le groupe, ça c'est juste une possibilité parmi d'autres.

L'humain est tout de même un animal social, sa survie dépend de la bienveillance du groupe dont il est issu, voir de sa réputation dans le groupe, pour le moins à l'état primitif. Nous voyons bien que nous sommes, pour paraphraser Newton, des nains sur des épaules de géants, au sens où nous bénéficions d'un savoir cumulé et accumulé depuis des siècles par nos ancêtres, et que cela permet de mieux vivre notre quotidien.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

C'est à tel points que je me demande si d'autres animaux ont cette tendance/possibilité de tuer/mourir pour une question de réputation ou d'honneur. Les duels étaient tristement assez répandus à une certaine époque, et les crimes d'honneur ont existé dans un peu toutes les sociétés traditionnelles. Certains suicides aussi proviennent indubitablement des conditions sociales (cf. Durkheim).

De nos jours le travail est le premier lieu et le premier critère de socialisation (on se présente d'abord par son prénom, ensuite par son métier), et c'est par lui qu'on montre qu'on a quelque chose à apporter au groupe (et qu'on gagne donc en réputation). D'où également les médisances sur les chômeurs ou les "assistés", même si ça va un peu mieux maintenant que certains ont compris la conjoncture.

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Membre, Posté(e)
Garalacass Membre 1 029 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, Quasi-Modo a dit :

L'humain est tout de même un animal social, sa survie dépend de la bienveillance du groupe dont il est issu, voir de sa réputation dans le groupe, pour le moins à l'état primitif. Nous voyons bien que nous sommes, pour paraphraser Newton, des nains sur des épaules de géants, au sens où nous bénéficions d'un savoir cumulé et accumulé depuis des siècles par nos ancêtres, et que cela permet de mieux vivre notre quotidien.

Oui tout à fait, c'était même ma première idée de te répondre ça, à propos du conformisme, il y a forcément un avantage évolutif à adopter ce comportement et c'est celui de la cohésion sociale. 

Sinon, je ne dirais pas que nous sommes des nains sur des épaules de géants (c'est qui les géants?). L'image qui me vient c'est celle d'une pyramide assez colossale dont nous sommes momentanément le sommet.

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

En tant que membre de la masse, je n'aime pas être méprisé, et en général les méprisants sont rarement à la hauteur de leurs mépris, par exemple quelqu'un qui méprise un autre car il le trouve idiot, est en général encore plus idiot que celui qu'il méprise.

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Membre, 154ans Posté(e)
Don Juan Membre 2 461 messages
Forumeur expérimenté‚ 154ans‚
Posté(e)

Le mépris est souvent vécu comme une insulte, et pourtant le mépris ne blesse que celui qui l'éprouve.

Ne se vouloir plus bas qu'autrui n'a de sens que si l'on ne refuse à quiconque de se mettre plus bas que soi.

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Membre, 54ans Posté(e)
lunabo Membre 9 messages
Baby Forumeur‚ 54ans‚
Posté(e)

Il y a quelques années, j'écrivais pas mal de nouvelles. Toutes concernait un type seul dans une ville abandonnée, vidée, il se baladait seul. Au bout d'un moment, cet état d'esprit d'écrire, je le vivais pleinement, et après, quand je sortais dans la rue, voir des gens, entendre des klaxons, croiser des regards, quelle réjouissance ! Oui, je prenais conscience qu'un humain seul mourrait d'angoisse et se précipiterait dans les bras du premier humain qu'il retrouverait. Je ne sais pas si ceci s'insère dans la discussions, je sais juste qu'on a tous besoin les uns des autres pour pouvoir tout en nous ignorant, tout en nous critiquant, vivre pleinement.

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  • 2 semaines après...
Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Le 30/05/2018 à 00:52, Quasi-Modo a dit :

Bonjour,

Une simple question qui se trouve dans le titre : faut-il mépriser la masse et la méprisez vous effectivement?

Si oui pourquoi, si non, pareil!

Langue de bois et démogogues s'abstenir.

++

PS : Je tiens une telle réflexion parce qu'il me semble justement que contrairement à la plupart des personnes je ne possède pas ce mépris des gens.

 

nous faisons tous parti d'une masse ne serait-ce que de la masse terrestre 

ainsi nos avis et jugements sur des masses nous concerne en premier lieu puisque nous en somme parti intégrante.

j'ai déjà eu du mépris pour mes actions ou mes non actions cela ne signifie pas pour autant que je me méprise continuellement bien au contraire.

de la même façon j'ai déjà méprisé des masses cela ne signifie pas pour autant que je les méprise continuellement et inlassablement.

Cela manque de nuance niveau questionnement tout n'est pas tout blanc ou tout noir ou tout rose et rien n'est absolu tout est sujet au changement encore plus des opinions tant générale que plus sélective.

On peut méprisé ou pas les masses mais dans tout les cas on sortira pas de la masse nul n'en sort réellement puisque la encore on peut faire des catégories de masse pour classer qui on veut dans l'une ou l'autre des cases arrangés a l'avance pour nous satisfaire.

 

a la question "faut-il" c'est déjà faux comme questionnement ce qu'il faut ne tient qu'a soi a la place tu aurais écrit peut-on, veut t'on ,dois on etc méprisé la masse aurais été plus correct comme formulation puisque "faut-il" dans le contexte de la question signifie qu'il faut absolument l'un ou l'autre des choix...en oblitérant qu'on est pas forcé de faire un choix. 

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