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L'Italie se prépare à rétablir sa monnaie nationale

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PASCOU

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Je trouve ça plutôt positif.

https://www.20minutes.fr/monde/2275119-20180522-italie-si-devait-assister-crise-financiere-repercussions-monumentales

Luigi Di Maio, le leader du Mouvement 5 étoiles (M5S) et Giuseppe Conte qui devrait devenir le prochain président du Conseil italien, le 1er mars 2018. Luigi Di Maio, le leader du Mouvement 5 étoiles (M5S) et Giuseppe Conte qui devrait devenir le prochain président du Conseil italien, le 1er mars 2018. — MONTEFORTE / AFP

  • Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les chefs de file respectifs du Mouvement 5 étoiles (M5S) et de la Ligue, ont proposé au président de la République, Sergio Mattarella, le nom de Giuseppe Conte pour diriger le gouvernement italien.
  • Agé de 54 ans, Giuseppe Conte est un juriste universitaire, spécialiste du droit civil et administratif. Inconnu du grand public, il avait été présenté avant les élections du 4 mars par le M5S comme possible ministre chargé de « débureaucratiser » la fonction publique.
  • La Ligue et le M5S ont dévoilé un nouveau programme qui tourne le dos à l’austérité et aux « diktats » de Bruxelles. Une feuille de route pourrait coûter à 100 milliards d’euros, creuser davantage la dette italienne et rompre les engagements pris auprès de l’Union européenne.

Guiseppe Conte pourrait devenir le prochain président du Conseil italien. Un nom suggéré lundi par Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les chefs de file respectifs du Mouvement 5 étoiles (M5S) et de la Ligue, avec l’objectif de former dans la semaine le premier gouvernement antisystème. Le nom du futur chef du gouvernement italien doit être validé par le président, Sergio Mattarella dans les jours qui viennent.

Le programme de ce nouveau gouvernement, dévoilé vendredi, qui tourne le dos à l’austérité et aux « diktats » de Bruxelles pourrait coûter jusqu’à 100 milliards d’euros. Le document prévoit notamment une réduction des prélèvements fiscaux de plusieurs milliards d’euros, une augmentation des dépenses publiques en faveur des plus défavorisés et l’abandon d’une réforme sur les retraites.

Cette politique, qui pourrait fragiliser l’économie du pays - la troisième de la zone euro -, inquiète l’Europe et la France : « Si le nouveau gouvernement prenait le risque de ne pas respecter ses engagements sur la dette, le déficit, mais aussi l’assainissement des banques, c’est toute la stabilité financière de la zone euro qui serait menacée », a averti Bruno Le Maire, lors de l’émission Le Grand Rendez-vous Europe 1-Les Echos-CNEWS, samedi 20 mai. « Ne pas respecter ces engagements (…) ça veut dire menacer (…) les économies de tous les épargnants européens », a conclu le ministre de l'Economie.

 Jérôme Creel, directeur du département des études de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et professeur à l’ESCP Europe, est revenu pour 20 Minutes sur le plan économique de ce nouveau gouvernement.

Quelle va être la politique du nouveau gouvernement italien ?

Pour moi, le nouveau gouvernement italien fait trois paris. D’abord un pari politique en donnant un coup de pied dans les institutions européennes pour qu’elles se réforment. Ce nouveau gouvernement veut une véritable transformation des institutions publiques. Ensuite, un pari économique en lançant une relance budgétaire qui pourrait potentiellement avoir des effets favorables sur la croissance. Pour finir, un pari financier. L’Italie ne veut pas se trouver dans une situation où les marchés financiers tournent le dos au pays et où le gouvernement perdrait la confiance de ces marchés financiers. Si le pari économique est gagné, alors les deux autres le seront aussi.

Quelles peuvent être les conséquences sur l’Europe et la France ?

Il y a une volonté de ne plus respecter à la lettre les directives européennes, ce qui peut empêcher l’Europe et la France de trouver en l’Italie un partenaire fiable. Normalement la dette publique ne doit pas excéder 60 % du PIB et la dette publique de l’Italie atteint, elle, les 130 % du PIB. Une relance budgétaire pourrait amener une hausse de la dette publique et ça, c’est contraire aux règles budgétaires européennes. Il faudrait que cette relance ait vraiment un fort impact sur la croissance italienne.

Pourtant, on a déjà vu que l’Italie était capable de réduire son déficit en dessous de 3 %, et plus rapidement que la France. Ça laisse une marge de manœuvre au nouveau gouvernement italien. Il peut réaliser un tour de passe-passe, d’une part en faisant la relance promise aux électeurs et, d’autre part, en ne respectant pas totalement les directives européennes. Le prochain gouvernement dit "on ne respecte pas les règles de l’Europe" et ça, ça ne va pas faciliter la coordination France-Italie. Ça ne joue clairement pas en faveur de notre pays. Entre un président français proeuropéen et un président italien eurosceptique, les futures relations entre les deux pays vont être très compliquées.

Peut-on assister à une crise financière en Italie, sur le mode de celle de la Grèce ?

Si la dette augmente considérablement, l’Italie aura toutes les chances d'entrer dans une crise financière. Mais avant cela, il faut attendre que la politique budgétaire soit précisée, car tout va dépendre de ça. Si la relance n’est pas trop massive et produit de l’activité en plus, ça ne déstabilisera ni l’Italie ni l’Union européenne. A l’inverse, si la relance est rapide et trop massive, la confiance des marchés financiers pourrait s’amenuiser. A ce moment-là, on pourrait assister à une crise financière à la mode grecque, avec un risque supplémentaire spécifique à l’Italie. Le poids de l’économie italienne n’a rien à voir avec celui de la Grèce. Si on devait assister à une crise financière en Italie, les répercussions seraient monumentales.

Il faut toute de même nuancer, car la probabilité d’une nouvelle crise financière en Italie reste très faible. C’est encore trop tôt pour que les marchés financiers s’inquiètent, il faut d’abord laisser le temps au gouvernement de s’installer. Le gouvernement italien veut donner un coup de pied dans la fourmilière, mais à mon avis, ils ne sont pas aussi provocateurs qu’ils veulent le laisser croire.

.........................

J'aime bien la partie surlignée, ça veut dire beaucoup...

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 17 minutes, Promethee_Hades a dit :

Ce fut quand même pendant au moins deux siécles son seul moyen d'échanges. Aujourd'hui on assiste à une explosion des monnaies locale, tant en France qu'à l'étranger , c'est à se demander pourquoi des politiques toutes couleurs confondu ont besoin de ça. Au niveau international c'est le Bitcoins, ( bon là je sent l'arnaque gigantesque qui se cache derrière ) mais pourquoi diantre y a t'il cette explosion de monnaie, comme en plein moyen age, ou la monnaies de Troyes étaient différente de celle de Paris. Il n'y aurait il pas quelque part une énorme escroquerie tant monétaire  qu'idéologique qu'on refuse de dévoiler en haut lieu, du peur d'un affolement général, ou alors c'est le constat irréfutable qu'il y a un vice dans l'économie et que l'argent papier n'a même plus la valeurs de se torcher les fesses.

Je suis pas économiste, l'économie m'importune au plus haut point, mais bon il y a des questions à se poser quand même. Ne plus être le benêt qui gobe tout et de demander de vrais compte.

 

Je ne dis pas le contraire mais que tu appelle ton chef, Benoît, doudou ou sale con ça ne change rien... Du coup, franc, louis, euros, sesterce ou sac de sel, pardon de ne pas prendre parti. 

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
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Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Je trouve ça plutôt positif.

Non, c'est légèrement con.

sans plus.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)

Ou peut être que l'info annoncé par un média payé par Poutine est soit une hyperbole basé sur une obscure interview d'un non élu, soit carrément fausse. Peut être que répandre ce genre d'info sur les autres médias est plus proche de l'intox que d'une véritable information, une information informe sans chercher à manipuler. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

 

Il y a 2 heures, Crabe_fantome a dit :

Ou peut être que l'info annoncé par un média payé par Poutine est soit une hyperbole basé sur une obscure interview d'un non élu, soit carrément fausse. Peut être que répandre ce genre d'info sur les autres médias est plus proche de l'intox que d'une véritable information, une information informe sans chercher à manipuler. 

Mais avec des peut être?

Peut être que ce sont les autres qui s'autocensurent simplement.

Peut être qu'il n' y a même pas eu d'élections en Italie!

Et peut être que si ta tante en avait?

 

Modifié par Nephalion
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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
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Il y a 3 heures, PASCOU a dit :

https://fr.sputniknews.com/international/201805211036471921-italie-monnaie-nationale/

Le nouveau gouvernement italien a rendu public son programme économique, qui contient notamment l'exigence que l'Union européenne efface 250 milliards d'euros de la dette publique de l'Italie et libère le pays de plusieurs restrictions. Sinon, Rome menace de sortir de la zone euro pour revenir à la lire italienne.

Les chefs des partis Mouvement 5 Étoiles et Ligue, qui ont obtenu le plus grand nombre de voix aux élections du 4 mars, sont convenus des principes fondamentaux de la politique économique du gouvernement de coalition. Ils sont persuadés que ce ne sont pas les recettes libérales qui garantiront la sortie de la stagnation économique, mais les «investissements» et la «stratégie expansionniste».

Les exigences de Rome

 

Rome
© Sputnik . Natalia Seliverstova
En 2017, l'économie italienne a affiché une croissance économique de seulement 1,5%, alors que la moyenne dans toute la zone euro s'élevait à 2,5%.

 

Au premier trimestre, la croissance italienne a ralenti jusqu'à 1,4% en glissement annuel, alors qu'au sein de l'UE elle restait stable à 2,5%.

Pour redresser la situation, les dirigeants des partis vainqueurs préconisent le recours à plusieurs stimulations fiscales allant à l'encontre des principes conservateurs de la Banque centrale européenne (BCE). Ces idées révolutionnaires sont très onéreuses.

La baisse des impôts sur le revenu pour les entreprises et les particuliers à 15% augmentera significativement leurs capacités d'investissement, tout en réduisant les revenus budgétaires de 80 milliards d'euros par an. L'abandon de la réforme des retraites diminuerait la tension sociale, mais ferait perdre 15 milliards supplémentaires au budget. Et le refus d'augmenter l'impôt sur les ventes encore 12,5 milliards.

 

Au total, c'est plus de 100 milliards d'euros qui manqueront au budget sachant que la dette publique de l'Italie s'élève à 131,8% du PIB — l'indicateur le plus élevé en UE après la Grèce. Or selon les règles de l'UE, la dette publique ne doit pas dépasser 60% du PIB.

 

Les Italiens sont conscients qu'en transgressant une règle ils en enfreignent une autre — sur le montant du déficit du budget public qui ne doit pas dépasser 3% du PIB. Pour l'instant, la situation est tolérable: d'après l'agence nationale des statistiques Istat, le déficit du budget italien se chiffrait à 2,3% du PIB en 2017. Mais si les plans annoncés étaient mis en œuvre, cet indice dépasserait considérablement la barre des 3%.

C'est pourquoi les leaders des principaux partis ont préalablement avancé deux exigences à l'UE: premièrement, la BCE doit annuler 250 milliards d'euros de la dette publique italienne; deuxièmement, lever les restrictions sur le niveau de la dette publique et du déficit budgétaire qui, selon les Italiens, n'existent plus que sur le papier depuis longtemps. «Cela fait dix ans que la France dépasse le plafond du déficit, la dette de la France et de l'Espagne est supérieure à 60% du PIB», rappelle le représentant économique de la Ligue Claudio Borghi.

 

Les Italiens avertissent que si Bruxelles ne se pliait pas à leurs exigences, le pays quitterait la zone euro pour revenir à sa monnaie nationale. Le brouillon d'accord de coalition entre les partis 5 Étoiles et Ligue prévoit même des procédures techniques concrètes qui permettraient de se séparer de l'euro et de rétablir la souveraineté monétaire.

 

Les marchés ont pris ces déclarations très au sérieux: le rendement des obligations italiennes sur 10 ans a augmenté de 16 points de base en une journée — un record depuis 14 mois. Le principal indice boursier italien FTSE MIB a chuté de 3,5% en deux jours et continue de baisser: autrement dit, les investisseurs vendent les actions des compagnies italiennes.

Que dira l'UE cette fois?

La démarche inattendue des Italiens place Bruxelles dans une position très compliquée. Il est évident que l'UE ne peut pas accepter ces conditions: cette dernière estime que les problèmes budgétaires doivent être réglés par la réduction des dépenses, les réformes libérales et la privatisation des biens publics.

 

Ainsi, pour bénéficier du soutien financier de l'UE, la Grèce a été contrainte d'augmenter les impôts, de réduire les programmes sociaux et d'organiser une vente d'actifs nationaux. Au final, le port du Pirée appartient aujourd'hui aux Chinois, et les Allemands possèdent une compagnie de communication grecque.

 

Des ports, des îles, des compagnies d'électricité et de gaz, de grands terrains, y compris la région de l'ancien aéroport près d'Athènes, Hellinikon — avec des plages, des parcs, des forêts et une multitude de monuments antiques — ont été mis en vente.

L'UE est complètement satisfaite du résultat: fin avril, le commissaire européen à l'économie et aux finances Pierre Moscovici a déclaré que le programme d'aide extérieure à la Grèce se terminerait en août 2018. Et d'ajouter: «Finir le programme grec serait un symbole que nous avons mis la crise derrière nous. Et puis, surtout pour les Grecs, ce sera la bonne nouvelle que ce pays est lui aussi sorti de sa crise et est capable de créer de la croissance et de l'emploi.» Mais les Grecs ne s'empressent pas de se réjouir.

 

«C'est comme une occupation: ils ont capturé notre pays, s'indigne la professeure d'architecture Eleni Portaliou. Les investisseurs étrangers sont comme des vautours: ils savent que nous sommes forcés de vendre nos richesses nationales, et les créditeurs veulent seulement obtenir de l'argent au plus vite. C'est pourquoi les prix deviennent dérisoires et nous perdons sur tous les fronts. Les investisseurs étrangers paieront seulement 900 millions d'euros pour Hellinikon, tandis que les experts indépendants ont évalué ce terrain à au moins 3 milliards.»

 

Pas étonnant, donc, que les Italiens ne veuillent pas suivre le chemin de la Grèce.

Un trou dans le budget

De plus, même si l'UE se pliait aux exigences de l'Italie, cela ne fonctionnerait pas à cause de ses propres problèmes financiers. Le Brexit prive en effet l'UE de son troisième plus grand donateur: le Royaume-Uni versait 12,76 milliards d'euros au budget européen commun et ne recevait que 7,05 milliards de dotations. En d'autres termes, cela forme dans le budget européen un trou de presque 6 milliards d'euros. Les tentatives de Bruxelles de le combler en faisant augmenter la cotisation des autres membres rencontrent une très forte opposition.

Ainsi, lors d'un récent débat sur le projet de budget de l'UE pour 2021-2027, le ministre néerlandais des Affaires étrangères Stef Blok a directement indiqué que la «proposition d'augmenter les cotisations était inadmissible» pour son gouvernement. Il a été soutenu par le Premier ministre danois Lars Løkke Rasmussen qui a noté qu'une «UE réduite aura également besoin d'un budget réduit».

Un discours similaire a été tenu par le Premier ministre néerlandais Mark Rutte et la ministre suédoise des Finances Magdalena Andersson, qui a qualifié le nouveau projet de budget européen de «déraisonnable». Si 6 milliards d'euros suscitent de tels litiges, alors on s'imagine facilement quel scandale éclaterait si l'on parlait de 250 milliards…

 

Enfin, en répondant favorablement à la requête de Rome, l'UE créerait un dangereux précédent dont ne manqueraient pas de profiter les autres pays qui éprouvent des problèmes budgétaires — l'Espagne et la France. Par conséquent, Bruxelles ne fera pas de concessions à l'Italie.

 

D'un autre côté, les Italiens pourraient, eux aussi, ne pas céder: le nouveau gouvernement n'a aucune chance de redresser la situation économique avec la politique budgétaire actuelle. Et l'exemple du Royaume-Uni montre qu'il est possible de réduire à un niveau tolérable les frais de séparation avec l'UE en se débarrassant au final d'une multitude de problèmes, notamment migratoires. De cette manière, le scénario de sortie de l'Italie de la zone euro paraît parfaitement plausible.

En février, les experts de l'Economist Intelligence Unit, département analytique du magazine The Economist, ont inscrit l'éventuel éclatement de la zone euro dans le top-10 des principaux risques pour l'économie mondiale. «Le risque de sortie de la Grèce de la zone euro à moyen terme persiste, tandis que les problèmes économiques pourraient pousser l'Italie à sortir de la zone euro. La sortie des pays en crise de la zone euro entraînerait une forte dévaluation de leur monnaie et leur incapacité à rembourser leur dette en euros. Tout cela pourrait plonger l'économie mondiale dans la récession», constatent les analystes

L'Italie quitterait l'Euro, trop drôle :rofl: et en plus c'est une info de Sputniknew le truc de propagande/intox russe :D

 

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Membre, Greuh, 43ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
43ans‚ Greuh,
Posté(e)

j'adore tous ces brasseurs d'air qui nous expliquent en long et en large qu'ils ont forcément raison ....

En attendant, ce qui est certain et vérifiable, c'est que euro, lire, franc, livre, deutschmark, florin, denier, escudo, peseta, peu importe le nom ou la valeur de la monnaie, ce n'est certainement pas a nous qu'elle profite

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Mais avec des peut être?

Peut être que ce sont les autres qui s'autocensurent simplement.

Peut être qu'il n' y a même pas eu d'élections en Italie!

Et peut être que si ta tante en avait?

 

Oui, c'est pour ça que je ne poste pas de sujet politique basé sur des peut-être. L'élection italienne c'est factuel, le retour aux lires c'est de l'intox. Mais bon, tu le sais... Mais il faut quand même que tu tentes... Par idéologie... 

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
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il y a 3 minutes, The_Dalek a dit :

j'adore tous ces brasseurs d'air qui nous expliquent en long et en large qu'ils ont forcément raison ....

En attendant, ce qui est certain et vérifiable, c'est que euro, lire, franc, livre, deutschmark, florin, denier, escudo, peseta, peu importe le nom ou la valeur de la monnaie, ce n'est certainement pas a nous qu'elle profite

https://www.latribune.fr/opinions/20111104trib000661705/une-solution-a-la-crise-la-double-monnaie.html

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, Anatole1949 a dit :

L'Italie quitterait l'Euro, trop drôle :rofl: et en plus c'est une info de Sputniknew le truc de propagande/intox russe :D

 

Encore une réponse bien construite et intelligente. 

Merci.

il y a une heure, Crabe_fantome a dit :

Oui, c'est pour ça que je ne poste pas de sujet politique basé sur des peut-être. L'élection italienne c'est factuel, le retour aux lires c'est de l'intox. Mais bon, tu le sais... Mais il faut quand même que tu tentes... Par idéologie... 

Je ne tente rien..

Je mets un article.

Il ne te plait pas tant pis.

Tu peux mettre un autre qui dit que c'est faux.

Ca ne me fera ni chaud ni froid.

 

Modifié par PASCOU
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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, fx. a dit :

Intéressant. 

à l’instant, Fuck Them All a dit :

Ils peuvent la quitter l'UE on a pas besoin d'eux. 

On c'est qui?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Crabe_fantome a dit :

Oui, c'est pour ça que je ne poste pas de sujet politique basé sur des peut-être. L'élection italienne c'est factuel, le retour aux lires c'est de l'intox. Mais bon, tu le sais... Mais il faut quand même que tu tentes... Par idéologie... 

Aucune idéologie. 

Quand certains annonçaient la victoire du maintien du Royaume-Uni dans l'UE tu dis que c'était de lintox?

Non c'était ou des hypothèses ou de la propagande. 

L'Italie ne se laissera peut etre pas berner comme la grece?

Moi je suis spectateur.

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Membre, 74ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, Crabe_fantome a dit :

Moi je cherche toujours ce que le franc a apporté à la France... Chacun son graal. 

............"Moi je cherche toujours ce que le franc a apporté à la France... Chacun son graal. 

Simplement son Indépendance sa liberté sa Souveraineté.................; et sa Neutralité!!!

Et d'ailleurs c'est faux de dire que l'Euro est une "Monnaie Unique",mais bien une "monnaie Commune" car il n'y a pas de "Banque centrale Unique" entre les 28 Etats membres de l'UE

Chacun des 28 monnaies a sa Valeurs lié a son "économie" et marché Intérieur..................Et de toute façon qui dépendent du Dollar US 

Nous sommes Militairement assujettis (sujets)aux Ricains (l'OTAN)

Et Monétairement (Dollar US)

Je suis contre!!!!!

PS que l'Italie et les Italiens (ennes) font ce qu'ils veulent.............Les anglais ont bien fait leur EXIT (sortie) Brexit,il n'en sont pas mort ?

Modifié par Pales
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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 6 minutes, Pales a dit :

............"Moi je cherche toujours ce que le franc a apporté à la France... Chacun son graal. 

Simplement son Indépendance sa liberté sa Souveraineté.................; et sa Neutralité!!!

Et d'ailleurs c'est faux de dire que l'Euro est une "Monnaie Unique",mais bien une "monnaie Commune" car il n'y a pas de "Banque centrale Unique" entre les 28 Etats membres de l'UE

Chacun des 28 monnaies a sa Valeurs lié a son "économie" et marché Intérieur..................Et de toute façon qui dépendent du Dollar US 

Nous sommes Militairement assujettis (sujets)aux Ricains (l'OTAN)

Et Monétairement (Dollar US)

Je suis contre!!!!!

Ah bon, un euro français n'aurait donc pas la même valeur qu'un euro grec  ou espagnol ?

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 512 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a 13 minutes, PASCOU a dit :

Aucune idéologie. 

Quand certains annonçaient la victoire du maintien du Royaume-Uni dans l'UE tu dis que c'était de lintox?

Non c'était ou des hypothèses ou de la propagande. 

L'Italie ne se laissera peut etre pas berner comme la grece?

Moi je suis spectateur.

Personne n'a annoncé la victoire du Remain.. Et les manipulations avérées et confessées par les auteurs mêmes ont permis le brexit. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Crabe_fantome a dit :

Personne n'a annoncé la victoire du Remain.. Et les manipulations avérées et confessées par les auteurs mêmes ont permis le brexit. 

Tous étaient contre le brexit

Vous n'avez pas de memoire 

Donc cest évident que sur l'Italie à  part continuer de faire peur que peut on "lire"...:)

Soyez honnête vous voyez la presse vanter le resultat des elections en italie?

Le Macron italien a pris un râteau. 

Modifié par PASCOU
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