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L'Italie se prépare à rétablir sa monnaie nationale

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PASCOU

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Membre, Ursidé bien léché, 73ans Posté(e)
l'ours 5785 Membre 5 036 messages
73ans‚ Ursidé bien léché,
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il y a 1 minute, Crabe_fantome a dit :

Pour anecdote ils vont exactement la même chose... au Vietnam. 

Oui mais l'Italie c'est soi-disant l'Europe, riche et civilisée, alors s'ils en reviennent aux bonbons..... :D

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frunobulax Membre 15 758 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 11 heures, PASCOU a dit :

L'Italie pourrait revenir en arrière, les lois cest fait pour etre modifié comme les contrats ca peut être long mais pas impossible.

On verra déjà  avec l' après Brexit.

Pour le moment, les déclarations communes de la coalition M5S-LDN semblent s'éloigner assez nettement de la pseudo volonté claire et nette de sortie de l'UE qu'ils avaient pourtant on ne peut plus clairement  exprimée lors de la campagne électorale ?

Modifié par frunobulax
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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 566 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 12 minutes, l'ours 5785 a dit :

Oui mais l'Italie c'est soi-disant l'Europe, riche et civilisée, alors s'ils en reviennent aux bonbons..... :D

C'est pour ça que j'avais mis les points de "suspens" ... pour annoncer le Vietnam. Pays que j'adore mais où on est millionnaire avec 37 euros en poche... 

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Faut-il craindre le scénario d’un « Italexit » ?

Certains économistes redoutent que la rhétorique eurosceptique et le programme du futur gouvernement italien ne soient susceptibles, dans le pire des cas de figure, de déclencher une nouvelle crise des dettes.

 

Il faudra plus que des mots pour convaincre. Depuis sa désignation, mercredi 23 mai, le nouveau chef de gouvernement italien, Giuseppe Conte, s’efforce d’envoyer des signaux rassurants à ses partenaires européens. Mais s’il affirme vouloir « confirmer la place de l’Italie en Europe » et maintenir le dialogue, Paris, Berlin et Bruxelles attendent désormais de juger sur pièces. Car, au regard du programme proposé par la Ligue (extrême droite) et le Mouvement 5 étoiles (« anti-système »), la liste des sujets de tensions à venir avec les Européens semble inépuisable. Et explosive.

Même si le projet de quitter la zone euro a été supprimé du document final, les deux formations eurosceptiques proposent en effet de renégocier les traités européens. Et ce, afin de pouvoir lancer un cocktail de baisses d’impôts et de nouvelles dépenses avoisinant les 100 milliards d’euros, susceptibles de faire gonfler le déficit public italien au-delà de la limite de 3 % du produit intérieur brut (PIB). « S’ils appliquent leurs promesses, la dette publique pourrait dépasser les 130 % du PIB », estime Nicola Nobile, analyste chez Oxford Economics, à Milan. Au risque que cette dernière devienne insoutenable.

Des économistes et observateurs divisés

Le souvenir de la crise des dettes souveraines de 2011-2012, où l’envolée des taux d’emprunt des pays périphériques laissait craindre une série de défauts à la chaîne – à commencer par celui de la Grèce –, voire une explosion de la zone euro, hante encore les esprits. Vendredi 25 mai, les taux italiens à 10 ans évoluaient autour de 2,46 %, contre 1,8 % début mai. Dans la soirée, l’agence de notation Moody’s a placé la note de la dette italienne « sous surveillance avec implication négative », estimant que les promesses de la coalition fragilisent les finances publique du pays. Est-ce à dire que le scénario d’un « Italexit », une sortie de l’Italie de la monnaie unique est à redouter ?

« La coalition désigne l’euro comme bouc émissaire des problèmes de l’Italie, mais c’est de la rhétorique », assure Wolfango Piccoli, du cabinet Teneo Intelligence.

Lorsqu’ils se penchent sur la question, les économistes et observateurs se divisent en deux camps. Ceux du premier estiment que les risques sont quasi nuls. A Milan, beaucoup de financiers et chefs d’entreprise veulent croire que, sous la pression des marchés ou faute de trouver les financements nécessaires, le futur gouvernement renoncera à ses promesses les plus coûteuses. Qu’en dépit de la joute verbale avec Bruxelles, il normalisera peu à peu sa position, et restera dans les clous des règles européennes.

« Notre Constitution est solide et ne permet pas de toucher aux traités européens », rappelle Luigi Consiglio, président de GEA, un cabinet milanais qui aide les PME italiennes dans leur développement à l’international. Selon lui, cela rend le scénario d’une sortie de l’euro impossible. « La coalition désigne l’euro comme bouc émissaire des problèmes de l’Italie, mais c’est de la rhétorique : elle ne souhaite pas en sortir », ajoute Wolfango Piccoli, du cabinet Teneo Intelligence. D’autant que nombre des petits patrons et électeurs de la Ligue restent attachés à la devise européenne.

Un camp plus inquiet

L’autre camp se montre plus méfiant. Voire franchement inquiet. Car certaines figures de la Ligue, ou inspirant le mouvement, semblent loin d’avoir totalement renoncé au projet d’abandon de la monnaie unique. Les économistes Claudio Borghi, Alberto Bagnai et Paolo Savona, fervents eurosceptiques, évoquent régulièrement l’entrée de l’Italie dans l’union monétaire comme une erreur.

« Certains penseurs de la Ligue ont longtemps soutenu que la sortie de l’euro devrait être tenue secrète jusqu’au dernier moment », rappelle l’économiste Lorenzo Codogno.

« Certains penseurs du parti ont longtemps soutenu que la sortie de l’euro devrait être maintenue secrète jusqu’au dernier moment, afin d’éviter la spéculation des marchés : en un week-end, il faudrait instaurer le contrôle des capitaux et prendre les mesures nécessaires à la transition, rappelle Lorenzo Codogno, ancien économiste en chef du Trésor italien, aujourd’hui professeur à la London School of Economics. Cela peut sembler fou, mais ils ont passé des années à imaginer des scénarios de ce genre. »

Lire aussi :   Italie : « Les mesures annoncées par la coalition ne répondent pas aux faiblesses de fond de l’économie »

En témoigne la proposition, dans le contrat de gouvernement, de créer des « mini-BOT », pour mini-bons ordinaires du Trésor. L’idée serait d’émettre des obligations à court terme pour régler les arriérés de l’Etat auprès des entreprises, estimés à 50 milliards d’euros. Si ces bons commençaient à circuler et à être utilisés pour, par exemple, payer les salaires des fonctionnaires, ils représenteraient une forme de monnaie parallèle. Certains y voient une étape intermédiaire préparant une sortie de l’euro…

De sérieuses fragilités

Mais même sans « mini-BOT », les fragilités de l’économie italienne sont suffisamment sérieuses pour alimenter les inquiétudes. La note de sa dette publique par les agences de notation (BBB pour Standard & Poor’s) est aujourd’hui à deux crans seulement de la catégorie des placements considérés comme spéculatifs (inférieurs à BBB –).

« Que se passerait-il si, dans le plus sombre des scénarios, plusieurs agences dégradaient la note italienne d’un cran ? », s’interroge l’économiste Guido Tabellini.

« Imaginons que le gouvernement conserve une position agressive vis-à-vis de l’Union européenne, avec une trajectoire de dette ascendante, soulève Guido Tabellini, économiste à l’université Bocconi, à Milan. Que se passerait-il si, dans le plus sombre des scénarios, plusieurs agences dégradaient la note italienne d’un cran ? » Les investisseurs étrangers, qui détiennent 36 % de la dette du pays, commenceraient à se débarrasser de leurs obligations, faisant encore grimper les taux d’emprunt.

Lire aussi :   Programme économique de la coalition italienne : faut-il craindre une nouvelle crise « à la grecque » ?

Si la note tombait en catégorie spéculative, la Banque centrale européenne (BCE) ne serait plus autorisée à racheter les obligations italiennes dans le cadre de son programme de rachat d’actifs. La valeur de ces dernières s’effondrerait. Ce qui plongerait les banques et assureurs italiens, qui en détiennent plus de 500 milliards, dans la tourmente.

Des mécanismes anticrise encore incomplets

Face aux 2 300 milliards d’euros d’endettement du pays, le Mécanisme européen de stabilité (MES), mis en place pendant la crise pour aider les Etats en difficulté, ne pourrait pas faire grand-chose. Surtout si, entre-temps, la panique s’est étendue aux dettes espagnole, grecque et portugaise. Le risque d’une fragmentation de la zone euro reviendrait alors sur la table…

Lire aussi :   L’inquiétude pour les banques italiennes ressurgit

Si un tel scénario catastrophe reste aujourd’hui peu probable, il rappelle néanmoins que la zone euro reste fragile. Et que ses mécanismes anticrise sont toujours incomplets. « C’est vrai, mais si la spéculation sur la dette italienne décollait, la coalition ferait rapidement machine arrière, ou bien éclaterait », veut croire un diplomate européen. D’autant que les autres capitales, Paris et Berlin en tête, multiplieraient sans doute les gestes pour enrayer l’escalade.

Dans tous les cas, la dette publique italienne restera un handicap pour le pays. « Si son endettement n’a pas diminué lorsque la prochaine récession frappera, il disposera de marges de manœuvre très limitées pour l’affronter », regrette Guido Tabellini.

 

https://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2018/05/26/faut-il-craindre-le-scenario-d-un-italexit_5305033_3234.html?xtmc=italie&xtcr=2

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lumic Membre 9 487 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 22 heures, Crabe_fantome a dit :

Oui c'est exactement ce que je disais, si les citoyens sont gagnant ils décideront de revenir à la lire... mais ce n'est pas le cas et ils préfèrent garder l'euro.

 

Sinon pour l'histoire des enfants, pas de voiture etc c'était un exemple, le dévoilement de ta vie privée n'était pas mon objectif; je soulignais que si ça te faisait chier de dépenser de la thune pour les autres à travers une répartition des richesses, c'était plutôt une tendance de droite alors que tu passes beaucoup de ton temps à nous dire que tu es plutôt national socialiste, ou patriote, tu barreras le terme qui là encore te plait le moins. 

Non, il n'y pas de passage à l'euro en Nouvelle Zélande, en Australie, en GB, au Canada et aux USA et l'immobilier suit la même courbe partout dans le monde. Pour illustrer depuis quelques années il y a un projet de monnaie commune asiatique, en admettant que la Chine, la Corée et le Japon fasse cette monnaie commune, en quoi ça changerait le prix de ta maison en Normandie? 

A partir du passage à l 'euro il y ' a bel et bien hausse spectaculaire de l 'immobilier , une hausse des prix et une très forte dévaluation de ce que fut le Franc ...

Vos quatre cent milles francs ne sont pas devenus un million deux cent milles francs soit l 'équivalent en euro .

 

 

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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 977 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a une heure, lumic a dit :

A partir du passage à l 'euro il y ' a bel et bien hausse spectaculaire de l 'immobilier , une hausse des prix et une très forte dévaluation de ce que fut le Franc ...

Vos quatre cent milles francs ne sont pas devenus un million deux cent milles francs soit l 'équivalent en euro .

 

 

2002 arrivée de l'euro et aujourd'hui 16 ans plus tard hausse des prix, mais 16 ans avant l'arrivée de l'euro, c'est à dire de 1986 à 2002 il n'y avait pas de hausse des prix ?

De plus la hausse spectaculaire de l'immobilier concerne surtout certaine ville ce qui était déjà le cas avant 2002.

Vous oubliez aussi que pour " survivre" la France dévaluait sans cesse le franc qui de fait devenait une monnaie de singe et nulle par rapport au mark

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Membre, Posté(e)
lumic Membre 9 487 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 34 minutes, Anatole1949 a dit :

2002 arrivée de l'euro et aujourd'hui 16 ans plus tard hausse des prix, mais 16 ans avant l'arrivée de l'euro, c'est à dire de 1986 à 2002 il n'y avait pas de hausse des prix ?

De plus la hausse spectaculaire de l'immobilier concerne surtout certaine ville ce qui était déjà le cas avant 2002.

Vous oubliez aussi que pour " survivre" la France dévaluait sans cesse le franc qui de fait devenait une monnaie de singe et nulle par rapport au mark

Bon nous sommes en 1998 et en quelques années , assez court tout de même votre maison vaut un million deux cent milles francs , mais quel est ce prodige miraculeux sauf que vous n 'avez pas cet équivalent en euros ...

En fait , nous devrions demander la différence perdue , augmenter considérablement tous les salaires , toutes les retraites pour rééquilibrer par rapport à une valeur perdue , envolée ...

L 'euro a permis une envolée spectaculaire sur toutes les petites choses puisque par exemple un produit valant un franc ou deux franc est devenu un ou deux euros , donc multiplié ...

Votre salaire a t 'il été multiplié ? Vous savez que non , idem pour la retraite ...

En fait ce sont les faits , autre exemple ...

Avant je travaillais moins  en assumant plus de charges en loyer par exemple tout en épargnant mieux puisque j 'en avais encore la possibilité en franc , étonnant mais vrai ...

 

Modifié par lumic
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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 977 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 25 minutes, lumic a dit :

Bon nous sommes en 1998 et en quelques années , assez court tout de même votre maison vaut un million deux cent milles francs , mais quel est ce prodige miraculeux sauf que vous n 'avez pas cet équivalent en euros ...

En fait , nous devrions demander la différence perdue , augmenter considérablement tous les salaires , toutes les retraites pour rééquilibrer par rapport à une valeur perdue , envolée ...

L 'euro a permis une envolée spectaculaire sur toutes les petites choses puisque par exemple un produit valant un franc ou deux franc est devenu un ou deux euros , donc multiplié ...

Votre salaire a t 'il été multiplié ? Vous savez que non , idem pour la retraite ...

En fait ce sont les faits , autre exemple ...

Avant je travaillais moins  en assumant plus de charges en loyer par exemple tout en épargnant mieux puisque j 'en avais encore la possibilité en franc , étonnant mais vrai ...

 

Votre calcul est faux, dans certaine régions de France on trouve des pavillons avec jardin pour 200.000€ et même moins, je suis bien placé pour le savoir, par contre à Paris dans certains quartiers un beau studio de 30m² valent beaucoup  beaucoup plus, c'est une question d'offre et de demande limitée à certains endroits, pas un problème avec l'euro.

Avant l'euro, des villes comme Paris, Londres et autres régions par exemple du sud de la France,  étaient déjà classées très chères.

"... votre maison vaut un million deux cent milles francs "

A Bruxelles capitales de l'Europe à se prix là tu t'offres une très luxueuse villa ou hôtel de maître et à Bxl on a aussi l'euro !

 

Avant l'euro, Paris, Londres étaient déjà des villes chères au niveau loyey2

Modifié par Anatole1949
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Une perception biaisée ?

Pourtant, il existe une différence très nette entre les variations des prix à la consommation et la perception de celles-ci par Monsieur-tout-le-monde, probablement accentuée par le fait que les salaires ont quasiment progressé à un rythme inférieur à celui de l'inflation.

L'Insee avance deux explications.

"Cette divergence entre mesure et perception a longtemps perduré et ne s'est résorbée qu'au cours des années récentes. Plusieurs explications de cet écart persistant ont été avancées. Tout d'abord, l'indice des prix à la consommation se réfère à un panier de consommation moyen alors que les consommateurs retiennent probablement leur propre structure budgétaire. L'évolution des prix calculée avec des paniers différents de consommation (ceux d'un ouvrier ou employé urbain, par exemple) diffèrent cependant peu de l'inflation moyenne au cours des quinze dernières années. Ensuite, les ménages accorderaient plus d'importance aux prix en hausse qu'aux prix en baisse ou stables car ce sont les premiers qui peuvent constituer une menace pour l'équilibre de leur budget."

L'Insee avance une autre explication : le consommateur observe d'autant mieux les variations de prix que les produits sont achetés plus fréquemment. Ainsi, il est par exemple plus particulièrement sensible aux hausses du prix du pain qu'aux baisses des appareils électroménagers. Réalisée en 2002, une précédente étude de l'Insee a montré que l'effet d'arrondi lors du passage à l'euro a été nettement haussier pour les produits fréquemment achetés. Il a été de +0,3 point sur le pain et la pâtisserie, de +1,5 point pour la consommation dans les cafés, entre autres, mais légèrement baissier pour les gros appareils électroménagers.

"Enfin, la divergence accrue entre mesure et perception pourrait résulter de ce que les ménages ont gardé ancré dans leur mémoire le dernier prix connu en francs : ainsi pour la baguette, par exemple, ils auraient tendance à comparer son prix actuel (0,87 euro en moyenne) à son dernier prix de 2001, d'en moyenne un peu plus de 4,30 francs (0,66 euro). Par nature, cet écart s'amplifie au fil des ans à mesure que la date du passage à l'euro fiduciaire s'éloigne ; un tel ancrage dans le temps n'est susceptible de se produire qu'à l'occasion d'un changement de monnaie ", poursuit l'étude.

De fait, la hausse de 32% sur le prix de la baguette depuis le passage à l'euro pourrait sembler anormalement élevée. Mais elle correspond en fait à une hausse annuelle moyenne de seulement 1,9% par an. Une progression certes un peu plus rapide que l'inflation d'ensemble mais sans rupture brutale par rapport à la décennie précédant le passage à l'euro.

 

https://www.latribune.fr/economie/france/euro-et-inflation-mythes-et-realites-721957.html

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Membre, Posté(e)
lumic Membre 9 487 messages
Maitre des forums‚
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il y a 40 minutes, Anatole1949 a dit :

Votre calcul est faux, dans certaine régions de France on trouve des pavillons avec jardin pour 200.000€ et même moins, je suis bien placé pour le savoir, par contre à Paris dans certains quartiers un beau studio de 30m² valent beaucoup  beaucoup plus, c'est une question d'offre et de demande limitée à certains endroits, pas un problème avec l'euro.

Avant l'euro, des villes comme Paris, Londres et autres régions par exemple du sud de la France,  étaient déjà classées très chères.

"... votre maison vaut un million deux cent milles francs "

A Bruxelles capitales de l'Europe à se prix là tu t'offres une très luxueuse villa ou hôtel de maître et à Bxl on a aussi l'euro !

 

Avant l'euro, Paris, Londres étaient déjà des villes chères au niveau loyey2

Ben non , ce n 'est pas un calcul mais bien la réalité concrète , palpable , mesurable ...

L 'offre et la demande , la belle affaire .Je connais l 'histoire d 'un gars qui heureusement n 'a pas eu le prêt pour acquérir une maison car un an après à peine celle ci ( si il l 'avait acquise , il ne l 'aurait pas su ) , perdait cent milles euros .

Dans l 'histoire , la banque a sans doute été plus réaliste en n 'accordant pas ce prêt à un pigeon ...

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 566 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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Il y a 2 heures, lumic a dit :

Ben non , ce n 'est pas un calcul mais bien la réalité concrète , palpable , mesurable ...

L 'offre et la demande , la belle affaire .Je connais l 'histoire d 'un gars qui heureusement n 'a pas eu le prêt pour acquérir une maison car un an après à peine celle ci ( si il l 'avait acquise , il ne l 'aurait pas su ) , perdait cent milles euros .

Dans l 'histoire , la banque a sans doute été plus réaliste en n 'accordant pas ce prêt à un pigeon ...

Dans ce cas le passage à l'euro est aussi responsable d'installation au pouvoir de Hugo Chavez, de la guerre civile en Sierra Leone, du décès d'Hassan II du Maroc, de la fusillade de Columbine, la restitution du canal de Panama au Panama par les USA, d'un coup d'état au Pakistan, de la restitution de Macao à la Chine par le Portugal et de la démission de Boris Eltsine avec la prise du pouvoir par Poutine... lequel est sans doute responsable de l'introduction de l'euro, tout est lié: c'est une réalité concrète, palpable, mesurable...

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Ce contrat de gouvernement des populistes dévoilé par le HuffPost italien prévoyait la sortie de l'euro

 

Les deux formations, qui discutent encore de leur alliance, jurent que cette version est "dépassée" et sera "amplement modifiée".

doc+italie.jpg

NTERNATIONAL - Sortie de l'euro, renégociation des traités européens, annulation de 250 milliards d'euros de la dette italienne par la BCE... Voilà les propositions explosives pour l'Italie et l'Union européenne qui figurent, entres autres, dans une ébauche de "contrat de gouvernement" entre la Ligue (extrême droite) et le M5S (populiste) dévoilée par nos confrères du HuffPost italien. Un document qui sème un peu plus le trouble de l'autre côté des Alpes où la constitution (inédite) d'un gouvernement antisystème réunissant les extrêmes est toujours à l'ordre du jour après des législatives qui ont fait imploser le système politique italien.

 

Si les deux partis, qui discutent encore de leur contrat de gouvernement, ont confirmé l'authenticité du document, ceux-ci ont réagi immédiatement pour préciser que cette version datant de lundi matin était "dépassée" et a été "amplement modifiée" depuis. Des dénégations qui n'ont pas apaisé le torrent de réactions indignées qu'a provoqué la parution de ce texte.

 

La sortie de l'euro, plus à l'ordre du jour?

La plus emblématique des propositions formulées un temps par les deux mouvements demeure sans conteste l'hypothèse d'une sortie de l'euro. Parmi les nombreuses mesures évoquées dans ce document de 39 pages figurent l'introduction de mesures "techniques de nature économique et juridique qui permettent aux Etats membres de sortir de l'Union monétaire, et donc de retrouver leur souveraineté monétaire".

 

 

Contrat+italien+europe.jpg HuffPost Italia

 

Face au tollé suscité par la parution de ce document, le M5S et la Ligue ont dans un communiqué tenté d'apaiser les esprits en expliquant que la version sur laquelle il travaillaient à présent ne correspondait "pas à celle qui a été publiée". De nombreux contenus ont "radicalement changé" en particulier sur l'euro, les deux partis ayant "décidé de ne pas mettre en discussion la monnaie unique", ont-ils assuré.

 

Un autre passage évoque la possibilité de demander à la Banque centrale européenne (BCE), dirigée par l'Italien Mario Draghi, d'annuler quelque 250 milliards d'euros de dette italienne détenue sous forme de titres d'Etat par l'institution de Francfort. "Leur annulation rapportera environ 10 points de pourcentage" de dette publique, explique le texte qui prévoit aussi "une rediscussion des traités européens".

Les deux alliés potentiels n'ont pas précisé s'ils renonçaient à réclamer cette annulation de la dette italienne, proposition qui ouvrirait de fait une nouvelle crise au sein de l'Union européenne au moment où celle-ci peine à se réformer.

Plus original, le document prévoit de porter auprès de l'Union européenne le principe de la création d'un "revenu de citoyenneté" de base, cofinancé avec Bruxelles.

Chute boursière

Aussitôt publié, le texte a suscité une avalanche de commentaires dans la presse italienne, journalistes et experts critiquant en particulier sa "naïveté", beaucoup y voyant l'impréparation des deux partis en position de gouverner le pays. L'actuel ministre du développement économique Carlo Calenda a affirmé que ce texte constituait "la plus énorme accumulation d'absurdités économiques jamais écrites de mémoire d'homme".

Les marchés financiers n'ont pas apprécié non plus: la Bourse de Milan a ouvert mercredi sur un recul de 0,75%, pire performance des banques européennes, tandis que le spread - l'écart très observé en Italie entre les taux d'emprunt italien et allemand à dix ans - a ouvert à 137 points, contre 131 mardi soir.

Autre mesure préconisée: la création d'un "comité de conciliation", structure liée aux partis et parallèle au gouvernement, chargé de régler les éventuels désaccords entre les deux forces politiques. Au vu de la teneur des discussions compliquées entre les deux partenaires, ce comité pourrait se révéler très utile.

https://www.huffingtonpost.fr/2018/05/16/ce-contrat-de-gouvernement-des-populistes-devoile-par-le-huffpost-italien-prevoyait-la-sortie-de-leuro_a_23435800/

Il semble que le titre du topic n'était pas si mensonger que ça finalement.

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Crabe_fantome Membre 45 566 messages
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il y a 1 minute, fx. a dit :

 

Il semble que le titre du topic n'était pas si mensonger que ça finalement.

Un titre pas si mensonger que ça aurait été "des partis extrémistes ont envisagé sortir de l'euro contre l'avis du peuple italien" si j'en crois ton post. 

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à l’instant, Crabe_fantome a dit :

Un titre pas si mensonger que ça aurait été "des partis extrémistes ont envisagé sortir de l'euro contre l'avis du peuple italien" si j'en crois ton post. 

Mais si tu en crois un autre article que j'ai posté, ce qui nous changera que de croire en ta sainte parole, les choses ne sont peut être pas si enterrées que ça.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 566 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 1 minute, fx. a dit :

Mais si tu en crois un autre article que j'ai posté, ce qui nous changera que de croire en ta sainte parole, les choses ne sont peut être pas si enterrées que ça.

Ton post dit que ce projet a provoqué un tollé d'une part, et des excuses disant que ce n'est plus du tout d'actualité... alors je cherche les termes exact pour mettre en opposition avec ton "peut être pas si enterrées que ça"... ah oui voilà: De nombreux contenus ont "radicalement changé" en particulier sur l'euro, les deux partis ayant "décidé de ne pas mettre en discussion la monnaie unique", ont-ils assuré.

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à l’instant, Crabe_fantome a dit :

Ton post dit que ce projet a provoqué un tollé d'une part, et des excuses disant que ce n'est plus du tout d'actualité... alors je cherche les termes exact pour mettre en opposition avec ton "peut être pas si enterrées que ça"... ah oui voilà: De nombreux contenus ont "radicalement changé" en particulier sur l'euro, les deux partis ayant "décidé de ne pas mettre en discussion la monnaie unique", ont-ils assuré.

Rassure toi comme tu peux.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 566 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
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il y a 1 minute, fx. a dit :

Rassure toi comme tu peux.

C'est gentil, mais à aucun moment je me suis senti en danger. Je suis plutôt inquiet pour toi parce que tu n'arrives pas à faire basculer le monde réel tel qu'il est, dans le monde tel qu'il est dans ta tête. 

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Invité fx.
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il y a 14 minutes, Crabe_fantome a dit :

C'est gentil, mais à aucun moment je me suis senti en danger. Je suis plutôt inquiet pour toi parce que tu n'arrives pas à faire basculer le monde réel tel qu'il est, dans le monde tel qu'il est dans ta tête. 

Justement l'article du monde qui n'est pas que dans ma tête, résume un peu les potentialités, tu sais cet article que tu ne veux pas voir parce qu'il remet un peu trop en cause tes grandes certitudes:

Il y a 20 heures, fx. a dit :

En témoigne la proposition, dans le contrat de gouvernement, de créer des « mini-BOT », pour mini-bons ordinaires du Trésor. L’idée serait d’émettre des obligations à court terme pour régler les arriérés de l’Etat auprès des entreprises, estimés à 50 milliards d’euros. Si ces bons commençaient à circuler et à être utilisés pour, par exemple, payer les salaires des fonctionnaires, ils représenteraient une forme de monnaie parallèle. Certains y voient une étape intermédiaire préparant une sortie de l’euro…

Allez dutroll, chante.

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Invité Ink 82
Invités, Posté(e)
Invité Ink 82
Invité Ink 82 Invités 0 message
Posté(e)
Le 26/05/2018 à 11:42, stvi a dit :

des mensonges repris par l'insee :smile2:

l'important c'est que tu penses qu'un jour béni après une victoire des populistes ,on en viendra comme  l'Italie à devoir augmenter les  versements sociaux et baisser les impôts augmenter la dépense publique , ce qui  comme tous les économistes  sérieux le savent est le meilleur moyen d'augmenter une dette qui place ce pays immédiatement derrière la Grèce ....

mais c'est vrai ...Mélenchon l'a dit ,la dette ça n'existe pas ...l'Argentine s'en est rendu compte ....

Bonjour stiv, cette généralité un peu courte s'avère peu pertinente, puisque les effets d'une politique dépendent de multiples paramètres. Une politique keynésienne dans le contexte d'une population au taux d'équipement élevé avec un appareil productif atone, des importations très élevées etc. peut être un fiasco. Telle n'est pas la situation italienne, avec des consommateurs très friands du Made in Italia, une balance commerciale positive et un marché doté de nombreux secteurs porteurs : alimentation et boissons, tourisme, articles de luxe et mode, produits pharmaceutiques, équipement industriel, santé, textile, industrie de la chaussure, transport. Or, donner du pouvoir d'achat aux ménages dans ce contexte peut éviter le trop d'endettement qui gangrène la zone euro, comme expliqué plus haut, et permettre de soutenir la croissance organique d'entreprises nationales. Il se trouve qu'en plus les ménages italiens sont moins endettés que les français (85% contre 110%) et parmi les mieux lotis dans le domaine dans la zone euro, la palme revenant aux danois +250%.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 566 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, fx. a dit :

Justement l'article du monde qui n'est pas que dans ma tête, résume un peu les potentialités, tu sais cet article que tu ne veux pas voir parce qu'il remet un peu trop en cause tes grandes certitudes:

 

Je n'ai aucun problème avec cet article mais merci de me rappeler que tu aimerais bien foutre le système en l'air au cas où je l'aurais oublié. Tu sais pourquoi je n'ai aucun problème de remise en cause de mes grandes certitudes? Parce que je ne suis attaché à aucune politique, ni à aucune idéologie... Sachant que chacun attaque là où ça lui fait mal, j'en déduis que remettre tes grandes certitudes en cause t'est impossible. 

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