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En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

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à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Votre article pose une question sans y répondre , tout en faisant remarquer que des élus de gauche souhaitent au final non pas une police « de proximité «  mais une police type BAC . Bref pas plus que pour votre post je ne comprends où il veut en venir .

 

Pfffffffffffffff...

Il veut du flic là où il n ' y en a pas/plus.... C 'est plus clair?....

Bref, ne comprendrais tu que ce qui t 'intéresse? 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a une heure, Anne Atôle a dit :

 

Vous avez mal édité votre post . Mais quand vous me dites crois moi , je ne vous crois pas . On parle budget , je ne crois que les chiffres .

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il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

Vous avez mal édité votre post . Mais quand vous me dites crois moi , je ne vous crois pas . On parle budget , je ne crois que les chiffres .

je sais... et les chiffres, il y a longtemps que je n 'y crois plus....

surtout depuis que la police les bidouille...

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il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

Vous aurez compris que je comprends la colère des policiers . 

Ah bin quand même ! :D Sérieux, je me demandais....

 

il y a 2 minutes, DroitDeRéponse a dit :

C’est à vous que je pose la question ...

Moi je pense que c'est cette politique du chiffre qui a torpillé le plus cette profession (je parle du policier "de base", pas ceux des commandements). Parce qu'on leur a demandé d'être rentables, au détriment d'être efficaces. On leur a demandé progressivement de cesser de poursuivre "les gros" pour ne chopper que les "petits". L'avantage, d'un point de vue politique: des enquêtes plus rapides, moins coûteuses mais aussi une amélioration des chiffres de la délinquance (si on ne court plus après les gros dealers, on ne les attrape plus, et ils sortent de facto ainsi des écrans radars des statistiques). Vous rajoutez à cela toutes les affaires qui ont défrayé la chronique mettant en cause des policiers (à tort ou à raison, là n'est pas mon propos). Suite auxquelles les hiérarchies, dans un esprit de "principe de précaution", ont demandé à leurs effectifs de moins en moins s'engager dans des situations pouvant éventuellement tourner mal et mettre en cause la police (pareil, à tort ou à raison). Du coup, que se passe-t-il ? Ce genre de situations se multiplie puisque les fauteurs de trouble savent très bien qu'en face la police est "retenue" par sa hiérarchie. Autre conséquence, l'opinion publique se pose des questions (pourquoi les flics n'interviennent-ils pas, ou pas assez efficacement, ou trop tard).

Même s'il y a dans leurs rangs des brebis galeuses (ça personne ne peut le nier), la majorité des flics ont tout de même choisi cette profession dans le but de protéger la population. Faire respecter l'ordre et la loi, mais surtout protéger. Et aujourd'hui, beaucoup sont réduits à devoir renoncer sur ordre à traquer les gros délinquants, et aller faire chier le pauvre mec qu'ils verbaliseront pour un truc pas très grave. Ce n'est pas vraiment comme cela qu'ils voyaient leur boulot. Ils m'imaginaient pas sûrement pas non plus qu'aujourd'hui porter un uniforme pouvait éventuellement faire d'eux une cible potentielle. Ils n'imaginaient surtout pas je pense que leur uniforme, hier porté avec fierté car d'une certaine manière symbole du pays pour lequel ils s'étaient engagés serait aussi dénigré.

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HS?

 

Après avoir expérimenté l’administration centrale d’Athos et l‘hôpital public de Wanda, nous publions ce jour une nouvelle recrue La Culture du Droit qui nous raconte les violences morales au sein du Ministère de l’Intérieur et plus particulièrement de la Police nationale.

Police-150x150.jpg

Eh oui cher contribuable, certains fonctionnaires de police, y compris (et surtout) les plus gradés, réservent leurs agissements pour leurs collègues ou subalternes, dans une omerta absolue. On préfère laisser croire que les débordements ne sont réservés qu’aux usagers et bien non, la police aussi est en souffrance et en son sein comme ailleurs, on subit du harcèlement moral et de la souffrance au travail. Et comme ailleurs, on assiste impuissant à une tolérance absolue des débordements hiérarchiques.

Pourquoi c’est plus grave qu’ailleurs? Parce que pour beaucoup, être policier et défendre les valeurs républicaines, poursuivre la délinquance et faire respecter l’ordre public, c’est une vocation. Quand on assiste à la violation de ces principes par ceux-là mêmes qui sont censés les défendre, l’agression éthique devient insoutenable. Un peu comme les politiques qui détournent les pouvoirs issus du peuple à des fins privées….

Dans le langage managérial de la fonction publique, on appelle cela l’exercice anormal de l’autorité hiérarchique. C’est l’euphémisme. En réalité, c’est « au mieux » de la souffrance au travail, au pire du harcèlement moral.

Et c’est extrêmement destructeur.

Si nous choisissons de publier ce témoignage aujourd’hui, c’est parce qu’il n’est pas isolé. Il décrit avec souffrance des méthodes managériales édifiantes, le sort réservé aux lanceurs d’alerte dans un des secteurs phares de l’exercice des prérogatives de puissance publique, celui qui touche le plus au respect des libertés publiques et de la dignité humaine.

Se pose ainsi l’irrésistible question pour tout agent de police maltraité: faut-il se soumettre pour continuer d’exister ou faut-il dénoncer les agissements illégaux au préjudice de sa carrière ? La réponse est dans la question…Autant dire que les carottes sont cuites….

Une des spécificités de la Police nationale, lorsque des débordements managériaux sont constatés, est d’accorder au devoir d’obéissance une véritable obligation de soumission. Ainsi, quand certains s’insurgent contre l’exercice abusif de cette autorité hiérarchique, les agissements s’abattent comme autant de violences morales dégradantes qui rappellent que dans cette maison, quoi qu’il advienne, on ne conteste pas l’autorité, quelle qu’elle soit.

Le récit de cet anonyme correspond en tous points à celui de nombreux policiers victimes de maltraitance hiérarchique : les méthodes managériales qui se sont développées comme autant d’usages pour les faire taire sont malheureusement légion…Nous avons décidé, fruit de notre travail d’observation clinique des victimes de ces abus, d’en dresser une petite liste non exhaustive, l’imagination managériale en ce domaine étant assez illimitée…

Ainsi, un policier en arrêt maladie pour syndrome dépressif réactionnel à ses conditions de travail sera présumé en arrêt de complaisance et subira régulièrement la visite à domicile de sa hiérarchie « juste pour vérifier » ou des visites de contrôle intempestives et répétées « juste pour être sûr ». Il ne faudrait pas préjudicier le système de santé ou gâcher l’argent du contribuable, quand on est policier on doit assumer son service, même sous les hurlements de son chef ou lorsque les moyens de travailler dignement font défaut. Non seulement on n’a pas le droit de craquer mais on vous culpabilise à l’extrême de le faire. On n’aime pas les gens qui craquent, dans la police. On aime bien tester leurs limites.

La dénonciation du comportement d’un supérieur hiérarchique entraînera une plainte en dénonciation calomnieuse auprès du Procureur qui n’est autre que le chef de la Police, hiérarchie suprême, celui qui décide de poursuivre ou non en présence d’une infraction; Il délèguera l’enquête à l’IGPN, police des polices (les « boeufs-carottes »), dont la double fonction, judiciaire et administrative (comprendre pénale et disciplinaire) enquêtera souvent à charge, sur instruction de cette même hiérarchie, afin de constituer un dossier contre l’agent maudit à qui soudain tous les maux sont reprochés. De victime l’agent devient bourreau et se découvre un passé édifiant monté de toutes pièces. Le moindre éternuement devient une faute présumée, une violation de la déontologie. Ainsi, à compter de son signalement, l’agent sera souvent poursuivi à la fois sur le plan pénal et disciplinaire. Et sa plainte? Pas le temps de l’instruire, oubliée, dans un tiroir… en même temps, il a mérité ce qui lui arrive, pourquoi avoir dénoncé son supérieur hiérarchique? Quelle idée…

Sans compter la violation des règles de procédure et l’usage abusif de pouvoirs d’enquête exorbitants. Non cher contribuable, le policier victime de harcèlement moral qui a osé dénoncer le comportement hiérarchique n’est pas un citoyen comme les autres, c’est un vrai privilégié. Il a droit à tous les services cumulés tirés des lois statutaires et du code de procédure pénale. La police des polices dispose d’une prérogative unique, pour les fonctionnaires de police, c’est-à-dire qu’elle peut enquêter à la fois sur toutes les infractions commises par les officiers de police (pénal) et sur leurs fautes en qualité d’agents publics (disciplinaire). Et c’est ainsi que l’on découvre que l’IGPN se sert de ses prérogatives pénales pour enquêter sur le plan disciplinaire, or les pouvoirs d’enquête ne sont pas les mêmes, ni les droits de la défense.

Tiens par exemple, dans une enquête administrative, on n’a pas le droit de mettre sur écoute, de procéder à des filatures, d’enquêter sur le passé personnel de l’agent…et puis dans l’enquête administrative c’est à peine si on autorise la présence de l’avocat durant les auditions, le contradictoire…parce qu’on n’aime pas trop que les affaires internes soient exposées à l’extérieur, on aime bien laver son linge sale en famille. Lu dans une procédure: « nous recommandons le frein à l’avancement de cet agent qui a pris un avocat pour assurer sa défense« . Intéressant…

L’IGPN, quand il enquête à charge contre la victime dénonçant sa hiérarchie, a le droit d’avoir le rapport du procureur et le contenu de l’enquête préliminaire mais il ne le communique pas à l’agent. Pas de…quoi? contradictoire?…

D’ailleurs le guide de l’enquête pré-disciplinaire de l’IGPN le précise bien, qu’il ne faut pas mélanger les genres et bien distinguer les prérogatives pénale et administrative…mais comme dirait l’un de mes clients….ils boivent tous à la même machine à café, c’est le même service, le même bâtiment, parfois le même étage…

Vous menacez un commissaire de dénoncer le harcèlement sexuel ou moral, voire les deux, qu’il vous fait subir? Il va détruire votre dossier où que vous alliez car on ne conteste pas l’autorité. Et se crée alors un dossier parallèle à votre dossier officiel, vous êtes black-listé. Un jour l’agent décide de le consulter ce dossier officiel et il y découvre des rapports à charge dont il n’avait jamais été informé, ou des modifications d’évaluation, comme ça, sans prévenir….

Vous osez court-circuiter votre supérieur hiérarchique, qui vous harcèle, pour le dénoncer à la hiérarchie supérieure? On vous condamne pour manquement à l’obligation de loyauté et de respect de la chaîne hiérarchique, vous obligeant à des réunions à huis-clos avec celui-là même qui vous harcèle. Parce qu’on doit respecter la chaîne hiérarchique. Très important la chaîne…celle qui vous enferre dans un silence terrorisant.

Alors bien sûr, la police des polices agit sur instruction. Quand un policier commet une infraction grave, il doit être puni, comme tout délinquant. Et la double casquette pénal/administratif peut se comprendre, lorsque les missions relèvent d’une prérogative de puissance publique. Mais lorsque la hiérarchie est mise en cause pour des défaillances managériales graves, est-on encore dans des prérogatives exorbitantes? Pourquoi ne punit-on pas l’exercice anormal de l’autorité hiérarchique et pourquoi, au contraire, s’acharne-t-on sur le malheureux qui l’aura dénoncé?

Il est des usages d’un autre temps qu’il convient de dénoncer et vite. Avant que ce témoignage ci-dessous livré, malheureusement récurrent, ne vienne désabuser les vocations et tous ceux qui font la fierté de la Police nationale. Avant plus grave, que certains, écœurés, ne retournent leur arme contre eux-mêmes.
 

DEBA R RAS(S)E…. d’un petit flic.

– « Pour quelles raisons étiez vous mal rasé le 01/10/2015 ? »

Cette ultime question résume à elle seule l’acharnement de ma hiérarchie. En effet, elle s’entête depuis de longs mois à faire de moi le dangereux policier, le fonctionnaire négligent, l’élément contestataire, le voyou, le délinquant.

Le 09/10/2015, mon chef de service m’a demandé de rendre mon arme et m’a interdit l’accès aux ordinateurs du service devant mes collègues. Je suis gardien de la Paix depuis 25 ans, j’ai parcouru de nombreux services et comme toujours j’ai toujours exécuté les ordres.
Chacun pensera aussitôt : il est dangereux ce Lucky Luke du commissariat, il a fait une connerie avec son arme, il a menacé quelqu’un, il est malade, fragile, il déprime, son environnement familial est fragilisé, etc .…

Ce 09/10/2015, j’ai commis un « crime » de lèse majesté : j’ai demandé à entrer avec mon supérieur hiérarchique direct dans un bureau pour une soudaine « réunion » orchestrée par mon Chef de service, afin qu’il soit témoin des propos tenus à mon encontre. Mon Chef de service exigeait que je sois seul avec sa garde rapprochée présente pour cette « réunion ».
Pourquoi MOI ?
Gardien de la Paix, sans aucune décision à prendre, personne à diriger, comme mission ordinaire : écouter, obéir et se taire.

J’imagine que cette « réunion » s’inscrivait encore une fois, dans cette volonté délibérée depuis plusieurs mois de tenter par tous les moyens de me sanctionner pour enfin me discréditer et mieux m’humilier.
Pourquoi refuser la présence d’un témoin ?

Voici en quelques mois, succinctement, les mesures prises par ma hiérarchie à mon encontre.

Ma demande d’aménagement du temps de travail après la naissance de mon fils m’a été refusée, sans motif.
Je suis convoqué et humilié verbalement par mon Commandant car j’ai simplement demandé une attestation indiquant que je ne touchais pas de supplément familial.
Blessé en service, je suis contrôlé à domicile par le Commissaire en personne accompagné de la Capitaine du service en tenue. Hors département, hors circonscription.
A la demande de ma hiérarchie, j’ai assuré la fonction de Chef de Poste sans arme durant plusieurs semaines en période estivale et en plan vigipirate Alerte Attentat.
Quand monsieur le Commissaire n’a pas reçu son quotidien « Sud-Ouest », j’ai du m’expliquer par écrit.
J’ai été muté, changé de brigade sans motif, sans en avoir émis le vœu.
Ma hiérarchie a échafaudé une procédure d’absence illégale pour tenter de me sanctionner.
Quelques jours plus tard, j’ai signé ma notation administrative et une appréciation désastreuse qui comportait de nombreuses incohérences.
M. le Commissaire a décidé et m’a informé par téléphone de l’annulation de mon rendez vous pris avec la psychologue administrative. Lors de l’audition administrative, il n’a pas daigné saluer mon conseil, ni moi-même.
Une audition de trois heures pour soi disant 24 heures d’absence irrégulière s’est déroulée dans un climat malsain qui a choqué mon conseil.

Ce 09 octobre 2015 fut mon dernier jour en tant que policier.

Cet acharnement et cette dernière décision me privent de toute possibilité d’accomplir mes missions. Privé d’arme, privé d’ordinateur, sans outil de travail, humilié devant mes collègues, je ne suis plus rien professionnellement.

Après 25 ans de bons et loyaux services, mes sacrifices personnels, familiaux pour servir cette grande institution, je suis affligé par cette stratégie qui consiste à trouver le moindre petit élément pour me sanctionner enfin.
Voilà, 15 mois que je suis en arrêt de travail, j’ai alerté tous les acteurs de mon administration concernant les mesures dont j’étais l’objet: l’IGPN, le médiateur de la Police Nationale, le Député de ma circonscription, la DDSP, l’assistante sociale, la psychologue, le SGAMI et ses autorités, le médecin Inspecteur Régional, le Syndicat et toujours rien ….

De son côté, totalement libre de ses actions, mon Chef de service a tenté par tous les moyens dont il dispose, grâce aux prérogatives qu’il s’attribue parfois, de justifier SES décisions. Même malade à la maison, le Chef de service continue de tout écraser sur son passage.

Je suis contrôlé systématiquement lors de chaque prolongation d’arrêt de travail, toujours chez le médecin conventionné le plus éloigné de mon domicile. Monsieur le Commissaire a déposé plainte contre moi, auprès de Monsieur le Procureur de la République pour propos mensongers et calomnieux sur sa personne. Il a écrit en tant que Chef de Service sans couvert hiérarchique.
Convoqué, j’ai justifié chacun de mes propos durant six heures d’audition à la Gendarmerie de mon domicile.
Encore une fois convoqué malgré mon arrêt maladie, une nouvelle enquête administrative interne a été mise en œuvre, six jours avant Noël 2016. Pour montrer ma bonne volonté et ma bonne foi, j’ai répondu durant 02h30. J’ai découvert qu’il sollicitait directement le médecin pour me contraindre à une audition administrative.
M. le Commissaire s’est servi d’un courrier administratif d’un collègue dénonçant une attitude de ma part qui dénigrerait l’institution envers les usagers du service public. Ce courrier ne précisait ni date des faits, ni le nom d’un plaignant éventuel, ni même le nom d’un usager pour des faits remontant 10 mois en arrière….
Même cette technique qui consiste à opposer les personnels entre eux est fréquemment utilisée. Tout est réalisé pour m’éloigner un peu plus de mon lieu de travail et me faire perdre confiance en mes collègues.

Cette question résonne encore en moi, après deux heures trente d’interrogatoire :
-« Pourquoi étiez-vous mal rasé le 01/10/2015 ? »
Réponse urgente à ces enquêteurs à la poursuite d’un criminel :
-« Je ne comprends pas le fondement de cette question, le 01/10/2015 je me trouvais en repos. »

J’oublie juste un petit détail, cette année 2015 fut celle de ma première prime au mérite. … !!!

L’objectif est atteint : détruire un homme qui tente de rester digne.
Heureusement, il me reste le soutien de mes proches et de mes amis.
On finit toujours par les interrogations. Des questions sans réponse reviennent tous les jours, toutes les nuits lorsque vous regardez en arrière.

Comment peut-on en arriver là ? Suis-je responsable ?
Comment puis-je attirer une telle haine de ma hiérarchie en quelques semaines ?
– faire un exemple pour neutraliser toute velléité du groupe de remettre en cause l’autorité hiérarchique.
– réaliser une procédure disciplinaire qui manque peut-être dans les statistiques d’un Chef de service,
– Puis-je avoir encore confiance en mes collègues ?
– Comment un minuscule gardien de la Paix peut-il faire de l’ombre à un petit commissaire, pour justifier un dépôt de plainte ?
– Suis-je tout simplement victime d’un jeune supérieur, avide de promotion, pressé de tout écraser ?
– A-t-il un égo surdimensionné, un vide personnel et familial qui modifie le comportement et encourage l’impulsivité, l’absence de discernement et la perte de sang froid qui conduisent à cette fuite en avant pour tenter de justifier des décisions incohérentes et graves…
– Peut-être suis-je victime d’un manipulateur heureux de détruire la dignité d’un anonyme.
-Ai-je eu raison de dénoncer ces méthodes managériales?

Aussitôt, les réponses les plus lâches fusent dans mon esprit.
Je dois regarder la réalité en face :
-« Je suis bien fragile tout seul, l’Administration me brisera. »

J’aurais peut être du faire le dos rond et accepter ces brimades, cet acharnement, ces humiliations pour protéger ma famille et continuer à la nourrir.
J’aurais du attendre que la tempête passe.
Ce Chef aurait finalement trouvé une autre victime que j’aurais regardé sombrer, comme les autres sans rien dire…. J’aurais été DEBARRASSE….

La Psychologue administrative et le médecin conventionné m’ont clairement conseillé de démissionner pour stopper ma souffrance… quelle honte !!!!

Les questionnements conduisent à la paranoïa.
Quel nouvel élément sera trouvé pour me mettre en défaut ?

La justice doit passer et m’aider à me reconstruire. L’Administration ne doit pas laisser le comportement dangereux de certains anéantir les petits et faire des dégâts irréparables dans une société fragilisée où les plus faibles sont de plus en plus démunis.

Le courage, c’est de s’accrocher à ses valeurs et de défendre ses convictions. Chacun doit se protéger moralement de cette violence que le monde du travail cautionne souvent au nom de la performance et de la productivité. Dans l’Institution Police ces objectifs sont dangereux, car certains seront tentés de créer des délits et imaginer des infractions. Toutes les dérives sont possibles…pour la prime ou la promotion. J’ai honte que la Police manifeste à visage couvert non pas pour se protéger des voyous mais bien des représailles de la hiérarchie. Ce simple fait traduit une situation interne glauque.
Je crois que je ne suis pas seul…..

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a une heure, Tala* a dit :

Ce que la réforme des cycles horaires dit de l’état de notre institution policière

Il y a maintenant plus de trois ans de cela, le syndicat UNITE SGP POLICE FO formulait un triple constat concernant les unités dites « de service général », c’est-à-dire celles qui assurent le service public police en général et les interventions police-secours en particulier, de façon continue jour et nuit.

En premier lieu, l’organisation syndicale notait que les policiers affectés au sein de ces unités sont ceux qui effectuent le travail le plus difficile, les horaires les plus pénibles et qui disposent de la moindre considération de la part de la haute hiérarchie policière. Dans un second temps, ces unités de service général sont aujourd’hui désertées par des fonctionnaires qui aspirent à pouvoir garder un équilibre entre vie familiale et vie professionnelle. En troisième lieu, alors que notre police doit assurer un service public police vingt-quatre heures sur vingt-quatre, dimanches et jours fériés compris, pas nombreux sont ceux qui acceptent de travailler sur un rythme qui ne permet de disposer que d’un week-end sur six de repos.

Sur la base de ce constat, des militants se mettaient au travail et proposaient une réforme complète des cycles horaires, en mettant sur pied, notamment, un nouveau cycle de travail dit « à vacation forte », de nature à améliorer la socialisation du policier, et permettant, par voie de conséquence, de recréer une attractivité vers les unités évoluant sur ce régime de travail.

Las, c’était sans compter sur l’inertie dont est capable notre administration, pour s’opposer à une évolution sociale que la très grande majorité des policiers concernés appelle pourtant de ses vœux. Il aura fallu se battre pied-à-pied, au plus haut niveau du ministère de l’Intérieur, pour que le ministre – Bernard Cazeneuve à l’époque – finisse par exiger de son administration l’expérimentation de ce nouveau cycle de travail. Partout où il a été expérimenté, celui-ci a été très largement plébiscité par les policiers de terrain.

Aujourd’hui encore, dans de nombreux départements comme sur le Loiret, l’Hérault, la Haute-Vienne… l’administration police, avec l’aide des préfets, met tout en œuvre pour créer artificiellement les conditions de l’échec de cette réforme.

Alors pourquoi diable une position aussi intransigeante de notre administration ? Et surtout, que dit cet acharnement de l’état de notre institution policière ?

La réponse à la première question est assez simple. Depuis une vingtaine d’année maintenant, la hiérarchie policière n’a cessé de dénigrer le travail des unités de service général, leur préférant de plus petits groupes, libres de leurs mouvements et dédiés à alimenter « les mensonges » – non pardon les statistiques –  de la délinquance. Il faut bien comprendre que pendant qu’un équipage de trois policiers effectue ses missions de police-secours, en répondant aux attentes de nos concitoyens, il n’est pas disponible pour verbaliser des infractions au code de la route ou pour réaliser des interpellations plus ou moins productives en matière de lutte contre l’insécurité, mais très « bancable » en matière de statistiques des faits élucidés.

Ainsi, pendant que les Groupes de Sécurité et de Proximité (GSP), les Groupes d’Appui Judiciaire (GAJ), les Brigades Anti-Criminalité de jour (BAC), les Unités Territoriales de Quartier (UTeQ) ou encore les Brigades de Surveillances de Terrain étaient créées ou renforcées, les brigades de roulement voyaient leurs effectifs fondre comme neige au soleil et leur hiérarchie détourner leur intérêt de celles et ceux qu’ils considèrent finalement comme la cinquième roue du carrosse.

Outre l’hyperspécialisation des groupes, qui permet d’alimenter les impostures – je voulais dire les statistiques – précitées, ce morcellement de la police en une myriade d’équipes a un autre avantage non moins primordial. Il relève en effet d’un principe politique vieux comme le monde : diviser pour mieux régner. Là où d’importantes unités étaient difficiles à manœuvrer, car faisant preuve d’une grande cohésion, des petits groupes sont bien plus malléables pour qui sait manier un tant soit peu la bonne vieille technique de la carotte et du bâton.

La réponse à la question de savoir ce que dit de notre institution ce refus de la réforme des cycles de travail découle en partie des éléments précités, mais pas uniquement.

Cette incapacité à se réformer met au jour, tout d’abord, une institution devenue totalement dépendante à la politique du chiffre. L’accoutumance aux statistiques, érigées en dogme, est chronique. Pas un service n’échappe aux tableaux de bord, aux états journaliers, hebdomadaires, mensuels, annuels, aux objectifs chiffrés, toujours plus importants au fur-et-à-mesure que le temps passe. Là où les chiffres ne devraient représenter qu’un outil de pilotage des services, à condition d’être fiabilisés, ils sont, depuis longtemps déjà, devenus un objectif en soi. Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse !

Cette infirmité réformatrice, sur fond de mise en statistiques de la vie policière, met également en exergue l’indifférence totale de la haute hiérarchie policière pour ce qui subsiste du – pardon du gros mot – « service public police ». Que nos concitoyens attendent qu’un véhicule puisse intervenir rapidement en cas d’appel à police-secours, la plupart des commissaires et officiers s’en moquent comme de leur première feuille de chêne. Ce n’est pas ce qu’on leur demande. Le bonheur est dans la prime de performances. Ils se révèlent d’ailleurs incapables, dans leurs multiples outils de surveillance, de répondre à une question pourtant très simple : combien d’appels police-secours nécessitant réellement une intervention ne peuvent être réalisés faute d’équipage disponible ?

L’inertie administrative, mise au service de cet immobilisme, dit également une autre chose importante : la gestion court-termiste de notre institution, sur fond de pressions politiques du même type. Un commissaire, comme un élu ou un ministre d’ailleurs, ne reste pas en place bien longtemps, cinq à six ans tout au plus. Inutile donc d’aller déranger ces augustes personnages avec un projet de réforme qui ne produira des effets qu’à l’échéance de dix ou quinze ans. Les commissaires se contentent de « gérer au mieux » les bons moments et les mauvaises années, pendant que les politiques exigent des réformes produisant des effets rapides, dont ils pourront tirer les fruits en matière électoraliste. Entre les deux, les préfets sont là pour mettre de l’huile dans les rouages, afin d’assurer une navigation sur des océans les plus calmes possibles. Et puis, dans un système considéré comme infaillible, toute défaillance ne peut être que d’origine humaine. Dans ce cas, ces petits et grands commis de l’État accepteront, en général sans sourciller, une humiliation publique, confirmée en CAP ou en conseil des ministres, pour rebondir quelques mois ou quelques années plus tard.

Pourtant, notre institution police demande, depuis des années déjà, une transformation d’une telle profondeur et d’une telle ampleur, que les effets qu’elle pourrait produire ne peuvent aujourd’hui être espérés qu’à une échéance d’une dizaine d’années. Et plus on attend, plus on prend de retard et plus les réformes mettront du temps à s’installer, pour engendrer une amélioration notable et acceptée.

Par ailleurs, l’immobilisme ambiant dit également la façon dont la sécurité publique, la plus grande direction de la police nationale, s’est diversifiée ces dernières années. En cherchant à avaler un maximum de compétences, cette direction a perdu de vue sa vocation première de généraliste. Voie publique, investigation, ordre public, renseignement… A elle seule, la sécurité publique prétend aujourd’hui tout savoir-faire, au risque, à vouloir être bon à tout, d’être considéré comme bon à rien. A force d’enfler, le mastodonte est devenu ingouvernable et irréformable.

Outre la réforme des cycles de travail, celle de « la police de sécurité du quotidien », annoncée par le Chef de l’Etat lui-même, est un bon exemple de l’état de la situation. Depuis des semaines, les directeurs départementaux de la sécurité publique et leur staff sont paralysés à l’idée de devoir appliquer cette « nouvelle » réforme, pourtant indispensable au rapprochement police/population, que tout le monde appelle de ses vœux ou presque. Tellement habitués à devoir fonctionner à moyens constants – notamment du temps des vaches maigres en matière d’effectifs – ils ne savent comment répondre à l’injonction paradoxale qui consiste à maintenir « les bons chiffres » tout en permettant aux policiers de cesser de courir d’une urgence sur l’autre pour remettre pied à terre au service de nos concitoyens.

Dans ce contexte, il faudra bien dégager des priorités, afin de mener à bien une réforme globale, qui permettra de redonner, aux nombreux policiers qui l’ont perdu, du sens à leurs missions quotidiennes.

La première de ces priorités est bien entendu liée à la politique du chiffre. Son abandon est la condition sine-qua-non pour parvenir à tous les autres objectifs. Une fois abandonnée ou plutôt remise en perspective de ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être, l’institution pourra se concentrer sur l’essentiel :

  • Renforcer un service public police-secours rendu attractif pour les policiers et disponible pour nos concitoyens.
  • Recréer une police du quotidien qui, par son caractère proactif, permet de recueillir du renseignement et de décharger les services d’investigation d’une masse de contentieux qui pollue son action au quotidien.
  • Renforcer et réformer l’investigation, afin de rendre aux enquêteurs leur motivation et de recréer de l’attractivité.
  • Réformer le domaine de l’ordre public et celui du renseignement pour décharger la sécurité publique de missions qui relèvent de directions spécialisées.

Enfin, est-il besoin de rappeler que, pour être menée à bien, une telle réforme nécessitera des moyens importants, un volontarisme à toute épreuve et une prise en compte des légitimes aspirations des policiers de terrain ?

Source: https://blogs.mediapart.fr/lievin-stephane/blog/050518/ce-que-la-reforme-des-cycles-horaires-dit-de-l-etat-de-notre-institution-policiere

 

Je suis incapable d’analyser ce document si ce n’est que l’administration c’est caca , ce qui fédérera à peu près tout le monde . En effet faute dû thèse antithèse synthèse , comment en tirer quoique ce soit . Si il y a frein voir opposition en général c’est qu’il y a un inconvénient. Lequel ? Que concluez vous ?

 

Les cycles horaires :

http://www.unitesgppolice.com/sites/default/files/pdf/2014-05_CYCLES_0.pdf

 

il y a 17 minutes, Anne Atôle a dit :

je sais... et les chiffres, il y a longtemps que je n 'y crois plus....

Quand on réclame un investissement il doit être chiffré . Sinon inutile de demander . Pas de budget pas de chocolat 

 

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il y a 37 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Le concours photo je l’avais vu mais encore une fois ça ne quantifie rien . Je pourrais moi aussi plusieurs fois l’an montrer les pissotieres de ma boite déborder suite à des problèmes d’evacuaction ou des dalles qui se barrent etc . Il faut chiffrer et voir ce qu’il est possible de faire avec le budget dispo ou alors en diminuant un autre budget ou en augmentant les prélèvements. Il ne faut pas baisser les bras , je viens de passer devant le nouveau palais de justice de Paris . Mais pour arbitrer il faut nécessairement voir global , allouer et ensuite pour chaque corps gérer les priorités ( et là le local prime ) avec le budget dont on dispose . 

Ce concours, comme cela est dit par les organisateurs, avait été lancé au départ avec une intention humoristique. Mais je pense que beaucoup de policiers y ont vu (et on saisit), une excellent occasion pour contourner leur droit de réserve et dénoncer publiquement toutes ces vétustés (locaux, matériels, etc.)
Chiffrer ? Je ne sais pas si des devis ont été demandés pour toutes ces réparations, mais forcément ces états des lieux et matériels sont constatés par la hiérarchie. C'est donc forcément connu en interne. Après se pose le problème de compiler toutes ces données pour voir où est l'urgence effective et faire en fonction des moyens disponibles comme vous le dites.
Je sais très bien que tout ceci est du à des années, voire des décennies de négligence ou de décisions plus ou moins critiquables. Mais les constats sont là... augmenter les effectifs sans leur donner les conditions "les meilleures possibles en l'état actuel des budgets" pour remplir le plus efficacement possible leur mission.

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il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

 

Quand on réclame un investissement il doit être chiffré . Sinon inutile de demander . Pas de budget pas de chocolat 

 

Qui réclame quoi?... 

Prends le temps de lire... et de la réflexion..

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« Le dialogue, relations des personnes, a été remplacé par la propagande ou la polémique, qui sont deux sortes de monologue. » Albert CAMUS

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Ah bin quand même ! :D Sérieux, je me demandais....

Vous êtes là depuis peu , sur les topic concernant la police j’ai plutôt le rôle du facho

 

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Moi je pense que c'est cette politique du chiffre qui a torpillé le plus cette profession (je parle du policier "de base", pas ceux des commandements). Parce qu'on leur a demandé d'être rentables, au détriment d'être efficaces.

Pour savoir si l’on est efficace il faut pouvoir le mesurer . 

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

 

On leur a demandé progressivement de cesser de poursuivre "les gros" pour ne chopper que les "petits".

Sur quoi vous basez vous , c’est quoi les gros , les petits ?

Avez vous des chiffres ?

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

'avantage, d'un point de vue politique: des enquêtes plus rapides, moins coûteuses mais aussi une amélioration des chiffres de la délinquance (si on ne court plus après les gros dealers, on ne les attrape plus, et ils sortent de facto ainsi des écrans radars des statistiques).

Les grosses prises se sont pourtant multipliées, et les petits dealers pourrissent bien plus sûrement la vie d’un quartier .

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Vous rajoutez à cela toutes les affaires qui ont défrayé la chronique mettant en cause des policiers (à tort ou à raison, là n'est pas mon propos). Suite auxquelles les hiérarchies, dans un esprit de "principe de précaution", ont demandé à leurs effectifs de moins en moins s'engager dans des situations pouvant éventuellement tourner mal et mettre en cause la police (pareil, à tort ou à raison).

CRS SS . L’autorité n’est plus une valeur sure . Il faut dialoguer .

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Du coup, que se passe-t-il ? Ce genre de situations se multiplie puisque les fauteurs de trouble savent très bien qu'en face la police est "retenue" par sa hiérarchie.

La hiérarchie le fait pour se faire plaisir vous pensez ?

Allons allons nous ne parlons que de polissons , sauvageons , travailleurs défendant leurs acquis sociaux , gentils garçons porteurs d’un projet alternatif illégal ...

Que l’un d’eux meurt et vous serez traité d’assassin , vous radicaliserez un Poussier etc 

La delegitimisation du pouvoir entraîne nécessairement celle de la police . Or la complexification vers une démocratie de la société civile et non plus verticale , dilue nécessairement le pouvoir et le sacré . 

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Autre conséquence, l'opinion publique se pose des questions (pourquoi les flics n'interviennent-ils pas, ou pas assez efficacement, ou trop tard).

Non pas l’opinion publique . Vous généralisez abusivement. Ce n’est pas parce que Wauquiez criera au laxisme ou tel syndicaliste à la volonté de casser le mouvement de progrès que l’opinion publique se posera cette question . Selon son penchant politique tel ou tel groupe posera une question .

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Même s'il y a dans leurs rangs des brebis galeuses (ça personne ne peut le nier), la majorité des flics ont tout de même choisi cette profession dans le but de protéger la population. Faire respecter l'ordre et la loi, mais surtout protéger. Et aujourd'hui, beaucoup sont réduits à devoir renoncer sur ordre à traquer les gros délinquants, et aller faire chier le pauvre mec qu'ils verbaliseront pour un truc pas très grave. Ce n'est pas vraiment comme cela qu'ils voyaient leur boulot.

Comme si le flic verbalisant était un truc nouveau !

Serieux ?

Avant il faisait aussi la circulation, le métier se perd 

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Ils m'imaginaient pas sûrement pas non plus qu'aujourd'hui porter un uniforme pouvait éventuellement faire d'eux une cible potentielle.

Ah bon ?

Je vous invite une fois encore à consulter les chiffres . Le policier mort c’est pas nouveau 

il y a 15 minutes, Tala* a dit :

Ils n'imaginaient surtout pas je pense que leur uniforme, hier porté avec fierté car d'une certaine manière symbole du pays pour lequel ils s'étaient engagés serait aussi dénigré.

CRS SS ce n’est pas plus nouveau que personne n’aime la police . 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 52 minutes, Tala* a dit :

Ce concours, comme cela est dit par les organisateurs, avait été lancé au départ avec une intention humoristique.

D’où de nombreuses photos comme des pissotieres pleines ou des lieux d’aisance tristes . J’aurais pu prendre les mêmes .

Citation

Mais je pense que

C’est à partir de là que je ne sais plus conclure 

Citation

eaucoup de policiers y ont vu (et on saisit), une excellent occasion pour contourner leur droit de réserve et dénoncer publiquement toutes ces vétustés (locaux, matériels, etc.)

Certainement , et puisque l’etat Doit gérer un budget et des priorités , c’est un excellent moyen de faire valoir ses intérêts  . C’est parfaitement légitime 

Citation


Chiffrer ? Je ne sais pas si des devis ont été demandés pour toutes ces réparations, mais forcément ces états des lieux et matériels sont constatés par la hiérarchie. C'est donc forcément connu en interne. Après se pose le problème de compiler toutes ces données pour voir où est l'urgence effective et faire en fonction des moyens disponibles comme vous le dites.
Je sais très bien que tout ceci est du à des années, voire des décennies de négligence ou de décisions plus ou moins critiquables. Mais les constats sont là... augmenter les effectifs sans leur donner les conditions "les meilleures possibles en l'état actuel des budgets" pour remplir le plus efficacement possible leur mission.

L’ideal Est d’avoir le beurre et la crémière . L’ideal n’existe pas . L’ideal Serait aussi d’avoir une justice avec le budget le plus indigent d’Europe voir son budget augmenter  , tout en remplaçant tous les hôpitaux vétustes et en créant une nouvelle branche autonomie mais bien’evidemmEnt idéalement en gardant la retraite à 60 , je continue ?

Le tout évidemment sans augmenter csg et impôts 

Donc le budget de la France c’est super c’est seulement 2.7% de déficit public cette année donc en 10 ans on ne creuse le déficit que de 27% , de quoi construire des locaux flambants neufs . 

Cependant au final les effectifs augmentent. C’est donc indéniablement une amélioration non ?

 

il y a 34 minutes, Anne Atôle a dit :

« Le dialogue, relations des personnes, a été remplacé par la propagande ou la polémique, qui sont deux sortes de monologue. » Albert CAMUS

Voilà qui donnera des moyens à la police .

N’oublions pas « quand le sage montre la lune ... «  et « après la pluie le beau temps «  .

Il n’y a pas mà de polémique . Pour appréhender un sujet une vue globale est nécessaire et pour parler budget il faut des chiffres .

Les chiffres nous apprennent que les effectifs ont baissé, la population augmentée, alors que la menace terro dure . On constate de fait une augmentation du stock d’heure sup . Partant de là on peut se féliciter de voir les effectifs augmenter . Analyser sans chiffre c’est comme pisser dans un violon en ce qui me concerne , une porte ouverte sur rien d’agissant . 

 

@cubes2un feed-back sur les cycles horaires ?

 

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
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Il y a 3 heures, Tala* a dit :

En résumé, ils expliquent que depuis la mort des deux jeunes à moto à l'origine des émeutes à Villiers-le-Bel, et celle de ceux qui sont décédés dans un transformateur à Clichy, les policiers reçoivent souvent l'ordre de ne pas poursuivre les délinquants (avérés ou potentiels) en voiture ou à scooter - par exemple - et que par ailleurs, quand il y a des incendies volontaires dans les cités (comme récemment quand un bus de la RATP avait cramé), ils ont l'ordre de ne pas intervenir.

la délinquance dans les cités contrairement à ce qu'on entend ici et là n'est pas pire qu'ailleurs  Délinquance. Avec 6  605 infractions pour 100 000 habitants, la France se situe dans la moyenne européenne en termes de délinquance.

le taux de criminalité est lui aussi dans la bonne moyenne ...alors on a du mal à comprendre pourquoi on dépenserait plus d'argent dans ce domaine alors qu'on en manque pour la redistribution ...on achète la paix sociale dans ces quartiers plus surement avec du biberonnage qu'avec des policiers ....

 

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a une heure, Anne Atôle a dit :

Pfffffffffffffff...

Il veut du flic là où il n ' y en a pas/plus.... C 'est plus clair?....

Bref, ne comprendrais tu que ce qui t 'intéresse? 

Et le titre de ton article ?

 

il y a 5 minutes, stvi a dit :

la délinquance dans les cités contrairement à ce qu'on entend ici et là n'est pas pire qu'ailleurs  

 

Sources ?

Nan parce que perso j’ai habité proche chanteloup les vignes , j’ai vu comme une différence avec la banlieue sud de Paris , et les gars du commissariat avait l’air de confirmer que la cité pas loin était la zone la plus problématique. Donc pour le coup je voudrais bien des chiffres . Par exemple où brûlent les caisses à la saint sylvestre ?

 

 

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)
il y a 38 minutes, DroitDeRéponse a dit :

ources ?

Nan parce que perso j’ai habité proche chanteloup les vignes , j’ai vu comme une différence avec la banlieue sud de Paris , et les gars du commissariat avait l’air de confirmer que la cité pas loin était la zone la plus problématique. Donc pour le coup je voudrais bien des chiffres . Par exemple où brûlent les caisses à la saint sylvestre ?

 

http://www.linternaute.com/savoir/classement/bonheur-europe/8-france.shtml

bien sûr qu'il s'agit d'une moyenne et la seine saint Dens à elle seule fait flamber les statistiques ... moins de 2 homicides pour 100.000 habitants  contre 4 à Marseille ,et le double de délinquance qu'ailleurs ... 

 http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/10/15/le-ministere-de-l-interieur-livre-enfin-les-chiffres-de-la-delinquance_4790212_4355770.html

 pas plus qu'à Chicago par exemple  :)

Dans 8 des 77 quartiers de Chicago, la police dénombre 90 homicides pour100.000 habitants.

la moyenne de la criminalité en France est de 1 homicide  pour 100.000 habitants 

http://www.linternaute.com/actualite/delinquance/seine-saint-denis/departement-93

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 6 heures, stvi a dit :

http://www.linternaute.com/savoir/classement/bonheur-europe/8-france.shtml

bien sûr qu'il s'agit d'une moyenne et la seine saint Dens à elle seule fait flamber les statistiques ... moins de 2 homicides pour 100.000 habitants  contre 4 à Marseille ,et le double de délinquance qu'ailleurs ... 

 http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/10/15/le-ministere-de-l-interieur-livre-enfin-les-chiffres-de-la-delinquance_4790212_4355770.html

 pas plus qu'à Chicago par exemple  :)

Dans 8 des 77 quartiers de Chicago, la police dénombre 90 homicides pour100.000 habitants.

la moyenne de la criminalité en France est de 1 homicide  pour 100.000 habitants 

http://www.linternaute.com/actualite/delinquance/seine-saint-denis/departement-93

Chicago c’est le truc du magicien . Fait au milieu . Maintenant si tu zoomes sur une cité quartier nord ou cité 93 , ça donne quoi , en terme de délinquance et sans focaliser sur les homicides ?

La carte de la délinquance montre clairement un biais au nord de Paris , avec une coulée jusqu’au centre de Paris , facilement accessible et attirante pour le délinquant . L’accessibilite et les transports en commun sont aussi à prendre en compte ^^

 

https://www.francebleu.fr/infos/societe/delinquance-ou-est-elle-la-plus-forte-en-ile-de-france-1483448204

 

En petite couronne, c'est en Seine-Saint-Denis à la Courneuve (11,3 pour mille) et à Saint-Denis (12,1 pour mille) que les violences physiques sont les plus nombreuses.

Les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne sont les plus épargnés même si à Villeneuve-Saint-Georges le taux atteint 9,2 pour mille. Il fait surtout bon vivre à Vaucresson (1,7 pour mille), Marnes-la-Coquette (1,2 pour mille) ou encore à Ville-d'Avray (1,6 pour mille habitants).

....

Le nombre d'infractions liées au trafic et à la consommation de stupéfiants est particulièrement fort à Saint-Ouen mais aussi dans le 1er et le 8e arrondissement de Paris. Le département de la Seine-Saint-Denis arrive en tête alors que les Hauts-de-Seine sont plus épargnés.

 

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
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il y a 5 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Chicago c’est le truc du magicien . Fait au milieu . Maintenant si tu zoomes sur une cité quartier nord ou cité 93 , ça donne quoi , en terme de délinquance et sans focaliser sur les homicides ?

deux fois plus de délinquance que la moyenne nationale sur le département (93)mais on ne peut pas zoomer :)

c'est bien le 93 qui est entête avec 84,73 cas pour milles habitants suivi sans surprise par les bouches du Rhône  

http://www.linternaute.com/actualite/delinquance/classement/departements/plus-dangereux

 

 

 

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 748 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 6 minutes, stvi a dit :

deux fois plus de délinquance que la moyenne nationale sur le département (93)mais on ne peut pas zoomer :)

c'est bien le 93 qui est entête avec 84,73 cas pour milles habitants suivi sans surprise par les bouches du Rhône  

http://www.linternaute.com/actualite/delinquance/classement/departements/plus-dangereux

 

 

 

 

 

il y a 6 minutes, stvi a dit :

deux fois plus de délinquance que la moyenne nationale sur le département (93)mais on ne peut pas zoomer :)

c'est bien le 93 qui est entête avec 84,73 cas pour milles habitants suivi sans surprise par les bouches du Rhône  

http://www.linternaute.com/actualite/delinquance/classement/departements/plus-dangereux

 

 

 

 

Mon article zoome un peu , sur le 93 c’est à La Courneuve que les violences sont au top à 12 pour mille . 

Maintenant si les transports sont commodes ça peut aisément s’exporter . Quand j’habitais près de chanteloup , très logiquement les vols étaient plus nombreux dans les quartiers tranquilles à proximité ou facilement accessibles en transport par exemple  . Et puis quand ta voiture est régulièrement dégradée tu ne portes plus plainte , ça crée un biais .

 

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Il y a 9 heures, Anne Atôle a dit :

je sais... et les chiffres, il y a longtemps que je n 'y crois plus....

surtout depuis que la police les bidouille...

Dernier article en date du Canard enchaîné du 2/5/18 , page 4....

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Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

Je vous invite une fois encore à consulter les chiffres . Le policier mort c’est pas nouveau

Qui vous a parlé de policier mort dans l'exercice de ses fonctions ? Pas moi. Je parle de "pris pour cible", donc de comportements agressifs et/ou violents à leur encontre. Quant aux agressions verbales, elles sont tellement banales que les flics ne font même plus de rapports, tant ils croulent sous la paperasserie. Pour cela, voir la vidéo plus haut. Oui je sais que cela vous déplait que je me réfère à elle. Mais c'est une audition au Sénat, hein ! Des chiffres ? Il n'y en a aucun qui ne soit le reflet de la réalité: pas de verbalisation, pas de chiffre. Pourtant:

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F33322

Citation

Les peines encourues varient en fonction

  • de la qualité de l'agent qui subit l'outrage,
  • du lieu où il a été commis
  • et du nombre d'auteurs impliqués.

L'outrage à l'égard d'un agent chargé d'une mission de service public est puni de :

  • 7 500 € d'amende s'il est commis par un auteur unique,
  • 6 mois d'emprisonnement et 7 500 € d'amendes s'il est commis par plusieurs auteurs,
  • 6 mois d'emprisonnement et de 7 500 € d'amende s'il est commis en milieu scolaire.

L'outrage à l'égard d'un agent dépositaire de l'autorité publique est puni de :

  • 1 an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende s'il est commis par un auteur unique,
  • 2 ans d'emprisonnement et de 30 000 € d'amende s'il est commis par plusieurs auteurs.

 

Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

Non pas l’opinion publique . Vous généralisez abusivement. Ce n’est pas parce que Wauquiez criera au laxisme ou tel syndicaliste à la volonté de casser le mouvement de progrès que l’opinion publique se posera cette question . Selon son penchant politique tel ou tel groupe posera une question .

Vous aimez les chiffres, je vous en donne.

https://inhesj.fr/sites/default/files/ondrp_files/publications/pdf/flash_13.pdf

Qu'en concluez- vous ? Sachant que je doute fort que le choix du panel de 160.000 répondants ait été déterminé en fonction de leurs orientations politiques.

 

Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :
Citation

Mais je pense que

C’est à partir de là que je ne sais plus conclure

De même que moi j'ai des difficultés avec vos raisonnements uniquement basés sur les chiffres. Les chiffres sont rarement le reflet d'une exacte vérité. Estimations, statistiques, etc. on peut toujours les interpréter de la manière qui nous arrange pour argumenter. Vous le faites, je le fais.

 

Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

L’ideal Est d’avoir le beurre et la crémière . L’ideal n’existe pas . L’ideal Serait aussi d’avoir une justice avec le budget le plus indigent d’Europe voir son budget augmenter  , tout en remplaçant tous les hôpitaux vétustes et en créant une nouvelle branche autonomie mais bien’evidemmEnt idéalement en gardant la retraite à 60 , je continue ?

Le tout évidemment sans augmenter csg et impôts 

Donc le budget de la France c’est super c’est seulement 2.7% de déficit public cette année donc en 10 ans on ne creuse le déficit que de 27% , de quoi construire des locaux flambants neufs .  

10 ans, deux quinquennats.

 

Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

Les chiffres nous apprennent que les effectifs ont baissé, la population augmentée, alors que la menace terro dure . On constate de fait une augmentation du stock d’heure sup . Partant de là on peut se féliciter de voir les effectifs augmenter . Analyser sans chiffre c’est comme pisser dans un violon en ce qui me concerne , une porte ouverte sur rien d’agissant .

L'augmentation du nombre d'effectifs est-il du à la nécessité de plus de monde pour assurer la protection, faire régner l'ordre et la loi, ou pour permettre à ceux qui bossent en flux tendu depuis longtemps avec un arriéré  d'heures supplémentaires très importants de pouvoir enfin prendre les congés qui leur sont dus ? Une fois ces congés pris, qu'en sera-t-il ? La menace terroriste, elle est complètement aléatoire et en rien prévisible. Les chiffres disent que, certes, mais peut-être demain quelqu'un estimera-t-il que les effectifs jugés aujourd'hui nécessaires et suffisants se montrent à un moment donné, pour X raison qu'il prouvera en utilisant des chiffres pour argumentations, trop nombreux.

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Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

Vous êtes là depuis peu , sur les topic concernant la police j’ai plutôt le rôle du facho

 

Pour savoir si l’on est efficace il faut pouvoir le mesurer .  rattraper celui derrière qui on court

 

Avez vous des chiffres ? http://police.etc.over-blog.net/search/le chiffre/

 

La hiérarchie le fait pour se faire plaisir vous pensez ? pour la prime à la fin de l ' année

 

 

Il y a 8 heures, DroitDeRéponse a dit :

 

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