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hongrie, des élections passées sous silence.


PASCOU

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Membre, Posté(e)
'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
Posté(e)
il y a 39 minutes, poussiere666 a dit :

Oui, la résistance continue

De tout temps il y a eu des résistants et des collabos

Résultat de recherche d'images pour "us go home"

On peut savoir le rapport entre le Cambodge de 1964 contexte guerre Vietnam (photo ci_dessus) et la Hongrie d'Orban 2018 ?

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://www.rfi.fr/europe/20180410-hongrie-viktor-orban-appliquer-programme-rapidement

En Hongrie, le Premier ministre Viktor Orban a donné ce mardi sa première conférence de presse depuis sa victoire aux élections législatives de dimanche.

Avec notre correspondante à Budapest, Florence La Bruyère

« Les Hongrois nous ont envoyé un message fort », a déclaré Viktor Orban, très sûr de lui après sa victoire aux législatives. Le Premier ministre a été réélu ce dimanche pour un nouveau mandat après que son parti, le Fidesz, a recueilli 49 % des voix. Le résultat final du vote n'est pas encore annoncé, mais le Fidesz aura une confortable majorité et peut-être les deux tiers des sièges dans le nouveau Parlement.

Fort de ce troisième succès d'affilé, le chef du gouvernement s'est dit résolu à appliquer son programme. Il ne cèdera pas d'un pouce sur la question de l'accueil des réfugiés, qui l'a opposé à Bruxelles, a-t-il déclaré. Il a aussi annoncé que le projet de loi sur les associations serait voté rapidement. Le texte cible les ONG de défense des droits de l'homme, accusées par Viktor Orban d'être des agents de l'étranger. « Nous agirons dans l'intérêt du peuple. Nous avons justement présenté ce projet de loi au Parlement avant le scrutin pour que les Hongrois donnent leur opinion. Le résultat des élections nous encourage à faire voter cette loi », a-t-il estimé.

Avant les élections, Viktor Orban avait annoncé qu'il prendrait des mesures morales, politiques et légales contre ses adversaires. Va-t-il se venger de l'opposition qui l'a attaqué pendant la campagne électorale ? « La vengeance est un mot choquant dans la politique hongroise. Je ne l'ai jamais employé. Mais bien sûr, nous utiliserons la loi pour être respectés », a affirmé le Premier ministre hongrois.

 
 

Dans le passé, Viktor Orban ne s'est pas privé de faire voter des lois pour entraver l'action de l'opposition.

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 979 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, 'moiselle jeanne a dit :

On peut savoir le rapport entre le Cambodge de 1964 contexte guerre Vietnam (photo ci_dessus) et la Hongrie d'Orban 2018 ?

Surtout quand on sait ce qu'ont subi les cambodgiens après!

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Le figaro est toujours meilleur après l'évènement que avant.:smile2:

https://www.ojim.fr/elections-en-hongrie-comment-le-figaro-prend-ses-desirs-pour-des-realites-et-se-prend-les-pieds-dans-le-tapis/

Élections en Hongrie : comment Le Figaro prend ses désirs pour des réalités et se prend les pieds dans le tapis

 

Publié le 10 avril 2018

 

Les lecteurs du Monde et du Figaro représentent sans doute des univers différents. Pourtant, sur certains sujets, les deux grands quotidiens nationaux se rejoignent. En particulier sur les sujets de politique étrangère, comme la victoire électorale éclatante de Victor Orbán en Hongrie le 8 avril 2018.

Quand Blaise Gauquelin, envoyé spécial du Monde à Budapest, interroge un analyste hongrois (de l’opposition bien sûr), ce dernier explique ainsi la victoire d’Orbán « la majorité des électeurs n’a pas accès à toutes les informations pour voter. » Sous entendu, ceux qui ont les bonnes informations (par exemple, celles du Monde) votent contre Orbán. Les crétins sous-informés votent Orbán. Une version recyclée pour la circonstance des fake news qui ont permis la victoire de Trump et celle du brexit.

Pour la Hongrie, Laure Mandeville, envoyée spéciale du Figaro à Budapest, est sur la même longueur d’onde que son confrère du quotidien du soir, elle le dépasse même d’une brasse puissante et régulière.

Laure Mandeville du Figaro laisse entrevoir la défaite d’Orbán

La malheureuse correspondante, dans la première édition papier du Figaro, laissait prévoir (avec espoir) la défaite d’Orbán avec le titre : Hongrie, Orbán perd de sa superbe (titre calqué mot pour mot sur un article de L’Humanité ?). Mieux « un fort taux de participation menaçait de transformer en revers, voire même en défaite cinglante… son parti le Fidesz ». Le reste – pour la décidemment malchanceuse journaliste (stagiaire peut-être ?) – est de la même eau. Nous citons : autoritarisme croissant, scandales de corruption, campagne très manichéenne, exaspération croissante de la population qui n’aime pas les mensonges. Bien entendu une forte participation pouvait permettre d’augurer d’une victoire de l’opposition « si la participation devait atteindre 70% un éventuel basculement pourrait même se produire, ce qui serait un tremblement de terre politique » Fin de citation.

Les électeurs hongrois ont voté : retour au réel

Las, la participation est supérieure à 69% (en hausse de 7 points), Orbán obtient près de la moitié des voix (imaginons un parti en France qui raflerait 50% des suffrages…), progresse de quatre points par rapport aux élections précédentes et obtient les 2/3 des sièges.

La dernière édition papier tente de rattraper la boulette en titrant Un troisième mandat pour Orbán. Mais le sous-titre s’emmêle tout de suite les pinceaux. « Malgré une mobilisation historique de près de 70% qui avait poussé l’opposition à espérer une percée, le premier ministre est reconduit confortablement ». Il n’est pas nécessaire d’être un expert en interprétation des chiffres électoraux pour comprendre le contraire : Orbán n’a pas gagné malgré la participation massive mais grâce à celle-ci. C’est la participation électorale massive qui a permis la victoire d’Orbán. Mais ne tirons pas sur une ambulance déjà en bien mauvais état.

La lecture de la première édition (modifiée en urgence ensuite sur la dernière édition papier et sur le web) laisse une étrange impression : s’agit il d’un poisson d’avril à retardement ? D’un article humoristique sous forme de pastiche reprenant les poncifs lus habituellement sur la Hongrie ? D’un aveuglement à caractère compulsif ? Ou bien d’une incompétence si remarquable qu’elle devient un cas d’école pour les étudiants en journalisme ? Nous laissons nos aimables lecteurs trancher.

Le ‎10‎/‎04‎/‎2018 à 13:10, Crabe_fantome a dit :

Des élections passées sous silence avec des liens du Figaro et du Monde... :smile2:

 

Tiens si tu lisais un peu à la place de t'en b...er!

Là c'est de la propagande et un titre mensonger, je suis d'accord.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Élections en Hongrie : comment Le Figaro prend ses désirs pour des réalités et se prend les pieds dans le tapis

 

Publié le 10 avril 2018

 
 

Les lecteurs du Monde et du Figaro représentent sans doute des univers différents. Pourtant, sur certains sujets, les deux grands quotidiens nationaux se rejoignent. En particulier sur les sujets de politique étrangère, comme la victoire électorale éclatante de Victor Orbán en Hongrie le 8 avril 2018.

Quand Blaise Gauquelin, envoyé spécial du Monde à Budapest, interroge un analyste hongrois (de l’opposition bien sûr), ce dernier explique ainsi la victoire d’Orbán « la majorité des électeurs n’a pas accès à toutes les informations pour voter. » Sous entendu, ceux qui ont les bonnes informations (par exemple, celles du Monde) votent contre Orbán. Les crétins sous-informés votent Orbán. Une version recyclée pour la circonstance des fake news qui ont permis la victoire de Trump et celle du brexit.

Pour la Hongrie, Laure Mandeville, envoyée spéciale du Figaro à Budapest, est sur la même longueur d’onde que son confrère du quotidien du soir, elle le dépasse même d’une brasse puissante et régulière.

Laure Mandeville du Figaro laisse entrevoir la défaite d’Orbán

La malheureuse correspondante, dans la première édition papier du Figaro, laissait prévoir (avec espoir) la défaite d’Orbán avec le titre : Hongrie, Orbán perd de sa superbe (titre calqué mot pour mot sur un article de L’Humanité ?). Mieux « un fort taux de participation menaçait de transformer en revers, voire même en défaite cinglante… son parti le Fidesz ». Le reste – pour la décidemment malchanceuse journaliste (stagiaire peut-être ?) – est de la même eau. Nous citons : autoritarisme croissant, scandales de corruption, campagne très manichéenne, exaspération croissante de la population qui n’aime pas les mensonges. Bien entendu une forte participation pouvait permettre d’augurer d’une victoire de l’opposition « si la participation devait atteindre 70% un éventuel basculement pourrait même se produire, ce qui serait un tremblement de terre politique » Fin de citation.

Les électeurs hongrois ont voté : retour au réel

Las, la participation est supérieure à 69% (en hausse de 7 points), Orbán obtient près de la moitié des voix (imaginons un parti en France qui raflerait 50% des suffrages…), progresse de quatre points par rapport aux élections précédentes et obtient les 2/3 des sièges.

La dernière édition papier tente de rattraper la boulette en titrant Un troisième mandat pour Orbán. Mais le sous-titre s’emmêle tout de suite les pinceaux. « Malgré une mobilisation historique de près de 70% qui avait poussé l’opposition à espérer une percée, le premier ministre est reconduit confortablement ». Il n’est pas nécessaire d’être un expert en interprétation des chiffres électoraux pour comprendre le contraire : Orbán n’a pas gagné malgré la participation massive mais grâce à celle-ci. C’est la participation électorale massive qui a permis la victoire d’Orbán. Mais ne tirons pas sur une ambulance déjà en bien mauvais état.

La lecture de la première édition (modifiée en urgence ensuite sur la dernière édition papier et sur le web) laisse une étrange impression : s’agit il d’un poisson d’avril à retardement ? D’un article humoristique sous forme de pastiche reprenant les poncifs lus habituellement sur la Hongrie ? D’un aveuglement à caractère compulsif ? Ou bien d’une incompétence si remarquable qu’elle devient un cas d’école pour les étudiants en journalisme ? Nous laissons nos aimables lecteurs trancher.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, PASCOU a dit :

 

Tiens si tu lisais un peu à la place de t'en b...er!

Là c'est de la propagande et un titre mensonger, je suis d'accord.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Élections en Hongrie : comment Le Figaro prend ses désirs pour des réalités et se prend les pieds dans le tapis

 

 

Publié le 10 avril 2018

 
 

Les lecteurs du Monde et du Figaro représentent sans doute des univers différents. Pourtant, sur certains sujets, les deux grands quotidiens nationaux se rejoignent. En particulier sur les sujets de politique étrangère, comme la victoire électorale éclatante de Victor Orbán en Hongrie le 8 avril 2018.

Quand Blaise Gauquelin, envoyé spécial du Monde à Budapest, interroge un analyste hongrois (de l’opposition bien sûr), ce dernier explique ainsi la victoire d’Orbán « la majorité des électeurs n’a pas accès à toutes les informations pour voter. » Sous entendu, ceux qui ont les bonnes informations (par exemple, celles du Monde) votent contre Orbán. Les crétins sous-informés votent Orbán. Une version recyclée pour la circonstance des fake news qui ont permis la victoire de Trump et celle du brexit.

Pour la Hongrie, Laure Mandeville, envoyée spéciale du Figaro à Budapest, est sur la même longueur d’onde que son confrère du quotidien du soir, elle le dépasse même d’une brasse puissante et régulière.

Laure Mandeville du Figaro laisse entrevoir la défaite d’Orbán

La malheureuse correspondante, dans la première édition papier du Figaro, laissait prévoir (avec espoir) la défaite d’Orbán avec le titre : Hongrie, Orbán perd de sa superbe (titre calqué mot pour mot sur un article de L’Humanité ?). Mieux « un fort taux de participation menaçait de transformer en revers, voire même en défaite cinglante… son parti le Fidesz ». Le reste – pour la décidemment malchanceuse journaliste (stagiaire peut-être ?) – est de la même eau. Nous citons : autoritarisme croissant, scandales de corruption, campagne très manichéenne, exaspération croissante de la population qui n’aime pas les mensonges. Bien entendu une forte participation pouvait permettre d’augurer d’une victoire de l’opposition « si la participation devait atteindre 70% un éventuel basculement pourrait même se produire, ce qui serait un tremblement de terre politique » Fin de citation.

Les électeurs hongrois ont voté : retour au réel

Las, la participation est supérieure à 69% (en hausse de 7 points), Orbán obtient près de la moitié des voix (imaginons un parti en France qui raflerait 50% des suffrages…), progresse de quatre points par rapport aux élections précédentes et obtient les 2/3 des sièges.

La dernière édition papier tente de rattraper la boulette en titrant Un troisième mandat pour Orbán. Mais le sous-titre s’emmêle tout de suite les pinceaux. « Malgré une mobilisation historique de près de 70% qui avait poussé l’opposition à espérer une percée, le premier ministre est reconduit confortablement ». Il n’est pas nécessaire d’être un expert en interprétation des chiffres électoraux pour comprendre le contraire : Orbán n’a pas gagné malgré la participation massive mais grâce à celle-ci. C’est la participation électorale massive qui a permis la victoire d’Orbán. Mais ne tirons pas sur une ambulance déjà en bien mauvais état.

La lecture de la première édition (modifiée en urgence ensuite sur la dernière édition papier et sur le web) laisse une étrange impression : s’agit il d’un poisson d’avril à retardement ? D’un article humoristique sous forme de pastiche reprenant les poncifs lus habituellement sur la Hongrie ? D’un aveuglement à caractère compulsif ? Ou bien d’une incompétence si remarquable qu’elle devient un cas d’école pour les étudiants en journalisme ? Nous laissons nos aimables lecteurs trancher.

:smile2: Si l'ojim le dit .... 

 

Créée en juillet 20121 par Claude Chollet, ancien président du GRECE (1984)2 et proche de Fabrice Robert et des Identitaires3, l'association est classée à l'extrême droite et David Doucet des Inrocks voit en elle le symbole d'une « professionnalisation de la critique des médias au sein de l’extrême droite »2. L'association se veut dédiée au « monde de l'information, son évolution, son influence, mais aussi des dérives »4.

Selon David Doucet, l'association, cherchant à « délégitimer les médias traditionnels », en proposant des portraits de journalistes ou bien encore des infographies fouillées sur les différents groupes médiatiques, essaye de débusquer les engagements militants ou associatifs des journalistes afin de remettre en cause leur objectivité2. Elle tenterait de devenir le pendant à l'extrême droite du site Acrimed, traditionnellement décrit comme ancré à gauche, notamment grâce au soutien de Jean-Yves Le Gallou5,6.

L'association, fondée avec 10 000 euros de capital, aurait récolté 100 000 euros de dons selon son président après 18 mois d'existence, essentiellement venant des personnes âgées qui ont « marre de la désinformation »7. En décembre 2014, le fondateur de l'association revendique 120 000 visiteurs uniques par mois1.

Bien que ne mettant pas en avant ses liens avec les autres sites d'extrême-droite, l'observatoire est souvent cité en exemple par ces mêmes sites et les autres médias qui leur sont liés8. L'association a notamment été l'invitée de la 5e « journée de réinformation » de la Fondation Polémia5.

Lors d'une interview donnée au site d'information Atlantico, l'essayiste Jean-Paul Gourévitch estime que « l’opinion publique est soumise à un véritable matraquage sur le problème de l’immigration », prenant en exemple l'analyse du traitement médiatique de la crise des migrants de l'été 2017, effectuée par l'OJIM9.

En septembre 2017, l'OJIM change de nom pour devenir « L'observatoire du Journalisme »

 

 

En somme tu aurais posté ton propre blog que ça reviendrait au même... et tu devrais sans doute nous répondre sur ta volonté de traiter l'information et sur la victimisation que tu as faites... non? toujours pas? 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Crabe_fantome a dit :

:smile2: Si l'ojim le dit .... 

 

Créée en juillet 20121 par Claude Chollet, ancien président du GRECE (1984)2 et proche de Fabrice Robert et des Identitaires3, l'association est classée à l'extrême droite et David Doucet des Inrocks voit en elle le symbole d'une « professionnalisation de la critique des médias au sein de l’extrême droite »2. L'association se veut dédiée au « monde de l'information, son évolution, son influence, mais aussi des dérives »4.

Selon David Doucet, l'association, cherchant à « délégitimer les médias traditionnels », en proposant des portraits de journalistes ou bien encore des infographies fouillées sur les différents groupes médiatiques, essaye de débusquer les engagements militants ou associatifs des journalistes afin de remettre en cause leur objectivité2. Elle tenterait de devenir le pendant à l'extrême droite du site Acrimed, traditionnellement décrit comme ancré à gauche, notamment grâce au soutien de Jean-Yves Le Gallou5,6.

L'association, fondée avec 10 000 euros de capital, aurait récolté 100 000 euros de dons selon son président après 18 mois d'existence, essentiellement venant des personnes âgées qui ont « marre de la désinformation »7. En décembre 2014, le fondateur de l'association revendique 120 000 visiteurs uniques par mois1.

Bien que ne mettant pas en avant ses liens avec les autres sites d'extrême-droite, l'observatoire est souvent cité en exemple par ces mêmes sites et les autres médias qui leur sont liés8. L'association a notamment été l'invitée de la 5e « journée de réinformation » de la Fondation Polémia5.

Lors d'une interview donnée au site d'information Atlantico, l'essayiste Jean-Paul Gourévitch estime que « l’opinion publique est soumise à un véritable matraquage sur le problème de l’immigration », prenant en exemple l'analyse du traitement médiatique de la crise des migrants de l'été 2017, effectuée par l'OJIM9.

En septembre 2017, l'OJIM change de nom pour devenir « L'observatoire du Journalisme »

 

 

En somme tu aurais posté ton propre blog que ça reviendrait au même... et tu devrais sans doute nous répondre sur ta volonté de traiter l'information et sur la victimisation que tu as faites... non? toujours pas? 

Donc le figaro n'a pas mis cet article?

C'est ce que tu dis?

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, PASCOU a dit :

Donc le figaro n'a pas mis cet article?

C'est ce que tu dis?

Je dis que je ne lis pas les journaux identitaires d'extrême droite et que je ne leur accorde aucun crédit parce que n'importe quelle buse fasciste peut faire son blog. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je dis que je ne lis pas les journaux identitaires d'extrême droite et que je ne leur accorde aucun crédit parce que n'importe quelle buse fasciste peut faire son blog. 

Moi non plus , tu préfères ceux d'extrème gauche?

Tu lis peut être plus l'huma !AFP donc quasiment tous les mêmes articles dans tous les journaux!

https://www.humanite.fr/viktor-orban-perd-de-sa-superbe-majorite-566469

AFP

À l’issue d’une élection partielle tenue hier, le premier ministre conservateur a perdu sa majorité des deux tiers qui lui avait permis de se tailler une Constitution sur mesure très controversée.

Le vent est-il en train de tourner en Hongrie ? Au pouvoir depuis cinq ans, en ayant raflé à deux reprises les deux tiers des sièges du Parlement lors des élections législatives de 2010 et 2014, le très controversé premier ministre conservateur Viktor Orban vient d’essuyer, dans un de ses fiefs, une cinglante défaite qui lui a fait perdre sa majorité qualifiée des deux tiers, la fameuse « supermajorité ». À Veszprem, le candidat du parti au pouvoir, Lajos Nemedi, n’a recueilli hier que 33,6 % des voix contre 42,7 % pour Zoltan Kesz, un candidat indépendant soutenu par les forces de gauche. Cette élection législative partielle a été organisée après la nomination de Tibor Navracsics, ancien vice-premier ministre et ex-ministre des Affaires étrangères, à la Commission européenne. Il occupait le siège de député de cette circonscription de l’ouest de la Hongrie. En 2014, il avait été élu avec plus de 20 points d’avance. Viktor Orban a réagi en expliquant sur sa page Facebook que le parti Fidesz ne doit pas « s’endormir sur ses lauriers ». Il a minimisé la perte de la majorité qualifiée en affirmant qu’il n’avait pas de projet législatif requérant une « supermajorité » pour les trois ans de mandat qui lui restent. Celle-ci lui a permis de se tailler une Constitution sur mesure et d’adopter de profondes réformes de la justice, des médias et de l’économie, qui ont été jugées liberticides par l’opposi-tion et très critiquées par l’Union européenne. Dans cette nouvelle Constitution, la référence à Dieu est explicite et le mot « République » abandonné. Dans un rapport commun publié à la fin de l’année 2014, cité par le site spécialisé sur l’actualité hongroise Hulala, trois ONG écrivaient : « Le gouvernement hongrois, avec le soutien d’une majorité des deux tiers au Parlement, a méprisé les limites constitutionnelles à l’exercice de ses pouvoirs depuis le printemps 2010. La majorité au pouvoir, sans le soutien d’aucune autre force politique, a modifié à plusieurs reprises les deux lois fondamentales (la Constitution de 1989-1990 ainsi que la loi fondamentale qui l’a remplacée en 2011). Des interminables séries d’amendements constitutionnels ont souvent servi des objectifs politiques, et en parallèle, il a miné la stabilité de la Constitution. » Le pouvoir a profité de cette situation exceptionnelle pour nommer de nombreux hommes à des postes clés du pays. Cette défaite symbolique – le Fidesz conserve une confortable majorité et pourrait au besoin trouver des alliés pour franchir le seuil des deux tiers – vient confirmer la perte de vitesse depuis près d’un an de Viktor Orban. Outre une baisse dans les sondages, la fuite d’un tiers de son électorat, des voix discordantes au sein du Fidesz, des accusations de corruption, le premier ministre hongrois est désormais confronté à des manifestations. Sous la pression de la rue, il a dû renoncer à son projet de créer une taxe pour les utilisateurs d’Internet. Le 16 février, veille de la venue du président russe Vladimir Poutine à Budapest, 2 000 personnes ont défilé aux cris de « Oui à l’Europe, non à Poutine », après les déclarations de Viktor Orban s’interrogeant sur la pertinence de la démocratie comme modèle politique. Le nouveau tropisme russe de Viktor Orban ne passe pas comme une lettre à la poste au sein de son électorat. « La situation du parti au pouvoir est clairement pire que nous ne le pensions ces dernières semaines », analyse l’expert Gabor Torok. Autant de raisons qui poussent désormais les politologues hongrois à se poser cette question : « L’orbanisme est-il sur le déclin ? »

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Le 10/04/2018 à 13:10, Crabe_fantome a dit :

Des élections passées sous silence avec des liens du Figaro et du Monde... :smile2:

 

Les journaux en parlent... mais les lecteur ne sont pas là... ça intéresse qui la Hongrie franchement? Si c'était un écolo ou un socialiste qui avait gagné toi même tu n'en aurais jamais parlé. C'est qui d'ailleurs le Président Roumain ou Bulgare ou Moldave? Personne n'en sait rien, tout le monde s'en fout... 

C'est vrai les gens pour la plus grande majorité, se foutent éperdument de ce qui se passe ailleurs, la seule chose qu'ils regardent avec délectation c'est leur nombril, et pour le satisfaire leur porte monnaie.

Dale Carnegie, avait donné en son temps une explication du sujet, des plus pertinente, il a battit sa fortune dessus.

La Hongrie on s'en moque, les grèves chez nous c'est ce qui compte uniquement.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, Promethee_Hades a dit :

C'est vrai les gens pour la plus grande majorité, se foutent éperdument de ce qui se passe ailleurs, la seule chose qu'ils regardent avec délectation c'est leur nombril, et pour le satisfaire leur porte monnaie.

Dale Carnegie, avait donné en son temps une explication du sujet, des plus pertinente, il a battit sa fortune dessus.

La Hongrie on s'en moque, les grèves chez nous c'est ce qui compte uniquement.

Bjr P.H.

Et ceux qui s'en "bra.lent " le plus pour reprendre une expression de C.F. sont les européistes les plus convaincus, comme quoi!

On verra aux européennes de l'an prochain s'ils "se bra.lent" toujours comme dit notre ami avec gourmandise!:)

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
il y a 2 minutes, PASCOU a dit :

Bjr P.H.

Et ceux qui s'en "bra.lent " le plus pour reprendre une expression de C.F. sont les européistes les plus convaincus, comme quoi!

On verra aux européennes de l'an prochain s'ils "se bra.lent" toujours comme dit notre ami avec gourmandise!

Tu sais être Européen , il y a des tas de formes, entre ceux qui sont pour l'Europe des nations, et ceux qui sont pour une Europe ultra libérale, et ceux qui ont le cul entre les deux chaise de diverses façons. Ils y a ceux qui veulent d'une Europe sociale ( a la mode soviétique de préférence ) , ceux qui veulent d'une Europe sociale ( dans un indéfini total ) ceux qui veulent d'une Europe comme ci et d'autres comme ça. L'Europe est devenue le grand foutoir. Personnellement j'attends rien de bon de l'Europe, pourtant je me sent Européen.

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Invité Ink 82
Invités, Posté(e)
Invité Ink 82
Invité Ink 82 Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour, troisième mandat pour monsieur Orbàn avec une large victoire pour 32% d'abstention. Difficile de comprendre ce peuple, son besoin de renouer avec une identité forte. La corruption des partis libéraux, le mépris de l'Europe libérale envers les attentes et inquiétudes de cette population expliquent pour beaucoup l'ancrage du Fidesz.

On peut tout de même s'interroger sur les cris d'orfraies contre ce personnage, tandis que les dirigeants européens tolèrent qu'il soit membre du PPE.

Au contraire de quelques mépris affichés ici, il convient de respecter tous les peuples. Cette élection est intéressante, car elle a lieu au lendemain du Brexit. On aurait pu croire à une réaction, à ce que les peuples européens s'attachent tous à refaire union, il n'en est rien. La Hongrie continue à être le symptôme d'une Union Européenne malade qui, pour reprendre la thèse d'un excellent bouquin, tue l'Europe.

 

"L’euroscepticisme se diffuse comme une trainée de poudre", note Olivier Costa, chercheur au CNRS-Sciences Po Bordeaux et directeur d’études au Collège d’Europe de Bruges. "On a aujourd’hui 18 Etats dans lesquels au moins un parti politique réclame un référendum en vue d’une sortie de l’Union européenne. On a surtout des responsables politiques nationaux qui, d’une certaine manière, font de l’euroscepticisme " light " pour essayer d’aller dans le sens du vent. Ce qui est assez remarquable, c’est qu’on a n’a quasiment plus de leader national qui ait un discours réellement pro-européen, réellement marqué."

 

Partageant l'analyse de ce monsieur, je m'inquiète d'autant plus des attitudes hautaines. Si nous tenons à l'union, l'humilité devrait nous pousser à l'écoute de tout à chacun pour affronter les questions qui poussent à la défiance. 

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

Moi non plus , tu préfères ceux d'extrème gauche?

Tu lis peut être plus l'huma !AFP donc quasiment tous les mêmes articles dans tous les journaux!

https://www.humanite.fr/viktor-orban-perd-de-sa-superbe-majorite-566469

AFP

À l’issue d’une élection partielle tenue hier, le premier ministre conservateur a perdu sa majorité des deux tiers qui lui avait permis de se tailler une Constitution sur mesure très controversée.

Le vent est-il en train de tourner en Hongrie ? Au pouvoir depuis cinq ans, en ayant raflé à deux reprises les deux tiers des sièges du Parlement lors des élections législatives de 2010 et 2014, le très controversé premier ministre conservateur Viktor Orban vient d’essuyer, dans un de ses fiefs, une cinglante défaite qui lui a fait perdre sa majorité qualifiée des deux tiers, la fameuse « supermajorité ». À Veszprem, le candidat du parti au pouvoir, Lajos Nemedi, n’a recueilli hier que 33,6 % des voix contre 42,7 % pour Zoltan Kesz, un candidat indépendant soutenu par les forces de gauche. Cette élection législative partielle a été organisée après la nomination de Tibor Navracsics, ancien vice-premier ministre et ex-ministre des Affaires étrangères, à la Commission européenne. Il occupait le siège de député de cette circonscription de l’ouest de la Hongrie. En 2014, il avait été élu avec plus de 20 points d’avance. Viktor Orban a réagi en expliquant sur sa page Facebook que le parti Fidesz ne doit pas « s’endormir sur ses lauriers ». Il a minimisé la perte de la majorité qualifiée en affirmant qu’il n’avait pas de projet législatif requérant une « supermajorité » pour les trois ans de mandat qui lui restent. Celle-ci lui a permis de se tailler une Constitution sur mesure et d’adopter de profondes réformes de la justice, des médias et de l’économie, qui ont été jugées liberticides par l’opposi-tion et très critiquées par l’Union européenne. Dans cette nouvelle Constitution, la référence à Dieu est explicite et le mot « République » abandonné. Dans un rapport commun publié à la fin de l’année 2014, cité par le site spécialisé sur l’actualité hongroise Hulala, trois ONG écrivaient : « Le gouvernement hongrois, avec le soutien d’une majorité des deux tiers au Parlement, a méprisé les limites constitutionnelles à l’exercice de ses pouvoirs depuis le printemps 2010. La majorité au pouvoir, sans le soutien d’aucune autre force politique, a modifié à plusieurs reprises les deux lois fondamentales (la Constitution de 1989-1990 ainsi que la loi fondamentale qui l’a remplacée en 2011). Des interminables séries d’amendements constitutionnels ont souvent servi des objectifs politiques, et en parallèle, il a miné la stabilité de la Constitution. » Le pouvoir a profité de cette situation exceptionnelle pour nommer de nombreux hommes à des postes clés du pays. Cette défaite symbolique – le Fidesz conserve une confortable majorité et pourrait au besoin trouver des alliés pour franchir le seuil des deux tiers – vient confirmer la perte de vitesse depuis près d’un an de Viktor Orban. Outre une baisse dans les sondages, la fuite d’un tiers de son électorat, des voix discordantes au sein du Fidesz, des accusations de corruption, le premier ministre hongrois est désormais confronté à des manifestations. Sous la pression de la rue, il a dû renoncer à son projet de créer une taxe pour les utilisateurs d’Internet. Le 16 février, veille de la venue du président russe Vladimir Poutine à Budapest, 2 000 personnes ont défilé aux cris de « Oui à l’Europe, non à Poutine », après les déclarations de Viktor Orban s’interrogeant sur la pertinence de la démocratie comme modèle politique. Le nouveau tropisme russe de Viktor Orban ne passe pas comme une lettre à la poste au sein de son électorat. « La situation du parti au pouvoir est clairement pire que nous ne le pensions ces dernières semaines », analyse l’expert Gabor Torok. Autant de raisons qui poussent désormais les politologues hongrois à se poser cette question : « L’orbanisme est-il sur le déclin ? »

Je lis les médias fait par des gens qui sont reconnus, pas les bloggeurs. Reste que "passé sous silence", tu fais marrer tout le monde avec tous ces médias qui en parlent... L'Huma désormais :smile2:

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 11 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je lis les médias fait par des gens qui sont reconnus, pas les bloggeurs. Reste que "passé sous silence", tu fais marrer tout le monde avec tous ces médias qui en parlent... L'Huma désormais :smile2:

Et encore cette manie de te prendre pour tout le forum et même au-delà!

Moi tu me fais bien rire en te disant européiste et toute suite derrière décliner dans tous les temps que tu t'en "bran.le" de la Hongrie.

Il ya des articles d'autres personnes également qui en parlent, si ça ne t'intéresse pas, personne ne te retient!:)

Puis des articles pour critiquer et dire que orban allait perdre, oui il y en a des tonnes;

Toujours le même militantisme, on ne crache pas dans la soupe!

Non soyons honnête pas sérieux tout ça.

Il y a des blogs qui le sont bien plus et des types qui bossent pas qui reprennent les ^dépêches de l'afp!

On veut de vraies info, pas du bourrage de mou, le cirage c'est démodé!

 

 

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Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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il y a 56 minutes, Promethee_Hades a dit :

C'est vrai les gens pour la plus grande majorité, se foutent éperdument de ce qui se passe ailleurs, la seule chose qu'ils regardent avec délectation c'est leur nombril, et pour le satisfaire leur porte monnaie.

Dale Carnegie, avait donné en son temps une explication du sujet, des plus pertinente, il a battit sa fortune dessus.

La Hongrie on s'en moque, les grèves chez nous c'est ce qui compte uniquement.

Alors oui et non... On suit les élections des anglais, des italiens, des allemands... on s'implique dans les élections catalanes et espagnoles... Un peu l'Autriche... et puis après ?! Et puis c'est déjà pas si mal je trouve que les français s'intéressent aux élections européennes, ça veut dire qu'ils se sentent concerné. Même celle de la Hongrie dont on et que seuls les identitaires ont pris la peine de chercher où se trouve la Hongrie sur une carte parce qu'ils ont entendu parlé d'un identitaire élu en Hongrie. Ceux qui sont ouvert à l'Europe ont pris la peine d'y aller... et en ont profité pour passer une excellente journée aux Thermes Széchenyi. Et le goulash !!!! créboudiou !!! Et même deux petites heures à la synagogue histoire de se rappeler ce qui s'est passé là bas...

il y a 2 minutes, PASCOU a dit :

Et encore cette manie de te prendre pour tout le forum et même au-delà!

Moi tu me fais bien rire en te disant européiste et toute suite derrière décliner dans tous les temps que tu t'en "bran.le" de la Hongrie.

Il ya des articles d'autres personnes également qui en parlent, si ça ne t'intéresse pas, personne ne te retient!:)

 

 

Ne te victime pas en plus! C'est vraiment une manie chez vous... Vous avez fait des stages de victimisation ou quoi? Tu fais un titre mensonger, je te demande de te justifier et tu fais "oui bon ok pardon j'ai exagéré" et on en parle plus. 

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Invité Barbara lebol
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Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
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Après le Brexit, l'Europe devrait tirer les leçons de la victoire du parti de V. Orban, tout comme elle devrait prendre en compte la montée de l'extrême-droite en Pologne, en Tchéquie, en Italie, au Danemark, en Slovaquie, en Finlande, au Pays-Bas, en Suède, Grèce, Bulgarie.

Tirer les leçons c'est ne pas amalgamer causes et conséquences. Ignorer les causes c'est favoriser la montée des extrêmes. On n'évacue pas les problèmes profonds avec la bien-pensance.

Les élites de l'UE ne tiennent aucun compte de l'opposition de la population à une immigration incontrôlée et à ses conséquences sur le quotidien ; ces mêmes élites occultent les promesses non tenues, la crise sociétale et économique.

 

 

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
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il y a 2 minutes, Crabe_fantome a dit :

Alors oui et non... On suit les élections des anglais, des italiens, des allemands... on s'implique dans les élections catalanes et espagnoles... Un peu l'Autriche... et puis après ?! Et puis c'est déjà pas si mal je trouve que les français s'intéressent aux élections européennes, ça veut dire qu'ils se sentent concerné. Même celle de la Hongrie dont on et que seuls les identitaires ont pris la peine de chercher où se trouve la Hongrie sur une carte parce qu'ils ont entendu parlé d'un identitaire élu en Hongrie. Ceux qui sont ouvert à l'Europe ont pris la peine d'y aller... et en ont profité pour passer une excellente journée aux Thermes Széchenyi. Et le goulash !!!! créboudiou !!! Et même deux petites heures à la synagogue histoire de se rappeler ce qui s'est passé là bas...

Je sais ou se trouve la Hongrie, mais j'y ai jamais mis les pieds, et ça ne me dis pas grand chose, pour des tas de raisons, la première je parle pas la langue, la deuxième pour avoir une vague vue superficielle, et ne pas connaître assez bien les habitants, par ce que pour moi faut y vivre quelques années,y vivre travailler. Je me suis contenter d'aimer deux Hongroises en France. Je connais enfin au niveau historique leur grand Héros Rákóczy. Un peu l'histoire de ce pays, sa géographie aussi. C'est à dire je connais rien. J'en connais mil fois plus sur la Suisse, qui ne fait pas partie de l'Europe.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, Crabe_fantome a dit :

Alors oui et non... On suit les élections des anglais, des italiens, des allemands... on s'implique dans les élections catalanes et espagnoles... Un peu l'Autriche... et puis après ?! Et puis c'est déjà pas si mal je trouve que les français s'intéressent aux élections européennes, ça veut dire qu'ils se sentent concerné. Même celle de la Hongrie dont on et que seuls les identitaires ont pris la peine de chercher où se trouve la Hongrie sur une carte parce qu'ils ont entendu parlé d'un identitaire élu en Hongrie. Ceux qui sont ouvert à l'Europe ont pris la peine d'y aller... et en ont profité pour passer une excellente journée aux Thermes Széchenyi. Et le goulash !!!! créboudiou !!! Et même deux petites heures à la synagogue histoire de se rappeler ce qui s'est passé là bas...

Ne te victime pas en plus! C'est vraiment une manie chez vous... Vous avez fait des stages de victimisation ou quoi? Tu fais un titre mensonger, je te demande de te justifier et tu fais "oui bon ok pardon j'ai exagéré" et on en parle plus. 

 

Il y a 2 heures, Barbara lebol a dit :

Après le Brexit, l'Europe devrait tirer les leçons de la victoire du parti de V. Orban, tout comme elle devrait prendre en compte la montée de l'extrême-droite en Pologne, en Tchéquie, en Italie, au Danemark, en Slovaquie, en Finlande, au Pays-Bas, en Suède, Grèce, Bulgarie.

Tirer les leçons c'est ne pas amalgamer causes et conséquences. Ignorer les causes c'est favoriser la montée des extrêmes. On n'évacue pas les problèmes profonds avec la bien-pensance.

Les élites de l'UE ne tiennent aucun compte de l'opposition de la population à une immigration incontrôlée et à ses conséquences sur le quotidien ; ces mêmes élites occultent les promesses non tenues, la crise sociétale et économique.

 

 

Oui, c'est même à ça qu'on les reconnaît , ils croient toujours avoir raison.

Ils sont nuls!

Il y a 2 heures, Promethee_Hades a dit :

Je sais ou se trouve la Hongrie, mais j'y ai jamais mis les pieds, et ça ne me dis pas grand chose, pour des tas de raisons, la première je parle pas la langue, la deuxième pour avoir une vague vue superficielle, et ne pas connaître assez bien les habitants, par ce que pour moi faut y vivre quelques années,y vivre travailler. Je me suis contenter d'aimer deux Hongroises en France. Je connais enfin au niveau historique leur grand Héros Rákóczy. Un peu l'histoire de ce pays, sa géographie aussi. C'est à dire je connais rien. J'en connais mil fois plus sur la Suisse, qui ne fait pas partie de l'Europe.

P.H.

Si tu n'as pas lu comme certains intellos Tintin en Moldavie, tu es largué !:smile2:

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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Il y a 2 heures, Barbara lebol a dit :

Après le Brexit, l'Europe devrait tirer les leçons de la victoire du parti de V. Orban, tout comme elle devrait prendre en compte la montée de l'extrême-droite en Pologne, en Tchéquie, en Italie, au Danemark, en Slovaquie, en Finlande, au Pays-Bas, en Suède, Grèce, Bulgarie.

Tirer les leçons c'est ne pas amalgamer causes et conséquences. Ignorer les causes c'est favoriser la montée des extrêmes. On n'évacue pas les problèmes profonds avec la bien-pensance.

Les élites de l'UE ne tiennent aucun compte de l'opposition de la population à une immigration incontrôlée et à ses conséquences sur le quotidien ; ces mêmes élites occultent les promesses non tenues, la crise sociétale et économique.

 

 

Le Brexit est une manipulation orchestrée par Cambridge Analytica, ceux là même qui ont piraté les données facebook et ceux là même qui fait que Zuckerberg est actuellement costard en train de répondre à des questions parfois humiliantes. Alors oui on pourrait crier au complot et si ça n'avait pas été le responsable de la mission qui témoignait je ne l'aurais pas cru non plus.

 

Ce qui va suivre n'est pas une analyse journalistique mais l'entretien avec responsable. 

 

La leçon à tirer avec le Brexit c'est que les benets qui "croivent" ont été alimenté par exactement ce en quoi il croient grâce aux données qu'on avait sur eux.

 

Extraits:

Pendant la campagne présidentielle américaine, l’activité de Cambridge Analytica initiée par Steve Bannon et Robert Mercer consistait à développer l’alt-right ?

Absolument. Pendant la campagne américaine, il y a eu des théories du complot, des idées complètement dingues, des rumeurs qui ont été détectées puis exploitées par Cambridge Analytica : par exemple, qu’Obama ne voulait pas quitter son poste, qu’il y avait des mouvements de troupes dans le pays, que des armes étaient saisies pour lui permettre de rester pour un troisième mandat à la Maison Blanche… Vous trouvez un groupe qui est plus susceptible qu’un autre de croire aux théories conspirationnistes, puis vous le nourrissez avec les rumeurs qu’il attend. Le travail [de Cambridge Analytica] n’était pas seulement pour des clients privés, il consistait aussi à créer des narrations qui répondaient aux attentes de certaines personnes et permettaient de renforcer la cause non seulement des Républicains, mais des candidats de l’alt-right.

 

Est-ce que le vote en faveur du Brexit aurait eu lieu sans Cambridge Analytica ?

Non, ils ont joué un rôle crucial, j’en suis sûr. Il y a deux aspects dans le scandale. D’une part, Cambridge Analytica a admis la semaine dernière avoir effectivement travaillé avec le groupe de campagne «Leave.EU». L’autre aspect, c’est que AggregateIQ [une entreprise canadienne issue de Cambridge Analytica, ndlr] a aussi travaillé avec Cambridge Analytica sur un système qui a permis à Leave.EU de dépasser son plafond de dépenses, et d’utiliser près d’un million de livres pour cibler la population. Sans AggregateIQ, le camp du «Leave» n’aurait pas pu gagner le référendum, qui s’est joué à moins de 2% des votes. Or, 40% du budget de «Vote Leave» est allé à AggregateIQ, c’est beaucoup. Cette entreprise a joué un rôle pivot dans le référendum. Elle a travaillé main dans la main avec Cambridge Analytica. Si vous ciblez un petit nombre spécifique de personnes avec des milliards de publicité, cela peut suffire à gagner suffisamment d’électeurs.

 

http://www.liberation.fr/planete/2018/03/26/sans-cambridge-analytica-il-n-y-aurait-pas-eu-de-brexit_1638940

 

 

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