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L'univers est-il stupide ou intelligent ?

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Francis-Charles

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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Les défis de la cosmologie scientifique

12

Le paradoxe frôle les limites du pensable lorsqu’on pousse les spéculations sur des lois de la nature qui existeraient avant même que n’existe un univers. C’est ce à quoi nous invite la cosmologie quantique qui décrit les tous premiers instants de la vie de l’univers pour déterminer les conditions initiales. Ici l’expérimentation n’a plus rien à dire, et peut-être le sens commun moins encore, surtout lorsqu’il s’agit de décrire l’apparition de l’univers comme une fluctuation contingente du vide quantique ; a priori ces fluctuations pourraient se répéter, ce qui soulève à nouveau la question de savoir si l’unité de l’univers peut effectivement se gagner sur la multiplicité.

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

Question : voyez-vous vous aussi l'apparition de l'univers comme une fluctuation contingente du vide quantique ?

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Le 20/05/2018 à 12:58, Francis-Charles a dit :

1 La bataille de Waterloo est donc toujours en cours ?
2 Heureux de l'apprendre ! ;)

Si on se demande dans l'univers si on peut faire correspondre notre instant présent en tous lieux de l'espace la réponse est non.

Cela signifie que la notion d'instantanéitée d'un évènement est relative à un observateur dans l'espace temps donc qu'elle disparait entre plusieurs observateurs et que waterloo se situe déjà dans le futur d'une multitude d'observateurs potentiels dans l'espace relativiste...

Maintenant si on donne crédit à la théorie des intégrales de chemin de Feynman, cette multitude de potentialités d'histoires "simultanées" à sommer pour en calculer la probabilité se limite aux phénomènes quantiques 

Donc le fait que l'observateur crée la réalité en l'obsevant consciemment (hypothèse des idéalistes) pose la question du passage du microscopique au macroscopique.

Pour Hawking...il existe des univers (il donne crédit a l'hypothèse du multivers d'Everett) où la lune est en ... fromage...

Mais que, manque de pot pour les souris ici..., la connaissance collectivement conscientisée donne à la lune une histoire compatible à notre représentation

Pour Hawking, nul doute qu'il existe des univers où Napoléon gagne waterloo et comme l'homme existe dans ces univers les autres lois physique restent similaires pour être compatibles à l'homme

Hawking donne crédit à la fois au multivers comme conséquences de la géométrie des différentes formes de calabi yau de la théorie des cordes et à la fois aux hypothèses d'Everett d'une infinité d'univers différents pour chaque événement quantique

Bref oui Napoleon a gagné une infinité de fois waterloo...

En tous cas...balayer ce type d'hypothèses d'un argument si commun est un peu idiot...

Pour Hawking, je t'assure que sa vision n'etait pas de la science-fiction 

Et on peut a minima s'appuyer sur autre chose que le bon sens commun pour l'ecarter sinon la terre ne serait même pas ronde

Galilée a eu exactement à se battre contre ça et on connaît la suite

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 19 heures, Francis-Charles a dit :

Les défis de la cosmologie scientifique

12

Le paradoxe frôle les limites du pensable lorsqu’on pousse les spéculations sur des lois de la nature qui existeraient avant même que n’existe un univers. C’est ce à quoi nous invite la cosmologie quantique qui décrit les tous premiers instants de la vie de l’univers pour déterminer les conditions initiales. Ici l’expérimentation n’a plus rien à dire, et peut-être le sens commun moins encore, surtout lorsqu’il s’agit de décrire l’apparition de l’univers comme une fluctuation contingente du vide quantique ; a priori ces fluctuations pourraient se répéter, ce qui soulève à nouveau la question de savoir si l’unité de l’univers peut effectivement se gagner sur la multiplicité.

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

Question : voyez-vous vous aussi l'apparition de l'univers comme une fluctuation contingente du vide quantique ?

A ce jour...l'hypothèse la plus communément adoptée est que le big bang est issu d'une fluctuation du vide quantique

Pour Hawking toujours...l'apparition spontanée de particules physiques issues du vide quantique est fréquent car la nature peut faire un "emprunt d'énergie" selon un temps d'autant plus court que cet emprunt est important.

Cela est lié au principe d'incertitude qui a d'ailleurs pour conséquence que l'énergie du vide quantique ne peut jamais être nulle.

Mais on ne voit pas des chaises se créer depuis ce vide quantique dans notre salon...

Parce que l'émergence de ces particules est au niveau quantique et parce qu'elles sont instables

Donc selon lui, l'émergence stable d'un univers entier serait rendue possible car la gravité contrebalancerait en énergie négative cette création extrêmement forte de l'énergie totale de l'univers 

Maintenant...tout cela reste hypothétique car personne ne sait vraiment et de manière incontestable l'origine du big bang

Il existe d'autres hypothèses 

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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Une cosmologie purement mathématique ?

13

Le trouble qui ne manque pas de s’insinuer dans la cosmologie de l’univers en expansion, n’est-ce pas le retour à une cosmologie purement mathématique ?

Dans les métriques correspondant à des espace-temps homogènes et isotropes, la constante qui spécifie la géométrie, d’une part, et le rayon de courbure qui varie en fonction du temps, d’autre part, sont indépendants l’un de l’autre.
La coordonnée de distance entre deux événements situés sur une même tranche instantanée de l’univers va donc augmenter ou décroître au cours du temps en fonction de la seule géométrie. C’est là une conséquence du choix des coordonnées quo-mobiles, qui décrivent une dilatation de l’espace-temps et non le mouvement des galaxies dans l’espace-temps statique. Or, cette géométrisation du problème cosmologique, tel qu’il est posé dans le cadre de la relativité, rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa progression inexorable.

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 4 heures, Francis-Charles a dit :

Une cosmologie purement mathématique ?

13

Le trouble qui ne manque pas de s’insinuer dans la cosmologie de l’univers en expansion, n’est-ce pas le retour à une cosmologie purement mathématique ?

Dans les métriques correspondant à des espace-temps homogènes et isotropes, la constante qui spécifie la géométrie, d’une part, et le rayon de courbure qui varie en fonction du temps, d’autre part, sont indépendants l’un de l’autre.
La coordonnée de distance entre deux événements situés sur une même tranche instantanée de l’univers va donc augmenter ou décroître au cours du temps en fonction de la seule géométrie. C’est là une conséquence du choix des coordonnées quo-mobiles, qui décrivent une dilatation de l’espace-temps et non le mouvement des galaxies dans l’espace-temps statique. Or, cette géométrisation du problème cosmologique, tel qu’il est posé dans le cadre de la relativité, rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa progression inexorable.

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

J'avoue ne pas comprendre le problème posé 

La constante de la métrique peut prendre la valeur -1, 0 ou 1 donc définissant la géométrie de Lobatchevski hyperbolique, plate euclidienne ou encore de Rieman et dans les deux premiers cas l'univers peut être potentiellement infini

C'est davantage la constante cosmologique qui va déterminer l'expansion en faisant plus que contrebalancer l'effet attractif gravitationnel 

Peu importe

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Un univers qui s'en contrebalance

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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il y a 27 minutes, zenalpha a dit :

La constante de la métrique peut prendre la valeur -1, 0 ou 1 donc définissant la géométrie de Lobatchevski hyperbolique, plate euclidienne ou encore de Rieman et dans les deux premiers cas l'univers peut être potentiellement infini

C'est davantage la constante cosmologique qui va déterminer l'expansion en faisant plus que contrebalancer l'effet attractif gravitationnel 

Possible...

il y a 22 minutes, Vintage a dit :

Un univers qui s'en contrebalance

Reste à savoir de quel genre d'univers il s'agit...

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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Une cosmologie purement mathématique ?

14

En effet, sans aller jusqu’à spéculer sur la nature même de l’événement origine, il existe des modèles où la rupture provoquée par l’origine est annulée parce que l’origine devient un événement parmi d’autres. Il s’agit des modèles munis de courbes de temps fermé, où l’origine est en principe répétable. Qu’est-ce que cette possibilité purement mathématique a affaire avec la réalité et l’expérience que nous en avons ? Quel enseignement pouvons-nous tirer de ces possibilités extrêmes pour les autres modèles, qui sont censés aller de pair avec le réel, et parmi lesquels se trouve en principe le candidat le plus plausible ?

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, Francis-Charles a dit :

Une cosmologie purement mathématique ?

14

En effet, sans aller jusqu’à spéculer sur la nature même de l’événement origine, il existe des modèles où la rupture provoquée par l’origine est annulée parce que l’origine devient un événement parmi d’autres. Il s’agit des modèles munis de courbes de temps fermé, où l’origine est en principe répétable. Qu’est-ce que cette possibilité purement mathématique a affaire avec la réalité et l’expérience que nous en avons ? Quel enseignement pouvons-nous tirer de ces possibilités extrêmes pour les autres modèles, qui sont censés aller de pair avec le réel, et parmi lesquels se trouve en principe le candidat le plus plausible ?

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

Kerszberg tente globalement de dénoncer l'utilisation des mathématiques comme méthode d'appréhension du réel.

Il a selon moi raison et tort.

Raison parce que des modèles theoriques sont faux ou incomplets donc que beaucoup de théories à l'ébauche ne passent pas ou ne passeront pas le stade de la nécessaire vérification expérimentale

Et tort pour la raison que le physicien ne sombre pas dans la métaphysique mathématique invérifiable avec des théories presentées comme référentes...mais fausses...par cette nécessaire vérification expérimentale.

Il sait en revanche que les mathématiques ont été des treuils ontologiques donc qu'on a decouvert des réalités avant de les observer grâce aux prédictions mathématiques issues de théories robustes

Bref, je trouve toujours une espèce de nostalgie larvée du philosophe qui pointe des limites connues des sciences pour valoriser une approche philosophique qui lui serait presque plus pertinente 

Personnellement, je trouve que la philosophie a beaucoup appuyé la réflection des scientifiques

Mais elle n'a jamais ce pouvoir de révolutionner l'intuition en la verifiant

J'entends quand Bergson prétend qu'en spatialisant le temps, on rate son essence...il faut entendre les philosophes.

Et pourtant l'espace temps est un objet dynamique ou temps et espace sont liés et seuls des calculs rendent compte d'un voyage physique dans l'espace et le temps.

Bref...la science est génératrice d'idées et filtre les idées et sa mesure est l'efficacité 

Si le philosophe envoyait une sonde sur Pluton, on l'entendrait mieux

Deleuze est tout aussi intéressant que discutable.

C'est moins ma tasse de thé que de discuter de ses concepts invérifiables que de parler de concepts à vérifier 

 

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Membre, Posté(e)
Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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il y a 26 minutes, zenalpha a dit :

Kerszberg tente globalement de dénoncer l'utilisation des mathématiques comme méthode d'appréhension du réel.

Il a selon moi raison et tort.

Raison parce que des modèles theoriques sont faux ou incomplets donc que beaucoup de théories à l'ébauche ne passent pas ou ne passeront pas le stade de la nécessaire vérification expérimentale

Et tort pour la raison que le physicien ne sombre pas dans la métaphysique mathématique invérifiable avec des théories presentées comme référentes...mais fausses...par cette nécessaire vérification expérimentale.

Donc, on peut facilement basculer d'une approbation à une désapprobation totale selon les modèles théoriques offerts.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 30 minutes, Francis-Charles a dit :

Donc, on peut facilement basculer d'une approbation à une désapprobation totale selon les modèles théoriques offerts.

Un modèle ne vaut pas l'autre et si tu veux envoyer une fusée sur mars, le cadre theorique est éprouvé.

Certaines théories sont extrêmement robustes et jamais prises à défaut 

Mais tu vois bien quand je réponds qu'il y a des modèles différents plus speculatifs qui cadrent nos représentations 

L'origine de l'univers est spéculatif et différent selon le cadre dans lequel on se place

Aucun ne répond aux questions métaphysique par définition...

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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L'origine de l'univers... théorie surprenante

Extrait :

En ce moment même, des êtres vivants sont en train de reculer dans le temps, dans un univers parallèle. Aussi saugrenu que cela puisse paraître, cette théorie est le résultat d'une étude scientifique publiée dans la revue Physical Review Letters, et elle pourrait bien bouleverser notre compréhension de l'univers, son origine, son avenir, le temps qui passe.

Julian Barbour, l'auteur principal de cette théorie, et ses collègues physiciens, suggèrent en fait que lorsque le Big Bang a eu lieu, ce n'est pas un univers qui a été créé, mais deux. L'un avançant dans le temps, et l'autre allant à reculons.

Flèche du temps symétrique

Cette idée défie complètement notre conception de la "flèche du temps", notion introduite par Arthur Eddington dans les années 1920 pour décrire le temps qui passe. Selon cette théorie, le temps s'écoule dans une seule direction. Le bois prend feu, mais jamais la fumée ne redevient du bois. Nous vieillissons, et ne serons jamais comme Benjamin Button.

Le hic: les lois de la physique s'appliquent peu importe le sens dans lequel le temps passe. Rien ne peut démonter a priori l'idée d'un univers parallèle allant dans un sens différent du notre.

"Le temps est un mystère, explique Barbour au DailyMail. En gros, toutes les lois physiques connues sont exactement pareilles peu importe dans quel sens le temps passe, et dans le monde dans lequel nous vivons tout va dans une direction."

Les physiciens ont utilisé un modèle informatique de simulation de notre univers, composé de 1000 particules. Ils ont analysé leur comportement et interactions lorsqu'elles étaient soumises à l'influence de la gravité.

A suivre

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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D'ou la célèbre chanson

"Quand tu avances quand je recule....la la la la la la la la la la la ule."

Elle est inspirée d'un double de nous dans l'autre univers

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Le 22/05/2018 à 07:44, zenalpha a dit :

Si on se demande dans l'univers si on peut faire correspondre notre instant présent en tous lieux de l'espace la réponse est non.

ronarad-iaf-e1455967055466.jpg

Je crois qu'ils l'ont tué ...

J'ai compris hier soir, mon présent était lui vivant, il s'appelle Ron Arad.

 

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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"Si on se demande dans l'univers si on peut faire correspondre notre instant présent en tous lieux de l'espace la réponse est non."

Cela me parait logique.

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zenalpha Membre 22 482 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 18 minutes, Francis-Charles a dit :

"Si on se demande dans l'univers si on peut faire correspondre notre instant présent en tous lieux de l'espace la réponse est non."

Cela me parait logique.

Pour Galilée ou Newton, le temps était absolu, le même pour tous

Intuitivement ça me paraît plus simple

C'est faux mais simple

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Francis-Charles Membre 3 995 messages
Baby Forumeur‚
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Une cosmologie purement mathématique ?

15

Par elle-même la notion d’« histoire » pose déjà problème pour la représentation relativiste de l’univers. La théorie de la relativité restreinte est construite pour incarner une représentation causale du temps : ses notions de simultanéité absolue et d’antériorité / postériorité temporelle absolue cadrent exactement avec le réquisit de causalité, c’est-à-dire que pour que des événements soient reliés temporellement, il faut et il suffit qu’on puisse spécifier une relation causale entre eux (la transmission d’un signal lumineux). Mais la situation se complique singulièrement lorsqu’on passe du niveau métrique au niveau topologique. Par exemple, si l’espace-temps prend la forme cylindrique métriquement équivalente à l’espace-temps minkowskien plat, la succession de trois événements perd son sens intuitif : deux points A et C situés de part et d’autre d’un point B (dans le cône du passé et dans le cône du futur de B) peuvent être connectés par une courbe de genre temps (une courbe dite causale) sans passer par B. Or, il se fait qu’un tel monde, bien que choquant pour l’expérience commune de la causalité, est compatible avec certaines solutions globales de l’espace-temps en relativité générale.

https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269

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Ce qui est faux paraît vrai aux grands paranoïacs. Fît du hasard ...

Tout est dans les apparences, le délire d'avoir toujours raison soit disant

Qui est celui qui est resté bloqué sur les axiomes déjà ?

 

 

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