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Macron évite le piège Algérien de la demande de repentance

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Ce livre s’inscrit dans la lignée du Livre noir du communisme, paru en 1997, et du succès éditorial qu’on lui connaît. Il a pour objet principal de dresser un bilan des aspects les plus dramatiques de la colonisation. Le terme de « colonialisme », préféré à celui de « colonisation », place d’emblée le point de vue et le départ de l’analyse du côté de ce qu’ont vécu et de ce que ressentent les colonisés. Il permet surtout d’englober toute une série de phénomènes allant des conquêtes, de l’extermination, de l’esclavage, de la déportation à l’exploitation économique et aux nouvelles formes de colonialisme. Rappelant que, pour Hannah Arendt, l’impérialisme colonial figure en bonne place aux côtés du nazisme et du communisme, les auteurs de ce livre abordent le colonialisme comme un totalitarisme, dont ils décryptent les crimes et les discours de légitimation qui les accompagnent. L’emprunt aux observations et aux analyses d’autres expériences historiques, et notamment de celle des régimes totalitaires, est donc pleinement revendiqué. Massacres, confiscations de biens, racisme et discriminations sont en effet des éléments communs à ces expériences.

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2005-5-page-117.htm

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
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il y a 39 minutes, Roger_Lococo a dit :

Les universalistes alias Jules Ferry, Lénine, Mahomet, l'Empereur Constantin

sur ce point je suis tout à fait d'accord pour mettre tous ces gens à peu près dans le même sac.

Personnellement je ne comprends pas vraiment le terme progressiste mais personnellement je ne m'y retrouve pas. À titre personnel, je n'ai aucune idéologie tout en étant plutôt à gauche. Et de mon point de vue, je pense que la gauche est aussi une utopie comme la plupart des choses, voir tout.

Je me dis souvent que « si l'humain n'avait pas cette avidité ancrée en lui, si l'humain (don il m'est difficile de nier que je ne fais pas parti) n'avait pas non plus cette volonté de domination permanente ou presque, si l'humain regardait la liberté comme « je fais ce que je veux, mais je dois respecter la liberté des autres, car ma liberté commence là où commence celle des autres », et je dois respecter mon environnement au sens le plus large du terme » alors nous ne pouvions vivre que dans un monde de bonheur car ainsi au moment où nous avons besoin des qualités particulières de quelqu'un, cette personne pourra sans doute en profiter un peu plus que les autres mais certainement pas d'une manière aussi épouvantable et dangereuse qu'aujourd'hui.

Je comprends parfaitement que chacun défend sa culture qu'il aime et qui fait parti de son quotidien, mais moi ma culture à été écrabouillée (je suis breton) par la culture française qui a imposé la sienne et traiter le breton comme une personne inférieure. Mais il ne faut surtout pas mélanger l'acculturation avec le fait d'imposer une culture à une autre. Il n'existe aucune culture univoque, y compris si on prend l'exemple de ce que les ethnologues appellent les sociétés archaïques (ne pas le prendre dans le sens négatif du terme même si l'inconscient est sans doute présent dans ce terme) qui ne soit le fruit de celle que la culture X à apporter à la culture Y qui lui avait été transmis par la culture W et à la fin on ne peut constater que aucune culture n'est en mesure d'évoluer sans les autres cultures qui lui sont les plus proches. Ainsi, le monde méditerranéen a été un parfait exemple un peu comme si il aurait été un hub de transmission des cultures entre le sud vers le nord, le nord vers le sud, l'est vers le sud, etc. et bien évidemment cette région auquel il faut rajouter bien entendu le Moyen-Orient qui peut être considéré très probablement comme un des premiers terreaux de la culture humaine en particulier en Anatolie, en Mésopotamie, (il ne faut pas oublier qu'au moments des âges des cavernes, j'exagère un peu sans doute car cela est plus récent, les habitants d'Anatolie ont envahi l'Europe pour des raisons climatiques, où vivait des populations humaines un peu différente.).

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
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il y a une heure, Roger_Lococo a dit :

Et que font les nationalistes conservateurs ? Pas d'Empire. Car leur conception même de la vie est d'investir leurs forces dans leur nation et non à l'étranger.

Pourriez-vous me préciser ce que le terme de nation veut dire selon vous ?

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
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il y a 16 minutes, fx. a dit :

Ce livre s’inscrit dans la lignée du Livre noir du communisme, paru en 1997, et du succès éditorial qu’on lui connaît. Il a pour objet principal de dresser un bilan des aspects les plus dramatiques de la colonisation. Le terme de « colonialisme », préféré à celui de « colonisation », place d’emblée le point de vue et le départ de l’analyse du côté de ce qu’ont vécu et de ce que ressentent les colonisés. Il permet surtout d’englober toute une série de phénomènes allant des conquêtes, de l’extermination, de l’esclavage, de la déportation à l’exploitation économique et aux nouvelles formes de colonialisme. Rappelant que, pour Hannah Arendt, l’impérialisme colonial figure en bonne place aux côtés du nazisme et du communisme, les auteurs de ce livre abordent le colonialisme comme un totalitarisme, dont ils décryptent les crimes et les discours de légitimation qui les accompagnent. L’emprunt aux observations et aux analyses d’autres expériences historiques, et notamment de celle des régimes totalitaires, est donc pleinement revendiqué. Massacres, confiscations de biens, racisme et discriminations sont en effet des éléments communs à ces expériences.

 

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2005-5-page-117.htm

en vous lisant, j'ai le sentiment de me lire avec de mon point de vue une connaissance probablement plus approfondie de votre part. En écrivant ceci vous risquez de recevoir des messages de rappel de la part de droit de réponse.

De plus je pense que vous avez l'avantage d'être sans doute un peu moins agressif que je peux l'être par moment, quand les gens commencent à m'énerver.

Qui ne dit rien consent. Je suppose donc que ce proverbe vous le trouverez très judicieux. Merci pour vos messages.

 

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 126 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Arn a dit :

c'est vous qui mélangez empires et totalitarisme. Le texte de Marc Ferro et l'ensemble du livre ne mélange absolument pas le terme empire et totalitarisme.

Quant aux photos orthographe j'en ai rien à foutre. J'ajoute que j'utilise la commande vocale pour écrire car du fait de ma maladie (SLA) il m'est difficile d'utiliser mon clavier.

Et j'ajoute que bizarrement tous les empires que vous avez cités pas un seul n'est européen. Normal parce que pour vous l'européen est un être supérieur

alors que l'européen n'est qu'un crétin chrétien

Marc Ferro est du coté des cocos, il pense coco...et approuve tout ce qui va dans son sens! et ne va certes pas encenser la colonisation puisque le marxiste était de toutes les révolutions anti coloniale!

Y compris et surtout en Algérie!

Les historiens des anciens pays colonisés sont beaucoup moins arbitraires...

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
il y a 29 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Elle aborde Cecil Rhodes ( et cite par opposition le cas francais ) , l'impérialisme , ... Dans les origines du totalitarisme mais n'établit pas une equivalence . Par ailleurs la dernière fois @Arncitait directement Arendt et a ensuite prétexte avoir perdu le bouquin quand j'ai commencé à donner des extraits , donc on est dans l'argument d'autorité version mytho .

Precisement Pour l'aspect bureaucratique elle oppose la colonisation de l'Algérie à la gestion bureaucratique de Cecil Rhodes . En soulignant au passage que les francais y sont allés à reculons pour ne pas laisser le champ libre aux anglais ....

 

Vous devriez vous nommer donneurs de leçons plutôt que droit de réponse.

Vous commencez à me gonfler avec cette histoire de mon livre de Hannah Arendt que je ne retrouve pas et pour le retrouver encore faudrait-il que je le cherche. C'est par le plus grand des hasards sur le palier de ma chambre que j'ai retrouvés, avec mes énormes difficultés de marche, tristes tropiques de Lévi-Strauss que j'avais lu en 1987 avec d'autres ouvrages d'ethnologie de Lévi-Strauss et d'autres personnes car en plus de mon activité professionnelle je suivais des cours d'ethnologie université de Strasbourg.

Comme vous ne me croyez sur rien je vais vous donner les détails.

Je vous ai déjà dit que j'avais une maladie qui me bloquait. Au mois de juin 2017 suite à de nombreux examens j'ai été diagnostiqué comme étant atteint d'une sclérose latérale amyotrophique autrement dit la maladie de Charcot même si je préfère le terme médical, et que les conséquences actuelles depuis environ huit mois et que je suis en incapacité de me déplacer seule dans la rue, et dans ma maison je ne peux marcher que si j'ai quelque chose pour me raccrocher. Par ailleurs, j'habite une maison de trois étages, une angevine simple, avec des escaliers en bois anciens et tant que j'ai encore mes bras, je peux encore arriver à descendre et monter un étage car ma chambre est au premier. Je le fais une fois par jour. Je suis à la retraite depuis avril, je vais avoir 64 ans le 5 janvier, donc mes enfants vivent leur vie, normal, sauf un de mes fils qui est autiste de haut niveau. Il lit entre 60 et 80 livres par an et en général ce ne sont que de très gros livre. Moi aussi je lis beaucoup depuis mon enfance, ma femme aussi, mon aîné aussi et ma fille aussi et même si ces deux parties leurs livres sont restés. C'est livre y en a dans toute la maison, je ne sais pas combien il y en a exactement au total (dans ma chambre, je n'en ai pas beaucoup environ 200).

 

Si on excepte la cuisine pas une seule pièce n'est vide de livres, qui compris dans les WC mais pas dans la salle de bain.

De par ma maladie avec lesquelles je vis et je dirais je fais avec, parce que de part mon vécu je suis une personne très flexible très adaptable (à l'âge de huit ans, mon père étend dans l'aviation civile, j'avais déjà habité dans cinq villes sur quatre pays sur quatre continents et cela ne s'est pas arrêté là. Au total, à l'heure d'aujourd'hui 17 villes neuf pays quatre continents. Et cela ne devrait pas changer), de par ma maladie je ne sors pratiquement pas de ma chambre et je ne vais jamais dehors sauf avec l'aide du kiné que je vois deux fois par semaine.

Alors si vous comprenez pas ou si vous ne voulez pas comprendre que je ne vais pas fouiller dans toutes les pièces pour retrouver le livre de Hannah Arendt je vous invite à partager ma maladie.

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a une heure, fx. a dit :

Ce livre s’inscrit dans la lignée du Livre noir du communisme, paru en 1997, et du succès éditorial qu’on lui connaît. Il a pour objet principal de dresser un bilan des aspects les plus dramatiques de la colonisation. Le terme de « colonialisme », préféré à celui de « colonisation », place d’emblée le point de vue et le départ de l’analyse du côté de ce qu’ont vécu et de ce que ressentent les colonisés. Il permet surtout d’englober toute une série de phénomènes allant des conquêtes, de l’extermination, de l’esclavage, de la déportation à l’exploitation économique et aux nouvelles formes de colonialisme. Rappelant que, pour Hannah Arendt, l’impérialisme colonial figure en bonne place aux côtés du nazisme et du communisme, les auteurs de ce livre abordent le colonialisme comme un totalitarisme, dont ils décryptent les crimes et les discours de légitimation qui les accompagnent. L’emprunt aux observations et aux analyses d’autres expériences historiques, et notamment de celle des régimes totalitaires, est donc pleinement revendiqué. Massacres, confiscations de biens, racisme et discriminations sont en effet des éléments communs à ces expériences.

 

https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2005-5-page-117.htm

Chez Arendt il n'y a eu que 2 totalitarismes et le colonialisme n'en fait pas partie . Je t'invite à nous citer directement Arendt plutôt que des copcols d'auteurs divers . La fin des origines du totalitarisme est "initium ut esset  creatus est homo ." Ce jeune algerien aurait dû s'en inspirer .

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 7 minutes, Arn a dit :

Vous devriez vous nommer donneurs de leçons plutôt que droit de réponse.

Je ne donne pas de leçon . Arendr n'établit pas l'équivalence totalitarisme colonialisme , il est donc legitime de Vous le rappeler . La dernière fois Vous Vous y êtes mis à 3 rien n'y a fait . Je n'ai pas perdu le livre je peux donc citer .

 

il y a 7 minutes, Arn a dit :

Vous commencez à me gonfler avec cette histoire de mon livre de Hannah Arendt que je ne retrouve pas

C'est normal , quand on est pris en flag c'est toujours désagréable .

 

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
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il y a 50 minutes, Morfou a dit :

Marc Ferro est du coté des cocos, il pense coco...et approuve tout ce qui va dans son sens! et ne va certes pas encenser la colonisation puisque le marxiste était de toutes les révolutions anti coloniale!

Y compris et surtout en Algérie!

Les historiens des anciens pays colonisés sont beaucoup moins arbitraires...

alors là franchement en lisant votre message j'ai rigolé. Marc Ferro communiste et pourtant je vous ai déjà écrit un message ou peut-être à quelqu'un d'autre mais en tout cas je vous le raidir.

Le tout début du livre noir du colonialisme (là 11e ligne du livre) écrit par environ 30 historiens la direction de Marc Ferro dit ceci :

le colonialisme : un totalitarisme ?

Que le livre noir du colonialisme forme couple avec le livre noir du communisme relève par ailleurs d'une évidente nécessité.

Et celui qui écrit cela et bien c'est Marc Ferro le communiste !

Marc Ferro, directeur d'Études à l'École des hautes études en sciences sociales. Il s'est toujours dit de gauche mais il s'est toujours dit non communiste. Alors bon vous y êtes pendant que vous y êtes traités moi aussi de communiste.

Ses compétences historiens ne sont discutées que par les négationnistes.

il y a 24 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Chez Arendt il n'y a eu que 2 totalitarismes et le colonialisme n'en fait pas partie . Je t'invite à nous citer directement Arendt plutôt que des copcols d'auteurs divers . La fin des origines du totalitarisme est "initium ut esset  creatus est homo ." Ce jeune algerien aurait dû s'en inspirer .

Je l'avais prévenu d'avance de votre réponse car vous êtes si prévisibles qu'on peut connaître votre réponse avant même que vous l'ayez posté la franchement je rigole

il y a 14 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je n'ai pas perdu le livre je peux donc citer .

 

Je que ce doit être le seul livre que vous possédez parce que je ne vous ai jamais vu parler d'un autre livre :p

Modifié par Arn
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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 1 heure, fx. a dit :

Il te faudra ramer encore un peu avant de nous vendre une extrême droite décoloniale et non impliquée dans des crimes d'état

L'extrême droite est un concept abstrait qui ne peut satisfaire qu'un individu grégaire dans ton genre pour qui tout ce qui n'est pas avec toi est contre toi.

Raison pour laquelle les personnes qui cherchent à discuter et non à se battre utilisent des mots signifiants. Et oui c'est rare, parce que penser c'est has been, c'est conservateur, c'est de droite.

Ce qui est innovant c'est de parler avec des mots privés de sens, ça te rappellera 1984 qui illustre à la perfection le totalitarisme que tu attaque-protège.

 

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
il y a 6 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je ne donne pas de leçon . Arendr n'établit pas l'équivalence totalitarisme colonialisme , il est donc legitime de Vous le rappeler . La dernière fois Vous Vous y êtes mis à 3 rien n'y a fait . Je n'ai pas perdu le livre je peux donc citer .

 

C'est normal , quand on est pris en flag c'est toujours désagréable .

 

Dites, là vous vous foutez vraiment de ma gueule, je vous ai expliqués ma maladie la sclérose latérale amyotrophique. Et je vous ai expliqué je vous ai déjà dit depuis longtemps que je ne cherche pas ce livre. Parce que j'ai autre chose à faire que de perdre mon temps pour des imbécillités. Je ne connais pas cette personne à qui vous avait répondu la même chose que moi par rapport à Hannah Arendt mais vous avez répondu exactement la même manière car vous êtes incapables de penser par vous-même et vous ne faites que nous sortir des liens Internet etc. mais à l'opposé vous n'exprimez jamais aucune idée personnelle.

Pour faire 3 m dans ma chambre en me raccrochant à différents meubles, il me faut environ cinq minutes. Je ne suis pas en mesure de me baisser sauf quelques secondes, je ne peux porter que des choses très légères. Alors vous pensez vous le négationnistes que je vais m'amuser aller fouiller dans toute ma maison de trois étages où il y a des livres partout pour retrouver le livre de Hannah Arendt. !

Je ne vous demande pas d'avoir de la compassion pour moi car ça j'en ai rien à foutre, je discute avec mes idées et pas avec ma maladie, mais je vous demande de comprendre cette chose dont vous me parlez depuis six mois trois mois c'est-à-dire que je ne trouve pas mon livre deux Hannah Arendt est une chose que vous ne seriez pas en mesure de faire non plus si vous vous trouviez dans la même situation que moi.

La seule raison pour laquelle je parle de ma maladie c'est parce que vous ne cessez de me harceler, moi j'appelle ça du harcèlement même si les soft, avec ce leader Hannah Arendt j'essaie de vous expliquer en détail je peux pas le faire et vous foutez de ma gueule. Si vous continuez je vais vous signaler.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 36 minutes, Arn a dit :

Dites, là vous vous foutez vraiment de ma gueule, je vous ai expliqués ma maladie la sclérose latérale amyotrophique. Et je vous ai expliqué je vous ai déjà dit depuis longtemps que je ne cherche pas ce livre. Parce que j'ai autre chose à faire que de perdre mon temps pour des imbécillités. Je ne connais pas cette personne à qui vous avait répondu la même chose que moi par rapport à Hannah Arendt mais vous avez répondu exactement la même manière car vous êtes incapables de penser par vous-même et vous ne faites que nous sortir des liens Internet etc. mais à l'opposé vous n'exprimez jamais aucune idée personnelle.

Pour faire 3 m dans ma chambre en me raccrochant à différents meubles, il me faut environ cinq minutes. Je ne suis pas en mesure de me baisser sauf quelques secondes, je ne peux porter que des choses très légères. Alors vous pensez vous le négationnistes que je vais m'amuser aller fouiller dans toute ma maison de trois étages où il y a des livres partout pour retrouver le livre de Hannah Arendt. !

Je ne vous demande pas d'avoir de la compassion pour moi car ça j'en ai rien à foutre, je discute avec mes idées et pas avec ma maladie, mais je vous demande de comprendre cette chose dont vous me parlez depuis six mois trois mois c'est-à-dire que je ne trouve pas mon livre deux Hannah Arendt est une chose que vous ne seriez pas en mesure de faire non plus si vous vous trouviez dans la même situation que moi.

La seule raison pour laquelle je parle de ma maladie c'est parce que vous ne cessez de me harceler, moi j'appelle ça du harcèlement même si les soft, avec ce leader Hannah Arendt j'essaie de vous expliquer en détail je peux pas le faire et vous foutez de ma gueule. Si vous continuez je vais vous signaler.

https://www.cairn.info/revue-internationale-et-strategique-2003-4-page-161.htm

 

Enfin, la Révolution française construit un discours sur l’universalisme – qui prend corps lors de l’épisode sénégalais des Quatre communes [2][2]  N.d.l.R. — Afin de remercier les combattants sénégalais... – essentiel pour la posture assimilationniste ou la trajectoire politique, au XXe siècle, d’un Blaise Diagne [3][3]  N.d.l.R. — Blaise Diagne (1872-1934) fut le premier.... Cette dernière dimension permet par ailleurs d’évoquer Hannah Arendt qui avait noté combien la France traitait ses colonisés « à la fois en frères et en sujets »[4][4]  Hannah Arendt, Les origines du totalitarisme, t. 2 :....

https://books.google.fr/books?id=oePbAwAAQBAJ&pg=PA3&lpg=PA3&dq=hannah+arendt+frères+et+sujets&source=bl&ots=vyinE57r47&sig=WI2PPyzFa5WD14aPORZ6ef1NjpA&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjq67bMr4DYAhVM6KQKHTDxB3o4ChDoAQgmMAA#v=onepage&q=hannah arendt frères et sujets&f=false

 

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Si vous le souhaitez je peux évidemment citer plus avant . Je vous parlais de l'opposition avec la colonisation sauce Cecil Rhodes, en espérant vous rafraichir la mémoire . Chacun notera qu'Arendt n'est jamais citée directement, devinez pourquoi ?

Arendt évidemment n'excuse pas , mais elle différencie bien les deux formes de colonialisme , notamment la "déshumanisation" du gouvernement à la Cecil Rhodes , bref là où vous faites dans l'homogénéité nous sommes déjà dans l'hétérogénéité, il n'y a pas eu un colonialisme . Pour Arendt la pensée raciale et la bureaucratie ont été construites pour servir l'expansion impérialiste , ce sont deux graines du totalitarisme , mais dans le même temps elle considère qu'il n'existe pas de racisme biologique côté français , bref on ne va pas ressortir tout le livre ici ce n'est pas le sujet mais vous commettez là un gros raccourci elle parle là de graines et c'est l'impérialisme continental qui donnera naissance aux totalitarismes ....

Par ailleurs pour Arendt le délitement de l'état-nation est une des origines du totalitarisme, pas sur que tout le monde cite cet aspect des choses , d'un autre côté le copcol d'auteur traitant chacun de l'aspect qu'il étudie ne permet évidemment pas cette vue d'ensemble et permet de tels raccourcis .

 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Arn a dit :

sur ce point je suis tout à fait d'accord pour mettre tous ces gens à peu près dans le même sac.

Personnellement je ne comprends pas vraiment le terme progressiste mais personnellement je ne m'y retrouve pas. À titre personnel, je n'ai aucune idéologie tout en étant plutôt à gauche. Et de mon point de vue, je pense que la gauche est aussi une utopie comme la plupart des choses, voir tout.

Zoom ton écran, tu vois le petit machin à côté de ton nom ? C'est ton idéologie, l'idéologie plus ou moins obligatoire dans ce pays et dans 26 autres.

Tous ceux qui n'y adhèrent pas sont appelés par les gens comme toi "extrême droite". Avant on disait hérétique ou bien dissident. Les autorités morales du pays le disent à la télé, à la radio dans la presse générale et spécialisée. Avant en Angleterre il y avait des gens contre l'UE on les appelait les eurosceptiques. Une opinion. Maintenant on les appelle les europhobes : une maladie.

Quand on prétend posséder la totalité du spectre politique et qu'on exclue les gens qui pensent différemment de la société, comme toi, alors on est en train de constituer un totalitarisme. Et c'est une caractéristique constante des universalismes, pour englober l'universel il suffit de réduire au silence tous ceux qui pensent autrement.

Pour ma part, je préfère canaliser nos pulsions meurtrières et mettre ceux qui pensent autrement derrière une frontière ou ils font ce que bon leur semble. C'est ce que les gars comme toi et @fx. vous appelez "extrême droite". Le conservatisme, c'est ça : conserver ce qu'on a constitué au fil des siècles, plutôt que de tout détruire pour "une utopie".

Citation

Je me dis souvent que « si l'humain n'avait pas cette avidité ancrée en lui, si l'humain (don il m'est difficile de nier que je ne fais pas parti) n'avait pas non plus cette volonté de domination permanente ou presque, si l'humain regardait la liberté comme « je fais ce que je veux, mais je dois respecter la liberté des autres, car ma liberté commence là où commence celle des autres », et je dois respecter mon environnement au sens le plus large du terme » alors nous ne pouvions vivre que dans un monde de bonheur car ainsi au moment où nous avons besoin des qualités particulières de quelqu'un, cette personne pourra sans doute en profiter un peu plus que les autres mais certainement pas d'une manière aussi épouvantable et dangereuse qu'aujourd'hui.

L'enfer est pavé de bonnes intentions, tout le monde sait ça. La gauche au nom de ses belles intentions a fait la colonisation dont elle rejette aujourd'hui la faute sur "l'extrême droite". Genre Jules Ferry c'est l'extrême droite.

ET grâce à tous les cons qui vont dire amen à tes mensonges, on remet une pièce dans la machine on repart pour un tour de "gauche" et de nouvelles exactions obligatoires dans lesquelles ne nous leurrons pas seuls les plus pauvres seront touchés. Alors guerre nucléaire ou réforme de l'homme par des prothèses informatiques obligatoire, piratables et buguées ? Quels sont tes nouveaux projets pour sauver le monde ?

Citation

Je comprends parfaitement que chacun défend sa culture qu'il aime et qui fait parti de son quotidien, mais moi ma culture à été écrabouillée (je suis breton) par la culture française qui a imposé la sienne et traiter le breton comme une personne inférieure. Mais il ne faut surtout pas mélanger l'acculturation avec le fait d'imposer une culture à une autre. Il n'existe aucune culture univoque, y compris si on prend l'exemple de ce que les ethnologues appellent les sociétés archaïques (ne pas le prendre dans le sens négatif du terme même si l'inconscient est sans doute présent dans ce terme) qui ne soit le fruit de celle que la culture X à apporter à la culture Y qui lui avait été transmis par la culture W et à la fin on ne peut constater que aucune culture n'est en mesure d'évoluer sans les autres cultures qui lui sont les plus proches.Ainsi, le monde méditerranéen a été un parfait exemple un peu comme si il aurait été un hub de transmission des cultures entre le sud vers le nord, le nord vers le sud, l'est vers le sud, etc. et bien évidemment cette région auquel il faut rajouter bien entendu le Moyen-Orient qui peut être considéré très probablement comme un des premiers terreaux de la culture humaine en particulier en Anatolie, en Mésopotamie, (il ne faut pas oublier qu'au moments des âges des cavernes, j'exagère un peu sans doute car cela est plus récent, les habitants d'Anatolie ont envahi l'Europe pour des raisons climatiques, où vivait des populations humaines un peu différente.).

Voila le progressisme tu demandais ce que c'est, et bien c'est ça.

Tu fais un constat historique plus ou moins orienté politiquement, tu décides que c'est l'incarnation divine du Bien et tu la rends obligatoire à tous, tout le temps, par la force. Et quand ça foire et que tu as causé des millions de morts tu décides que c'était l'extrême droite en fait, et que tu n'as trempé dans rien.

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
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Il y a 1 heure, Arn a dit :

Pourriez-vous me préciser ce que le terme de nation veut dire selon vous ?

En général, lorsque je doute j'utilise le dictionnaire de l'académie française, il est certes moche, mais ses définitions font foi.

NATION n. f. XIIe siècle, naciuns. Emprunté du latin natio, -onis, « naissance », puis « peuple, nation ».
img_fmono_72.gif I. Anciennt. Groupe de personnes possédant une origine commune. Spécialt. RELIG. Parfois avec la majuscule. Les nations, nom par lequel on désigne dans l'Écriture les peuples païens, par opposition au peuple élu. Le Christ prescrivit d'annoncer l'Évangile à toutes les nations. Saint Paul a été appelé l'Apôtre des nations. - HIST. Au Moyen Âge, terme utilisé dans l'université pour classer, suivant leur origine, les maîtres et les étudiants. L'Université de Paris comprenait au XIIesiècle quatre nations : celles de France, de Picardie, de Normandie et d'Allemagne. Les Quatre Nations, au XVIIe siècle, les populations des provinces du Roussillon, de Pignerol, d'Alsace et de Flandre, récemment rattachées à la France. Le collège des Quatre-Nations, fondé par Mazarin pour accueillir des élèves originaires de ces provinces, abrite aujourd'hui les cinq académies constituant l'Institut de France. img_fsymb_184.gif  Fig. Se dit plaisamment d'une catégorie d'individus qui possèdent des caractères, des intérêts communs, qui forment une sorte de société. La nation des dévots, des poètes, des gens de justice. La Fontaine parle dans ses « Fables » de la nation des belettes.
img_fmono_72.gif II. Communauté dont les membres sont unis par le sentiment d'une même origine, d'une même appartenance, d'une même destinée. img_fmono_73.gif 1. Ensemble de personnes établies sur un territoire et unies par des caractères ethniques, des traditions linguistiques, religieuses, etc. Chaque nation a ses coutumes, ses mœurs. La sagesse, le génie des nations. Une nation de soldats, de commerçants, de navigateurs, qui s'est illustrée dans le domaine de la guerre, du commerce, de la marine. Nation belliqueuse, pacifique, policée, barbare. On parlait de la nation italienne, de la nation allemande à l'époque où l'Italie et l'Allemagne étaient partagées en divers États. img_fmono_73.gif 2. L'ensemble des personnes formant la population d'un État déterminé, soumises à la même autorité politique souveraine ; par ext., l'entité étatique représentant cette collectivité. La nation française, espagnole. Deux nations ennemies, alliées. Une jeune nation. Les droits, les libertés, les lois que se donne une nation. img_fsymb_184.gif  Avec une majuscule, particulièrement depuis la Révolution française. La communauté, parfois considérée comme une personne juridique, que forment les individus régis par une même constitution. L'idée de Nation. La Nation délègue à ses représentants l'exercice de la souveraineté. Vive la Nation ! cri des troupes de Kellermann et de Dumouriez à la bataille de Valmy, en 1792. Spécialt. Pupille de la Nation, orphelin de guerre adopté par l'État et à qui est accordé jusqu'à sa majorité un soutien matériel et moral. img_fsymb_184.gif  DROIT INTERNATIONAL. La Société des Nations ou, par abréviation, la S.D.N., l'organisation réunissant un grand nombre d'États, créée en 1920 pour le maintien de la paix mondiale et le développement de la coopération entre les peuples. L'Organisation des Nations unies ou, par abréviation, l'O.N.U., l'organisation internationale fondée en 1945 selon les mêmes principes que la Société des Nations, à l'initiative des Alliés vainqueurs de l'Axe. Clause de la nation la plus favorisée, voir Clause. img_fmono_73.gif 3. Par ext. Se dit aussi de l'ensemble des citoyens considérés comme un corps social distinct des individus comme du gouvernement. S'adresser, en appeler à la nation. Demander des sacrifices à la nation. Spécialt. La nation en armes, appellation qu'on donne parfois à l'organisation de la défense nationale fondée sur le concours actif de chaque citoyen.

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
il y a 18 minutes, DroitDeRéponse a dit :

https://www.cairn.info/revue-internationale-et-strategique-2003-4-page-161.htm

 

Enfin, la Révolution française construit un discours sur l’universalisme – qui prend corps lors de l’épisode sénégalais des Quatre communes [2][2]  N.d.l.R. — Afin de remercier les combattants sénégalais... – essentiel pour la posture assimilationniste ou la trajectoire politique, au XXe siècle, d’un de.

[3][3]  N.d.l.R. — Blaise Diagne (1872-1934) fut le premier.... Cette dernière dimension permet par ailleurs d’évoquer Hannah Arendt qui avait noté combien la France traitait ses colonisés « à la fois en frères et en sujets »[4][4]  Hannah Arendt, Les origines du totalitarisme, t. 2 :....

https://books.google.fr/books?id=oePbAwAAQBAJ&pg=PA3&lpg=PA3&dq=hannah+arendt+frères+et+sujets&source=bl&ots=vyinE57r47&sig=WI2PPyzFa5WD14aPORZ6ef1NjpA&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjq67bMr4DYAhVM6KQKHTDxB3o4ChDoAQgmMAA#v=onepage&q=hannah arendt frères et sujets&f=false

 

========================================

Si vous le souhaitez je peux évidemment citer plus avant . Je vous parlais de l'opposition avec la colonisation sauce Cecil Rhodes, en espérant vous rafraichir la mémoire . Chacun notera qu'Arendt n'est jamais citée directement, devinez pourquoi ?

Arendt évidemment n'excuse pas , mais elle différencie bien les deux formes de colonialisme , notamment la "déshumanisation" du gouvernement à la Cecil Rhodes , bref là où vous faites dans l'homogénéité nous sommes déjà dans l'hétérogénéité, il n'y a pas eu un colonialisme .

 

J'écris ce qu'il y a eu un seul type de colonisation ? Et c'est bien pour cette raison que le terme colonialisme a été créé ou plus exactement l'impérialisme colonial faut surtout pas mélanger le terme colonialisme et le terme colonisation ce que j'ai faite parfois sans doute.

Blaise Diagne n'a pas été le seul à avoir été dans le gouvernement français on pourrait aussi parler d'Houphouët-Boigny ou de Senghor. Mais à l'opposé de ces deux personnes l'Ivoirien et le sénégalais, Blaise Diagne était favorable à l'assimilation et de ce point de vue il était assez isolé.

Jean-Pierre Dozon : ce qui est curieux et que le lien que vous me donnez est très critique parle vous par rapport à l'ouvrage. Par ailleurs Jean-Pierre Dozon est un spécialiste de l'Afrique effectivement mais ce n'est pas un spécialiste de la colonisation et il parle beaucoup plus de religions dans ses livres que de colonisation. Je crois que sur sa cinquantaine d'ouvrages il en a écrit que tout sur la colonisation..

Pourquoi ce lien ?

Si vous voulez citer d'autres choses n'hésitez surtout pas à le faire concernant Hannah Arendt mais je pense que vous perdriez votre temps à cela. Même si je lirai ce message s'il y en a

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 804 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 17 minutes, Arn a dit :

J'écris ce qu'il y a eu un seul type de colonisation ? Et c'est bien pour cette raison que le terme colonialisme a été créé ou plus exactement l'impérialisme colonial faut surtout pas mélanger le terme colonialisme et le terme colonisation ce que j'ai faite parfois sans doute.

Précisément, Arendt parle du colonialisme et distingue le français de l'anglais par exemple , et distingue également l'impérialisme continental . Ils revêtent des formes diverses , le colonialisme français ne s'est pas bâtit sur le racisme biologique par exemple , et le rapport aux colonisés était très différent du colonialisme à la Cecil Rhodes .

Citation

Blaise Diagne n'a pas été le seul à avoir été dans le gouvernement français on pourrait aussi parler d'Houphouët-Boigny ou de Senghor. Mais à l'opposé de ces deux personnes l'Ivoirien et le sénégalais, Blaise Diagne était favorable à l'assimilation et de ce point de vue il était assez isolé.

Jean-Pierre Dozon : ce qui est curieux et que le lien que vous me donnez est très critique parle vous par rapport à l'ouvrage. Par ailleurs Jean-Pierre Dozon est un spécialiste de l'Afrique effectivement mais ce n'est pas un spécialiste de la colonisation et il parle beaucoup plus de religions dans ses livres que de colonisation. Je crois que sur sa cinquantaine d'ouvrages il en a écrit que tout sur la colonisation..

Pourquoi ce lien ?

Si vous voulez citer d'autres choses n'hésitez surtout pas à le faire concernant Hannah Arendt mais je pense que vous perdriez votre temps à cela. Même si je lirai ce message s'il y en a

Parce que ce lien cite en gras le texte de Arendt , ce qui étaie mon propos entre la différence qu'il y avait entre le colonialisme Cecil Rhodes , allemand continental et français . Je ne cite jamais pour argument d'autorité , ça c'est bon pour les neuneus , je cite Arendt directement par ce lien  car j'ai la flemme de scanner . On peut être critique envers l'ouvrage ce n'est vraiment pas le problème du moment qu'on cite l'auteur directement et qu'on argumente .

 

 

 

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Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
il y a 28 minutes, Roger_Lococo a dit :

Voila le progressisme tu demandais ce que c'est, et bien c'est ça.

Tu fais un constat historique plus ou moins orienté politiquement, tu décides que c'est l'incarnation divine du Bien et tu la rends obligatoire à tous, tout le temps, par la force. Et quand ça foire et que tu as causé des millions de morts tu décide que c'était l'extrême droite en fait et que tu n'as trempé dans rien.

Ce n'est absolument pas des choses que je décide l mais c'est a réalité de l'existence. La culture francophone, parce que pour moi la culture française ne veut rien dire et d'ailleurs vous n'avez jamais été capables de m'en donner la moindre définition, s'est inspiré d'un grand nombre d'autres cultures (même parfois par la force des autres) et ceci comme toute culture.

Aujourd'hui, on sait parfaitement que les cultures qui veulent s'isoler sur elle-même sont des cultures stagnantes généralement peu cultivées. Une culture est incapable d'exister sans une autre culture ou plutôt ce sont les autres cultures. Si vous n'y et ceci c'est que vraiment vous est un pur idéologue ce que je crois vraiment d'ailleurs.

Où ai-je une seule fois écrit que je voulais utiliser la force pour mes convictions ? Jamais car je suis totalement opposé à la violence contrairement à vous qui êtes prêts à faire n'importe quoi pour ceux qui ne sont pas comme vous. Mon point de vue est celui de Brassens : « mourir pour des idées d'accord mais de mort lente ».

On sait parfaitement aujourd'hui pour vous donner un exemple, car on a vu cela en Australie avec la recherche de des ethnologues et aussi des scientifiques de sciences exactes qui ont constaté que, à un moment pour des raisons climatiques certaines tribus d'aborigènes australiens avaient été contraints de s'isoler et de ce faite ces quelques tribus ont fini d'exister par manque de diversité.

Les évolutions qu'elle soit-elle de notre planète, quand on parle de géologie ou de climat, n'ont pu se faire que par la diversité et sans la diversité on peut imaginer que notre planète ou que du moins la nature de notre planète n'existerait jamais.

De plus vous présumer qu'une culture est stable si je vous comprends bien alors qu'en réalité il n'existe jamais de culture stable et elles évoluent toujours à leur vitesse et d'une manière ou d'une autre. Si vous n'y et ceci il me sera vraiment difficile d'avoir confiance en un seul de vos message.

Ce que je cherche dans les échanges c'est d'avoir l'apport des autres mais dans votre cas et compte tenu de ce que vous écrivez vous ne pouvez rien m'apporter, alors qu'à beaucoup d'autres personnes qui m'apprennent des choses ; ce n'est pas du tout votre cas temps vous êtes un idéologue extrémiste.

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 124 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)
Le ‎06‎/‎12‎/‎2017 à 23:46, Pales a dit :

sCe jeune n'a peut être pas connu la Colonisation,ni la vécu mais a appris que l’Algérie aujourd’hui Libre a été Colonisé c'est l'Histoire de ses Aïeux racontée narrée par eux donc autant la sienne

C'est l'histoire de tous les peuples un jour d'avoir été Opprimé,il y en qui Oublie vite d'autre moins vite cela dépend de chaque vécu de part et d'autres

Le temps feras le reste..............Nous nous habituons a tout mais nous oublions difficilement tout

L'Afrique j'y ai passé 5 mois du N au S et d'E en O cette année (du 27 juin au 02 Décembre 2017) je sais le ressentie de ces populations

Elle a été aussi colonisée par l'empire ottoman et elle ne demande pas d'excuses sans fin aux turcs; non, ça commence à  bien faire de la ramener avec des histoires qui ont plus de cinquante ans. Demande t-on des excuses sans fin à l 'Allemagne pour le crimes nazis de la deuxième GM?

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, fx. a dit :

Si, au-delà des particularités des différents empires, le fait colonial a été marqué par d’évidentes constances – du fait de la circulation d’un certain nombre de personnels coloniaux dans cet ensemble ; d’un grand nombre d’emprunts et phénomènes mimétiques administratifs et culturels, dont on perçoit parfois la trace dans les terminologies… –, l’histoire coloniale française, depuis le milieu du XIXe siècle, a eu comme particularité de se développer dans un univers de référence marqué majoritairement par l’idéologie républicaine. Et elle a été accompagnée, davantage que d’autres, par la production d’un discours de justification fondé sur la notion d’« œuvre civilisatrice » qui a été popularisé de différentes façons, notamment par l’école. Un tel discours constituait une sorte de patrimoine commun de tous les gouvernants et de toutes forces politiques du pays (avec des variantes, certes, car un cer-tain réformisme colonial radical n’était parfois pas éloigné de l’anticolonialisme ; et le parti communiste a représenté un cas particulier). Mais, du fait qu’il y a eu en France, davantage qu’ailleurs, production d’un discours politique et idéologique de justification faisant référence aux droits de l’Homme et aux valeurs de la République – appuyé sur nombre de mythes (la France coloniale abolissant l’esclavage dans ses territoires à l’exemple de Savorgnan de Brazza ; la notion de civilisation liée consubstantiellement au monde blanc et européen, etc.) –, l’idée coloniale s’est installée et incrustée au sein même du discours républicain

...

Mais, au XIXe siècle, à un moment où le développement industriel et technique de l’Europe lui donnait les moyens de dominer les autres continents et où la plupart de ses États se lançaient dans la course aux colonies, il s’est produit un ralliement progressif des républicains à l’idée coloniale. La IIe République, après les journées de Juin, a inscrit dans sa Constitution que « le territoire de l’Algérie et des colonies est déclaré territoire français et sera régi par des lois particulières… », avec, déjà, une ruse juridique puisque la phrase poursuit «… jusqu’à ce qu’une loi spéciale les place sous le régime de la présente constitution ». Une annexion qui, au lendemain de la capitulation d’Abd El Kader, annonçait pourtant de nouvelles opérations militaires contre les populations algériennes, en contradiction totale avec ce beau principe affirmé dans le préambule de cette même Constitution selon lequel la République « respecte les nationalités étrangères, comme elle entend faire respecter la sienne ; n’entreprend aucune guerre dans des vues de conquête et n’emploie jamais ses forces contre la liberté d’aucun peuple ».

  • 4 Voir Manceron Gilles, 1885, le tournant colonial de la République, La Découverte/Poche, 2007, 166 p (...)

Ensuite, la IIIe République va, en l’absence d’un texte constitutionnel, à l’occasion de deux débats parlementaires de l’année 1885, légitimer, par l’inégalité des races et les devoirs de l’européen blanc, à la fois le projet colonial et l’œuvre civilisatrice de la France aux colonies4. Pendant trois quarts de siècle, la République française allait être coloniale et l’ensemble des forces politiques qui prétendaient jouer un rôle dans son gouvernement se sont ralliées, peu ou prou, à cette idée. Y compris le courant communiste. Constitué en 1920, il constituait la force politique de la société française la plus anticolonialiste, mais, lorsqu’il choisissait la voie de la participation au gouvernement ou de la conquête du pouvoir, il s’est senti obligé, du fait de la pression des idées dominantes, à composer avec elle, notamment dans des moments importants comme la fin des années 1930, la sortie de la Seconde Guerre mondiale (1943-1947) et l’enclenchement de la guerre d’Algérie (mars 1956). Paradoxalement, ses périodes les plus nettement anticolonialistes ont été celles qui coïncidaient avec ses replis sectaires (voir sa campagne contre la guerre du Rif, animée par Jacques Doriot, à l’époque où il défendait en France la ligne « classe contre classe »).

  • 5 Voir Manceron Gilles, Marianne et les colonies, une introduction à l’histoire coloniale de la Franc (...)

L’histoire de la République en France depuis le XIXe siècle a donc été celle d’une République coloniale. En contradiction avec les principes fondamentaux dont les républicains se réclamaient : ceux de la Déclaration des droits de l’Homme et de sa devise « Liberté, égalité, fraternité5 ». Pour penser l’histoire du monde communiste et de sa référence au socialisme, il est apparu nécessaire de forger le concept de « socialisme réel » et de le distinguer, comme objet d’étude historique, de l’idéal ou de la doctrine socialiste. De même, pour examiner le volet colonial de l’histoire de la République française, il paraît essentiel de distinguer l’histoire de l’idée ou la doctrine républicaine de l’étude de ce qu’on peut appeler, en particulier dans les colonies, la « République réelle ». Ce qui implique de mettre à jour les pratiques et les réalités des mondes coloniaux, auxquelles se superposent des ensembles réglementaires destinés à la fois à les « habiller » de droit républicain et à les dissimuler, et qui se trouvent en décalage avec les mythes et les discours à usage métropolitain

Le tropisme retrouvé du primat du lobby colonial

La mémoire actuelle du passé colonial dans la société française reste largement tributaire des mythes qui circulaient du temps des colonies, du fait du silence gêné sur ce sujet des institutions du pays qui ont, certes, cessé de diffuser massivement comme autrefois le discours de justification de la colonisation, mais qui ne l’ont pas démenti non plus. Dans ces conditions, le discours d’antan sur « l’œuvre civilisatrice » s’est retrouvé comme en suspens. Mais ce discours, qui a été le seul discours cohérent jamais tenu sur ce sujet par les institutions françaises, est resté très présent dans les esprits. Il n’a jamais été déconstruit ni remplacé et est donc resté intact et « prêt à resservir » encore aujourd’hui pour tous les partis politiques à la recherche d’un appoint électoral. D’autant que les principales forces politiques de la société française ont été impliquées, notamment la SFIO et une grande partie de la droite, dans la politique menée lors de la guerre d’Algérie. Et que les forces politiques minoritaires situées à l’extrême droite qui sont directement dépositaires de cette idéologie coloniale ancienne s’en sont fait les porte-parole depuis le milieu des années 1980 où elles ont repris de la vigueur et augmenté sensiblement leur assise électorale.

Depuis surtout une trentaine d’années, il se produit avec le lobby colonial – ou postcolonial, car, désormais, faute de défendre un projet colonial… il défend un passé – le même phénomène que celui qui s’est manifesté tout au long de la colonisation. Alors, les groupes d’intérêt qui militaient en faveur de la politique coloniale et étaient directement concernés par sa mise en œuvre ont presque toujours réussi à exercer un leadership politique auprès des principales forces politiques françaises. Un leadership qui a réussi, sauf en de très rares moments d’exceptions, à inspirer leurs positions en ce domaine et à faire obstacle aux décisions qu’elles n’approuvaient pas.

http://journals.openedition.org/revdh/252?lang=fr

Il a fallu attendre que, sous la Ve République, à partir de la fin de l’année 1959, le général De Gaulle définisse une politique algérienne qui ne résultait ni des volontés de la population européenne d’Algérie ni de celles de l’armée, pour que la Métropole (pour la première fois de son histoire coloniale depuis la première République), impose de nouveau sa volonté politique au parti colonial. Notons ce paradoxe : cela est revenu à un homme d’État qui, d’une certaine manière, avait été le bénéficiaire, le 13 mai 1958, de la dernière révolte victorieuse de la minorité européenne d’Algérie contre les institutions légales du pays (le gouvernement présidé par Pierre Pfimlin, largement investi par le Parlement, accusé de vouloir discuter avec le FLN). Et c’est le général de Gaulle qui a fait échouer les tentatives ultérieures de révolte de ce même groupe : la « semaine des barricades » de janvier 1960, puis le putsch des généraux d’avril 1961 et le combat de l’OAS.

Reste qu’en dehors de ces deux moments d’exception qu’ont constitué la Première République (sous la Convention et le Directoire) et la politique du général De Gaulle de 1959 à 1962, les forces politiques françaises ont toujours été, du temps des colonies, à la remorque du parti colonial et ont cédé devant ses blocages. Et tout indique que, depuis cinquante ans, le tropisme du primat du lobby colonial sur la politique française a vite retrouvé sa place.

...

Alors que l’amnistie consécutive aux Accords d’Évian n’a donc pas concerné les condamnations déjà prononcées pour des actes dans le cadre du putsch ou de l’OAS et que ces Accords prévoyaient au contraire les poursuites contre les actes ultérieurs commis par l’OAS, la loi du 23 décembre 1964 est allée un plus loin. Contrairement aux deux décrets du 22 mars 1962, elle a été la première à amnistier des membres de l’OAS condamnés pour des actes postérieurs aux accords d’Évian, à la condition qu’ils n’en aient pas été des dirigeants et aient eu moins de 21 ans au moment des faits. Elle instaurait aussi une « amnistie par mesure individuelle » vis-à-vis de condamnés à des peines de moins de quinze ans de prison qui n’avaient pas joué « un rôle déterminant » dans l’OAS11. Cent soixante-treize personnes ont ainsi bénéficié de cette amnistie par décret présidentiel. Mais la loi de 1964 précisait que cette amnistie « ne confère pas la réintégration dans l’ordre de la Légion d’honneur, ni dans l’ordre de la Libération, ni dans le droit au port de la médaille militaire » et « n’entraine pas la réintégration dans les fonctions publiques, civiles ou militaires, grades, offices publics ou ministériels. Elle ne donne lieu en aucun cas à reconstitution de carrière12 ». Toujours sous la présidence du général De Gaulle, après sa réélection au suffrage universel, la loi du 17 juin 1966 a étendu les possibilités d’amnistie pour des condamnations relatives au putsch ou à l’OAS, mais seulement pour les peines de moins de dix ans d’emprisonnement13. Cette fois, tout en maintenant l’absence de reconstitution de carrière14, elle ouvrait la possibilité, au cas par cas et sans que ce soit de droit, de restitution de décorations : « L’amnistie ne confère pas la réintégration dans l’ordre de la Légion d’honneur, dans l’ordre de la Libération, ni dans le droit au port de la médaille militaire. Toutefois, la réintégration peut être prononcée, pour chaque cas individuellement, à la demande du garde des sceaux, ministre de la justice, et, le cas échéant, du ministre intéressé, par décret du Président de la République, pris sur la proposition du grand chancelier compétent, après avis conforme du conseil de l’ordre. »

  • 15 Voir : Péju Marcel et Paulette, Le 17 octobre des Algériens, suivi de La triple occultation d’un ma (...)

Par ailleurs, cette même loi a aussi amnistié les crimes et délits commis par des membres des forces de l’ordre en France durant la guerre d’Algérie. Ce qui a conduit notamment à la clôture de toutes les instructions encore ouvertes suites à des plaintes déposées par des Algériens victimes de violences dans la région parisienne autour de la manifestation du 17 octobre 196115. Parallèlement, comme aucune amnistie n’avait été prévue pour les déserteurs et insoumis ayant refusé de faire la guerre d’Algérie et dont le Manifeste des 121 avait proclamé en septembre 1960 le « droit à l’insoumission », c’est une disposition de cette loi du 17 juin 1966 qui leur a, enfin, accordé l’amnistie leur permettant de revenir en France.

  • 16 Loi du 31 juillet 1968 (n° 68-697) : « Art. 1. Sont amnistiés de plein droit toutes les infractions (...)

Mais c’est à partir de la loi du 31 juillet 1968 qu’on peut parler d’un début de réhabilitation des responsables du putsch et de l’OAS. Elle les a entièrement amnistiés et leur a restitué leurs décorations sans qu’aucune condamnation politique ou morale à l’égard de leur action ne soit désormais engagée par les institutions de la République. Cette loi, en effet, a amnistié « de plein droit » toutes les infractions commises par des militaires servant en Algérie pendant la période des « événements ». Ce qui ne concernait plus que les condam-nations des putschistes et des membres de l’OAS puisque les crimes commis par les militaires obéissant aux autorités légales avaient déjà été amnistiés. Et cette amnistie entrainait leur « réintégration dans l’ordre de la Légion d’honneur, dans l’ordre de la Libération et dans le droit au port de la médaille militaire pour les décorations décernées pour faits de guerre16 ».

 

Voilà de quoi calmer les diverses velléités révisionnistes.

 

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 126 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a 57 minutes, Arn a dit :

alors là franchement en lisant votre message j'ai rigolé. Marc Ferro communiste et pourtant je vous ai déjà écrit un message ou peut-être à quelqu'un d'autre mais en tout cas je vous le raidir.

Le tout début du livre noir du colonialisme (là 11e ligne du livre) écrit par environ 30 historiens la direction de Marc Ferro dit ceci :

le colonialisme : un totalitarisme ?

Que le livre noir du colonialisme forme couple avec le livre noir du communisme relève par ailleurs d'une évidente nécessité.

Et celui qui écrit cela et bien c'est Marc Ferro le communiste !

Marc Ferro, directeur d'Études à l'École des hautes études en sciences sociales. Il s'est toujours dit de gauche mais il s'est toujours dit non communiste. Alors bon vous y êtes pendant que vous y êtes traités moi aussi de communiste.

Ses compétences historiens ne sont discutées que par les négationnistes.

Je l'avais prévenu d'avance de votre réponse car vous êtes si prévisibles qu'on peut connaître votre réponse avant même que vous l'ayez posté la franchement je rigole

Je que ce doit être le seul livre que vous possédez parce que je ne vous ai jamais vu parler d'un autre livre :p

Marc Ferro est l'auteur d'une biographie de Nicolas II parue en 1990 et traduite dans de nombreuses langues, mais interdite à Ekaterinbourg10. Dans son dernier chapitre, l'ouvrage évoque de nouveaux[réf. nécessaire] éléments tels que l'intégrale du dossier Sokholov, les archives diplomatiques européennes postérieures à juillet 1918, qu'il désigne en 2002 comme « un tabou de l'Histoire », la « seconde mort de Nicolas II » déjà traité par Marina Grey : le massacre de toute la famille Romanov à Ekaterinbourg ne serait pas avéré. Seuls selon lui l'empereur Nicolas II — et peut-être son fils Alexis — aurait été tué à Ekaterinbourg en juillet 1918 : l'impératrice et les quatre filles furent évacuées à Perm afin d'être échangées avec l'Allemagne, l'Espagne et le Vatican. Parmi elles Maria et Olga auraient vécu plusieurs décennies et gardé le contact. En 2002, dans Les Tabous de l'histoire et en 2011 dans l'introduction à la réimpression de sa biographie, il émet l'hypothèse que le tsarévitch n'a pas non plus été tué à Ekaterinbourg, mais a survécu en URSS où il a eu, comme Maria Nicolaievna Romanov, mariée au prince ukrainien Nicolas Dolgorouki en Europe occidentale sous un faux nom, une descendance. Dans cette hypothèse, Anna Anderson serait bien Anastasia, elle qui déclara toute sa vie — de manière peu claire, il est vrai — « que les choses ne s'étaient absolument pas passées comme on l'avait dit » et qui a bien tenté au moins une fois de prendre la fuite en septembre 1918 à Perm quand elle s'y trouvait prisonnière avec ses sœurs et sa mère. Tous ces éléments, il les a à nouveau consignés en 2012 dans son dernier livre, La vérité sur la tragédie des Romanov ; l'ex-impératrice et les grandes-duchesses ont survécu. On y voit notamment ainsi qu'un télégramme du duc de Hesse frère de l'ex-tsarine à sa sœur Vittoria indiquant fin septembre 1918 qu'« Alix et tous les enfants sont en vie » et une photographie de famille de Maria et d'Olga Nicolaievna Romanov ensemble en 1957 sur la côte d'Azur.

-------------Vous croyez ce que vous voulez, mais si cette histoire est véridique, des générations d'historiens et de journalistes sans compter d'écrivains, et les différents gouvernements "impliqués" n'y ont vu que du feu sauf, sauf, Ferro...

Qu'est-ce qui empêchait la vérité de sortir du bois?:D

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