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Simonnet (LFI) refuse de quitter son logement social pour ne pas «enrichir un propriétaire»

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DroitDeRéponse

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 1 heure, chanou 34 a dit :

Ok pour tout ça, mais le problème n'est pas tellement là ( après tout si elle peut rester légalement dans cet appartement pourquoi pas? Moi je m'en fous) mais dans sa justification à la con...j'avais la faiblesse de prêter aux élus de la république un minimum d'intelligence. Je crois de plus en plus ( cette affaire n'en étant qu'une de plus et pas forcément la plus "grave" de ce point de vue) qu'il va falloir que je change d'opinion sur le sujet...et ça m'emmerde sérieusement, parce qu'il y a quand même beaucoup de choses dans notre vie qui dépendent des décisions prises par lesdits élus. Je finirai par ne plus voter du tout, pour ne pas risquer d'élire un ou une imbécile.

Oui, il ne faut surtout pas se laisser manipuler par la presse des milliardaires ! Il faut bien s'informer et c'est complexe quand la presse appartient à 90 % à des milliardaires + ou - en lien avec les pouvoirs politiques, économiques ...

Il faut toujours se demander d'où vient l'info, quel est son but, qui la relaie ... 

Par exemple, à propos du logement social, sait-on que "La réforme Macron de l'APL et des loyers HLM, c'est la fin du logement social"

Lire : Eddie Jacquemart, président de la CNL-Confédération nationale du logement sur la réforme de l'APL et des loyers HLM. Pour lui "cette réforme cachée de monsieur Macron vise à réorganiser le marché immobilier en marché financier au détriment du droit au logement pour tous". https://www.humanite.fr/la-reforme-macron-de-lapl-et-des-loyers-hlm-cest-la-fin-du-logement-social-644151

;)

Soit on aborde les questions au fond, soit on fait de la diversion pour instrumentaliser et 

influencer l'opinion publique ! 

C'est une question de DEMOCRATIE !

Non ? 

(Quant aux manipulations malhonnêtes et 'minables'  ... moi, je n'ai pas parlé du Bahrein ..... mais certains ne savent que  discréditer, insulter ...)

Pff... 

 

Modifié par LouiseAragon
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de toute façon quelque soit son parti, ou l'origine de l'information

Simmonet fait partie des politicards pourris qui profitent de leur statut...

APL ou loyer HLM, c'est un autre débat.

Chaque partie, même la France prétendue insoumise a ses brebis galeuses et cette malhonnête en fait partie....

Maintenant il est aussi sûr que des âmes bien intentionnées dénonceront les travers de  députés de FI alors qu'ils fermeraient totalement et servilement leur gueule s'il s'agissait de députés d'autres partis.

L'information n'est pas forcément manipulation....mais bon de droite ou de gauche on se met à hurler quand une vérité dérangeante est mise à jour....

Dénoncer les emplois fictifs de Pénélope Fifipicsou, manipulation ou information?

Dénoncer Simmonet manipulation ou information?

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Si le couple Corbière-Garrido a dû quitter son HLM, rien n'oblige Danielle Simonnet à le faire.

Car la conseillère de Paris, et proche de Jean-Luc Mélenchon, n'habite pas stricto sensu dans un logement social. Son 83 mètres carrés avec balcon du quartier Saint-Fargeau, dans le très populaire 20e arrondissement, n'est pas un HLM, même s'il est géré par la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), l'un des bailleurs sociaux de la capitale. 

http://www.lepoint.fr/politique/corbiere-garrido-simonnet-ces-insoumis-qui-jouent-avec-le-logement-social-26-10-2017-2167707_20.php#

 

Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

C'est un logement social payé par l'état et avec l'épargne des français. Et Mame Simmonet a tort. Expliquer qu'elle ne quittera pas son logement par conviction personnelle c'est juste une farce .

 

Ce n'est pas un logement social ni un hlm juste qu'il est géré par l'un des bailleurs sociaux et ce n'est pas une farce, personne ne peut l'obliger à quitter son logement. 

Modifié par samira123
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Quand peut-on dire qu’un logement est social ?

Derrière l’image des populations précaires et des grands ensembles, les HLM cachent une réalité beaucoup plus variée et disparate. L’idée que l’on s’en fait généralement concerne surtout les deux catégories les plus aidées. Il y a d’un côté le logement très social (appelé PLAI pour Prêt locatif aidé d’intégration dans le jargon des bailleurs sociaux) et de l’autre, le logement social «classique» (ou PLUS pour prêt locatif à usage social). La première catégorie vise les personnes en situation de grande précarité (gagnant moins de 12.722 euros par an à Paris et 11.060 euros ailleurs ou 27.186 euros avec un enfant à charge à Paris et 19.377 euros ailleurs) tandis que la seconde place la barre un peu plus haut: respectivement 23.127 et 45.311 euros à Paris contre 20.110 et 32.296 euros en province.

Mais au-delà de ce noyau dur, on trouve dans le parc des logements sociaux deux autres niveaux accessibles à la classe moyenne voire à la classe moyenne supérieure. Ainsi pour les logements dits PLS (financés par un prêt locatif social) et surtout les logements PLI (prêt locatif intermédiaire) les plafonds de revenus peuvent culminer à plus de 100.000 euros (106.051 euros pour un logement PLI occupé par 5 personnes). Ainsi, comme nous l’expliquions dans cette article, depuis que les commissions d’attribution des logements sociaux à Paris sont ouvertes au public, on peut y voir des dossiers étudiés concernant des maître de conférence à l’université, des manageurs dans de grandes enseignes, ou des ingénieurs d’études avec des revenus proches de 5 000 €/mois. Au total, près de 80 % des Parisiens sont éligibles à au moins l’une des 4 typologies de logements sociaux du parc.

Mais pour brouiller un peu plus le tableau, il faut rajouter les logements intermédiaires et les logements à loyer libre gérés par des bailleurs sociaux. Créé par une ordonnance du 19 février 2014, les logements intermédiaires visent la classe moyenne et les salariés d’entreprise. Ils sont souvent présentés comme le chaînon manquant entre logement social et logement privé avec des loyers plafonnés à 15 ou 20 % en dessous des prix du marché. S’ils appliquent également des plafonds de revenus pour leurs locataires, ce ne sont pas des logements sociaux pour autant et il est difficile d’en faire partir des occupants dont les revenus auraient grimpé jusqu’à dépasser les plafonds.

http://immobilier.lefigaro.fr/article/quand-peut-on-dire-qu-un-logement-est-social-_20527530-b532-11e5-bc9f-64aacf88fb64/

 

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Mais le plus gros problème, aux yeux de certains, c'est que Danielle Simonnet est France insoumise....

C'est ça pour eux le plus rédhibitoire,

le logement c'est juste un prétexte pour pouvoir condamner un FI.....même avec des propos mensongers....

alors qu'à mes yeux tous les profiteurs sont condamnables.....

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Membre, Posté(e)
'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
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il y a une heure, hybridex a dit :

le caractère saugrenu de la justification de cette dame. 

C'est plutôt ça qui interpelle... et pas tant le loyer ; moyenne du quartier : entre 1390 et 1670 € ; le sien n'est pas si exagérément plus bas que ça.

"Justement, qu'en serait-il pour l'élue si elle déménageait ? Marianne a comparé le montant de son loyer actuel (1.300 ) avec les plafonds en vigueur depuis que la loi Alur est testée dans la capitale. Résultat : le loyer de référence fixé par l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap) pour un 83 mètres carrés à Saint-Fargeau est de 1.394 €, et le plafond de 1.676 €."

Pas vraiment non plus un avantage exorbitant entre ses revenus et ce loyer. Je sais pas s'il y a tant que ça de tranches de revenus inférieurs aux siens qui peuvent accéder à ce tarif, ça concerne des revenus pas vraiment dans les plus bas..
Les loyers de la Ville de Paris, j'en connais qui en ont depuis des années et sont pas près de les lâcher,  ils ne sont pas pour autant d'affreux profiteurs immoraux. Tout le monde fait pareil, et tient à garder un logement intéressant. Ça devient anormal et immoral, quand ça outrepasse et la légalité, et un passe-droit excessif outrancier au détriment des plus modestes. Ici on peut pas dire que c'est le cas.. Elle veut garder son logement un peu plus avantageux que la moyenne, loué dans des conditions légales. C'est pas de l'abnégation, certes ; mais pas un crime scandaleux non plus...

 

Sa justification par contre c'est un peu du nawak...  ceux louant dans le privé le font donc par choix pour encourager la spéculation immobilière et dédain du public  ?

J'avoue je comprends pas bien comment elle a pas réalisé le sens de son propos. Maladresse ? Inconscience ?  D'autant que la spéculation, un vrai problème, elle a justement travaillé dessus entre autres avec l'encadrement des loyers.

Donc, bon, en fait...   polémique pour une petite phrase.... encore :dort:

 

 

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 850 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
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Il y a 1 heure, dubandelaroche a dit :

le logement c'est juste un prétexte pour pouvoir condamner un FI.....

Ça c’est sûrement vrai aussi.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 612 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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Il y a 3 heures, samira123 a dit :

Si le couple Corbière-Garrido a dû quitter son HLM, rien n'oblige Danielle Simonnet à le faire.

Car la conseillère de Paris, et proche de Jean-Luc Mélenchon, n'habite pas stricto sensu dans un logement social. Son 83 mètres carrés avec balcon du quartier Saint-Fargeau, dans le très populaire 20e arrondissement, n'est pas un HLM, même s'il est géré par la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), l'un des bailleurs sociaux de la capitale. 

http://www.lepoint.fr/politique/corbiere-garrido-simonnet-ces-insoumis-qui-jouent-avec-le-logement-social-26-10-2017-2167707_20.php#

 

Ce n'est pas un logement social ni un hlm juste qu'il est géré par l'un des bailleurs sociaux et ce n'est pas une farce, personne ne peut l'obliger à quitter son logement. 

Son logement appartient à l'OPHLM les circonvolutions oratoires ne changent rien au fait . Que c'est son droit tout le monde est d'accord tout comme Ferrand avait le droit de prendre une telle Pour bailleur, ou Melenchon d'empocher l'argent de la vente de son local électoral payé sur fond public . La farce n'est pas ce droit MAIS la raison qu'elle invoque . 10 repetita 

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il y a 7 minutes, 'moiselle jeanne a dit :

 

Pas vraiment non plus un avantage exorbitant entre ses revenus et ce loyer. Je sais pas s'il y a tant que ça de tranches de revenus inférieurs aux siens qui peuvent accéder à ce tarif, ça concerne des revenus pas vraiment dans les plus bas..
Les loyers de la Ville de Paris, j'en connais qui en ont depuis des années et sont pas près de les lâcher,  ils ne sont pas pour autant d'affreux profiteurs immoraux. Tout le monde fait pareil, et tient à garder un logement intéressant. Ça devient anormal et immoral, quand ça outrepasse et la légalité, et un passe-droit excessif outrancier au détriment des plus modestes. Ici on peut pas dire que c'est le cas.. Elle veut garder son logement un peu plus avantageux que la moyenne, loué dans des conditions légales. C'est pas de l'abnégation, certes ; mais pas un crime scandaleux non plus...

 

 

 

 

Exactement, ce ne sont pas des profiteurs et d'après ce que j'ai compris, sur Paris, très peu ont les moyens de louer dans des privés qui sont beaucoup  trop chers d'où il y a  des logements intermédiaires pour la classe moyenne...Des logements ont été construits dans le but d'aider la classe moyenne, ceux qui sont entre les deux qui ne sont pas assez pauvres pour accéder à certains logements et pas assez riches pour aller dans le privé. Comme l'article que j'ai mis au dessus, si des agences acceptent de louer des logements à certains, il n'y a pas de raison que ceux-ci refusent. Si on trouve que cela est incorrect d'accorder un logement de  1 300 € à une personne qui a des ressources de 4 000 €, à combien on estime le montant des ressources pour que cela paraît correct, en sachant que la personne n'aurait pas le droit aux APL. 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 612 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a une heure, 'moiselle jeanne a dit :

C'est plutôt ça qui interpelle... et pas tant le loyer ; moyenne du quartier : entre 1390 et 1670 € ; le sien n'est pas si exagérément plus bas que ça.

"Justement, qu'en serait-il pour l'élue si elle déménageait ? Marianne a comparé le montant de son loyer actuel (1.300 ) avec les plafonds en vigueur depuis que la loi Alur est testée dans la capitale. Résultat : le loyer de référence fixé par l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap) pour un 83 mètres carrés à Saint-Fargeau est de 1.394 €, et le plafond de 1.676 €."

Pas vraiment non plus un avantage exorbitant entre ses revenus et ce loyer. Je sais pas s'il y a tant que ça de tranches de revenus inférieurs aux siens qui peuvent accéder à ce tarif, ça concerne des revenus pas vraiment dans les plus bas..
Les loyers de la Ville de Paris, j'en connais qui en ont depuis des années et sont pas près de les lâcher,  ils ne sont pas pour autant d'affreux profiteurs immoraux. Tout le monde fait pareil, et tient à garder un logement intéressant. Ça devient anormal et immoral, quand ça outrepasse et la légalité, et un passe-droit excessif outrancier au détriment des plus modestes. Ici on peut pas dire que c'est le cas.. Elle veut garder son logement un peu plus avantageux que la moyenne, loué dans des conditions légales. C'est pas de l'abnégation, certes ; mais pas un crime scandaleux non plus...

 

Sa justification par contre c'est un peu du nawak...  ceux louant dans le privé le font donc par choix pour encourager la spéculation immobilière et dédain du public  ?

J'avoue je comprends pas bien comment elle a pas réalisé le sens de son propos. Maladresse ? Inconscience ?  D'autant que la spéculation, un vrai problème, elle a justement travaillé dessus entre autres avec l'encadrement des loyers.

Donc, bon, en fait...   polémique pour une petite phrase.... encore :dort:

 

 

Les polémiques pour les petites phrases sont nombreuses en ce moment . Elles servent à affûter les slogans et les oppositions politiques . C'est tendance et bien pratique pour les banderoles . Il n'y a pas de raison de laisser l'exclusivité , comme on fait son lit  :dort:

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
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Le ‎26‎/‎10‎/‎2017 à 12:35, DroitDeRéponse a dit :

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2017/10/26/25001-20171026ARTFIG00128-simonnet-lfi-refuse-de-quitter-son-logement-social-pour-ne-pas-enrichir-un-proprietaire.php

LE SCAN POLITIQUE - Épinglée par Le Parisien pour l'appartement de 83m² qu'elle occupe légalement dans le XXe arrondissement, l'élue de Paris affirme qu'elle ne veut pas «participer à la spéculation immobilière».

Les polémiques se suivent et se ressemblent à la France insoumise. Après le couple Garrido-Corbière, qui s'est illustré en rechignant à quitter l'habitation à loyer modéré (HLM) qu'il occupe à Paris, c'est désormais Danielle Simonnet qui est épinglée par Le Parisien pour le logement social dont elle bénéficie légalement dans le XXe arrondissement de la capitale. En effet, la porte-parole de Jean-Luc Mélenchon vit dans un spacieux appartement de 83m² avec balcon pour 1300€ par mois.

Ce tarif, dont elle jouit depuis qu'il a été fixé par la Régie immobilière de la Ville de Paris en 1999, est très largement en-dessous de ceux du marché. Mas cela ne semble pas déranger l'élue francilienne. Interrogée par le quotidien, la conseillère de Paris - dont le revenu mensuel brut s'élève à 4190€ bruts -, explique qu'elle n'entend absolument pas quitter ce logement. «Je ne veux pas me loger dans le privé, enrichir un propriétaire privé et participer à la spéculation immobilière», justifie-t-elle.

 

=====================================================================================

Quelle abnégation :sleep:

 

Bsr DroitDeRéponse,

 

Comment enrichir un propriétaire privé qui va se trouver touché par une taxe a cause de la suppression de l'ISF?. En tant qu'insoumise elle devrait s'attaquer a la spéculation financière, le berceau du jupitérien présidents des riches, un berceau qui ne crée pas d'emploi.

 

a+

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'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
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il y a 49 minutes, samira123 a dit :

Exactement, ce ne sont pas des profiteurs et d'après ce que j'ai compris, sur Paris, très peu ont les moyens de louer dans des privés qui sont beaucoup  trop chers d'où il y a  des logements intermédiaires pour la classe moyenne...Des logements ont été construits dans le but d'aider la classe moyenne, ceux qui sont entre les deux qui ne sont pas assez pauvres pour accéder à certains logements et pas assez riches pour aller dans le privé. Comme l'article que j'ai mis au dessus, si des agences acceptent de louer des logements à certains, il n'y a pas de raison que ceux-ci refusent. Si on trouve que cela est incorrect d'accorder un logement de  1 300 € à une personne qui a des ressources de 4 000 €, à combien on estime le montant des ressources pour que cela paraît correct, en sachant que la personne n'aurait pas le droit aux APL. 

ll y a aussi maintenant l'encadrement des loyers privés aussi, pour pallier aux prix trop éhontés, destiné à tous ces gens entre-deux qui n'arrivent plus à se loger dans Paris intra-muros . Comme disait l'article de Marianne, celui qu'elle loue est légèrement moins cher que la moyenne du privé de cet encadrement, mais pas de beaucoup. Elle n'a pas un statut de supra-privilégiée.

 

Quand à sa justification, je crois qu'elle n'a pas réalisé ce que ça sous-entendait, tout simplement. (c'est pas parce que, elle, elle est loue dans le public pour pas encourager la spéculation, que tout le monde peut faire pareil...  les autres s'en passeraient bien aussi, mais ont guère le choix). Soit maladresse, soit inconscience, avec cette formulation plutôt mal à propos.

D'autant plus que la lutte contre la spéculation immobilière, les loyers modérés, c'est dans son programme, une partie importante de son engagement, et elle s'y est consacrée depuis qu'elle est en poste.

http://www.liberation.fr/france/2013/09/12/danielle-simonnet-l-austerite-coute-cher-aux-citoyens_931416

 

Modifié par 'moiselle jeanne
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Et bien non. Sachez que ce logement n’est pas un logement social. Quand j’y suis rentrée en 2003, la RIVP était ravie car je laissais mon deux pièces qui lui, était en logement social pour entrer dans un loyer libre, sans conditions de ressources. Mon logement ne bénéficie pas d’un seul centime d’argent public. 

Un logement en loyer libre est un ancien logement social dont les années de location en logement social ont amorti les aides publiques du départ. Ces loyers collectés contribuent de fait au financement du logement social. Si je louais dans le secteur privé, comme beaucoup sont contraints de le faire, j’enrichirais juste un propriétaire privé. 

Si je quitte ce logement loyer libre, la famille qui viendra l’occuper ne sera pas une famille éligible au logement social, mais une famille ayant les mêmes revenus ou même plus élevés que les miens. D’ailleurs, si mon logement faisait l’objet d’un re-conventionnement logement social en PLI, pour une famille de deux adultes et deux enfants, le plafond de ressources serait dans ce cas à 89 656€. 

En 2014, au début de la mandature, l’exécutif municipal m’a bien précisé que ma situation ne relevait pas du logement social, que je n’étais pas dans un HLM et que je n’avais donc pas à déménager. Aucun ne m’a alors dit, « rester dans ce logement auquel tu as droit en tant que citoyenne est immoral en tant qu’élue ». Alexis Corbière était d’ailleurs dans le même cas.

Suis-je la seule parisienne qui bénéficie d’un logement loyer libre pour le montant de ce loyer et avec le niveau de mes revenus ? Non, bien évidemment et ma situation financière correspond à celle de l’ensemble des résidents en loyer libre. Il n’y a donc aucune « affaire » dans tout cela. J’entends être traitée comme toute autre citoyenne, ni plus, ni moins.

Tiens, ils sont aussi très silencieux sur l’encadrement de direction de ces grands bailleurs sociaux, car à la RIVP et à Paris Habitat, les hauts salaires étaient autour de 15 000€ par mois encore en début de mandature et j’étais la première à le dénoncer. On en parle ? Ils ont été depuis « normalisés », mais à combien ? Et où vivent-ils ? 

Tiens, le gouvernement Macron en exigeant la baisse des loyers consécutive à la baisse des APL va tuer le logement social encore plus rapidement que ne l’a fait Thatcher. On en parle ?

Évidemment, le fait que cette « non affaire » sorte le même jour de l’accusation d’emploi fictif à l’encontre d’Anne Hidalgo et de l’article du canard enchainé sur les problèmes de comptes de campagne de 300 candidats LREM aux législatives est très certainement un pur hasard et non une tentative de contre feu…

Maintenant, profitons de cette polémique nauséabonde pour parler du fond, des politiques en matière de Logement. Mon engagement politique a toujours été de lutter pour le droit au logement et contre la spéculation immobilière. Depuis le début de la mandature, je dénonce les programmes de la ville qui privilégient les logements en PLS au détriment des logements très sociaux en PLAI et PLUS. Le fait est que ces politiques discriminent les familles les plus dans le besoin. Quand il faut 10 ans d’attente pour accéder à un logement réellement social, l’accès aux logements intermédiaires et aux loyers libres est très rapide, comme mon exemple d’ailleurs en atteste. J’ai demandé en vain jusqu’ici le nombre de logement en loyer libre qui restent vacants.

L’exécutif a toujours contre argumenté au nom de la « mixité sociale », terrible concept qui vise à mépriser les classes populaires et faire croire que leurs conditions de vie changeraient si on virait une partie d’entre elles pour mettre à la place des familles de couches moyennes à élevées du salariat. Autre argument plus pertinent souvent avancé, il ne faut pas réserver le logement social aux plus démunis mais défendre également une politique de logement public. Bien sûr, je suis favorable au logement public, c’est pour cela que j’y habite. Mais j’ai toujours défendu, et souvent bien seule au sein du conseil, qu’en matière de nouveaux logements à créer, la priorité au social devait être accordée. 

Les pourcentages entre les différentes catégories de logements créés devraient reprendre les pourcentages des natures sociales des demandes. Hors, sur tout nouveau projet, on assiste en moyenne à un tiers de logements privés spéculatifs, un tiers de logements intermédiaires ou PLS pour seulement un tiers de logements réellement sociaux. Évidemment, les élus du conseil de Paris, républicains qui se sont toujours opposés au logement social dans leurs quartiers de riches privilégiés ont toujours refusé cette position. Mais les élus de la majorité PS et PCF et actuellement LREM également. Seul le groupe EELV et moi-même défendons ce refus d’un tiers privé et un tiers PLS pour seulement un tiers réellement social. 

Ce qui est le plus pervers dans les attaques que je subis aujourd’hui, c’est que le discours de celles et ceux qui s’y engouffrent, journalistes et élu-e-s, vise à culpabiliser celles et ceux qui sont en logement loyer libre et logements sociaux, comme s’ils étaient responsables des nombreuses familles sans logement ou mal logées.

Quand enfin les politiques en matière de logement considéreront que le droit au logement doit l’emporter sur le droit de spéculer sur le logement ? Que la justesse d’un loyer serait qu’il corresponde à sa valeur d’usage et à son coût et non à la loi du marché et des logiques spéculatives ? 

Les profiteurs et les assistés du système ne sont pas ceux que l’on croit. Ce ne sont pas celles et ceux qui sont en logement social et en loyer libre, mais celles et ceux qui sont multipropriétaires, relouent et spéculent leurs propriétés, comme celles et ceux qui défendent leurs intérêts. 

Des gouvernements Sarkozy, en passant par Hollande puis Macron, et malgré la loi Duflot qui a été de suite vidée de sa maigre substance, rien n’a réellement été fait pour encadrer à la baisse les loyers et le foncier. Par contre, tout est fait et le pire se prépare pour asphyxier et privatiser le logement social et le logement public. 

https://fr-fr.facebook.com/DanielleSimonnetPG/posts/1501103829971728

 

il y a 25 minutes, 'moiselle jeanne a dit :

ll y a aussi maintenant l'encadrement des loyers privés aussi, pour pallier aux prix trop éhontés, destiné à tous ces gens entre-deux qui n'arrivent plus à se loger dans Paris intra-muros . Comme disait l'article de Marianne, celui qu'elle loue est légèrement moins cher que la moyenne du privé de cet encadrement, mais pas de beaucoup. Elle n'a pas un statut de supra-privilégiée.

 

Quand à sa justification, je crois qu'elle n'a pas réalisé ce que ça sous-entendait, tout simplement. (c'est pas parce que, elle, elle est loue dans le public pour pas encourager la spéculation, que tout le monde peut faire pareil...  les autres s'en passeraient bien aussi, mais ont guère le choix). Soit maladresse, soit inconscience, avec cette formulation plutôt mal à propos.

D'autant plus que la lutte contre la spéculation immobilière, les loyers modérés, c'est dans son programme, une partie importante de son engagement, et elle s'y est consacrée depuis qu'elle est en poste.

http://www.liberation.fr/france/2013/09/12/danielle-simonnet-l-austerite-coute-cher-aux-citoyens_931416

 

Je ne l'ai pas entendu et phrase trop courte pour savoir ce qu'elle entendait par là, il manque aussi le contexte  d'où d'ailleurs j'ai mis certains extraits de ce qu'elle évoque. 

Modifié par samira123
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'moiselle jeanne Membre 4 675 messages
Forumeur Débutant‚
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il y a 28 minutes, samira123 a dit :

Et bien non. Sachez que ce logement n’est pas un logement social. Quand j’y suis rentrée en 2003, la RIVP était ravie car je laissais mon deux pièces qui lui, était en logement social pour entrer dans un loyer libre, sans conditions de ressources. Mon logement ne bénéficie pas d’un seul centime d’argent public. 

Un logement en loyer libre est un ancien logement social dont les années de location en logement social ont amorti les aides publiques du départ. Ces loyers collectés contribuent de fait au financement du logement social. Si je louais dans le secteur privé, comme beaucoup sont contraints de le faire, j’enrichirais juste un propriétaire privé. 

Si je quitte ce logement loyer libre, la famille qui viendra l’occuper ne sera pas une famille éligible au logement social, mais une famille ayant les mêmes revenus ou même plus élevés que les miens. D’ailleurs, si mon logement faisait l’objet d’un re-conventionnement logement social en PLI, pour une famille de deux adultes et deux enfants, le plafond de ressources serait dans ce cas à 89 656€. 

En 2014, au début de la mandature, l’exécutif municipal m’a bien précisé que ma situation ne relevait pas du logement social, que je n’étais pas dans un HLM et que je n’avais donc pas à déménager. Aucun ne m’a alors dit, « rester dans ce logement auquel tu as droit en tant que citoyenne est immoral en tant qu’élue ». Alexis Corbière était d’ailleurs dans le même cas.

Suis-je la seule parisienne qui bénéficie d’un logement loyer libre pour le montant de ce loyer et avec le niveau de mes revenus ? Non, bien évidemment et ma situation financière correspond à celle de l’ensemble des résidents en loyer libre. Il n’y a donc aucune « affaire » dans tout cela. J’entends être traitée comme toute autre citoyenne, ni plus, ni moins.

Tiens, ils sont aussi très silencieux sur l’encadrement de direction de ces grands bailleurs sociaux, car à la RIVP et à Paris Habitat, les hauts salaires étaient autour de 15 000€ par mois encore en début de mandature et j’étais la première à le dénoncer. On en parle ? Ils ont été depuis « normalisés », mais à combien ? Et où vivent-ils ? 

Tiens, le gouvernement Macron en exigeant la baisse des loyers consécutive à la baisse des APL va tuer le logement social encore plus rapidement que ne l’a fait Thatcher. On en parle ?

Évidemment, le fait que cette « non affaire » sorte le même jour de l’accusation d’emploi fictif à l’encontre d’Anne Hidalgo et de l’article du canard enchainé sur les problèmes de comptes de campagne de 300 candidats LREM aux législatives est très certainement un pur hasard et non une tentative de contre feu…

Maintenant, profitons de cette polémique nauséabonde pour parler du fond, des politiques en matière de Logement. Mon engagement politique a toujours été de lutter pour le droit au logement et contre la spéculation immobilière. Depuis le début de la mandature, je dénonce les programmes de la ville qui privilégient les logements en PLS au détriment des logements très sociaux en PLAI et PLUS. Le fait est que ces politiques discriminent les familles les plus dans le besoin. Quand il faut 10 ans d’attente pour accéder à un logement réellement social, l’accès aux logements intermédiaires et aux loyers libres est très rapide, comme mon exemple d’ailleurs en atteste. J’ai demandé en vain jusqu’ici le nombre de logement en loyer libre qui restent vacants.

L’exécutif a toujours contre argumenté au nom de la « mixité sociale », terrible concept qui vise à mépriser les classes populaires et faire croire que leurs conditions de vie changeraient si on virait une partie d’entre elles pour mettre à la place des familles de couches moyennes à élevées du salariat. Autre argument plus pertinent souvent avancé, il ne faut pas réserver le logement social aux plus démunis mais défendre également une politique de logement public. Bien sûr, je suis favorable au logement public, c’est pour cela que j’y habite. Mais j’ai toujours défendu, et souvent bien seule au sein du conseil, qu’en matière de nouveaux logements à créer, la priorité au social devait être accordée. 

Les pourcentages entre les différentes catégories de logements créés devraient reprendre les pourcentages des natures sociales des demandes. Hors, sur tout nouveau projet, on assiste en moyenne à un tiers de logements privés spéculatifs, un tiers de logements intermédiaires ou PLS pour seulement un tiers de logements réellement sociaux. Évidemment, les élus du conseil de Paris, républicains qui se sont toujours opposés au logement social dans leurs quartiers de riches privilégiés ont toujours refusé cette position. Mais les élus de la majorité PS et PCF et actuellement LREM également. Seul le groupe EELV et moi-même défendons ce refus d’un tiers privé et un tiers PLS pour seulement un tiers réellement social. 

Ce qui est le plus pervers dans les attaques que je subis aujourd’hui, c’est que le discours de celles et ceux qui s’y engouffrent, journalistes et élu-e-s, vise à culpabiliser celles et ceux qui sont en logement loyer libre et logements sociaux, comme s’ils étaient responsables des nombreuses familles sans logement ou mal logées.

Quand enfin les politiques en matière de logement considéreront que le droit au logement doit l’emporter sur le droit de spéculer sur le logement ? Que la justesse d’un loyer serait qu’il corresponde à sa valeur d’usage et à son coût et non à la loi du marché et des logiques spéculatives ? 

Les profiteurs et les assistés du système ne sont pas ceux que l’on croit. Ce ne sont pas celles et ceux qui sont en logement social et en loyer libre, mais celles et ceux qui sont multipropriétaires, relouent et spéculent leurs propriétés, comme celles et ceux qui défendent leurs intérêts. 

Des gouvernements Sarkozy, en passant par Hollande puis Macron, et malgré la loi Duflot qui a été de suite vidée de sa maigre substance, rien n’a réellement été fait pour encadrer à la baisse les loyers et le foncier. Par contre, tout est fait et le pire se prépare pour asphyxier et privatiser le logement social et le logement public. 

https://fr-fr.facebook.com/DanielleSimonnetPG/posts/1501103829971728

 

Je ne l'ai pas entendu et phrase trop courte pour savoir ce qu'elle entendait par là, il manque aussi le contexte  d'où d'ailleurs j'ai mis certains extraits de ce qu'elle évoque. 

Je parlais de cette phrase : «Je ne veux pas me loger dans le privé, enrichir un propriétaire privé et participer à la spéculation immobilière.»

celle pointée dans l'article de départ du topic et cité par l'auteur de celui-ci ;)

 

Merci pour ce texte FB Samira : mise au point nécessaire et argumentée. Du coup on comprend mieux, que s' arrêter à une "petite phrase"

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 612 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a une heure, Abu nuwas a dit :

Bsr DroitDeRéponse,

 

Comment enrichir un propriétaire privé qui va se trouver touché par une taxe a cause de la suppression de l'ISF?. En tant qu'insoumise elle devrait s'attaquer a la spéculation financière, le berceau du jupitérien présidents des riches, un berceau qui ne crée pas d'emploi.

 

a+

L'isf a toujours concerné l'immobilier qui concerne toujours l'immobilier donc vous parlez sans savoir . C'est regrettable . L'erreur est humaine . Et ce n'est pas le sujet ;)

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, DroitDeRéponse a dit :

L'isf a toujours concerné l'immobilier qui concerne toujours l'immobilier donc vous parlez sans savoir . C'est regrettable . L'erreur est humaine . Et ce n'est pas le sujet ;)

 

Bsr DroitDeRéponse,

 

Rassurez vous, je le savais très bien. Voyez vous, c'est comme la feuille d'impot toujours a payer plus, bien avant la venu de Jupiter. Donc la pour l'immobilier c'est exactement kifkif, macron déshabille paul pour habiller jacques, ce qui je l'admet est regrettable, d'autant plus que jupiter vient d'un berceau qui ne crée pas de l'emploi, mais de l'argent, comme Jésus multipliait les petit pains. pour revenir au sujet je doute concernant cette personne que l'erreur soit humaine, mais plutôt financière.

 

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 612 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, 'moiselle jeanne a dit :

c'est pas parce que, elle, elle est loue dans le public pour pas encourager la spéculation

:ange2:

 

La bonne blague . Elle loue dans le public parce qu'elle y avait droit, qu'on lui a octroyé, on a parfois cette chance et que son bail est plus sur ,et que c'est 15% moins cher sur le quartier . Bon après bien sûr en 1999 elle s'est peut être dit tient je vais louer dans le public pour ne pas engraisser un propriétaire, on a des convictions ou on n'en a pas noméo .

 

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 612 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 13 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr DroitDeRéponse,

 

Rassurez vous, je le savais très bien.

 

En ce cas c'est pire abu, vous propagez une fausse info en le sachant .... ça porte un nom ;)

 

Il y a 1 heure, samira123 a dit :

Et bien non. Sachez que ce logement n’est pas un logement social. Quand j’y suis rentrée en 2003, la RIVP était ravie car je laissais mon deux pièces qui lui, était en logement social pour entrer dans un loyer libre, sans conditions de ressources. Mon logement ne bénéficie pas d’un seul centime d’argent public. 

 

Ah bon et comment est financé la construction de son logement ?

 

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 528 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, Mr Wolfe a dit :

Si elle gagne 4300 brut, elle a déjà de la chance d'avoir cet appart. Les proprios demandent en général 3x le montant du loyer en salaire NET.

Sauf qu'elle "partage" ce logement avec son compagnon qui gagne 3.800€ net mensuel.

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, DroitDeRéponse a dit :

En ce cas c'est pire abu, vous propagez une fausse info en le sachant .... ça porte un nom ;)

 

Ah bon et comment est financé la construction de son logement ?

 

Bsr DroitDeRéponse,

 

Une info qui stipule que nul est censé ignorer la loi, est-elle fausse pour autant, je me pose la question quand je vois les agissements de ceux qui nous gouvernent.

 

a+

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