Vos pires expériences au travail

Bonjour tout le monde  

Bon, tout est dans le titre, vous nous racontez ? Ca peut être les relations de travail, l'environnement, les tâches bien sûr, les horaires, les heures de trajet, etc etc etc... 

Dans une boîte où j'ai bossé il y a longtemps, il n'était pas rare de voir des classeurs ou des téléphones volants. La violence était omniprésente entre les deux frères qui tenaient la boîte, ils en venaient aux mains. J'étais impressionnable à l'époque et je me suis cachée plusieurs fois sous mon bureau 

Pas beaucoup de souvenirs de l'époque ou je bossais,ça remonte à trop loin...Un cependant,qui m'a fortement marqué,c'est le souvenir d'avoir fait pleurer un de mes apprentis.

Avec le recul,j'en suis pas fier du tout...et surtout,j'y pense toujours 25 ans après

Et cet apprenti est le frère de ma belle-sœur lol

Les supérieurs hiérarchiques qui vous donnent des ordres qu'ils ne faut pas discuter et qui ensuite vous mettent en porte à faux et vous demandent en pleine réunion: "Pourquoi avez-vous pris telle ou telle initiative totalement improductive ?" alors que c'est eux ont donné leur aval. Il faudrait tout enregistrer et ensuite leur mettre le nez dans leur merde.

il y a 14 minutes, Kid_Ordinn a dit :

Pas beaucoup de souvenirs de l'époque ou je bossais,ça remonte à trop loin...Un cependant,qui m'a fortement marqué,c'est le souvenir d'avoir fait pleurer un de mes apprentis.

Avec le recul,j'en suis pas fier du tout...et surtout,j'y pense toujours 25 ans après

Et cet apprenti est le frère de ma belle-sœur lol

Et lui, quel souvenir en garde-t-il ?

il y a 3 minutes, Colybris a dit :

Et lui, quel souvenir en garde-t-il ?

Aucune idée...

à l’instant, Kid_Ordinn a dit :

Aucune idée...

Ah ok. Désolée, je pensais qu'il y avait toujours un contact ;-)

il y a 1 minute, Colybris a dit :

Ah ok. Désolée, je pensais qu'il y avait toujours un contact ;-)

Ne le soit pas mais c'est gentil de l'être

il y a 41 minutes, Kid_Ordinn a dit :

Pas beaucoup de souvenirs de l'époque ou je bossais,ça remonte à trop loin...Un cependant,qui m'a fortement marqué,c'est le souvenir d'avoir fait pleurer un de mes apprentis.

Avec le recul,j'en suis pas fier du tout...et surtout,j'y pense toujours 25 ans après

Et cet apprenti est le frère de ma belle-sœur lol

Aïe... 

J'ai confondu une voleuse un jour, je l'ai sommée de rapporter l'objet volé (en l'espèce : ma propre montre). Elle a rapporté le bijou, elle a fondu en larmes et puis s'est littéralement laissée tomber parterre en se griffant la figure et en hurlant que son mari allait la tuer 

il y a 6 minutes, January a dit :

en hurlant que son mari allait la tuer 

January responsable d'un meurtre  C'était surement une façon de parler mais comment le savoir...La k(c)leptomanie est une maladie et ceux qui en sont atteint n'aiment pas être pris la main dans le sac,ça reste une honte.

Je dirais les relations de travail entre collègues, en ce moment c'est le pompon. Entre l'une qui se prend pour une chef et qui joue les balances au boss (et ça marche, j'en ai fais les frais, histoire qui aurait sa place dans ton sujet sur la colère) qui est de mauvaise foi, qui retourne la situation à son avantage, qui critique les autres en arrière et devant on joue les hypocrites et l'autre qui me dit ce que je dois faire en me disant qu'elle ne veut pas me commander car elle n'est pas chef, c'est la joie au boulot. Sans parler de mon boss 

Jamais vu une ambiance merdique à ce point là. Je suis bien contente quand je bosse seule 

La pire ? Elle est quotidienne. Une chef, à la tête d'une équipe d'une quarantaine de personnes, dont le seul et unique but est :"Diviser pour mieux régner".

Le pire que j'ai pu faire, c'est travailler chez Leclerc. Plus jamais je ne retenterai l'expérience. Là bas, c'était vraiment l'esclavage, il n'y a pas d'autre mot. 

Un jour, deux de mes collègues sont tombées malades ensemble à la colo où je faisais fille de service.(on était trois!) J'ai dû faire le ménage  pendant une journée et nettoyer toute la colo toute seule , mettre la table, servir à table et essuyer la vaisselle pour deux fois 70 couverts et m'occuper de la lingerie;j'étais jeune et à ma plus grand surprise, en courant toute la journée j'y suis arrivée! Je pense que j'étais tellement en colère que l'adrénaline a triplé mes forces.

Une expérience que tout le monde à sans doute faites, c'est quand on impose un délai à une tâche totalement irréalisable !

Tout le monde stress, s'énerve et tout, alors que ça ne servait à rien !

Bien heureux celui qui arrive à se détacher de cette pression et qui fait son travail comme il se doit et au bon rythme !

Quand nous étions instits débutants et à notre premier stage en responsabilité, les trois instits de la maternelle sont parties en stage et nous ont laissé l'école et leur quatre- vingt- huit élèves âgés de trois à cinq ans. Nous avions tous trois dix-neuf ans!

Ce jour-là j'étais d'ouverture à l'hôtel-resto. Je prépare mes départs, le ptit dej, ma clôture etc... Je réceptionne une livraison de poisson. la caisse est assez lourde, je demande de l'aide à la collègue de nuit qui est encore là. On pousse le truc dans la chambre froide et au moment de ressortir du frigo je bute dans la caisse, je me cogne à un roll et... Je tombe direct le cul dans la caisse ! Ma collègue pliée de rire, moi aussi et du coup pour sortir de là merci bien. Alors ça c'est rien, le pire, ça a été la grosse tâche aux fesses et l'odeur que j'ai trimballé sur moi pendant deux heures avant qu'on m'apporte une jupe propre...

J'ai bossé 6 mois chez un avocat. Je travaillais en binôme avec une femme de 10 ans de plus que moi (j'avais 25 ans à l'époque). Elle m'a fait vivre l'enfer. Elle savait que je connaissais le patron depuis toujours puisqu'il est un ami de la famille et elle a toujours pensé que la meilleure défense c'était l'attaque. Elle m'en a fait voir des vertes et des pas mûres et comme j'étais jeune et que je ne suis pas une balance, je subissais et je me taisais.

Un jour le patron arrive, au moment où il a passé la porte elle a jeté tous les dossiers qu'elle avait sur son bureau sur le mien et elle m'a gueulé dessus un truc du genre "je commence à en avoir plein le cul que vous ne fassiez pas votre boulot, depuis ce matin je vous ai demandé de ranger les dossiers !" Chose qui sortait de nulle part évidemment.... Je bossais comme une acharnée pendant qu'elle passait ses journées au téléphone et à faire du "rappel" de factures uniquement. Moi je me tapais l'accueil client, le courrier (à amener à la poste, à affranchir, à taper), les cotes de plaidoiries, le standard, les cafés et le classement, le tout pour les 4 avocats qui travaillaient là.

Au bout de 6 mois je suis tombée malade. Mon patron qui me connaissait comme sa propre fille à vite compris que ça n'allait pas et on a convenu de mon départ.

Il a réglé le sort de l'autre pute quelques moi plus tard.

il y a 1 minute, titenath a dit :

J'ai bossé 6 mois chez un avocat. Je travaillais en binôme avec une femme de 10 ans de plus que moi (j'avais 25 ans à l'époque). Elle m'a fait vivre l'enfer. Elle savait que je connaissais le patron depuis toujours puisqu'il est un ami de la famille et elle a toujours pensé que la meilleure défense c'était l'attaque. Elle m'en a fait voir des vertes et des pas mûres et comme j'étais jeune et que je ne suis pas une balance, je subissais et je me taisais.

Un jour le patron arrive, au moment où il a passé la porte elle a jeté tous les dossiers qu'elle avait sur son bureau sur le mien et elle m'a gueulé dessus un truc du genre "je commence à en avoir plein le cul que vous ne fassiez pas votre boulot, depuis ce matin je vous ai demandé de ranger les dossiers !" Chose qui sortait de nulle part évidemment.... Je bossais comme une acharnée pendant qu'elle passait ses journées au téléphone et à faire du "rappel" de factures uniquement. Moi je me tapais l'accueil client, le courrier (à amener à la poste, à affranchir, à taper), les cotes de plaidoiries, le standard, les cafés et le classement, le tout pour les 4 avocats qui travaillaient là.

Au bout de 6 mois je suis tombée malade. Mon patron qui me connaissait comme sa propre fille à vite compris que ça n'allait pas et on a convenu de mon départ.

Il a réglé le sort de l'autre pute quelques moi plus tard.

Ouf, il y a eu une justice là. 

J'ai eu la misère avec une collègue. ADV Export à l'époque dans une boîte qui ne tournait plus très bien, j'avais une collègue ADV France. Elle faisait partie des meubles comme on dit. Genre de collègue qui fait de la rétention d'information toute la journée et qui te fait des croche-pieds en permanence. Le directeur des ventes a décidé de me confier une partie du marché français et là... Elle a pété un câble. Elle m'a tout fait, jusqu'à jeter certains de mes dossiers à la poubelle, déchirer mes commandes ou en saisir en lousdé avec des erreurs monumentales de prix et de quantité. Elle savait très bien que la boîte en difficulté me garderait moi et mes quatre langues étrangères plutôt qu'elle, que j'avais la cote avec tout le monde et pas elle, etc. 

J'ai pris ma décision, celle de démissionner avant de tomber malade. Mais avant, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce. Je l'ai rendue cinglée, avec trois fois rien. Déplacer ses classeurs, bousiller son radiateur, faire des bourrages dans son agrafeuse, lui remplacer ses stylos par des stylos qui ne marchaient pas, remplacer le stabilo rose par un vert, dégueulasser sa vitre, faire un bourrage dans l'imprimante, déplacer les trucs dans ses tiroirs, bref : je n'ai pas ménagé ma peine. Elle est devenue complètement hystérique aux yeux de tout le monde, et moi je suis partie.

il y a 2 minutes, January a dit :

J'ai pris ma décision, celle de démissionner avant de tomber malade. Mais avant, je lui ai rendu la monnaie de sa pièce. Je l'ai rendue cinglée, avec trois fois rien. Déplacer ses classeurs, bousiller son radiateur, faire des bourrages dans son agrafeuse, lui remplacer ses stylos par des stylos qui ne marchaient pas, remplacer le stabilo rose par un vert, dégueulasser sa vitre, faire un bourrage dans l'imprimante, déplacer les trucs dans ses tiroirs, bref : je n'ai pas ménagé ma peine. Elle est devenue complètement hystérique aux yeux de tout le monde, et moi je suis partie.

Ca c'est très bon

Un jour il y a dix ans, en remplacements, je suis aussi tombée sur un nid de vieilles folles qui passaient leur temps à se tirer dans les pattes en prenant les nouvelles arrivées à partie.

La directrice a même osé dire que j'avais laissé la porte de service ouverte, par laquelle s'était sorti et re-rentré un élève qui voulait s 'amuser...Un jour où je remplaçais dans une autre école et où j'étais carrément ailleurs.C'est dire comme elle était tarée!