Nantes : un couple de retraités découvre 13 squatteurs dans une de leurs maisons

Treize personnes occupent depuis le 1er août la seconde maison d'un couple de retraités à Nantes, qui vont devoir lancer une procédure d'expulsion s'ils veulent récupérer la jouissance de leur bien.

Oui. Et ? 

C'est chiant mais ils ne sont pas à la rue non plus, c'est leur résidence secondaire. Si ça avait été leur résidence principale la police pouvait intervenir immédiatement. Idem pour une résidence secondaire MAIS dans les 1ères 48h de l'infraction. D'où l'idée d'avoir de bonnes relations avec ses voisins et/ou un bon système d'alarme. 

il devait pas beaucoup l'habiter ces deux là , la résidence secondaire, ça se paye des baraques en plus et ça laisse les autres s'installer, perso je vais pas les plaindre, ils avaient qu'à s'en occuper un peu plus , les autres si seraient pas installés en terrain conquis, maintenant pour les déloger, ça va pas être une autre histoire, on approche de l'hiver, ils ont encore du bon temps devant eux

le problème c'est les contrats d’électricité, gaz et eau à leurs noms courent toujours…pour 13 personnes la facture va piquer

Ils en ont combien des maisons ces retraités ? Oo

J'ai toujours considéré que quand les gens étaient assez riches pour ne pas se rendre compte que des pauvres les volaient, alors le vol n'était qu'une répartition des richesses bien orchestrée. Augmenter les impôts pour que l'état s'occupe du problème, c'est plus gênant qu'un truc dont on ne se rendait même pas compte.

Je comprend que ce soit choquant, ça reste une forme de violence sociale. Je pense que ceux qui sont à la rues, au risque de crever, et qui voient des gens qui ont trop de maisons pour même s'en rendre compte sont choqués eux aussi. Je comprend leur démarche : Ils s'arrangent pour que les propriétaires ne perdent absolument rien, en s'occupant de l'entretiens de la maison, et qu'ils puissent continuer leur petite vie tranquille. L'arrangement me semble correct.

Peut être que si les proprios avaient un peu meilleur cœur, il les auraient d'eux-même accueillis pour quelques mois, pour passer l'hiver, et convenu plus clairement les choses. Et ça aurait été du gagnant-gagnant.

Mais bon. Au final, c'est une bonne chose. Peut être qu'après ça, ces retraités vont revendre leur maison inutile, penser à la louer… ou même la mettre à disposition sur des sites comme airbnb.

Qu'au moins elle serve à des gens.

il y a 45 minutes, fullmetal06 a dit :

le problème c'est les contrats d’électricité, gaz et eau à leurs noms courent toujours…pour 13 personnes la facture va piquer

Oui, là je suis d'accord que ça pose un problème. Après, couper l'eau, le gaz et l'électricité, c'est un truc qui prend quelques minutes.

On devrait écrire une loi pour permettre aux propriétaires qui se font squatter de toucher les allocations logements pour les populations en difficultés hébergés. (s'ils ne leur coupent pas l'eau et l'électricité… ça va sans dire)

ça atténuerai probablement la douleur de la surprise, et ça serai plus équitable.

D'autant plus que, même si on leur a forcé la main, ça fait d'eux des gens beaucoup plus généreux que la majorité d'entre nous. Ils mériteraient une forme de reconnaissance.

Plutôt que d'y voir des drame infini, faudrait peut être y voir qu'il s'agit finalement d'arrangement temporaire vertueux, transformant ces braves retraités en gens merveilleux qui ont sauvé 13 personnes des froidures de l'hivers.

On devrait leur envoyer des remerciements. ça aussi, ça aiderai à passer la pommade de la surprise. 

Il y a 9 heures, Ines Presso a dit :

Oui. Et ? 

oui,il n'y a pas de quoi s'émouvoir ....puisqu'ils ont donné leurs identités et déclaré que c'était leur domicile ,il faudrait juste établir un contrat de location  

avec autant de colocs, pour chacun ce sera une somme dérisoire ....pour ce qui est des contrats électricité et eau il suffit d'y mettre un terme .

et puis il est plus facile d'expulser un locataire qui ne paie pas un loyer qu'un squatteur  ...on peut au moins justifier de sommes dues ,et même peut être d'en récupérer une partie par l'intermédiaire des services sociaux .

Le commandement d'avoir à libérer les locaux fait partir le délai légal de deux mois. L'huissier l’adresse après la décision d'expulsion. Pendant ce délai de deux mois, l'expulsion du locataire ne peut avoir lieu (article L. 412-1 du code des procédures civiles d'exécution). Le juge peut prolonger ce délai jusqu'à trois mois, lorsque l'expulsion aurait pour la personne concernée des conséquences d'une dureté exceptionnelle, notamment du fait de la période de l'année considérée ou des circonstances atmosphériques (article L. 412-2 du code des procédures civiles d'exécution).  (locataire)

 Même si les squatteurs ne sont pas dans leur droit, le propriétaire doit passer par un juge pour le prouver. L’issue lui sera favorable dans la grande majorité des cas, mais la procédure peut durer six à huit mois.( auxquels il faut rajouter la durée de procédure d’exécution )

Sauf que contrats d’électricité et autres sont a l’intérieur de l'habitation de même que les titres de propriété    

Il y a 10 heures, Ines Presso a dit :

Oui. Et ? 

et quoi ? Si c'était vous, vous diriez oui et ?

C'est bizarre qu'on ne voit pas ça dans les riches appartements parisiens, là où il y a des policiers tous les 50 mètres. Chez eux, on attend que ça brûle dans des squats infâmes.

Un bien propre est inaliénable, s'ils ont une résidence bis, tant mieux. Ce qui m'interpelle, c'est qu'une fois de plus, on n'analyse pas les profils des squatteurs, qui sont-ils, en ce moment on a des profils psychiatriques dans la nature, de quoi vivent-ils ? Pourquoi sont-ils sans logis ? Des baba cools, il y en a de plus en plus.

Il y a 2 heures, nerelucia a dit :

les riches appartements parisiens, là où il y a des policiers tous les 50 mètres

Ben voyons...

Le Paris fantasmé des provinciaux me fera toujours rire.

Après la solution la moins contraignante c'est effectivement d'engager le dialogue. Les squatteurs sont là "pour un certain temps", ils semblent avoir une certaine morale publique en affichant un mot et leurs identités. 2 options:

- La Justice qui va couter cher aux retraités en constats d'huissier et ils seront dépendant de la disponibilité des juges, avocats et policiers.

- Ils entament un dialogue avec les squatteurs; sachant que ces derniers sont logiquement ici "pour un temps" ils peuvent dès maintenant fixer une date et des règles. Les propriétaires ont de grandes chances que les mecs tiennent leur parole et partent d'eux même en laissant une maison en bon état. Il faudra se faire mutuellement confiance mais cette solution devrait être accepté par les squatteurs à qui ça ne fait jamais plaisir de ne pas savoir à quel moment ils vont se faire violenter par la police à 6h du matin. Pour le bien être de tous les propriétaires peuvent exiger que des travaux d'entretien soit fait, ou pourquoi pas négocier une rénovation de la maison? Les propriétaires achètent les matériaux et les squatteurs offrent un peu de leur temps en échange: 1h par jour à 13 pendant 3/4 mois dans la maison y a moyen de refaire les peintures, y compris pour eux parce que c'est toujours plus agréable. 

Dans ce cas précis il semble que les squateurs soient des gens de bonne volonté ,peut ètre que les retraités proprios pourraient leur faire un bail (même précaire) puisque le lieu n'ètait pas habité auparavant!

Il y a 2 heures, Alain75 a dit :

Ben voyons...

Le Paris fantasmé des provinciaux me fera toujours rire.

je ne pense pas au 20e, soyez rassurés.

Ou l'on voit que tu n'y a jamais posé le bout de l'extrémité d'un orteil.

J'habite pas le 20eme. J'y ai habité.

L'alternative  pour Paris pour les cerveaux étriqués c'est

-La " no-go zone " 

-Le lupanar à richards ou passe la police, armée jusqu'au dents, prête à bondir.

https://fr.news.yahoo.com/nantes-maison-squattée-libérée-police-080343261.html

Il y a 3 heures, Alain75 a dit :

L'alternative  pour Paris pour les cerveaux étriqués c'est

-La " no-go zone " 

-Le lupanar à richards ou passe la police, armée jusqu'au dents, prête à bondir.

 

c'est où ça ? Le centre de Paris, ne me dites pas que la police n'y circule pas y compris l'armée.

c'est bizarre, je me souviens d'une mamie qui n'arrivait pas à déloger des gens, blancs ceux-là.

il y a 10 minutes, nerelucia a dit :

c'est où ça ? Le centre de Paris, ne me dites pas que la police n'y circule pas y compris l'armée.

c'est bizarre, je me souviens d'une mamie qui n'arrivait pas à déloger des gens, blancs ceux-là.

Ce qui fait toute la différence.

Fort heureusement, la nouvelle loi anti-squat avait été voté au Sénat. Mais ce n'est pas certain qu'elle ait été promulguée.

Auparavant le flagrant-délit devait être constaté dans les 48 h.

"Désormais, si des personnes «squattent» une habitation, elles pourront être appréhendées en flagrant délit même 48 heures après l'entrée dans les lieux. C'est la nouvelle loi."

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000030774374&categorieLien=id

http://www.net-iris.fr/veille-juridique/actualite/34699/pour-lutter-contre-les-squats-une-loi-precise-infraction-de-violation-de-domicile.php

Il reste aussi la solution de louer les services de sociétés spécialisées pour mettre les squatters dehors !

Il y a 12 heures, stvi a dit :

 

 

oui,il n'y a pas de quoi s'émouvoir ....puisqu'ils ont donné leurs identités et déclaré que c'était leur domicile ,il faudrait juste établir un contrat de location  

avec autant de colocs, pour chacun ce sera une somme dérisoire ....pour ce qui est des contrats électricité et eau il suffit d'y mettre un terme .

et puis il est plus facile d'expulser un locataire qui ne paie pas un loyer qu'un squatteur  ...on peut au moins justifier de sommes dues ,et même peut être d'en récupérer une partie par l'intermédiaire des services sociaux .

 

Le commandement d'avoir à libérer les locaux fait partir le délai légal de deux mois. L'huissier l’adresse après la décision d'expulsion. Pendant ce délai de deux mois, l'expulsion du locataire ne peut avoir lieu (article L. 412-1 du code des procédures civiles d'exécution). Le juge peut prolonger ce délai jusqu'à trois mois, lorsque l'expulsion aurait pour la personne concernée des conséquences d'une dureté exceptionnelle, notamment du fait de la période de l'année considérée ou des circonstances atmosphériques (article L. 412-2 du code des procédures civiles d'exécution).  (locataire)

 Même si les squatteurs ne sont pas dans leur droit, le propriétaire doit passer par un juge pour le prouver. L’issue lui sera favorable dans la grande majorité des cas, mais la procédure peut durer six à huit mois.( auxquels il faut rajouter la durée de procédure d’exécution )

Tout d'abord. Ma question ne t'était pas adressée. L'auteur poste un article sans l'accompagner d'un questionnement ou d'un avis. Que je sache, tu n'es pas l'auteur et tu ne peux pas répondre à sa place. Voulait-il parler de la difficulté pour les propriétaires de récupérer leur bien ? Ou du dommage que ça leur occasionne ? Voulait-il parler de la difficulté que rencontrent certaines personnes pour se loger ? Du parc locatif pour les loyers modérés insuffisant ? Ou bien juste encore une fois essayer de faire monter la mayonnaise ? 

Ensuite, ta manie de me suivre, et de me prêter des idées et des pensées qui t'arrangent devient lassante. 

Et pour finir, les infos que tu me donnes, ne sont qu'une redite d'un sujet déjà traité 

là  

Il y a 11 heures, nerelucia a dit :

et quoi ? Si c'était vous, vous diriez oui et ?

C'est bizarre qu'on ne voit pas ça dans les riches appartements parisiens, là où il y a des policiers tous les 50 mètres. Chez eux, on attend que ça brûle dans des squats infâmes.

Un bien propre est inaliénable, s'ils ont une résidence bis, tant mieux. Ce qui m'interpelle, c'est qu'une fois de plus, on n'analyse pas les profils des squatteurs, qui sont-ils, en ce moment on a des profils psychiatriques dans la nature, de quoi vivent-ils ? Pourquoi sont-ils sans logis ? Des baba cools, il y en a de plus en plus.

Toi aussi tu n'as pas compris que cette question ne t'étais pas adressée, mais en  plus tu présupposes de ce que je peux penser. Décidément c'est contagieux. 

il y a une heure, Ines Presso a dit :

tout d'abord. Ma question ne t'était pas adressée. L'auteur poste un article sans l'accompagner d'un questionnement ou d'un avis. Que je sache, tu n'es pas l'auteur et tu ne peux pas répondre à sa place. Voulait-il parler de la difficulté pour les propriétaires de récupérer leur bien ? Ou du dommage que ça leur occasionne ? Voulait-il parler de la difficulté que rencontrent certaines personnes pour se loger ? Du parc locatif pour les loyers modérés insuffisant ? Ou bien juste encore une fois essayer de faire monter la mayonnaise ? 

Ensuite, ta manie de me suivre, et de me prêter des idées et des pensées qui t'arrangent devient lassante. 

Et pour finir, les infos que tu me donnes, ne sont qu'une redite d'un sujet déjà traité 

là  

si tu ne supporte pas la discussion tu ouvres un blog ,pas de soucis tu seras la seule à te lire ....Et puis tu fais comme si nous étions seul au monde à discuter ...non ,pour une participation il y a dix lecteurs .

deuxio lorsque tu t'adresses à quelqu'un en particulier tu le cites ,sinon c'est une réponse en l'air qui appelle une discussion ....Il faut reconnaître que le "et alors " peut s’interpréter comme un étonnement  d'ouverture de ce type de sujet ...c'est vrai que c'est limite inintéressant ,dans ce cas on ne participe pas  ,c'est écrit noir sur blanc dans les CGU ....

tertio ,je te prête les idées qui émanent de tes posts ...Il ne faut pas être grand devin pour te situer ...Elles sont éloignées des miennes et donc c'est normal qu'il y ait confrontation ....

 si un de tes posts correspond à mes idées pas de soucis ,je ne discute pas ,je plussoie 

sans ça oui c'est un sujet qui a été traité il y a quelques temps ...bizarre quand même qu'avec 250 messages à ton actif ,et une activité récente ,tu puisses te souvenir d'un sujet qui a été traité en 2015 ....