Faut-t-il interdire le droit de vote aux hommes blancs?

il y a 4 minutes, AbbéCafarelli a dit :

Je sais que tu n'aspires qu'à la persistance des inégalités et des brimades contre les minorités. Tu illustres le sujet de ce topic. Par ton vote, tu peux ruiner des décennies de progrès. En as-tu conscience ? Et choisiras-tu le bon candidat ?

Les minorités sont toujours des minorités sociales, c'est à dire contre lesquelles le pouvoir s'exerce indépendamment de leur couleur de peau. Selon ton schéma, par exemple, Barack Obama est tout autant "une minorité" qu'un clochard black qui fait la manche à Harlem. Or c'est bien évidemment faux. Obama est riche à million, c'est (c'était) un homme de pouvoir, et le cloco black n'est pas son égal dans la lutte sous prétexte qu'ils partagent la même couleur. En revanche, le clodo black a des intérêts communs avec une femme clodo, un blanc clodo, un homo clodo, etc... C'est pourquoi on parle bien d'intérêt de classes lorsqu'on envisage de faire sérieusement de la politique, et non de clivages ethniques, raciaux, ou sexuelles qui même s'ils ont une certaine réalité ne représentent pas le substrat de la lutte politique, comme je viens de le démontrer.

il y a une heure, AbbéCafarelli a dit :

Je ne doute pas de ta maîtrise de la langue dans laquelle s'ancre tes convictions. Merci de cet aveu.

Je t'en prie, ce fut un plaisir

il y a 20 minutes, AbbéCafarelli a dit :

Je n'ai jamais parlé de les faire venir de force. Mais pourquoi refuser ceux qui émigrent volontairement ?

Bref, je ne vois toujours aucun rapport avec le droit de vote de l'homme blanc et si je répondais je ferais du HS.

il y a 19 minutes, Savonarol a dit :

Les minorités sont toujours des minorités sociales, c'est à dire contre lesquelles le pouvoir s'exerce indépendamment de leur couleur de peau. Selon ton schéma, par exemple, Barack Obama est tout autant "une minorité" qu'un clochard black qui fait la manche à Harlem. Or c'est bien évidemment faux. Obama est riche à million, c'est (c'était) un homme de pouvoir, et le cloco black n'est pas son égal dans la lutte sous prétexte qu'ils partagent la même couleur. En revanche, le clodo black a des intérêts communs avec une femme clodo, un blanc clodo, un homo clodo, etc... C'est pourquoi on parle bien d'intérêt de classes lorsqu'on envisage de faire sérieusement de la politique, et non de clivages ethniques, raciaux, ou sexuelles qui même s'ils ont une certaine réalité ne représentent pas le substrat de la lutte politique, comme je viens de le démontrer.

Excellente analyse.

il y a une heure, AbbéCafarelli a dit :

Tu es au courant que tu votes aussi à des élections européennes et que donc tu influes sur une politique à l'échelle continentale. L'étape

Querida ferait bien de s'interroger sur ses propres origines et de savoir pourquoi elle refuse aux autres ce qui a été accepté pour les ancêtres de la quasi totalité des Français, qui viennent de l'immigration. Le pays qu'elle connaît s'est fait par l'immigration.

Pas de problème: mes ancêtres sont revenus en France après les événement de 62 en  Algérie Française. Mes ancêtres européens ont fui les totalitarismes(Espagne, Italie, Alsace). La France leur a ouvert le bras pendant les trente glorieuses;elle en avait certainement besoin après les saignées qu'avaient infligées à la France les deux guerres mondiales et elle avait besoin de main d'oeuvre. Le miens ont vite trouvé un emploi et ont travaillé dur pour se refaire.Ils se sont parfaitement amalgamés, ayant eux mêmes épousé des français.

Nous n'avons pas fait de jungle(comme à Calais), n'avons pas affronté d'autre communautés sur le sol qui nous a accueillis, nous y  avons respecté les lieux de culte et nous n'avons pas posé de bombes  ou perpétré des attentats, nous n'avons pas demandé des traitements de faveur (nourriture, séparation des hommes et des femmes,horaires spéciaux) ni imposé nos traditions vestimentaires,nous n'avons pas exigé d'être logés, nous avons trouvé....Nous n'avons pas été aidés, nous ne mendiions rien.Nous n'avons pas fait baisser le niveau des classes dans lesquelles nous étions: au contraire, nous apprenions avec les autres.Nous ne salissions pas nos lieux d'habitation et nous respections les murs.Nos jeunes n'étaient pas connus pour troubler l'ordre public.Nous  n'agressions pas les vieilles ou les inconnus.Nous ne violions pas les femmes.(Allemagne, Suède...)

Il y a 1 heure, Roger_Lococo a dit :

Je t'invite à relire le titre de ce fil de discussion : interdire le droit de vote aux hommes blancs, n'est-ce pas là la désignation de l'ennemi ?

Et pourtant qui discute sur ce même fil de discussion ? Des hommes blancs.

Ce fil provoque pour faire prendre conscience de la dangerosité électorale de comportements rétrogrades. La question n'est pas d'interdire le vote des hommes blancs mais de faire évoluer la mentalité de ceux qui sont réactionnaires et donc s'opposent au progrès, pour nous plonger dans la nuit obscurantiste.

Il y a 1 heure, Savonarol a dit :

Les minorités sont toujours des minorités sociales, c'est à dire contre lesquelles le pouvoir s'exerce indépendamment de leur couleur de peau. Selon ton schéma, par exemple, Barack Obama est tout autant "une minorité" qu'un clochard black qui fait la manche à Harlem. Or c'est bien évidemment faux. Obama est riche à million, c'est (c'était) un homme de pouvoir, et le cloco black n'est pas son égal dans la lutte sous prétexte qu'ils partagent la même couleur. En revanche, le clodo black a des intérêts communs avec une femme clodo, un blanc clodo, un homo clodo, etc... C'est pourquoi on parle bien d'intérêt de classes lorsqu'on envisage de faire sérieusement de la politique, et non de clivages ethniques, raciaux, ou sexuelles qui même s'ils ont une certaine réalité ne représentent pas le substrat de la lutte politique, comme je viens de le démontrer.

Il n'y a pas de lutte de classes. Il y a une organisation sociale, avec des passerelles d'une strate à l'autre de l'aisance matérielle et du type d'emplois. La Société, aidée de l'Etat, a pour mission de permettre la fluidité de passage, en créant déjà les conditions mêmes d'une production de richesses. Il y aura toujours des strates inférieures. Le tout est qu'un enfant de ces strates ne soit pas bloqué du fait de sa naissance mais puisse s'élever par son talent. Pour cela, il faut lutter contre toutes les discriminations qui s'exercent a priori, sans lien avec les talents individuels. Donc lutter contre l'antisémitisme, le racisme, le sexisme, l'homophobie, tout ce qui tente de stigmatiser les différences. Attitude qui est celle du groupe qui considère le pouvoir comme sa propriété.

Il y a 1 heure, Roger_Lococo a dit :

 

Ce n'est pas à moi d'imaginer ton système mon vieux. Tu parles de démocratie mondiale, expliques nous comment ça marche. Expliques nous comment les chinois des métropoles vont voter contre la Chine, les allemands pour donner leur fric aux grecs, on attend tous de savoir quel est ce système. Je continue à avoir du mal à imaginer un système ou les gens ne vont pas voter pour eux-mêmes. Ce serait inédit.

On sent le "marcheur" de loin. Ceux qui ne partagent pas tes intérêts ne sont pas forcément illettrés.

Ca risque d'être insuffisant.

Parce que les "Chinois" des métropoles seront composés de personnes cosmopolites issues de diverses origines et qui raisonnent dans un système-monde et non dans tes vieux schémas nationaux. Ta question est aussi naïve que si tu me demandais "pourquoi les Parisiens vont payer pour Roissy ?". Parce que c'est interconnecté. Bien sûr, il y aura distinction entre régions centrales et plus périphériques du système-monde. C'est le principe de la péréquation.

Ceux qui s'opposent à la globalisation sont souvent mal informés et manipulés par des démagogues qui se savent inutiles au plan global et ne se voient d'avenir que comme seigneurs féodaux d'un lopin de terre enclavé et autarcique. C'est le refus du progrès.

Es-tu contre le progrès ?

il y a une heure, querida13 a dit :

Pas de problème: mes ancêtres sont revenus en France après les événement de 62 en  Algérie Française. Mes ancêtres européens ont fui les totalitarismes(Espagne, Italie, Alsace). La France leur a ouvert le bras pendant les trente glorieuses;elle en avait certainement besoin après les saignées qu'avaient infligées à la France les deux guerres mondiales et elle avait besoin de main d'oeuvre. Le miens ont vite trouvé un emploi et ont travaillé dur pour se refaire.Ils se sont parfaitement amalgamés, ayant eux mêmes épousé des français.

Nous n'avons pas fait de jungle(comme à Calais), n'avons pas affronté d'autre communautés sur le sol qui nous a accueillis, nous y  avons respecté les lieux de culte et nous n'avons pas posé de bombes  ou perpétré des attentats, nous n'avons pas demandé des traitements de faveur (nourriture, séparation des hommes et des femmes,horaires spéciaux) ni imposé nos traditions vestimentaires,nous n'avons pas exigé d'être logés, nous avons trouvé....Nous n'avons pas été aidés, nous ne mendiions rien.Nous n'avons pas fait baisser le niveau des classes dans lesquelles nous étions: au contraire, nous apprenions avec les autres.Nous ne salissions pas nos lieux d'habitation et nous respections les murs.Nos jeunes n'étaient pas connus pour troubler l'ordre public.Nous  n'agressions pas les vieilles ou les inconnus.Nous ne violions pas les femmes.(Allemagne, Suède...)

Les Pieds-Noirs se sont regroupés dans plusieurs villes du sud, où ils ont fait vivre leurs coutumes. C'est en partie eux qui ont popularisé la merguez en France. Ils ont créé une culture distincte, autour d'icônes comme Enrico Macias ou Marthe Villalonga. Certains appartenaient à l'OAS. D'autres ont subi les évènements d'Aléria en 1975, accusés déjà de "voler les terres".

Tu ne les défends pas si tu veux interdire d'accès ceux qui ne peuvent pas prouver quatre quartiers de francité.

il y a 15 minutes, AbbéCafarelli a dit :

Parce que les "Chinois" des métropoles seront composés de personnes cosmopolites issues de diverses origines et qui raisonnent dans un système-monde et non dans tes vieux schémas nationaux. Ta question est aussi naïve que si tu me demandais "pourquoi les Parisiens vont payer pour Roissy ?". Parce que c'est interconnecté. Bien sûr, il y aura distinction entre régions centrales et plus périphériques du système-monde. C'est le principe de la péréquation.

Ceux qui s'opposent à la globalisation sont souvent mal informés et manipulés par des démagogues qui se savent inutiles au plan global et ne se voient d'avenir que comme seigneurs féodaux d'un lopin de terre enclavé et autarcique. C'est le refus du progrès.

Es-tu contre le progrès ?

Ah oui, la fameuse réforme de l'homme. Celle des soviétiques, celles des allemands, des khmers. La révolution culturelle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Quatre_vieilleries

La définition de la folie, c’est de refaire toujours la même chose, et d’attendre des résultats différents. A ce qu'il parait.

Techniquement je ne suis pas contre le progrès, mais je conteste la réussite de la révolution culturelle. Voir le lien ci-dessus, tu t'y reconnaîtras certainement.

Il y a 3 heures, Quasi-Modo a dit :

Excellente analyse.

Après l'avoir sans doute écrite plus de 500 fois sur ce forum, je me demande parfois pourquoi je continue à le faire. Je crois que l'embrigadement idéologique et plus fort que tout.

Il y a 2 heures, AbbéCafarelli a dit :

 

Il n'y a pas de lutte de classes. Il y a une organisation sociale, avec des passerelles d'une strate à l'autre de l'aisance matérielle et du type d'emplois. La Société, aidée de l'Etat, a pour mission de permettre la fluidité de passage, en créant déjà les conditions mêmes d'une production de richesses. Il y aura toujours des strates inférieures. Le tout est qu'un enfant de ces strates ne soit pas bloqué du fait de sa naissance mais puisse s'élever par son talent. Pour cela, il faut lutter contre toutes les discriminations qui s'exercent a priori, sans lien avec les talents individuels. Donc lutter contre l'antisémitisme, le racisme, le sexisme, l'homophobie, tout ce qui tente de stigmatiser les différences. Attitude qui est celle du groupe qui considère le pouvoir comme sa propriété.

Dans la vision marxiste de la société, il n y a pas de blancs ou de noirs, ou de juifs ou d'homosexuels, il y a des travailleurs, point. Ce qui compose la sexualité, l'ethnie ou les croyances d'untel ou untel étant d'ordre privé, ça n'a pas à se retrouver sur la place publique. Que la société libérale exalte à ce point les identités individuelles, qu'elles soient ethniques, de sexe ou de religion au point d'enjoindre les concernés à en faire étalage pour ensuite s'insurger de voir des "communautés" s'opposer entre elles devraient déjà vous faire tiquer sur nature de la philanthropie d'un tel système. C'est en réalité d'une perversion sans pareil de pousser des gens à se revendiquer de quelque chose qui ne regarde qu'eux. Et c'est à dessein, parce que le pouvoir a beaucoup plus de facilité à contrôler un peuple chaotique, infoutu de se fédérer derrière une lutte commune, qu'un magma de crétins dont l'un va beugler qu'il veut voir plus de blacks, l'autre plus d'homos, le dernier plus de transexuels à la TV, comme si ça allait changer quoique ce soit à sa condition de salarié précaire, de chômeur ou de travailleur handicapé. Le Capital propose de fausses luttes pour faire diversion pendant qu'il redistribue les richesses à ceux qui n'en ont pas besoin. Macron est l'incarnation de ce système malade et pervers, et je n'ai pas besoin qu'on s'en réfère à la Corée du nord pour bien comprendre que ces ficelles capitalistes sont autant de supercheries auxquelles les électeurs ne cessent de se faire harponner, bien souvent par paresse intellectuelle.

il y a 3 minutes, Savonarol a dit :

Dans la vision marxiste de la société, il n y a pas de blancs ou de noirs, ou de juifs ou d'homosexuels, il y a des travailleurs, point. Ce qui compose la sexualité, l'ethnie ou les croyances d'untel ou untel étant d'ordre privé, ça n'a pas à se retrouver sur la place publique. Que la société libérale exalte à ce point les identités individuelles, qu'elles soient ethniques, de sexe ou de religion au point d'enjoindre les concernés à en faire étalage pour ensuite s'insurger de voir des "communautés" s'opposer entre elles devraient déjà vous faire tiquer sur nature de la philanthropie d'un tel système. C'est en réalité d'une perversion sans pareil de pousser des gens à se revendiquer de quelque chose qui ne regarde qu'eux. Et c'est à dessein, parce que le pouvoir a beaucoup plus de facilité à contrôler un peuple chaotique, infoutu de se fédérer derrière une lutte commune, qu'un magma de crétins dont l'un va beugler qu'il veut voir plus de blacks, l'autre plus d'homos, le dernier plus de transexuels à la TV, comme si ça allait changer quoique ce soit à sa condition de salarié précaire, de chômeur ou de travailleur handicapé. Le Capital propose de fausses luttes pour faire diversion pendant qu'il redistribue les richesses à ceux qui n'en ont pas besoin. Macron est l'incarnation de ce système malade et pervers, et je n'ai pas besoin qu'on s'en réfère à la Corée du nord pour bien comprendre que ces ficelles capitalistes sont autant de supercheries auxquelles les électeurs ne cessent de se faire harponner, bien souvent par paresse intellectuelle.

Et malgré cette belle diatribe tu relèves que lorsque Théo est blanc, ça n'intéresse personne; incohérence du discours et des réflexes quand tu nous tiens.

Il y a 3 heures, querida13 a dit :

Pas de problème: mes ancêtres sont revenus en France après les événement de 62 en  Algérie Française. Mes ancêtres européens ont fui les totalitarismes(Espagne, Italie, Alsace). La France leur a ouvert le bras pendant les trente glorieuses;elle en avait certainement besoin après les saignées qu'avaient infligées à la France les deux guerres mondiales et elle avait besoin de main d'oeuvre. Le miens ont vite trouvé un emploi et ont travaillé dur pour se refaire.Ils se sont parfaitement amalgamés, ayant eux mêmes épousé des français.

Nous n'avons pas fait de jungle(comme à Calais), n'avons pas affronté d'autre communautés sur le sol qui nous a accueillis, nous y  avons respecté les lieux de culte et nous n'avons pas posé de bombes  ou perpétré des attentats, nous n'avons pas demandé des traitements de faveur (nourriture, séparation des hommes et des femmes,horaires spéciaux) ni imposé nos traditions vestimentaires,nous n'avons pas exigé d'être logés, nous avons trouvé....Nous n'avons pas été aidés, nous ne mendiions rien.Nous n'avons pas fait baisser le niveau des classes dans lesquelles nous étions: au contraire, nous apprenions avec les autres.Nous ne salissions pas nos lieux d'habitation et nous respections les murs.Nos jeunes n'étaient pas connus pour troubler l'ordre public.Nous  n'agressions pas les vieilles ou les inconnus.Nous ne violions pas les femmes.(Allemagne, Suède...)

Idem pour ma famille...

il y a 25 minutes, Savonarol a dit :

Dans la vision marxiste de la société, il n y a pas de blancs ou de noirs, ou de juifs ou d'homosexuels, il y a des travailleurs, point. Ce qui compose la sexualité, l'ethnie ou les croyances d'untel ou untel étant d'ordre privé, ça n'a pas à se retrouver sur la place publique. Que la société libérale exalte à ce point les identités individuelles, qu'elles soient ethniques, de sexe ou de religion au point d'enjoindre les concernés à en faire étalage pour ensuite s'insurger de voir des "communautés" s'opposer entre elles devraient déjà vous faire tiquer sur nature de la philanthropie d'un tel système. C'est en réalité d'une perversion sans pareil de pousser des gens à se revendiquer de quelque chose qui ne regarde qu'eux. Et c'est à dessein, parce que le pouvoir a beaucoup plus de facilité à contrôler un peuple chaotique, infoutu de se fédérer derrière une lutte commune, qu'un magma de crétins dont l'un va beugler qu'il veut voir plus de blacks, l'autre plus d'homos, le dernier plus de transexuels à la TV, comme si ça allait changer quoique ce soit à sa condition de salarié précaire, de chômeur ou de travailleur handicapé. Le Capital propose de fausses luttes pour faire diversion pendant qu'il redistribue les richesses à ceux qui n'en ont pas besoin. Macron est l'incarnation de ce système malade et pervers, et je n'ai pas besoin qu'on s'en réfère à la Corée du nord pour bien comprendre que ces ficelles capitalistes sont autant de supercheries auxquelles les électeurs ne cessent de se faire harponner, bien souvent par paresse intellectuelle.

Exactement...

Le problème c'est que tous les gens n'ont pas la même capacité de raisonnement que toi ou moi, et certains autres sur ce forum.

Le 19/04/2017 à 16:26, AbbéCafarelli a dit :

Un mendiant de Dacca a peu de chance de disposer d'un PC et d'une connexion Internet. Ta présence ici révèle ton superflu. Tu dois donc apprendre à ouvrir ton cœur aux autres.

La plupart des migrants ont un smartphone. Moi pas.

Que doit-on en comprendre?

Le 19/04/2017 à 16:26, AbbéCafarelli a dit :

La Société est désormais globale. Réfléchir à partir de ton seul clocher te mène à l'erreur comme à la haine.

La "Société globale" peut aller se faire voir. Je suis Français, pas "globalien".

Il y a 11 heures, AbbéCafarelli a dit :

Les minorités en Occident sont notamment les immigrés. C'est aussi la lutte pour l'égalité des droits en faveur des femmes ou des LGBT. C'est ça la défense des minorités que veulent brimer les populistes.

C'est assez amusant de lire quelqu'un parler de St Vincent de Paul puis dégainer la rengaine marxiste habituelle...

Le ‎19‎/‎04‎/‎2017 à 16:26, AbbéCafarelli a dit :

Un mendiant de Dacca a peu de chance de disposer d'un PC et d'une connexion Internet. Ta présence ici révèle ton superflu. Tu dois donc apprendre à ouvrir ton cœur aux autres.

La Société est désormais globale. Réfléchir à partir de ton seul clocher te mène à l'erreur comme à la haine.

Il y a une globalisation du monde, la mondialisation ça existe c'est vrai, mais il n'y a pas de société mondiale, sauf dans ton imagination fertile,  il y a des pays et des peuples, l'idée d'une société globale n'est rien d'autre qu'une utopie, une idéologie très dangereuse.

Citation

Pour ceux qui comprennent mal l'anglais il est dit que les hommes blancs sont notamment responsable du Brexit, de l'élection de Trump mais aussi de l'esclavage et de la colonisation, il est donc proposé de leurs retirer le droit de vote.

...

Pour rappel : ces gens sont les chantres de l'anti racisme et de la démocratie.

En réalité des racistes qui haïssent la démocratie.

C'est bien se le rappeler juste avant le  le vote prochain de dimanche, regardez qui sont soutenus par ces gens là du Huff post.

J'imagine si un article appelait à interdire le vote aux femmes noires les réactions....

Il y a 9 heures, Mite_Railleuse a dit :

Et par celui des diverses vagues d'immigration qu'a connu la France.

L'immigration en France, c'est surtout après 1970. On existait avant ça.

Il y a 6 heures, AbbéCafarelli a dit :

As-tu oublié le message du Christ ?

Il n'a jamais dit "suicidez-vous en accueillant la misère du monde".

il y a une heure, Serguei Zoubatov a dit :

L'immigration en France, c'est surtout après 1970. On existait avant ça.

Première vague d'immigration (1850 - 1914)[modifier | modifier le code]

Années 1850 à 1900 : révolution industrielle[modifier | modifier le code]

La révolution industrielle atteint la France tardivement : c'est sous le Second Empire entre 1851 et 1870 que celle-ci démarre réellement. Le ralentissement de la croissance démographique française depuis le xviii^e siècle, et ce nouveau besoin de mains-d’œuvre va encourager l'immigration d'ouvriers venus des pays voisins. C'est le début de la première vague d'immigration en France. Suivant les régions françaises, les premiers immigrants sont les Belges et les Piémontais (nom habituellement donné aux personnes venant des États qui constitueront ensuite l'Italie)¹⁰ ainsi que les Suisses¹¹. L'immigration italienne, pays à forte croissance démographique, prend ensuite le relais des Belges et des Suisses, le statut de Nice et de la Savoie (annexés en 1860 par Napoléon III) favorisant les mouvements transfrontaliers¹¹. Les Espagnols et les Allemands émigrent aussi vers les grandes villes françaises et participent au développement économique et au comblement démographique de la France¹².

À partir de 1851, l'État intègre dans le recensement des données concernant la nationalité (avec de multiples approximations car cette notion est mal définie et surtout comprise de manière variable par la population) et le lieu de naissance, fournissant ainsi une base pour estimer le nombre et la proportion des étrangers en France¹¹. L'administration recense alors 380 000 étrangers, dont 63 000 Italiens¹¹. Les Italiens sont plus de 100 000 à la fin du Second Empire ; 163 000 en 1876 ; 240 000 en 1881 et 330 000 au tournant du siècle¹¹.

Le droit du sol est rétabli en plusieurs étapes. La loi de 1851 assure la nationalité française à « l'enfant né en France d’un étranger lui-même né en France ».

Depuis les années 1880, une vague d'immigrants juifs fuyant les pogroms d'Europe de l'Est arrive en France. Ces immigrants parlent yiddish et sont pour la plupart ouvriers ou artisans. Ils s'établissent souvent dans le quartier du Marais à Paris (Pletzl), par exemple dans la rue Ferdinand-Duval, l'ancienne rue des Juifs rebaptisée en 1900 après l'affaire Dreyfus^13,14.

Sous la Troisième République, la loi du 26 juin 1889 assure la nationalité française à « tous les étrangers nés en France et parvenus à leur majorité ». Le droit du sol restera un fondement du droit de l’immigration en France jusqu’aux dernières années du xx^e siècle (loi du 22 juillet 1993).

La société française connait des élans nationalistes : l'affaire Dreyfus (1894 - 1906) , la crise boulangiste (1889 - 1891) et le développement des ligues d'extrême-droite telles que la Ligue de la patrie française ou la Ligue des patriotes, de l'antisémite et de la xénophobie, le massacre des Italiens d'Aigues-Mortes (les 16 et 17 août 1893, huit morts et quarante-neuf blessés) alors que déjà, en 1881, un pogrom contre les Italiens avait eu lieu à Marseille, les Vêpres marseillaises (trois morts et vingt-et-un blessés).

Dès le xix^e siècle, l'immigration venant des colonies (donc en fait des sujets français) commence également¹⁵. Vers 1895, les immigrés d'Afrique du Nord sont quelques centaines (tel l'arrière-grand-père marocain de la chanteuse Édith Piaf).

Lien

Il y a 6 heures, AbbéCafarelli a dit :

Et pourquoi n'est-ce pas de ton ressort d'accepter que leur sort s'améliore ? Pourquoi t'enfermer dans l'égoïsme ? Tu aurais voulu qu'on dise à tes ancêtrs alors "restez chez les barbares, ici c'est la Gaule romaine, du vent !". Tu es sec de cœur. Repends-toi !

Charité bien ordonnée commence par soi-même. Avant d'aider les autres, commençons donc à régler nos propres problèmes. C'est pas comme si on en avait pas à foison...

Il y a 5 heures, AbbéCafarelli a dit :

Je n'ai jamais parlé de les faire venir de force. Mais pourquoi refuser ceux qui émigrent volontairement ?

Inversement, pourquoi devrions-nous les accepter?

Il y a 2 heures, fx. a dit :

Et malgré cette belle diatribe tu relèves que lorsque Théo est blanc, ça n'intéresse personne; incohérence du discours et des réflexes quand tu nous tiens.

Je ne dis pas  que la question ethnique est inexistante, je dis qu'elle est largement secondaire dans le champ des priorités que sont les questions de politiques sociales. Force est de constater que le "coeur" de la gauche ne bat que pour certains types de victimes et pas d'autres, c'est triste de le constater et je suis ravi que tu t'en émeuves.