Aller au contenu

Un tiers des françaises avouent avoir trompé leur partenaire


Invité

Messages recommandés

Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, libredeparler a dit :

Et hop, voilà la sororité......

"Tout avis contraire à la religion féministe est un déni de soit, un blocage de "mâle dégénré (rant)""

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 94
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 355 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
il y a 14 minutes, libredeparler a dit :

La victimisation des femmes dans les coucheries est souvent la même à savoir, qu'elles n'avaient pas envie d'avoir des relations sexuelles avec d'autres hommes, c'est la faute aux hommes qui ont insisté, ou alors elles vont voir ailleurs, par "obligation" puisque leur compagnon n'est pas(plus) à la hauteur....

Les femmes n'allument jamais, ne s'envoient pas en l'air "entre midi et deux" ou de 'cinq à sept".... ce sont les hommes avec la "vérité " féministe "tous les mêmes" avec l'imparable arguments " ils n'ont que ça en tête", "ils ont le cerveau au niveau de l'entre-jambes", etc....

"Elle m'a allumé, je ne suis qu'un homme après tout"...

"C'est pas de ma faute, ma femme ne veut plus, je ne suis qu'un homme après tout"...

"J'ai fait un pari avec les potes, et je ne suis qu'un homme après tout..."

Une vérité "masculiniste" ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

"Elle m'a allumé, je ne suis qu'un homme après tout"...

"C'est pas de ma faute, ma femme ne veut plus, je ne suis qu'un homme après tout"...

"J'ai fait un pari avec les potes, et je ne suis qu'un homme après tout..."

Une vérité "masculiniste" ?

La différence c'est que les hommes ont déjà cette réputation, alors qu'en général les femmes sont les "saintes"...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 35 355 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
à l’instant, libredeparler a dit :

La différence c'est que les hommes ont déjà cette réputation, alors qu'en général les femmes sont les "saintes"...

Tu crois vraiment que nous pensons être des "saintes" ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 2 heures, Mite_Railleuse a dit :

Tu crois vraiment que nous pensons être des "saintes" ?

Pas toutes, mais majoritairement oui, et le discours féminin et féministe va dans ce sens.

 Je vais vous dire, j'ai été pendant quelques années vice-président d'une association de familles monoparentales et nous avions un service de médiation..... c'est durant ces années que j'ai fondamentalement changé d'opinion sur les femmes......

Alors oui il y a quantités d'hommes incorrectes et qui trompent leurs compagnes, mais en général c'est "sexuel", ou  un amour de passage ( je ne dis pas que c'est bien ou justifiable...) alors que beaucoup de femmes ne vont non seulement tromper allègrement  leur conjoints, mais souvent "monter " d'invraisemblables scénarios et dossiers pour avoir des avantages financiers, des privilèges de garde d'enfants, d'indemnisations et autres lors de la séparation d'avec le conjoint cocu.

Diabolique!

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
il y a 38 minutes, libredeparler a dit :

Pas toutes, mais majoritairement oui, et le discours féminin et féministe va dans ce sens.

 Je vais vous dire, j'ai été pendant quelques années vice-président d'une association de famille monoparentales et nous avions un service de médiation..... c'est durant ces années que j'ai fondamentalement changé d'opinion sur les femmes......

Alors oui il y a quantités d'hommes incorrectes et qui trompent leurs compagnes, mais en général c'est "sexuel", ou  un amour de passage ( je ne dis pas que c'est bien ou justifiable...) alors que beaucoup de femmes ne vont non seulement tromper allègrement  leur conjoints, mais souvent "monter " d'invraisemblables scénarios et dossiers pour avoir des avantages financiers, des privilèges de garde d'enfants, d'indemnisations et autres lors de la séparation d'avec le conjoint cocu.

Diabolique!

 

 Malgré les circonstances malheureuses qui t'ont amenées à être confronté à des cas lourds...

le contexte d'une assoc' de familles monoparentales est un cadre bien spécifique mettant en exergue tous les dysfonctionnements liés à cette situation et donc forcément les conflits et dérives de parents séparés.

Ce n'est pas pour autant représentatif de la majorité des femmes... nous n'avons pas toutes d'auréoles , ni ne sommes diaboliques ! :D

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Ne se refuse rien, 35ans Posté(e)
cricket Membre 3 815 messages
35ans‚ Ne se refuse rien,
Posté(e)
il y a 57 minutes, libredeparler a dit :

Pas toutes, mais majoritairement oui, et le discours féminin et féministe va dans ce sens.

C'est marrant pour moi c'est tout le contraire.

Qu'il soit majoritaire dans le discours féminin soit (et encore on ne doit certainement pas connaitre les mêmes femmes...) Mais dans le discours féministe général ? :mef2:

C'est totalement l'inverse, le féminisme prône la libération sexuelle des femmes. C'est au contraire le patriarcat qui favorise l'attitude de la sainte nitouche, puisque la chaudasse est un tabou. Une féministe qui jouerait les princesses c'est un non sens total. Tu crois vraiment que ça va dans le sens de l’émancipation de dire qu'on a couché parce qu'on s'est senti obligée?

Si quelqu'un arrive à trouver la logique à tout ça, qu'il m'explique le raisonnement... 

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 11 heures, Yokkie a dit :

 Malgré les circonstances malheureuses qui t'ont amenées à être confronté à des cas lourds...

le contexte d'une assoc' de familles monoparentales est un cadre bien spécifique mettant en exergue tous les dysfonctionnements liés à cette situation et donc forcément les conflits et dérives de parents séparés.

Ce n'est pas pour autant représentatif de la majorité des femmes... nous n'avons pas toutes d'auréoles , ni ne sommes diaboliques ! :D

Je n'ai pas dis que toutes les femmes sont ainsi, simplement que j'ai très souvent été sidéré que tant  de femmes, apparemment sympas, cultivées etc..... avaient mis au point des scénarios machiavéliques pour littéralement "détruire" leurs ex, tout comme elles rejetaient la responsabilité de leurs propres infidélités sur leurs compagnons....

 

 Cela ne donne pas très envie de se mettre en couple... je dirai même que cela m'a "vacciné"..

Du coup je fais partie de ces hommes qui fréquentent les femmes avec grand plaisir, mais sans s'engager.

Car beaucoup de femmes sont formidables et leurs compagnie des plus agréables..... faut simplement savoir garder assez de distance  pour pouvoir rester soi-même....

Et pour en revenir au sujet qu'est l'infidélité féminine, je rappellerai simplement qu'à part pour  les relations homosexuelles.... pour un rapport sexuel il faut un homme et une femme... alors les stats qui disent qu'un sexe trompe deux fois plus que l'autre, cela me fait doucement sourire.....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 11 heures, cricket a dit :

C'est marrant pour moi c'est tout le contraire.

Qu'il soit majoritaire dans le discours féminin soit (et encore on ne doit certainement pas connaitre les mêmes femmes...) Mais dans le discours féministe général ? :mef2:

C'est totalement l'inverse, le féminisme prône la libération sexuelle des femmes. C'est au contraire le patriarcat qui favorise l'attitude de la sainte nitouche, puisque la chaudasse est un tabou. Une féministe qui jouerait les princesses c'est un non sens total. Tu crois vraiment que ça va dans le sens de l’émancipation de dire qu'on a couché parce qu'on s'est senti obligée?

Si quelqu'un arrive à trouver la logique à tout ça, qu'il m'explique le raisonnement... 

 

 

Les féministes ont avant tout un discours victimaire, donc la sainte nitouche victime des hommes, alors que les femmes sont vertueuses, droites, etc....

Les féministes ne jouent pas les princesses, mais les femmes supérieures dénonçant tous les travers de l'espèce masculine avec laquelle elles sont obligées de co-habiter....

 

Encore une fois les féministes affirment par exemple que le mariage est une forme de prostitution..... donc la femme obligée de se sacrifier sexuellement .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
il y a 31 minutes, libredeparler a dit :

Et pour en revenir au sujet qu'est l'infidélité féminine, je rappellerai simplement qu'à part pour  les relations homosexuelles.... pour un rapport sexuel il faut un homme et une femme... alors les stats qui disent qu'un sexe trompe deux fois plus que l'autre, cela me fait doucement sourire.....

Et... ? Je ne fais pas le lien. 

Les deux partenaires ne sont pas forcément infidèles lors du rapport ensemble.

 

il y a 21 minutes, libredeparler a dit :

Encore une fois les féministes affirment par exemple que le mariage est une forme de prostitution..... donc la femme obligée de se sacrifier sexuellement .

Oú as-tu entendu ça ?

A part dans les cas extrêmes de mariage arrangé ou forcé, je ne vois pas.

En quoi se sacrifient-t-elles sexuellement ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
il y a 32 minutes, Yokkie a dit :

Et... ? Je ne fais pas le lien. 

Les deux partenaires ne sont pas forcément infidèles lors du rapport ensemble.

 

Oú as-tu entendu ça ?

A part dans les cas extrêmes de mariage arrangé ou forcé, je ne vois pas.

En quoi se sacrifient-t-elles sexuellement ?

Prostitution et mariage : une assimilation douteuse
par Stéphanie Cordellier

 

Historiquement, certains penseurs ont associé le mariage à la prostitution. Dans les années 70, beaucoup de féministes ont également assimilé le mariage à la prostitution. Il s’agissait alors souvent de démystifier le mariage et de révéler la misère sexuelle des femmes. Dans son livre consacré à la sexualité féminine (4), Alice Schwarzer insistait, par exemple, sur la ressemblance entre la vie des femmes mariées qu’elle avait interviewées avec celle d’une prostituée. Ce qui ne l’empêche pas, aujourd’hui où la tolérance face à la prostitution est plus grande que jamais, de lutter contre la normalisation de la prostitution et de dénoncer ses effets déshumanisant.

Aujourd’hui, la comparaison entre le mariage et la prostitution sert des fins politiques moins nobles : il ne s’agit plus de dénoncer le mariage traditionnel et la prostitution mais au contraire de faire accepter cette dernière sous prétexte que le mariage l’est. J’entends par mariage traditionnel la division du travail à l’œuvre dans le couple : l’homme travaille à l’extérieur et la femme à l’intérieur (5). Mais le mot mariage est fréquemment utilisé sans que l’on sache toujours à quoi il se rapporte.

Dans l’assimilation du "mariage" à la prostitution, on effectue en général deux comparaisons que je vais ici distinguer.

- On compare, d’une part, le sexe dans la prostitution et le sexe dans le mariage, particulièrement les rapports sexuels subis, forcés, effectués ou non contre "l’entretien" des femmes. Les couples non mariés peuvent être aussi concernés, c’est en fait la sexualité hétérosexuelle qui est critiquée et/ou comparée. Parfois, on compare également la prostitution à la sexualité homosexuelle. Dans toutes ces approches, la prostitution est perçue comme sexualité.

- On compare, d’autre part, ce que le courant pro-prostitution appelle les "services sexuels", à l’œuvre dans le mariage et dans la prostitution, avec les divers services ménagers rendus aux hommes par les femmes, dans le mariage ou même à l’extérieur (services que l’on retrouve sur le marché du travail avec la même division sexuelle du travail à l’œuvre). On compare donc en fin de compte la prostitution avec les divers métiers féminins ; la prostitution est perçue comme travail.

Après avoir discuté ces deux types de comparaisons, je montrerai qu’il existe encore deux autres points communs entre la prostitution et le mariage traditionnel :

- Le fait que leurs défenseurs utilisent le consentement des femmes pour nier le caractère oppressif de ces institutions.

- Le fait que les partisans de la prostitution et du mariage traditionnel considèrent que le problème principal se situe d’abord au niveau des valeurs et non au niveau de la réalité matérielle.

 
 
  rien.gif        
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Freak and geek, 45ans Posté(e)
Marla Membre 2 320 messages
45ans‚ Freak and geek,
Posté(e)
Il y a 14 heures, libredeparler a dit :

La victimisation des femmes dans les coucheries est souvent la même à savoir, qu'elles n'avaient pas envie d'avoir des relations sexuelles avec d'autres hommes, c'est la faute aux hommes qui ont insisté, ou alors elles vont voir ailleurs, par "obligation" puisque leur compagnon n'est pas(plus) à la hauteur....

Les femmes n'allument jamais, ne s'envoient pas en l'air "entre midi et deux" ou de 'cinq à sept".... ce sont les hommes avec la "vérité " féministe "tous les mêmes" avec l'imparable arguments " ils n'ont que ça en tête", "ils ont le cerveau au niveau de l'entre-jambes", etc....

 

 Vous devriez faire quelques sorties de bureau et suivre quelques femmes.... vous seriez surprise..

 

Oui c'est cela, toutes les Feemmes victimaires qui se disent saintes et n'assument rien en reportant tout sur les vilains mâles... :dort:

Et t'as oublié "l'excuse" du mec trop jaloux qui te pousse à aller voir ailleurs ou le "oeil pour oeil", il m'a trompé et je le fais en retour, avec un de ses potes ou de sa famille encore mieux !

 

Il y a 13 heures, libredeparler a dit :

Pas toutes, mais majoritairement oui, et le discours féminin et féministe va dans ce sens.

 Je vais vous dire, j'ai été pendant quelques années vice-président d'une association de familles monoparentales et nous avions un service de médiation..... c'est durant ces années que j'ai fondamentalement changé d'opinion sur les femmes......

Alors oui il y a quantités d'hommes incorrectes et qui trompent leurs compagnes, mais en général c'est "sexuel", ou  un amour de passage ( je ne dis pas que c'est bien ou justifiable...) alors que beaucoup de femmes ne vont non seulement tromper allègrement  leur conjoints, mais souvent "monter " d'invraisemblables scénarios et dossiers pour avoir des avantages financiers, des privilèges de garde d'enfants, d'indemnisations et autres lors de la séparation d'avec le conjoint cocu.

Diabolique!

 

Ben oui, il existe de connasses revanchardes, sans honneur et vénales... Merci de nous l'apprendre !

Et les mecs qui trompent, quittent et ne s'occupent plus de leurs gosses (à tous les niveaux), ou même vont se refaire une petite famille en zappant l'autre, ça existe aussi, triste monde !

 

Pour répondre au sujet (je crois que j'en avais déjà parlé ailleurs, mais bon), je n'ai jamais trompé quand j'étais en couple exclusif et amoureuse. Au contraire, les deux dont j'ai été amoureuse m'ont, eux, trompée, dans des circonstances assez glauques en plus pour les deux. Le premier, m'a largué une semaine avant le bac (après m'avoir cocufiée avec une fille d'une autre ville, apparemment c'était un truc arrangé entre familles depuis longtemps), j'étais pas assez docile (et surtout trop athée) pour eux.

Le deuxième, le père de mon fils (13 ans de vie commune), lui les premières années, il était jaloux maladif (c'était surtout ses "fautes" qu'il reportait sur moi). Je savais que c'était un chaud lapin, un séducteur, homme à femme (même les gays l'apprécient beaucoup..). Bref, surtout avec sa vie, monde de la nuit, j'avais de forts doutes, mais lui niait toujours. Jusqu'au jour où il a eu sa condamnation pour 3 ans de prison (ouiais un ex taulard en plus, j'assume et ne l'ai pas abandonné malgré ses fautes, au contraire, toujours soutenu), et là ma meilleure copine (qui l'est toujours d'ailleurs) m'a avoué avoir couché avec lui il y a des années (elle et moi ne nous connaissions pas à l'époque). Et au passage, avec presque toutes les pétasses de la ville.

Sur le coup, je l'ai un peu mal pris, pas les tromperies (je pardonne, dans ma grande bonté d'âme) mais les mensonges et dénis, mais je ne l'ai pas quitté, je n'ai pas cherché à me venger (je suis pas du tout dans le trip haine, revanche, plus pour le pardon, mon côté J-C) En plus, je trouve ça tellement bête, bas et rabaissant de se réduire à tromper en retour et trahir ses valeurs, même dans l'égarement du moment, la colère, tristesse...

Donc, résolue à sauver notre couple, je l'ai attendu, fidèle et seule avec mon fils pendant trois ans, parloirs, visites.. Et quand il est sorti au bout de ces trois ans, il m'a quitté au bout d'un mois pour une blonde bourgeoise qui l'entretenait..

Malgré tout ça, on est toujours en bon terme, je l'ai hébergé quand une de ses copines le larguait (et on est resté amants un bon moment après ça) J'ai arrêté notre "relation" quand il s'est mis avec une femme très gentille, amoureuse et qui s'occupait très bien de mon fils, je ne voulais pas avoir ce rôle de maîtresse briseuse et pas lui faire de peine, et surtout passer à autre chose, tirer un trait définitif. 

Aussi, je n'ai pas fait de démarches pour la pension, les vacances, il donne et le prend quand il le veut/peut, tout le reste, j'assume seule et je ne le "gratte" pas.

Après, j'ai été avec un mec en couple, gosses, toujours la même histoire, plus d'amour, d'entente entre eux, mais il restait pour les gosses (d'après lui). Mais ça n'a pas duré, je culpabilisais quand même rapport à sa femme, surtout qu'il commençait à s'attacher, je préférais qu'il retourne avec sa petite famille.

Pour les coups d'un soir, je ne peux pas dire si j'étais dans le rôle de la maîtresse, bien qu'ils se prétendent célibs. 

Le mieux pour moi à ce stade de ma vie, c'est la relation amour libre, sexe friends (même si là aussi, on contrôle pas l'attachement ou la volonté d'en vouloir plus)

Honnêteté, pas de jalousie, chacun chez soi, on se raconte nos autres "histoires" et plans.

Mais bon, là ça fait un assez bon moment que je préfère être seule, j'ai mes périodes d'abstinences assez longues.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
lucdf Membre 4 113 messages
Forumeur balbutiant‚
Posté(e)

Moi c'est le mot tromper qui me gène. Elles ont été voir ailleurs comment ça se passe et puis sont restées avec leur partenaire. Pas de quoi en faire une histoire!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)

@libredeparler 

Ta source provient d'un site féministe radical "Sisyphe", Québécois à la base... controversé qui plus est !!

on peut trouver des thèses sur tout type de sujets, c'est sûr...

Oú se trouve l'impartialité ?

Est-ce pour autant représentatif de la majorité des femmes ?? :facepalm:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
il y a 44 minutes, Yokkie a dit :

@libredeparler 

Ta source provient d'un site féministe radical "Sisyphe", Québécois à la base... controversé qui plus est !!

on peut trouver des thèses sur tout type de sujets, c'est sûr...

Oú se trouve l'impartialité ?

Est-ce pour autant représentatif de la majorité des femmes ?? :facepalm:

Alors un exemple français:

Le mariage fait-il de nous des putes?

Dans le cadre de ces controverses militantes autour de la prostitution —pour ou contre la prostitution, pour ou contre la pénalisation des clients— l’argument de la dynamique prostitutionnelle dans le couple est souvent avancé, notamment pour mettre en évidence l’omniprésence d’une certaine forme de tarification sexuelle dans l’institution même du mariage.

A l’opposé des abolitionnistes qui assimilent la prostitution à la traite des êtres humains et à l’esclavage, certains mouvements libertaires estiment que le fait de combattre la prostitution en tant que fléau recouvre en fait une volonté de moraliser notre société. Et pour contrer cette supposée offensive morale, la comparaison de la prostitution «classique» et de la prostitution conjugale est un argument choc, s’appuyant sur les thèses de chercheurs comme Gail Pheterson, qui affirme la présence d’une transaction économique dans le mariage  en ces termes:

«Les femmes doivent fournir des services ménagers, sexuels et reproductifs aux hommes en contrepartie de compensations matérielles plus ou moins importantes.» [1]

Paola Tabet, pour sa part, évoque un continuum de l’échange économico-sexuel qui va du flirt au mariage en passant par la prostitution [2].

Dans ce contexte, on est amené à se poser une question: cet échange «économico-sexuel» est-il uniquement le symptôme d’une soumission de la femme à la puissance masculine dans certains couples, ou le mariage, par sa nature même, fait-il de tout conjoint une pute, quel que soit son sexe?

Revenons aux fondamentaux de l’institution: si le mariage est considéré comme un acte solennel fondateur de famille, il reste avant tout un contrat, signé par les parties, et générant des obligations réciproques entre époux, notamment l’obligation de communauté de vie postérieure au mariage, anciennement appelée «affectio matrimonialis». Et le mariage étant primitivement tourné vers la survie de l’espèce, cette communauté de vie va bien au-delà de la seule cohabitation. Le couple marié doit se reproduire.

Qui dit mariage dit sexe

Cette obligation a des conséquences: le mariage suppose l’existence de relations sexuelles dans le couple, fussent-elles stériles. Et ces relations sexuelles sont considérées comme le gage d’une réelle intention matrimoniale, le fameux «affectio matrimonialis». A ce titre, le sexe au sein du couple marié est un élément fondateur de l’institution même.

Par conséquent, un conjoint qui se refuse sexuellement à l’autre peut se voir opposer une demande de divorce de la part de l’abstinent forcé. Plus fort encore, un refus des rapports sexuels «ab initio» (c’est-à-dire un mariage non consommé) peut faire l’objet d’une demande d’annulation.

Evidemment, tout cela est théorique. Mais la réalité quotidienne du couple marié écarte-t-elle pour autant tout échange sexuel à caractère économique? Pas si sûr.

L'offre et la demande

En tant qu’obligation, tacite ou expresse, le sexe peut se rapprocher d’une transaction économique de fait. Et la prestation sexuelle au sein du couple marié s’inscrit bien souvent dans un système de tarification implicite, qui va bien au-delà du simple rapport sexuel consenti pour éviter les conflits. Faire un effort quand on n’a pas réellement envie de faire l’amour, accorder à l’autre une gâterie compensatoire, c’est une chose. Mais le marché global, reposant sur une offre et une demande à long terme, voilà qui est lourd de conséquences et qui suggère souvent une forme de prostitution au long cours dans le mariage.

Le sexe conjugal, c’est parfois un argument de négociation, et un outil de règlement des conflits. Et quand la presse féminine évoque de façon quasi impérative l’importance d’une vie sexuelle épanouie pour «préserver le couple», elle encourage d’une certaine façon la tarification des rapports sexuels.

En effet, expliquer que sans vie sexuelle épanouie (et régulièrement pimentée) le couple est en danger, cela suppose de passer outre l’existence même du désir: il faut baiser pour faire vivre le couple, sous peine de voir le conjoint délaissé se tourner vers des satisfactions extérieures. Il faut fournir, produire du sexe, à la fois en quantité et en qualité, afin de préserver le bon fonctionnement conjugal dans sa globalité. Se forcer un peu est alors considéré comme un acte de maturité sexuelle.

On en arrive donc assez facilement à une sorte de deal qui conditionne la santé même du couple: je couche avec toi, je te satisfais et je te rends heureux. En échange, tu m’apportes une sérénité quotidienne, nous évitons les conflits, et tu restes avec moi. Contrairement aux apparences, on n’est plus là  dans la dictature de la performance mais dans un schéma d’échange économique, dont le sexe est la monnaie.

Par ailleurs, les composantes économiques du sexe conjugal dépassent aujourd’hui la simple gestion des flux financiers au sein du couple, bien que la circulation des biens soit encore effective (petits cadeaux, gratifications, attentions matérielles diverses). Et si on a pu affirmer que les femmes fournissaient autrefois des prestations sexuelles en échange d’une sécurité matérielle, l’accès à l’autonomie financière a rendu cette composante presque caduque, même si en pratique les femmes gagnent souvent moins d’argent que les hommes. Le fait est qu’elles ne couchent plus en échange d’un toit et d’une subsistance, mais que les conjoints échangent du sexe contre des compensations relationnelles, tout autant que matérielles.

Aujourd’hui en effet, les deux sexes sont concernés par la tarification sexuelle conjugale: la pression pèse sur les hommes comme sur les femmes, et le sexe est une véritable valeur ajoutée, qui détermine souvent la bonne santé du couple, et devient au fil du temps une sorte de monnaie d’échange.

Et là, il ne s’agit pas simplement de s’envoyer en l’air pour éviter une dispute, ou assouvir les besoins de son conjoint, mais d’utiliser le sexe comme moyen de se vendre à l’autre en tant que partenaire de qualité. Et le retour sur investissement est plutôt rentable, puisque la qualité de la vie sexuelle, indépendamment du désir proprement dit, va influer sur la pérennité même du couple.

C’est là qu’on rejoint la dynamique prostitutionnelle, qui en appelle au consentement à l’acte, et non au désir de l’acte. Et cette distinction entre désir et consentement est au cœur même de la notion de prostitution. Mais à l’opposé de la prostitution classique, dans laquelle l’individu prostitué vend ses faveurs sexuelles, délivrant ainsi son partenaire de toute autre obligation (affection, tendresse, attention), la prostitution dans le couple est au contraire un moyen d’obtenir ces attentions, indépendamment du plaisir qu’on retire éventuellement de l’acte sexuel.

Le système conjugal, qui semble donc être le plus éloigné de la dynamique prostitutionnelle, révèle dans son fondement même la présence d’une prestation sexuelle tarifée. Alors, une fois mariés, nous devenons tous des putes, chacun à notre manière.

http://www.slate.fr/story/37851/mariage-pute-sexe-contrat

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Ite missa est..., 76ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
76ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)

Les autres sont des menteurs ( euses)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 2 heures, libredeparler a dit :

Et pour en revenir au sujet qu'est l'infidélité féminine, je rappellerai simplement qu'à part pour  les relations homosexuelles.... pour un rapport sexuel il faut un homme et une femme... alors les stats qui disent qu'un sexe trompe deux fois plus que l'autre, cela me fait doucement sourire.....

Tu n'as qu'à initier un topic sur le sexe conjugal comme système économique du mariage si c'est ton axe de pensée !

J'ai du mal à envisager les rapports amoureux avec ce type de calcul....

Le sexe dans une relation est pour moi, uniquement une question de désir et non un moyen d'obtenir.

Fin du HS.

Je ne saisis toujours pas... les deux partenaires ne sont pas forcément et l'un et l'autre dans l'infidélité lors du rapport.

Etant une femme "modérée" non féministe  sans aprioris sexistes, j'évite de faire des généralités et ne met pas en doute systématiquement les analyses, stat sur les hommes ou les femmes excepté lorsqu'elles émanent de sources radicales, ce qui ne semble pas le cas présent.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 106ans Posté(e)
eclipsepartielle Membre 4 565 messages
Baby Forumeur‚ 106ans‚
Posté(e)
Le ‎10‎/‎01‎/‎2017 à 20:38, swam a dit :

Bon et bien s'il faut montrer l'exemple ...

 

Dans les premiers temps de ma vie amoureuse j'ai eu jusqu'a 3 partenaires en meme temps, mais rien de sérieux.

A chaque fois que j'ai été en couple par la suite j'ai été fidéle.

 

Mais je ne juge pas les infidèles, ce n'est pas a moi de le faire.

 

*

Tiens c'est bien la première fois que tu parles de toi même !

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 11 heures, eclipsepartielle a dit :

Tiens c'est bien la première fois que tu parles de toi même !

 

Je ne comprends pas ce besoin que les gens ont d'entendre les gens se confier sur un forum, il y a les MP pour ça.

Moi ce que j'aime entendre/lire, ce sont les personnes qui expriment leurs idées, leurs points de vue.

C'est tellement plus instructif !

Et c'est seulement ensuite que je peux décider si une personne peut m'interesser a connaitre un peu sa vie.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Dans l’animal moral, Robert Wright écrit :

 

 

« Dans une espèce a Investissement Paternel Elevé, la femelle recherche 2 choses: de bons gènes et un solide engagement a long terme.

Elle peut ne pas les trouver réunis chez le meme homme. Une solution consiste a faire croire a un partenaire dévoué, mais pas spécialement musclé ni surdoué, que la progéniture qu’il élève est bien la sienne.

………………………...

Il a été démontré que les femmes sont sexuellement plus actives en période d’ovulation. Deux études ont révélé que les femmes qui sortent en célibataires dans les bars portent davantage de bijoux et de maquillage lorsque l’ovulation approche. Ces parures visent a attirer un certain nombre d’hommes, parmi lesquels la femme fera son choix. Et ces femmes sur leur 31 ont eu effectivement plus de contacts physiques avec des hommes au cours de leur soirée.

………………………….

Quel que soit leur mobile, les femmes trompent leur partenaire ( ont des rapports hors couple) .

Des examens sanguins montrent que dans certaines zones urbaines, plus d’un quart des enfants pourraient avoir été conçus par un père autre que celui qui figure sur les registres de l’état civil. »

 

Tout ce comportement pouvant etre inconscient.

 

Ainsi donc le désir sexuel féminin est intimement lié a la reproduction et a l’amélioration des gènes ?

Je pense que c’est nettement moins le cas chez les hommes pour qui le désir sexuel est très lié a la personnalité ou a la mentalité d’une femme, en tous les cas nettement renforcé ( ou pas ) par la psychologie.

 

Que tout ce raffinement en matière de séduction et d’attirance d’un sexe a l’autre ne soit en fait que la stratégie employée par nos gènes (égoistes ) pour se reproduire, a vraiment quelque chose de risible ou de pathétique.

 

Heureusement qu’il y a quand meme des personnes qui place l’amour au dessus de tout, au dessus de la vie meme ( la vie c’est a dire la reproduction des gènes ).

Mais a vrai dire je ne sais toujours pas si il y a de telles personnes chez les femmes.

Il semblerait qu’elles soient beaucoup plus instrumentées par le(s) gène(s.)

 

 

 

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×