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Abraham


PaulVerges

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Membre, 33ans Posté(e)
PaulVerges Membre 52 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
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Patriarche biblique (Génèse, 12-25), dont la figure est présente dans les trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l'islam.

Abraham obéit aveuglément à Dieu qui lui demande de quitter la patrie de ses pères pour aller en un pays inconnu, le pays de Canaan (la Terre promise), qu'il destine à son peuple. Dieu a promis à Abraham une postérité innombrable. Parce qu'elle est stérile, sa femme Sara lui demande de lui donner des enfants avec sa servante, Agar, qui engendre un fils, Ismaël, ancêtre des Arabes. Alors qu'Abraham est âgé de 99 ans, Dieu lui confirme qu'il aura un fils avec Sara. Ce fils attendu si longtemps - Isaac, ancêtre des Israélites -, Dieu en demande aussitôt le sacrifice à Abraham, qui n'hésite pas, emmène Isaac sur une montagne où le sacrifice doit avoir lieu. Au moment où il lève son couteau sur Isaac, l'ange du Seigneur apparaît et arrête Abraham, qui remplace l'enfant par un bélier : "Parce que tu as fait cela, que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions...". Selon certaines lectures du Coran (sourate 37, 98-113), c'est Ismaël qui été demandé en sacrifice. De part en part, "Abraham crut en Yahvé, qui le lui compta comme justice."

L'histoire d'Abraham est donc à double titre un symbole religieux :

1- Elle manifeste que la foi soutient la volonté contre toute raison, y compris lorsqu'il n'y a plus de raison d'espérer (saint Paul, Epître aux Romains, 4). C'est parce qu'il fait preuve d'une subordination aussi totale de sa volonté et de sa raison aux décrets divins, illustrant ainsi l'abnégation requise par le véritable esprit de la foi, qu'Abraham est, en retour, promis par Dieu à une puissance inégalable.

2- L'exil du peuple juif, que Dieu exige d'Abraham, tend à souligner que ce véritable esprit de la foi ne peut être préservé du paganisme que par un recul toujours renouvelé vis-à-vis des préoccupations de l'univers social dans lequel cette foi est vécue : ce n'est pas la loi, mais la foi qui est "comptée comme justice" (saint, Epitres aux Romains, 4).

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
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c'est bien dans la bible le fils unique, donc ismael.

 

sinon, la  symbolique est bien plus profonde que ça. c'est le passage du cannibalisme à la civilisation non cannibale.

 

sinon, la patrie do'rigine d'abraham est l'linde. brahma et saravasti. il y avait dans le nord de l'inde un royaume nommé "yehaudea"  qui veut dire en langue sémite juif

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
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il y a 7 minutes, azed1967 a dit :

c'est bien dans la bible le fils unique, donc ismael.

 

sinon, la  symbolique est bien plus profonde que ça. c'est le passage du cannibalisme à la civilisation non cannibale.

 

sinon, la patrie do'rigine d'abraham est l'linde. brahma et saravasti. il y avait dans le nord de l'inde un royaume nommé "yehaudea"  qui veut dire en langue sémite juif

Isaac a prit le trône d'Israel Voulu par Dieu , pas Abraham !et  Dieu a exilé Ismaël, qui ne faisait pas parti de Sa Volonté,car né sans l'aval, sans l'accord , sans la bénédiction  de Dieu !

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
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il y a 3 minutes, aPOTRE a dit :

Isaac a prit le trône d'Israel Voulu par Dieu , pas Abraham !et  Dieu a exilé Ismaël, qui ne faisait pas parti de Sa Volonté,car né sans l'aval, sans l'accord , sans la bénédiction  de Dieu !

Naissance d'Ismaël (Genèse 16.1-16)

 
16 Saraï, la femme d'Abram, ne lui avait pas donné d'enfants, mais elle avait une servante égyptienne du nom d'Agar. 2 Saraï dit à Abram: «Voici que l'Eternel m'a rendue stérile. Aie des relations avec ma servante: peut-être aurai-je par elle des enfants.» Abram écouta Saraï.
3 Alors Saraï, la femme d'Abram, prit l'Egyptienne Agar, qui était sa servante, et elle la donna pour femme à son mari Abram, 10 ans après l'installation d'Abram dans le pays de Canaan. 4 Il eut des relations avec Agar et celle-ci tomba enceinte. Quand elle se vit enceinte, elle regarda sa maîtresse avec mépris.
5 Saraï dit à Abram: «L'injure qui m'est faite retombe sur toi. C'est moi qui ai mis ma servante dans tes bras, mais quand elle a vu qu'elle était enceinte, elle m'a regardée avec mépris. Que l'Eternel soit juge entre toi et moi!»
6 Abram répondit à Saraï: «Ta servante est en ton pouvoir. Traite-la comme tu le jugeras bon.» Alors Saraï maltraita Agar, de sorte que celle-ci s'enfuit loin d'elle.
7 L'ange de l'Eternel la trouva près d'une source d'eau dans le désert, près de la source qui est sur le chemin de Shur.
8 Il dit: «Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu et où vas-tu?» Elle répondit: «Je m'enfuis loin de Saraï, ma maîtresse.» 9 L'ange de l'Eternel lui dit: «Retourne vers ta maîtresse et humilie-toi sous son pouvoir.»
10 Puis l'ange de l'Eternel lui affirma: «Je multiplierai ta descendance. Elle sera si nombreuse qu'on ne pourra pas la compter.»
11 L'ange de l'Eternel lui dit: «Te voici enceinte. Tu mettras au monde un fils à qui tu donneras le nom d'Ismaël, car l'Eternel t'a entendue dans ton malheur.
12 Il sera pareil à un âne sauvage. Sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui. Il habitera en face de tous ses frères.»
13 Elle donna à l'Eternel, qui lui avait parlé, le nom d'Atta-El-Roï car elle dit: «Ai-je vu ici la trace de celui qui me voit?»
14 C'est pourquoi l'on a appelé ce puits le puits de Lachaï-Roï. Il se trouve entre Kadès et Bared.
15 Agar donna un fils à Abram, et celui-ci appela Ismaël le fils qu'Agar lui donna.
16 Abram était âgé de 86 ans lorsque Agar lui donna Ismaël.
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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 251 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
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Il y a 11 heures, PaulVerges a dit :

Patriarche biblique (Génèse, 12-25), dont la figure est présente dans les trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l'islam.

Abraham obéit aveuglément à Dieu qui lui demande de quitter la patrie de ses pères pour aller en un pays inconnu, le pays de Canaan (la Terre promise), qu'il destine à son peuple. Dieu a promis à Abraham une postérité innombrable. Parce qu'elle est stérile, sa femme Sara lui demande de lui donner des enfants avec sa servante, Agar, qui engendre un fils, Ismaël, ancêtre des Arabes. Alors qu'Abraham est âgé de 99 ans, Dieu lui confirme qu'il aura un fils avec Sara. Ce fils attendu si longtemps - Isaac, ancêtre des Israélites -, Dieu en demande aussitôt le sacrifice à Abraham, qui n'hésite pas, emmène Isaac sur une montagne où le sacrifice doit avoir lieu. Au moment où il lève son couteau sur Isaac, l'ange du Seigneur apparaît et arrête Abraham, qui remplace l'enfant par un bélier : "Parce que tu as fait cela, que tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique, je te comblerai de bénédictions...". Selon certaines lectures du Coran (sourate 37, 98-113), c'est Ismaël qui été demandé en sacrifice. De part en part, "Abraham crut en Yahvé, qui le lui compta comme justice."

L'histoire d'Abraham est donc à double titre un symbole religieux :

1- Elle manifeste que la foi soutient la volonté contre toute raison, y compris lorsqu'il n'y a plus de raison d'espérer (saint Paul, Epître aux Romains, 4). C'est parce qu'il fait preuve d'une subordination aussi totale de sa volonté et de sa raison aux décrets divins, illustrant ainsi l'abnégation requise par le véritable esprit de la foi, qu'Abraham est, en retour, promis par Dieu à une puissance inégalable.

2- L'exil du peuple juif, que Dieu exige d'Abraham, tend à souligner que ce véritable esprit de la foi ne peut être préservé du paganisme que par un recul toujours renouvelé vis-à-vis des préoccupations de l'univers social dans lequel cette foi est vécue : ce n'est pas la loi, mais la foi qui est "comptée comme justice" (saint, Epitres aux Romains, 4).

« Les rédacteurs de la Bible n’ont-ils pas hérité de la culture de l’exil ? Hypothèse qui dépasse aujourd’hui les milieux scientifiques.

 

Arrêtons-nous un instant à la déportation de Babylone, imposée aux juifs par Nabuchodonosor II entre 957 et 582 avant notre ère.

Elle dure plusieurs décennies. Prisonniers, les juifs sont libérés en 539 et reviennent progressivement vers Jérusalem, vraisemblablement imprégnés de la mythologie assyro-babylonienne dont l’Epopée de Gilgamesh, antérieure à eux de plus d’un millénaire. Ils auraient relaté de générations en générations, jusqu’aux rédacteurs de la Bible qui l’ont restituée dans l’épisode du Déluge. Par ce transfert d’un texte d’origine humaine à une attribution divine, les rédacteurs vont ainsi rédiger un chapitre essentiel, la Genèse, aux sens multiples : une mise en garde envers les hommes, doublée d’une vision symbolique, par la première Alliance de Dieu avec ses créatures, à travers Noé.

L’humanité porte-t-elle la responsabilité de son apocalypse ? Le Déluge, la tour de Babel… ? Un seul Juste peut sauver le monde, qui n’est mis en danger que par les hommes. Et ce rôle de sauveur dévolu à Noé, on le retrouvera plus tard incarné par Abraham, auquel restera accolé l’annonce d’un destin, ainsi qu’une thématique forte, celle de l’unité des hommes.

La toute puissance et grandiose cité de Babylone, point de convergence des langues et des peuples, impressionne grandement les Juifs déportés qui n’ont rien connu de semblable dans la Jérusalem de leurs origines.

Le récit biblique prend alors un sens symbolique que les rédacteurs auraient voulu assez fort pour frapper les esprits.

La fascination-répulsion éprouvée par les déportés devant la magnificence et la volonté hégémonique de Babylone, a pu inspirer, comme on l’a vu, les rédacteurs du Livre. Ils auraient ainsi récupéré la chute historique de Babylone, bien postérieure à leur passage. Les divers envahisseurs ont eu raison de la ville et de la tour. Notamment par la destruction de Xerxès (510-465). Les rédacteurs auraient donc travesti la réalité, et l’aurait aménagée au profit de leur peuple, et au profit plus tard de l’ensemble des Juifs et des Chrétiens.

En instrumentalisant l’histoire, attribuant la destruction de Babylone au châtiment divin, ils démythifient ainsi la cité de l’idéal et laissent le soin aux hommes d’en tirer un sens philosophique.

Les faits sont donc postérieurs à l’exil, la rédaction de ces faits est également post-exilique, mais peu importe les sources ou les emprunts. La littérature des rédacteurs doit être porteuse de sens, quel que soit le mode d’inspiration, inspiration divine, comme il est dit traditionnellement ou inspiration d’intelligence humaine.

 

Mais alors pourquoi l’imaginaire invente-t-il de tels récits ?

A quel moment et pour quelle nécessité, les rédacteurs ont-ils éprouvé le besoin d’écrire ce récit épique, malgré ses contradictions, ses invraisemblances ?

L’exil a été ressenti comme une déchirante épreuve, qui a catalysé de très nombreuses questions et douleurs chez les déportés : la perte de la terre des ancêtres, notamment. Ainsi se sont imposées des nécessités intérieures et extérieures. Pierre Gibert souligne à juste titre qu’il convient de compter également avec les inventions idéologiques des rédacteurs, qui ne se préoccupent pas de l’histoire.

Au retour de l’Exil, il fallait absolument reconstituer l’unité du peuple, dont beaucoup d’individus préféraient rester à Babylone où ils avaient découvert, comme on l’a vu, une toute autre vie, plus attractive que celle qu’ils avaient connue à Jérusalem. Il était urgent de bâtir une doctrine, redonner à ce peuple la conscience de sa patrie et de sa foi au milieu des influences de l’Empire Perse et de l’Hellénisme. La réflexion va donc s’imposer vers les Ve et IVe siècle (avt JC). Et la rédaction d’une synthèse empruntant ses modèles aux différentes traditions va aboutir aux textes de la Bible.

Le peuple juif commençait à bâtir une histoire en remontant dans le temps avec des Patriarches, auxquels il allait attribuer des rôles éminents dont le Dialogue avec Dieu, l’Alliance, la Loi etc., fécondant ainsi un corpus littéraire fondateur qui servirait aux générations présentes et futures.

Comme on peut le constater, les grands thèmes bibliques de la Genèse, Adam, Ève, Noé, le Déluge… traduisent pour certains récits des adaptations de faits avérés ou de légendes existantes, quand pour d’autres, ils ne constituent que le pur produit de l’imaginaire.

L’apparition d’Abraham répond-elle au même schéma ?

Dans l’ouvrage que je rédige actuellement, l’un des chapitres aborde la question de l’apparition du Patriarche, cherchant à déterminer s’il tient de la réalité ou de la fiction.

Dans l’Ancien Testament, les évocations de son existence sont nombreuses. Elles apparaissent principalement dans la Genèse, et pour la première fois, au chapitre XI-26 : Térah (descendant de Noé par Sem) (…) engendra Abram, Nahor et Haran. Trois fils. A noter, trois fils comme Noé.

Avant l’Exil, les hommes inventent sans cesse de nouvelles divinités, qui ne leur apportent pas de réponse rassurante. Les rédacteurs de la Bible ont besoin d’une image forte, frappant les esprits, l’image d’un père unificateur et intercesseur peut présenter une alternative au polythéisme.

Plusieurs hypothèses :

Abraham réalité :

- N’écartons pas cette hypothèse la plus répandue chez les croyants, celle d’un seul et même homme, figure bien réelle dont à ce jour la preuve de l’existence n’a pas pu encore être apportée par la science. Il aurait existé et tous les rôles que lui attribuent les Ecritures, sont à considérer comme de l’histoire.

Abraham fiction :

- Abraham pourrait aussi résulter du produit d’une culture en mal de foi, une création des hommes en désir de Dieu, la nécessité de se reconnaître dans le Créateur. Freud ne place-t-il pas le besoin religieux, hérité d’Abraham, dans le besoin de protection par le Père ?

Abraham serait alors le fruit de l’imaginaire, le fruit d’une invention pure et simple, celle d’un personnage symbole créé pour répondre à un besoin. Il constituerait ainsi la résultante élaborée d’un imaginaire collectif, qu’on pourrait appeler imaginaire-besoin, infondé objectivement. Un phare bâti de toutes pièces, auquel on va confier le rôle emblématique de messager, lui inventant une vie et une histoire. Un mythe à figure humaine, auquel on attribuera des facultés surhumaines : son dialogue avec Dieu, par exemple, pour n’en citer qu’un. Un Patriarche imaginé par les rédacteurs de la Genèse pour symboliser la croyance des hommes en Dieu. Peu à peu, cette création, fruit de l’imagination-besoin, ce personnage virtuel, va s’inscrire dans l’inconscient collectif comme une réalité, au point qu’elle sera portée dans les Livres des religions monothéistes, deviendra indiscutable et indiscutée puisque « parole divine », et produira une littérature fascinante, jusqu’à nos jours et bien au-delà.

Si Abraham est une invention, une stricte création des hommes pour donner à l’humanité une conscience nouvelle, quel extraordinaire hommage à la formidable puissance de l’imaginaire !

 

Abraham composite de réalité et de fiction :

- Peut-on raisonnablement penser que le personnage d’Abraham ait été inventé de toutes pièces? Ne pourrait-il pas être le fruit d’une réalité née sur les lieux et à l’époque où le mythe aurait pris naissance ? Dans les transhumances des groupes sémitiques nomades un (ou plusieurs) homme-lige, charismatique, a pu effectivement laisser une empreinte. En adaptant la vie de l’un ou de plusieurs de ces personnages ayant existé, en créant un amalgame entre le réel et l’imaginaire collectif, on aurait construit un être idéal exaltant l’individu, dont on aurait adopté l’image emblématique, ou même le composite de plusieurs, pour y inscrire un besoin de croyance, lui attribuant des réponses aux questions essentielles.

On assisterait ainsi à l’aboutissement cumulé de l’histoire et du besoin spirituel des hommes, mêlé à des narrations épiques, selon le mécanisme que l’on a constaté à la lecture parallèle de l’Épopée de Gilgamesh et du Déluge biblique.

Qu’il soit mythique ou historique, le Patriarche représente aujourd’hui, incontestablement, le plus fort symbole unificateur des religions monothéistes, celui qui a cru en la perfectibilité de l’homme et l’a tiré de son assoupissement.

Qu’il ait ou non existé, devient subsidiaire puisque depuis son apparition il fait communier les individus sur une croyance nouvelle, mobilisatrice, puissamment suggestive dans son ellipse même.

D’Abraham on ne sait rien disent les scientifiques, pourtant il demeure intensément vivant.

Affirmer que rien n’établit son existence ne démontre pas pour autant son inexistence et, à défaut d’être né, Abraham aura un authentique destin qui embrassera tous les âges suivants. »

 

René Guitton   (http://www.rene-guitton.fr/accueil-rene-guitton)

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
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il y a 18 minutes, azed1967 a dit :

Naissance d'Ismaël (Genèse 16.1-16)

 
16 Saraï, la femme d'Abram, ne lui avait pas donné d'enfants, mais elle avait une servante égyptienne du nom d'Agar. 2 Saraï dit à Abram: «Voici que l'Eternel m'a rendue stérile. Aie des relations avec ma servante: peut-être aurai-je par elle des enfants.» Abram écouta Saraï.
3 Alors Saraï, la femme d'Abram, prit l'Egyptienne Agar, qui était sa servante, et elle la donna pour femme à son mari Abram, 10 ans après l'installation d'Abram dans le pays de Canaan. 4 Il eut des relations avec Agar et celle-ci tomba enceinte. Quand elle se vit enceinte, elle regarda sa maîtresse avec mépris.
5 Saraï dit à Abram: «L'injure qui m'est faite retombe sur toi. C'est moi qui ai mis ma servante dans tes bras, mais quand elle a vu qu'elle était enceinte, elle m'a regardée avec mépris. Que l'Eternel soit juge entre toi et moi!»
6 Abram répondit à Saraï: «Ta servante est en ton pouvoir. Traite-la comme tu le jugeras bon.» Alors Saraï maltraita Agar, de sorte que celle-ci s'enfuit loin d'elle.
7 L'ange de l'Eternel la trouva près d'une source d'eau dans le désert, près de la source qui est sur le chemin de Shur.
8 Il dit: «Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu et où vas-tu?» Elle répondit: «Je m'enfuis loin de Saraï, ma maîtresse.» 9 L'ange de l'Eternel lui dit: «Retourne vers ta maîtresse et humilie-toi sous son pouvoir.»
10 Puis l'ange de l'Eternel lui affirma: «Je multiplierai ta descendance. Elle sera si nombreuse qu'on ne pourra pas la compter.»
11 L'ange de l'Eternel lui dit: «Te voici enceinte. Tu mettras au monde un fils à qui tu donneras le nom d'Ismaël, car l'Eternel t'a entendue dans ton malheur.
12 Il sera pareil à un âne sauvage. Sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui. Il habitera en face de tous ses frères.»
13 Elle donna à l'Eternel, qui lui avait parlé, le nom d'Atta-El-Roï car elle dit: «Ai-je vu ici la trace de celui qui me voit?»
14 C'est pourquoi l'on a appelé ce puits le puits de Lachaï-Roï. Il se trouve entre Kadès et Bared.
15 Agar donna un fils à Abram, et celui-ci appela Ismaël le fils qu'Agar lui donna.
16 Abram était âgé de 86 ans lorsque Agar lui donna Ismaël.

OUI Abraham était sous la volonté de sa femme et soumis à elle (Ismaël) et ensuite sous celle de Dieu (Isaac ) ensuite Dieu a testé Abraham s'il était fiable à Dieu (Isaac sur l'autel du sacrifice) ,donc la couronne revient à Isaac , et Abraham la Couronné roi voulu de Dieu ! Abraham(roi) non !  c'est comme le Pape qui couronne un roi et qui n'a pas le pouvoir de roi  !

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
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il y a 14 minutes, aPOTRE a dit :

OUI Abraham était sous la volonté de sa femme et soumis à elle (Ismaël) et ensuite sous celle de Dieu (Isaac ) ensuite Dieu a testé Abraham s'il était fiable à Dieu (Isaac sur l'autel du sacrifice) ,donc la couronne revient à Isaac , et Abraham la Couronné roi voulu de Dieu ! Abraham(roi) non !  c'est comme le Pape qui couronne un roi et qui n'a pas le pouvoir de roi  !

la bible dit fils unique donc un pas deux. si ismael est un batard pas demander ce que sont les européens et les autres, ...

 

sur ce bonne journée !

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
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il y a 47 minutes, azed1967 a dit :

Naissance d'Ismaël (Genèse 16.1-16)

 
16 Saraï, la femme d'Abram, ne lui avait pas donné d'enfants, mais elle avait une servante égyptienne du nom d'Agar. 2 Saraï dit à Abram: «Voici que l'Eternel m'a rendue stérile. Aie des relations avec ma servante: peut-être aurai-je par elle des enfants.» Abram écouta Saraï.
3 Alors Saraï, la femme d'Abram, prit l'Egyptienne Agar, qui était sa servante, et elle la donna pour femme à son mari Abram, 10 ans après l'installation d'Abram dans le pays de Canaan. 4 Il eut des relations avec Agar et celle-ci tomba enceinte. Quand elle se vit enceinte, elle regarda sa maîtresse avec mépris.
5 Saraï dit à Abram: «L'injure qui m'est faite retombe sur toi. C'est moi qui ai mis ma servante dans tes bras, mais quand elle a vu qu'elle était enceinte, elle m'a regardée avec mépris. Que l'Eternel soit juge entre toi et moi!»
6 Abram répondit à Saraï: «Ta servante est en ton pouvoir. Traite-la comme tu le jugeras bon.» Alors Saraï maltraita Agar, de sorte que celle-ci s'enfuit loin d'elle.
7 L'ange de l'Eternel la trouva près d'une source d'eau dans le désert, près de la source qui est sur le chemin de Shur.
8 Il dit: «Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu et où vas-tu?» Elle répondit: «Je m'enfuis loin de Saraï, ma maîtresse.» 9 L'ange de l'Eternel lui dit: «Retourne vers ta maîtresse et humilie-toi sous son pouvoir.»
10 Puis l'ange de l'Eternel lui affirma: «Je multiplierai ta descendance. Elle sera si nombreuse qu'on ne pourra pas la compter.»
11 L'ange de l'Eternel lui dit: «Te voici enceinte. Tu mettras au monde un fils à qui tu donneras le nom d'Ismaël, car l'Eternel t'a entendue dans ton malheur.
12 Il sera pareil à un âne sauvage. Sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui. Il habitera en face de tous ses frères.»
13 Elle donna à l'Eternel, qui lui avait parlé, le nom d'Atta-El-Roï car elle dit: «Ai-je vu ici la trace de celui qui me voit?»
14 C'est pourquoi l'on a appelé ce puits le puits de Lachaï-Roï. Il se trouve entre Kadès et Bared.
15 Agar donna un fils à Abram, et celui-ci appela Ismaël le fils qu'Agar lui donna.
16 Abram était âgé de 86 ans lorsque Agar lui donna Ismaël.

OUI Abraham était sous la volonté de sa femme et soumis à elle (Ismaël) et ensuite sous celle de Dieu (Isaac ) ensuite Dieu a testé Abraham s'il était fiable à Dieu (Isaac sur l'autel du sacrifice) ,donc la couronne revient à Isaac , et Abraham la Couronné roi voulu de Dieu ! Abraham(roi) non !  c'est comme le Pape qui couronne un roi et qui n'a pas le pouvoir de roi  !

il y a 23 minutes, azed1967 a dit :

la bible dit fils unique donc un pas deux. si ismael est un batard pas demander ce que sont les européens et les autres, ...

 

sur ce bonne journée !

Dieu est Esprit , et non pas comme vous qui le voyez en  simple créateur de créatures !

oseriez vous mettre en doute l'autorité parentale de Dieu sur Israel & Isaac , et accuseriez vous  Dieu de déni ??

comme d'habitude vous , vous victimiser toujours les musulmans de muhamed  !au lieu d'accepter la Volonté du Père Éternel dans les Cieux !Caïn , comme vous Jaloux du choix  de Dieu ! bref vous n'avez pas pris une once d'Esprit de Dieu  en vous aussi !

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Membre, Posté(e)
jeandin Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le 16/12/2016 à 10:15, aPOTRE a dit :

OUI Abraham était sous la volonté de sa femme et soumis à elle (Ismaël) et ensuite sous celle de Dieu (Isaac ) ensuite Dieu a testé Abraham s'il était fiable à Dieu (Isaac sur l'autel du sacrifice) ,donc la couronne revient à Isaac , et Abraham la Couronné roi voulu de Dieu ! Abraham(roi) non !  c'est comme le Pape qui couronne un roi et qui n'a pas le pouvoir de roi  !

Dieu est Esprit , et non pas comme vous qui le voyez en  simple créateur de créatures !

oseriez vous mettre en doute l'autorité parentale de Dieu sur Israel & Isaac , et accuseriez vous  Dieu de déni ??

comme d'habitude vous , vous victimiser toujours les musulmans de muhamed  !au lieu d'accepter la Volonté du Père Éternel dans les Cieux !Caïn , comme vous Jaloux du choix  de Dieu ! bref vous n'avez pas pris une once d'Esprit de Dieu  en vous aussi !

Pourquoi Dieu à changé le nom d'Abram  "16 Saraï, la femme d'Abram, ne lui avait pas donné..." en Abraham ?

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Membre, Posté(e)
jeandin Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le 16/12/2016 à 09:56, ouest35 a dit :

« Les rédacteurs de la Bible n’ont-ils pas hérité de la culture de l’exil ? Hypothèse qui dépasse aujourd’hui les milieux scientifiques.

 

 

 

Arrêtons-nous un instant à la déportation de Babylone, imposée aux juifs par Nabuchodonosor II entre 957 et 582 avant notre ère.

 

Elle dure plusieurs décennies. Prisonniers, les juifs sont libérés en 539 et reviennent progressivement vers Jérusalem, vraisemblablement imprégnés de la mythologie assyro-babylonienne dont l’Epopée de Gilgamesh, antérieure à eux de plus d’un millénaire. Ils auraient relaté de générations en générations, jusqu’aux rédacteurs de la Bible qui l’ont restituée dans l’épisode du Déluge. Par ce transfert d’un texte d’origine humaine à une attribution divine, les rédacteurs vont ainsi rédiger un chapitre essentiel, la Genèse, aux sens multiples : une mise en garde envers les hommes, doublée d’une vision symbolique, par la première Alliance de Dieu avec ses créatures, à travers Noé.

 

L’humanité porte-t-elle la responsabilité de son apocalypse ? Le Déluge, la tour de Babel… ? Un seul Juste peut sauver le monde, qui n’est mis en danger que par les hommes. Et ce rôle de sauveur dévolu à Noé, on le retrouvera plus tard incarné par Abraham, auquel restera accolé l’annonce d’un destin, ainsi qu’une thématique forte, celle de l’unité des hommes.

 

La toute puissance et grandiose cité de Babylone, point de convergence des langues et des peuples, impressionne grandement les Juifs déportés qui n’ont rien connu de semblable dans la Jérusalem de leurs origines.

 

Le récit biblique prend alors un sens symbolique que les rédacteurs auraient voulu assez fort pour frapper les esprits.

 

La fascination-répulsion éprouvée par les déportés devant la magnificence et la volonté hégémonique de Babylone, a pu inspirer, comme on l’a vu, les rédacteurs du Livre. Ils auraient ainsi récupéré la chute historique de Babylone, bien postérieure à leur passage. Les divers envahisseurs ont eu raison de la ville et de la tour. Notamment par la destruction de Xerxès (510-465). Les rédacteurs auraient donc travesti la réalité, et l’aurait aménagée au profit de leur peuple, et au profit plus tard de l’ensemble des Juifs et des Chrétiens.

 

En instrumentalisant l’histoire, attribuant la destruction de Babylone au châtiment divin, ils démythifient ainsi la cité de l’idéal et laissent le soin aux hommes d’en tirer un sens philosophique.

 

Les faits sont donc postérieurs à l’exil, la rédaction de ces faits est également post-exilique, mais peu importe les sources ou les emprunts. La littérature des rédacteurs doit être porteuse de sens, quel que soit le mode d’inspiration, inspiration divine, comme il est dit traditionnellement ou inspiration d’intelligence humaine.

 

 

 

Mais alors pourquoi l’imaginaire invente-t-il de tels récits ?

 

A quel moment et pour quelle nécessité, les rédacteurs ont-ils éprouvé le besoin d’écrire ce récit épique, malgré ses contradictions, ses invraisemblances ?

 

L’exil a été ressenti comme une déchirante épreuve, qui a catalysé de très nombreuses questions et douleurs chez les déportés : la perte de la terre des ancêtres, notamment. Ainsi se sont imposées des nécessités intérieures et extérieures. Pierre Gibert souligne à juste titre qu’il convient de compter également avec les inventions idéologiques des rédacteurs, qui ne se préoccupent pas de l’histoire.

 

Au retour de l’Exil, il fallait absolument reconstituer l’unité du peuple, dont beaucoup d’individus préféraient rester à Babylone où ils avaient découvert, comme on l’a vu, une toute autre vie, plus attractive que celle qu’ils avaient connue à Jérusalem. Il était urgent de bâtir une doctrine, redonner à ce peuple la conscience de sa patrie et de sa foi au milieu des influences de l’Empire Perse et de l’Hellénisme. La réflexion va donc s’imposer vers les Ve et IVe siècle (avt JC). Et la rédaction d’une synthèse empruntant ses modèles aux différentes traditions va aboutir aux textes de la Bible.

 

Le peuple juif commençait à bâtir une histoire en remontant dans le temps avec des Patriarches, auxquels il allait attribuer des rôles éminents dont le Dialogue avec Dieu, l’Alliance, la Loi etc., fécondant ainsi un corpus littéraire fondateur qui servirait aux générations présentes et futures.

 

Comme on peut le constater, les grands thèmes bibliques de la Genèse, Adam, Ève, Noé, le Déluge… traduisent pour certains récits des adaptations de faits avérés ou de légendes existantes, quand pour d’autres, ils ne constituent que le pur produit de l’imaginaire.

 

L’apparition d’Abraham répond-elle au même schéma ?

 

Dans l’ouvrage que je rédige actuellement, l’un des chapitres aborde la question de l’apparition du Patriarche, cherchant à déterminer s’il tient de la réalité ou de la fiction.

 

Dans l’Ancien Testament, les évocations de son existence sont nombreuses. Elles apparaissent principalement dans la Genèse, et pour la première fois, au chapitre XI-26 : Térah (descendant de Noé par Sem) (…) engendra Abram, Nahor et Haran. Trois fils. A noter, trois fils comme Noé.

 

Avant l’Exil, les hommes inventent sans cesse de nouvelles divinités, qui ne leur apportent pas de réponse rassurante. Les rédacteurs de la Bible ont besoin d’une image forte, frappant les esprits, l’image d’un père unificateur et intercesseur peut présenter une alternative au polythéisme.

 

Plusieurs hypothèses :

 

Abraham réalité :

 

- N’écartons pas cette hypothèse la plus répandue chez les croyants, celle d’un seul et même homme, figure bien réelle dont à ce jour la preuve de l’existence n’a pas pu encore être apportée par la science. Il aurait existé et tous les rôles que lui attribuent les Ecritures, sont à considérer comme de l’histoire.

 

Abraham fiction :

 

- Abraham pourrait aussi résulter du produit d’une culture en mal de foi, une création des hommes en désir de Dieu, la nécessité de se reconnaître dans le Créateur. Freud ne place-t-il pas le besoin religieux, hérité d’Abraham, dans le besoin de protection par le Père ?

 

Abraham serait alors le fruit de l’imaginaire, le fruit d’une invention pure et simple, celle d’un personnage symbole créé pour répondre à un besoin. Il constituerait ainsi la résultante élaborée d’un imaginaire collectif, qu’on pourrait appeler imaginaire-besoin, infondé objectivement. Un phare bâti de toutes pièces, auquel on va confier le rôle emblématique de messager, lui inventant une vie et une histoire. Un mythe à figure humaine, auquel on attribuera des facultés surhumaines : son dialogue avec Dieu, par exemple, pour n’en citer qu’un. Un Patriarche imaginé par les rédacteurs de la Genèse pour symboliser la croyance des hommes en Dieu. Peu à peu, cette création, fruit de l’imagination-besoin, ce personnage virtuel, va s’inscrire dans l’inconscient collectif comme une réalité, au point qu’elle sera portée dans les Livres des religions monothéistes, deviendra indiscutable et indiscutée puisque « parole divine », et produira une littérature fascinante, jusqu’à nos jours et bien au-delà.

 

Si Abraham est une invention, une stricte création des hommes pour donner à l’humanité une conscience nouvelle, quel extraordinaire hommage à la formidable puissance de l’imaginaire !

 

 

 

Abraham composite de réalité et de fiction :

 

- Peut-on raisonnablement penser que le personnage d’Abraham ait été inventé de toutes pièces? Ne pourrait-il pas être le fruit d’une réalité née sur les lieux et à l’époque où le mythe aurait pris naissance ? Dans les transhumances des groupes sémitiques nomades un (ou plusieurs) homme-lige, charismatique, a pu effectivement laisser une empreinte. En adaptant la vie de l’un ou de plusieurs de ces personnages ayant existé, en créant un amalgame entre le réel et l’imaginaire collectif, on aurait construit un être idéal exaltant l’individu, dont on aurait adopté l’image emblématique, ou même le composite de plusieurs, pour y inscrire un besoin de croyance, lui attribuant des réponses aux questions essentielles.

 

On assisterait ainsi à l’aboutissement cumulé de l’histoire et du besoin spirituel des hommes, mêlé à des narrations épiques, selon le mécanisme que l’on a constaté à la lecture parallèle de l’Épopée de Gilgamesh et du Déluge biblique.

 

Qu’il soit mythique ou historique, le Patriarche représente aujourd’hui, incontestablement, le plus fort symbole unificateur des religions monothéistes, celui qui a cru en la perfectibilité de l’homme et l’a tiré de son assoupissement.

 

Qu’il ait ou non existé, devient subsidiaire puisque depuis son apparition il fait communier les individus sur une croyance nouvelle, mobilisatrice, puissamment suggestive dans son ellipse même.

 

D’Abraham on ne sait rien disent les scientifiques, pourtant il demeure intensément vivant.

 

Affirmer que rien n’établit son existence ne démontre pas pour autant son inexistence et, à défaut d’être né, Abraham aura un authentique destin qui embrassera tous les âges suivants. »

 

 

 

René Guitton   (http://www.rene-guitton.fr/accueil-rene-guitton)

 

La réponse est dans le changement de son nom !

C'est un fixions ! Dans ce cas pourquoi pas des extraterrestres pour un message plus structurel d’un monde caché.

Préparer pour l’avènement de l’ordinateur qui permet de mieux comprendre le rouage des textes dans du bruit. Un bruit inaudible, comme celui en dehors de notre atmosphère.

 

Pour comprendre le FILS, il faut sortire les « BUISSON » de toute la Bible, ainsi de notre jour il peut être associer à une forme de SON qui représentent notre micro onde  d’on le Feu est caché, ainsi en comparent les versets, il est possible de comprendre que le FilS est le début de ce Feu, ce qui permet de comprendre tous les fils dans une compression.

Le Bélier lie la lettre B au mot lier, (ce n’était pas un mouton) pour les biens provisoirement le plus petit mot c’est bi (double)

On remarquera le feu des PH plus volumineux.

 

Ensuit comprendre pourquoi Abram change de nom en Abraham, la raison en est sans aucun doute l’orthographe, la valeur des lettres puisqu’il en est fait allusion à des quantités infinies

 

Comme ce sont des arrangements l’écriture n’a pas besoin du passé pour être justifier.

Pourquoi ne pas prendre ces textes pour une sorte de modélisation, qui peut expliquer l’invisible sans image. (la structure des champs magnétiques de la terre et du soleil la compression de se monde)

 

Imaginons ce monde à l’image de nos ordinateurs, la réalité ne sont pas des images ce sont des points sur un support, c’est ce qui est expliqué dans la Bible et le Coran, (pous-si-ère) et le français peut l’expliquer les ciels dont il est question par le mot logiCIEL, la logique des ciels, le ciel magnétique,

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)
il y a une heure, jeandin a dit :

Pourquoi Dieu à changé le nom d'Abram  "16 Saraï, la femme d'Abram, ne lui avait pas donné..." en Abraham ?

je me base avec l'Esprit du Père Éternel dans les Cieux , et non  pas comment est écrit son prénom !

excemple moi , tony , toni ou tonino , peu importe !!!!!!

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Ne pas oublié Adam a l'origine de la Génése

  Adam (hébreu אָדָם, araméen/syriaque ܐܕܡ, arabe آدم) est un personnage du Livre de la Genèse et du Coran. Dans ces textes, qui fondent la mythologie biblique et les croyances juives, chrétiennes et musulmanes1, il est le premier homme, créé par Dieu. Il meurt à 930 ans (Genèse : 5-5), à 960 ans selon un hadith[réf. souhaitée]. Il est également le compagnon d'Ève, créée à partir de son corps.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Oui, ben ça, que la première femme ait été créée à partir du corps du premier homme, ça prouve bien que l'homme est plus important que la femme ! c'est bien une preuve !!

Elles nous fatiguent ces pisseuses avec leur égalité.

Et d'abord, on dit Dieu la Mère ou Dieu le Père ?

Non mais !

Et tous les hommes sur la terre ils sont les fils d'Abraham ou de Saraï et Agar ? Peu importe la femme ! ce qui compte c'est l'homme ! Je dirais même mieux, sans LES femmes les hommes seraient parfaitement frères !

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 251 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Blaquière a dit :

Oui, ben ça, que la première femme ait été créée à partir du corps du premier homme, ça prouve bien que l'homme est plus important que la femme ! c'est bien une preuve !!

Elles nous fatiguent ces pisseuses avec leur égalité.

Et d'abord, on dit Dieu la Mère ou Dieu le Père ?

Non mais !

Et tous les hommes sur la terre ils sont les fils d'Abraham ou de Saraï et Agar ? Peu importe la femme ! ce qui compte c'est l'homme ! Je dirais même mieux, sans LES femmes les hommes seraient parfaitement frères !

Et les femmes seraient peinardes plus d'hommes dans leurs basques !

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)
Il y a 14 heures, Blaquière a dit :

Oui, ben ça, que la première femme ait été créée à partir du corps du premier homme, ça prouve bien que l'homme est plus important que la femme ! c'est bien une preuve !!

Elles nous fatiguent ces pisseuses avec leur égalité.

Et d'abord, on dit Dieu la Mère ou Dieu le Père ?

Non mais !

Et tous les hommes sur la terre ils sont les fils d'Abraham ou de Saraï et Agar ? Peu importe la femme ! ce qui compte c'est l'homme ! Je dirais même mieux, sans LES femmes les hommes seraient parfaitement frères !

sans LES femmes les hommes seraient parfaitement frères !!

Je ne pense pas !Dieu est le chemin de l'homme , et la femme l'avenir de l'homme !

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Membre, Posté(e)
jeandin Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 19 heures, aPOTRE a dit :

je me base avec l'Esprit du Père Éternel dans les Cieux , et non  pas comment est écrit son prénom !

excemple moi , tony , toni ou tonino , peu importe !!!!!!

Tu devrais ! Vaut mieux être con 5 minutes que toute sa vie

tu n'es pas un bon croyant tu déformes les propos de ce que l'on ta appris

Non ! Abram ou Abraham ça ce prononce pareil

il me semble que c'est un nom, pas un prénom !!

verset 17. 5

 

 

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Blaquière a dit :

Oui, ben ça, que la première femme ait été créée à partir du corps du premier homme, ça prouve bien que l'homme est plus important que la femme ! c'est bien une preuve !!

Elles nous fatiguent ces pisseuses avec leur égalité.

Et d'abord, on dit Dieu la Mère ou Dieu le Père ?

Non mais !

Et tous les hommes sur la terre ils sont les fils d'Abraham ou de Saraï et Agar ? Peu importe la femme ! ce qui compte c'est l'homme ! Je dirais même mieux, sans LES femmes les hommes seraient parfaitement frères !

sans LES femmes les hommes seraient parfaitement frères !!

Jé ne pense pas !Dieu est le chemin de l'homme , et la femme l'avenir de l'homme !

il y a une heure, jeandin a dit :

Tu devrais ! Vaut mieux être con 5 minutes que toute sa vie

tu n'es pas un bon croyant tu déformes les propos de ce que l'on ta appris

Non ! Abram ou Abraham ça ce prononce pareil

il me semble que c'est un nom, pas un prénom !!

verset 17. 5

 

 

donne  moi le nom d'abra(ha)m ; aussi celui de Adam !exemple isaac (prénom) de la lignée d'abraham 

tout comme salomon , Jésus et autres , prouves le contraire maintenant ! que ce sont des noms !

moi je voit dans abraham , abraaam ,appel oral de loin, comme toniiiiii qui fait tonihi

ou toooni qui ferait tohoni ou toooniii qui ferait tohonihi!!!!!:baby::ange2:

le H représente une échelle de Ciel a Terre et vice versa !!

 

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Membre, 62ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)
Il y a 13 heures, ouest35 a dit :

Et les femmes seraient peinardes plus d'hommes dans leurs basques !

si la femme ne veut pas à tout pris d'enfants ,et donc pas de fécondité, bref 2 lesbiennes ou 2 homos au lieu d'un Adam et Eve dans la genèse ???

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

;;

 

ça fait deux fois que j'essaie d'écrire un truc qui critiquait Abraham et ce satané patriarche m'a maudit !!! chaque fois ça s'efface ! 

Mais je me souviens d'un truc, ESSENTIEL ! Abram qui devient Abraham  Est-ce qu'il n'en irait pas de même pour Adam et que... sont vrai nom avant transformation était Madam !

C'est ça ! Adam-Madam était une femme  Bon sang mais c'est bien sûr !

 Et du coup, inversion : c'est dans son ventre qu'on est allé chercher kEVEn ! Le petit nouveau qui avait déjà un nom à l'américaine pour faire dans le coup.

Tout se tient !

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Invité Tar Baby
Invités, Posté(e)
Invité Tar Baby
Invité Tar Baby Invités 0 message
Posté(e)
il y a 18 minutes, Blaquière a dit :

;;

 

ça fait deux fois que j'essaie d'écrire un truc qui critiquait Abraham et ce satané patriarche m'a maudit !!! chaque fois ça s'efface ! 

Mais je me souviens d'un truc, ESSENTIEL ! Abram qui devient Abraham  Est-ce qu'il n'en irait pas de même pour Adam et que... sont vrai nom avant transformation était Madam !

C'est ça ! Adam-Madam était une femme  Bon sang mais c'est bien sûr !

 Et du coup, inversion : c'est dans son ventre qu'on est allé chercher kEVEn ! Le petit nouveau qui avait déjà un nom à l'américaine pour faire dans le coup.

Tout se tient !

Et pourquoi pas Mac Adam, et son fils aurait été un cow-boy, mais sur la route hein. Très américain ça aussi. :p

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