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Aborder une femme dans la rue : courage ou incivisme

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paludatus

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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 47ans Posté(e)
titenath Animatrice 44 807 messages
47ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
Posté(e)
il y a 56 minutes, Roger_Lococo a dit :

J'ai habité à Suresnes pendant environ 3 ans, je bossais à Paris. Dans mon immeuble des gens me menacaient de mort sans raison, on m'a volé une roue de bagnole, crevé les pneus, frappé, mis le couteau sous la gorge, craché dessus et volé mon portefeuille. Je pense que je me faisais menacer de mort au moins une fois tous les deux mois. Par des inconnus à qui je n'avais rien fait. Et pourtant je ne hais toujours pas les arabes et je ne demande pas de lois contre eux.

Putain c'est étonnant parce que Suresnes c'est plutôt calme, sauf le haut peut être... 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
il y a 12 minutes, titenath a dit :

Putain c'est étonnant parce que Suresnes c'est plutôt calme, sauf le haut peut être... 

Je me suis fait menacer à la gare de Lyon puis frapper dans une station de métro par un mec qui voulait que j'aille au distributeur pour lui offrir un billet de 20€, tu vois le genre. Crever un pneu sur un parking d'Argenteuil, voler une roue sur mon parking de Suresnes, mettre le couteau sous la gorge à Nanterre Université. Et pousser au pare-chocs sur l'embranchement du triangle rocquencourt je crois que c'est entre l'A12 et l'A13 par deux jeunes dans une bagnole neuve, à 140. 

La police est intervenue pour me rendre ma roue parce que le type s'est regaré devant chez moi avec ma roue volée donc j'ai pu donner sa plaque. Par contre les jeunes en bagnole je pense que ça devaient être les gosses du juge parce qu'ils n'ont jamais été convoqué.

Non la seule fois ou la situation a tourné à mon avantage c'est quand moi j'ai poussé des mecs qui me faisaient chier dans le métro. 

Priorité à l'agresseur, c'est comme ça.

Modifié par Roger_Lococo
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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 47ans Posté(e)
titenath Animatrice 44 807 messages
47ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
Posté(e)
il y a 4 minutes, Roger_Lococo a dit :

Je me suis fait menacer à la gare de Lyon puis frapper dans une station de métro par un mec qui voulait que j'aille au distributeur pour lui offrir un billet de 20€, tu vois le genre. Crever un pneu sur un parking d'Argenteuil, voler une roue sur mon parking de Suresnes, mettre le couteau sous la gorge à Nanterre Université. Et pousser au pare-chocs sur l'embranchement du triangle rocquencourt je crois que c'est entre l'A12 et l'A13 par deux jeunes dans une bagnole neuve, à 140. 

La police est intervenue pour me rendre ma roue parce que le type s'est regaré devant chez moi avec ma roue volée donc j'ai pu donner sa plaque. Par contre les jeunes en bagnole je pense que ça devaient être les gosses du juge parce qu'ils n'ont jamais été convoqué.

Non la seule fois ou la situation a tourné à mon avantage c'est quand moi j'ai poussé des mecs qui me faisaient chier dans le métro. 

Priorité à l'agresseur, c'est comme ça.

Ceci dit t'as quand même pas de chance, ça fait 38 ans que j'habite dans le coin, à part m'être fait chourrer mes 4 pneus (pour les jantes), ou rayer la bagnole, il m'est jamais rien arrivé. Mais c'est vrai que je ne prends pas beaucoup les transports en commun non plus. 

Par contre, les propos déplacés c'est monnaie courante. 

Mais comme Mite_Railleuse, ça ne m'empêchera pas d'être courtoise pour répondre à quelqu'un qui m'abordera correctement. 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)

Rien à voir avec la chance, j'étais pas du coin et je savais pas qu'il faut constamment regarder ses pieds pour ne pas "provoquer". Maintenant je sais, et surtout je suis parti.

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Membre, 75ans Posté(e)
okman38 Membre 2 891 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Roger_Lococo a dit :

J'ai habité à Suresnes pendant environ 3 ans, je bossais à Paris. Dans mon immeuble des gens me menacaient de mort sans raison, on m'a volé une roue de bagnole, crevé les pneus, frappé, mis le couteau sous la gorge, craché dessus et volé mon portefeuille. Je pense que je me faisais menacer de mort au moins une fois tous les deux mois. Par des inconnus à qui je n'avais rien fait. Et pourtant je ne hais toujours pas les arabes et je ne demande pas de lois contre eux.

Tu fais partie de ces victimes qui n'arrêtent pas de se victimiser mais qui refusent qu'on puisse réduire une seule de ses libertés pour empêcher les autres d'attenter à leur intégrité morale ou physique.

Finalement tu te complais dans ton rôle de victime des hommes mais, en tant qu'homme, tu as beaucoup de mal à concevoir que d'autres, les femmes, puissent être les victimes de ton propre genre.

Comme je te l'avais déjà dit sur un autre topic ... une bonne psychothérapie s'impose !

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Membre, Posté(e)
Petitpepin Membre 783 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 50 minutes, Roger_Lococo a dit :

"les hommes" c'est moi, j'entre dans la catégorie personnellement. Toute généralité sur les hommes me vise forcément : j'en suis un.

Comme je suis déjà homophobe, raciste, spéciste, fasciste et antisémite, tout ça par simple non-appartenance à la catégorie désignée, ça me saoule. Toute idée de justice fondée sur une catégorie et pas un acte me saoule profondément parce que ça relève de la justice d'exception.

Moi quand je me fais harceler par des types qui veulent une clope tout le monde s'en balance alors qu'à la fin je me fais cogner à tous les coups. La loi sur le harcèlement ça concerne toute la population, pas juste des catégories spéciales par appartenance.

Laisse tomber, l'argument est trop fin pour moi. 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
il y a une heure, okman38 a dit :

Tu fais partie de ces victimes qui n'arrêtent pas de se victimiser mais qui refusent qu'on puisse réduire une seule de ses libertés pour empêcher les autres d'attenter à leur intégrité morale ou physique.

Finalement tu te complais dans ton rôle de victime des hommes mais, en tant qu'homme, tu as beaucoup de mal à concevoir que d'autres, les femmes, puissent être les victimes de ton propre genre.

Comme je te l'avais déjà dit sur un autre topic ... une bonne psychothérapie s'impose !

Toi tu fais partie des mecs qui abusent de tout toute leur vie et qui décident que pour faire amende honorable de leurs conneries à la fin de leur vie ils doivent tout interdire aux générations suivantes. L'exemple typique du père haï par ses enfants.

il y a une heure, Petitpepin a dit :

Laisse tomber, l'argument est trop fin pour moi. 

C'est pourtant facile : La coercition ne s'exerce pas contre les groupes mais contre les personnes.

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Membre, 36ans Posté(e)
markich Membre 3 722 messages
Mentor‚ 36ans‚
Posté(e)
Le ‎15‎/‎12‎/‎2016 à 21:06, paludatus a dit :

Bonjour à tous,

J'ai lu sur internet un article stipulant que les hommes d'aujourd'hui étaient des "demi-fiotes" parce qu'ils n'osaient pas aborder des femmes dans la rue.
Êtes-vous d'accord ? Faut-il interpréter le fait que peu d'hommes abordent des femmes dans la rue comme un manque de courage ou comme un signe de civisme ?
Dans la société idéale, les hommes abordent-ils les femmes dans la rue ?
Pour quelle raison les hommes d'aujourd'hui n'abordent-ils pas les femmes dans la rue ?
Est-il vrai que les hommes d'aujourd'hui abordent moins les femmes dans la rue que les hommes passés ?

À vos clavier.

Normalement , c'est la femme qui choisit l'homme . Ma grande sœur c'est elle qui a abordé mon beau frère .

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Membre, 75ans Posté(e)
okman38 Membre 2 891 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Roger_Lococo a dit :

Toi tu fais partie des mecs qui abusent de tout toute leur vie et qui décident que pour faire amende honorable de leurs conneries à la fin de leur vie ils doivent tout interdire aux générations suivantes. L'exemple typique du père haï par ses enfants.

 

Que sais-tu de ma vie et que vient-elle faire dans ce topic ?

Contentes-toi de t'occuper de la tienne et de résoudre tes problèmes avec ceux ou celles dont tu t'estimes être la victime !

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Membre, Posté(e)
jecpas Membre 552 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Mais lol, victime est devenu une insulte, alors que malheureusement, nous vivons dans un pays dans lequel écraser à coups de pompe la tronche d'un asocial agresseur, est considéré comme étant passible des tribunaux. Que les sous hommes qui se foutent de la gueule des "victimes", se fassent défoncer l'anus avec une batte de baseball cloutée :D

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 033 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

"Suivie et harcelée, une jeune femme enregistre l'échange avec son agresseur."

Elle a le courage de faire face et de rester calme. Je n'ose imaginer la peur qu'elle a dû éprouver...

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Membre, aventurière petit format, 47ans Posté(e)
arwena Membre 9 424 messages
47ans‚ aventurière petit format,
Posté(e)

Il y a à peine 5 ans, j'ai eu le droit à un joli "sac à sperme" lancé par des ouvriers depuis leur camion....

j'ai eu le droit au frotteur dans le métro à Marseille, au "salope" quand je répondais pas au "hé mamzelle t'es bonne", dernièrement un vieux papy de l'école de ma fille s'est cru autorisé à poser ces mains sur ma cuisse en me proposant de faire l'amour. Lui il a eut le droit à un signalement au flic!

Des exemples comme ça j'en ai à la pelle.

Alors vous pouvez vous offusquer sur le fait que Ô mon dieu vous pouvez plus draguer dans la rue, en attendant si les réactions deviennent épidermiqes ce n'est pas sans raison!

Perso un mec gentil, respectueux qui m'aborde ne se fera pas refouler, mais c'est franchement pas la majorité des "dragueurs de rue".

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Invité libredeparler
Invités, Posté(e)
Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)

Et si les pères avaient encore le droit d'être "père"... n'y aurait-il pas moins d'incivilités ?

Quant j'étais jeune, l'autorité de mon père planait au-dessus de ma tête , et je savais que toute bêtise allait être évaluée par mon père, et le manque de respect envers une personne  était un des points où il ne laissait rien passer!

Entre temps l'image du père à été détruite par les féministes, et les mères affirment savoir tout assumer....or un père ne remplacera jamais une mère, et une mère ne remplacera jamais un père dans la construction psychologique d'un enfant...et si on fixe des limites à un enfant dès son plus jeune âge, il y a de fortes chances qu'il sera un adulte plus respectueux.

L'absence de l'autorité paternelle est certainement un des facteurs de la très forte augmentation des incivilités depuis les années 60...

Bien évidemment il y toujours des exceptions!

L'article ci-dessous est assez révélateur des inepties de la société actuelle:

"Une éducation sans aucun interdit est proche du mauvais traitement"

 
 
L'interdit a mauvaise presse. Pourtant, les enfants ont besoin de limites pour se construire. Patrick Delaroche, pédopsychiatre, nous explique pourquoi les parents doivent retrouver leur autorité.
         

Faut-il dire "non" à son enfant ?
Patrick Delaroche Bien sûr, c'est capital. L'enfant a besoin que ses parents l'aident à se dire "non" à lui-même pour ne pas faire n'importe quoi. Tout au long de sa vie, l'être humain est soumis à des pulsions auxquelles il a du mal à résister. Si on ne lui apprend pas très tôt à différer ou renoncer à son plaisir, l'individu sera sans cesse torturé par des besoins ou des désirs qu'il ne pourra satisfaire. Les parents doivent absolument aller dans le sens de ce principe de réalité, c'est vital. Une éducation sans interdit est proche du mauvais traitement. De plus, un enfant à qui tout est permis est un enfant angoissé. En effet, même s'il n'y est pas soumis, il sait qu'il existe des interdits pour les autres et a conscience de les transgresser. Il est alors en proie à l'angoisse et à la culpabilité.

A partir de quel âge l'enfant doit-il être confronté à l'interdit ?
Dès l'âge de huit mois, l'enfant commence à comprendre les interdits. Une mère peut définir des interdits à un bébé qui touche à tout, car il sait très bien ce qu'il fait. En revanche, certaines limites ne doivent pas être posées trop tôt au risque de perturber le développement de l‘enfant. Par exemple, une mère ne doit pas mettre son enfant sur le pot avant qu'il ne marche. Il existe un âge pour chaque interdit.

Le manque d'autorité peut-il engendrer des troubles du comportement ?
Absolument. De plus en plus d'enfants en manque de règles et d'autorité souffrent actuellement d'instabilité psychomotrice. On retrouve ce problème lorsque les parents sont dépressifs. Comme ils ont besoin que leurs enfants les aiment et s'occupent d'eux, ils leur permettent tout. Résultat : on a des enfants turbulents, qui ne tiennent pas en place et ont du mal à s'adapter à la société. C'est une conséquence directe du manque d'interdit.

Pourquoi les parents d'aujourd'hui ont-ils souvent du mal à dire "non" ?
Dans notre société actuelle, l'autorité paternelle a disparu. Nous sommes pris dans un mouvement qui tend à diminuer la place du père au sein de la famille. Les parents se replient de façon narcissique sur leur enfant qu'ils voient comme un prolongement d'eux-mêmes. Ils projettent en lui l'enfant idéal qu'ils auraient voulu être, un enfant qui mène une existence de plaisirs sans aucun interdit. En outre, les parents ont peur par-dessus tout de perdre l'amour de leur enfant. Pour lui plaire, ils lui autorisent tout.

Quelle est la répartition idéale des rôles entre le père et la mère ?
Cela dépend de chaque couple. Dans le modèle familial traditionnel, la mère incarne l'autorité immédiate. En d'autres termes, elle vérifie le comportement de l'enfant dans l'instant et le corrige en le grondant. Le père, lui, dispose d'une autorité plus médiatisée par la parole. L'enfant sait que son père pose des interdits pour son bien. La mère doit faire référence au père pour que l'enfant obéisse. En réalité, peu importe qui pose les interdits dans le couple. L'essentiel est qu'il existe un échange et un accord entre les parents sur les principes d'éducation, en l'absence de l'enfant.

Les parents séparés sont-ils moins sévères que les autres ?
En règle générale ils sont plus laxistes. Un père qui ne voit ses enfants qu'un week-end sur deux sera moins dur avec ses enfants, préférant passer des moments les plus agréables possibles avec eux. Leur mère se montrera également plus gentille, plus indulgente par peur qu'ils lui préfèrent leur père. C'est un comportement tout à fait compréhensible et humain. L'individu n'a pas envie que son enfant aime quelqu'un qu'il n'aime plus.

Comment interdire sans tomber dans l'autoritarisme ?
Je dis souvent à mes patients : "laissez vos enfants vous obéir". L'enfant a une propension naturelle à obéir, à accepter les interdits. Par ailleurs, si on a peur d'aller trop loin dans l'interdiction, je conseille le dialogue avec le conjoint. Cela permet de tempérer des principes, de trouver un juste milieu.

Peut-on revenir sur un refus ?
Bien sûr. Les parents ont tout à fait le droit de reconnaître qu'ils se sont trompés car il existe une vérité au-delà des parents et de l'enfant. En admettant son erreur, le père ou la mère montre qu'il est capable de raisonner. Il s'est rendu compte tout seul qu'il était trop sévère et a alors tout intérêt à revenir sur son refus. Dans le cas contraire, l'enfant va grandir et à l'adolescence, il risque de se rebeller contre ce qu'il considèrera comme un abus d'autorité.

Faut-il argumenter un refus systématiquement ?
Cela dépend de l'âge de l'enfant. Il est déconseillé d'expliquer un interdit à un petit enfant car il ne doit pas sentir ses parents indécis, hésitants, cela l'angoisse. La formule "C'est comme ça et pas autrement" le rassure parce qu'il a besoin de réponse catégorique. En revanche, il faut discuter avec l'adolescent. A partir de 12 ans, l'enfant devient adulte, le rapport de force évolue. L'adolescent dispose d'une intelligence conceptuelle, il est capable de raisonnement et peut relativiser ce que lui disent ses parents. Aussi est-il important de faire appel à sa raison lorsqu'on lui pose un interdit. Chez l'enfant, on fait appel à l'obéissance seulement. Il est essentiel de marquer ces étapes, surtout dans une fratrie. Tout le monde n'est pas égal. Si les petits disposaient des mêmes avantages que les grands, les enfants n'auraient jamais envie de grandir

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Membre, 72ans Posté(e)
adrienne du 56 Membre 498 messages
Baby Forumeur‚ 72ans‚
Posté(e)
Il y a 13 heures, Roger_Lococo a dit :

Je me suis fait menacer à la gare de Lyon puis frapper dans une station de métro par un mec qui voulait que j'aille au distributeur pour lui offrir un billet de 20€, tu vois le genre. Crever un pneu sur un parking d'Argenteuil, voler une roue sur mon parking de Suresnes, mettre le couteau sous la gorge à Nanterre Université. Et pousser au pare-chocs sur l'embranchement du triangle rocquencourt je crois que c'est entre l'A12 et l'A13 par deux jeunes dans une bagnole neuve, à 140. 

La police est intervenue pour me rendre ma roue parce que le type s'est regaré devant chez moi avec ma roue volée donc j'ai pu donner sa plaque. Par contre les jeunes en bagnole je pense que ça devaient être les gosses du juge parce qu'ils n'ont jamais été convoqué.

Non la seule fois ou la situation a tourné à mon avantage c'est quand moi j'ai poussé des mecs qui me faisaient chier dans le métro. 

Priorité à l'agresseur, c'est comme ça.

OUAHHHH  vive le morbihan !!! 

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Invité Kutta
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Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
Posté(e)
Le 16/12/2016 à 23:42, zera a dit :

Oui Kutta, un sourire est une porte ouverte pour n'importe qui.

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Invité Kutta
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Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
Posté(e)

Il est intéressant de voir comment s'habillent les filles qui se font agresser sexuellement, insulter, draguer lourdement.

C'est bien beau de témoigner, encore faut-il préciser le contexte.

Une nana qui se plaint de harcèlement et qui porte sans cesse des tenues provocantes devraient se poser de sérieuses questions. (Dire cela ne minimise pas la part de responsabilité des agresseurs). 

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Invité libredeparler
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Invité libredeparler
Invité libredeparler Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, Kutta a dit :

Il est intéressant de voir comment s'habillent les filles qui se font agresser sexuellement, insulter, draguer lourdement.

C'est bien beau de témoigner, encore faut-il préciser le contexte.

Une nana qui se plaint de harcèlement et qui porte sans cesse des tenues provocantes devraient se poser de sérieuses questions. (Dire cela ne minimise pas la part de responsabilité des agresseurs). 

Sur ce point, je pense que justement, la société doit évoluer afin qu'une femme puisse enfin s'habiller comme elle veut...

Les hommes sont ravis de voir les femmes se donner de la peine pour être bien habillées, ensuite c'est une histoire d'éducation,  de respecter une femme.... nous n'allons tout de même pas tomber dans le piège des diktats religieux ou machistes...

Par contre il est au devoir des parents de veiller à ce qu'une petite fille ne veuille pas jouer le rôle d'une femme avant l'âge..idem pour les garçons.

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Invité Yokkie
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Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
il y a 16 minutes, libredeparler a dit :

Et si les pères avaient encore le droit d'être "père"... n'y aurait-il pas moins d'incivilités ?

Quant j'étais jeune, l'autorité de mon père planait au-dessus de ma tête , et je savais que toute bêtise allait être évaluée par mon père, et le manque de respect envers une personne  était un des points où il ne laissait rien passer!

Entre temps l'image du père à été détruite par les féministes, et les mères affirment savoir tout assumer....or un père ne remplacera jamais une mère, et une mère ne remplacera jamais un père dans la construction psychologique d'un enfant...et si on fixe des limites à un enfant dès son plus jeune âge, il y a de fortes chances qu'il sera un adulte plus respectueux.

L'absence de l'autorité paternelle est certainement un des facteurs de la très forte augmentation des incivilités depuis les années 60...

Bien évidemment il y toujours des exceptions!

L'article ci-dessous est assez révélateur des inepties de la société actuelle:

"Une éducation sans aucun interdit est proche du mauvais traitement"

 
 
L'interdit a mauvaise presse. Pourtant, les enfants ont besoin de limites pour se construire. Patrick Delaroche, pédopsychiatre, nous explique pourquoi les parents doivent retrouver leur autorité.
         

Faut-il dire "non" à son enfant ?
Patrick Delaroche Bien sûr, c'est capital. L'enfant a besoin que ses parents l'aident à se dire "non" à lui-même pour ne pas faire n'importe quoi. Tout au long de sa vie, l'être humain est soumis à des pulsions auxquelles il a du mal à résister. Si on ne lui apprend pas très tôt à différer ou renoncer à son plaisir, l'individu sera sans cesse torturé par des besoins ou des désirs qu'il ne pourra satisfaire. Les parents doivent absolument aller dans le sens de ce principe de réalité, c'est vital. Une éducation sans interdit est proche du mauvais traitement. De plus, un enfant à qui tout est permis est un enfant angoissé. En effet, même s'il n'y est pas soumis, il sait qu'il existe des interdits pour les autres et a conscience de les transgresser. Il est alors en proie à l'angoisse et à la culpabilité.

A partir de quel âge l'enfant doit-il être confronté à l'interdit ?
Dès l'âge de huit mois, l'enfant commence à comprendre les interdits. Une mère peut définir des interdits à un bébé qui touche à tout, car il sait très bien ce qu'il fait. En revanche, certaines limites ne doivent pas être posées trop tôt au risque de perturber le développement de l‘enfant. Par exemple, une mère ne doit pas mettre son enfant sur le pot avant qu'il ne marche. Il existe un âge pour chaque interdit.

Le manque d'autorité peut-il engendrer des troubles du comportement ?
Absolument. De plus en plus d'enfants en manque de règles et d'autorité souffrent actuellement d'instabilité psychomotrice. On retrouve ce problème lorsque les parents sont dépressifs. Comme ils ont besoin que leurs enfants les aiment et s'occupent d'eux, ils leur permettent tout. Résultat : on a des enfants turbulents, qui ne tiennent pas en place et ont du mal à s'adapter à la société. C'est une conséquence directe du manque d'interdit.

Pourquoi les parents d'aujourd'hui ont-ils souvent du mal à dire "non" ?
Dans notre société actuelle, l'autorité paternelle a disparu. Nous sommes pris dans un mouvement qui tend à diminuer la place du père au sein de la famille. Les parents se replient de façon narcissique sur leur enfant qu'ils voient comme un prolongement d'eux-mêmes. Ils projettent en lui l'enfant idéal qu'ils auraient voulu être, un enfant qui mène une existence de plaisirs sans aucun interdit. En outre, les parents ont peur par-dessus tout de perdre l'amour de leur enfant. Pour lui plaire, ils lui autorisent tout.

Quelle est la répartition idéale des rôles entre le père et la mère ?
Cela dépend de chaque couple. Dans le modèle familial traditionnel, la mère incarne l'autorité immédiate. En d'autres termes, elle vérifie le comportement de l'enfant dans l'instant et le corrige en le grondant. Le père, lui, dispose d'une autorité plus médiatisée par la parole. L'enfant sait que son père pose des interdits pour son bien. La mère doit faire référence au père pour que l'enfant obéisse. En réalité, peu importe qui pose les interdits dans le couple. L'essentiel est qu'il existe un échange et un accord entre les parents sur les principes d'éducation, en l'absence de l'enfant.

Les parents séparés sont-ils moins sévères que les autres ?
En règle générale ils sont plus laxistes. Un père qui ne voit ses enfants qu'un week-end sur deux sera moins dur avec ses enfants, préférant passer des moments les plus agréables possibles avec eux. Leur mère se montrera également plus gentille, plus indulgente par peur qu'ils lui préfèrent leur père. C'est un comportement tout à fait compréhensible et humain. L'individu n'a pas envie que son enfant aime quelqu'un qu'il n'aime plus.

Comment interdire sans tomber dans l'autoritarisme ?
Je dis souvent à mes patients : "laissez vos enfants vous obéir". L'enfant a une propension naturelle à obéir, à accepter les interdits. Par ailleurs, si on a peur d'aller trop loin dans l'interdiction, je conseille le dialogue avec le conjoint. Cela permet de tempérer des principes, de trouver un juste milieu.

Peut-on revenir sur un refus ?
Bien sûr. Les parents ont tout à fait le droit de reconnaître qu'ils se sont trompés car il existe une vérité au-delà des parents et de l'enfant. En admettant son erreur, le père ou la mère montre qu'il est capable de raisonner. Il s'est rendu compte tout seul qu'il était trop sévère et a alors tout intérêt à revenir sur son refus. Dans le cas contraire, l'enfant va grandir et à l'adolescence, il risque de se rebeller contre ce qu'il considèrera comme un abus d'autorité.

Faut-il argumenter un refus systématiquement ?
Cela dépend de l'âge de l'enfant. Il est déconseillé d'expliquer un interdit à un petit enfant car il ne doit pas sentir ses parents indécis, hésitants, cela l'angoisse. La formule "C'est comme ça et pas autrement" le rassure parce qu'il a besoin de réponse catégorique. En revanche, il faut discuter avec l'adolescent. A partir de 12 ans, l'enfant devient adulte, le rapport de force évolue. L'adolescent dispose d'une intelligence conceptuelle, il est capable de raisonnement et peut relativiser ce que lui disent ses parents. Aussi est-il important de faire appel à sa raison lorsqu'on lui pose un interdit. Chez l'enfant, on fait appel à l'obéissance seulement. Il est essentiel de marquer ces étapes, surtout dans une fratrie. Tout le monde n'est pas égal. Si les petits disposaient des mêmes avantages que les grands, les enfants n'auraient jamais envie de grandir

Pourquoi veux-tu absolument démontrer que le rôle du père a été annihilé au bénéfice de la mère ?

Personne ne remet en question le droit d'être père... je constate même l'inverse, avec des papas hyper-investis à tous les niveaux, auprès de leurs enfants.

Et toujours cette charge sur les féministes coupables "de détruire l'image du père...

Je crois, pour ma part, que tu fais un amalgame sur l'évolution de la société depuis les années 60, accordant enfin une juste place à la femme, qui jadis, n'avait droit de piper mot, s'opposer aux décisions de l'autorité patriarcale.

Ce qui ne signifie nullement une primauté de la femme sur l'homme mais simplement un équilibre décisionnaire.

Tu juges l'autorité paternelle inexistante...

Cela fera sûrement plaisir à tous ces pères, qui en grande majorité, éduquent le mieux possible leurs enfants, d'apprendre qu'ils sont en partie, responsables de l'augmentation des incivilités depuis les années 60 auxquelles tu te réfères !

L'exception est plutôt du côté de pères laxistes, se dédouanant de leur charge éducative auprès de leur conjointe.

 

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Invité Kutta
Invités, Posté(e)
Invité Kutta
Invité Kutta Invités 0 message
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il y a 2 minutes, libredeparler a dit :

Sur ce point, je pense que justement, la société doit évoluer afin qu'une femme puisse enfin s'habiller comme elle veut...

Les hommes sont ravis de voir les femmes se donner de la peine pour être bien habillées, ensuite c'est une histoire d'éducation,  de respecter une femme.... nous n'allons tout de même pas tomber dans le piège des diktats religieux ou machistes...

Par contre il est au devoir des parents de veiller à ce qu'une petite fille ne veuille pas jouer le rôle d'une femme avant l'âge..idem pour les garçons.

Une femme peut et doit s'habiller comme elle veut. Mais si elle choisit de porte une tenue ultra provocante, elle ne devrait pas non plus s'indigner des réactions qui en découlent. Tout comme elle ne peut se plaindre des moqueries si elle se déguise en clown.

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Invité Yokkie
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Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
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il y a 21 minutes, Kutta a dit :

Il est intéressant de voir comment s'habillent les filles qui se font agresser sexuellement, insulter, draguer lourdement.

C'est bien beau de témoigner, encore faut-il préciser le contexte.

Une nana qui se plaint de harcèlement et qui porte sans cesse des tenues provocantes devraient se poser de sérieuses questions. (Dire cela ne minimise pas la part de responsabilité des agresseurs). 

Peu importe qu'elles soient sexy ou pas dans leurs vêtements ou attitude... cela ne légitime en rien qu'elles puissent être agressées, harcelées.

Tu dis que cela ne minise pas la part de responsabilité des agresseurs mais quelque part, cela pourrait apporter une justification de leur attitude irrespectueuse.

En quoi une nana sexy aurait son droit au respect amoindri ?

 

Modifié par Yokkie
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