Le rôle de la femme dans les religions

Dans toutes bonnes librairies, la Procure et la Fnac vous trouverez ses oeuvres et des bouquins sur elle ...

Comme je suis bonne zigue la seule phrase qui me vienne d'elle spontanément (peut-être pas au mot près ...) c'est :

"La vie c'est une nuit à passer dans une mauvaise auberge".

Lire ses "Avis et Maximes" ...

ça me suffit ! Ste Thérèse d'Avila ne m'intéresse pas !

.C'est l'apologie des arrières mondes. "La vie n'est rien c'est à la mort que commence la vraie vie !"

MENSONGE !

Je vous supplie de considérer cela avec la plus simple des raisons :

"La vraie vie commence après la mort !"

NON !

C'est juste une figure de style : un simple "oxymore".

En étymologie : de "occire" et de "mort" !

La mort c'est la fin de la vie ! De toutes les formes de notre vie !

Et moi (qui ne suis rien) je vous dis : la vie c'est tout !

C'est peut-être pas grand chose, mais

C'est tout ce que l'on a !

Pour un moment trop court, oui, mais là, on l'a encore !

Un peu.

Profitons-en. Intelligemment.

On sent, on voit, on respire, on est triste, gai, voire gay !

MAIS après,

IL N'Y AURA RIEN !

Plus rien ! plus d'odeur, plus de beau ciel bleu, plus de connards qui nous gavent : PLUS RIEN.

(D'un autre côté; il ne faut pas trop s'inquiéter : "Plus Rien" n'a plus mal aux dents, ni plus mal nulle part.

Mais tiens, je préfère et de loin une rage de dents vivant que plus rien, nit plus de rage, mort !)

Notre esprit, notre conscience, nos molécules se dissoudront.

Sans doute elles composeront d'autres êtres, mais ça ne sera plus nous !

Nous, c'est cet assemblage imprévu, momentané, quelconque mais unique, exceptionnel, miraculeux que nous sommes.

Pensez-y !

Si vous ratez votre vie, ou simplement (qui ne la rate pas?) si vous n'en faites rien, après, il n'y a aucun rattrapage !

Ce sera fini.

(Pauvres KAMIKAZES !)

Pauvres crétins de kamikazes.

Ils avaient eu la chance unique et très momentanée d'une la vie et ils l'ont gaspillée.

Gaspillée dans l'espoir d'une imposture.

“La vraie vie commence après la mort !” NON !

Vous réagissez à une phrase dont vous n'êtes même pas certain que ce soit une citation exacte...

Et puis, avec votre intervention telle quelle, vous ne jouerez jamais un rôle efficace dans le domaine de la religion.

Commencez par changer de sexe d'abord.

Vous réagissez à une phrase dont vous n'êtes même pas certain que ce soit une citation exacte...

Et puis, avec votre intervention telle quelle, vous ne jouerez jamais un rôle efficace dans le domaine de la religion.

Commencez par changer de sexe d'abord.

Vous voyez . même sans avoir lu votre réponse, je l'avais fait et j'ai rajouté avant de vous lire ; "soyons gai, même gay " !!!

C'est de l'inspiration divine ou je ne m'y connais pas !

Mea culpa : j'écris un texte sous la dictée de la fureur et je l'envoie, direct !

Après je relis, pour les fautes et... je rajoute plein de trucs qui manquent !

'Tiens là en relisant, j'avais oublié le "e" de dictée..."

(Sans doute un refoulement de ma féminité ?!!!)

Non seulement je ne suis pas certain que ce soit une citation exacte mais j'en suis sûr : elle est de moi !

C'est de l'inspiration divine ou je ne m'y connais pas !

Oui, Blaquier, pardon ! Blaquière.

Oui, Blaquier, pardon ! Blaquière.

Remember :

Blanc (germanique) + quercus (latin) ! > Blaquières !

J'ose ?

Oui !

le fruit du chêne étant le ... gland !

Un cri... torride ...

Blanc (germanique) + quercus (latin) ! > Blaquières !

Et quercus est de quel genre?

Et quercus est de quel genre?

Les deux, mon commandant ! (J'avais encore répondu avant !)

Non seulement je ne suis pas certain que ce soit une citation exacte mais j'en suis sûr : elle est de moi !

Oui, enfin, la phrase par moi citée était bien de vous, mais celle qui vous a fait réagir a été présentée comme une citation “à peu près”.

Blaquière à part, revenons à nos moutons.

Le livre biblique de Ruth est très court et met en scène une de ces femmes ascendantes du Messie dont la généalogie est teinte d'un véritable scandale.

En effet, si Ruth elle-même est irréprochable, elle est aussi une Moabite; et ce dernier mot, aux yeux des Hébreux, n'est pas un titre de gloire.

Les Moabites sont les descendants de Moab. Or Moab est fils de Lot et de... mais non! la décence interdit presque de citer la mère.

En tout cas, on ne peut qualifier les femmes de la Bible d'“asexuées” qu'à condition de ne pas l'avoir lue. À côté de ce Saint Livre, les films porno (que je n'ai bien sûr jamais vus!) penchent plus du côté de Blanche-Neige dans la version de Disney.

On voit que l'arbre généalogique du Messie présente quelques “particularités”. Il y aurait quelques autres histoires croustillantes à signaler dans ce cadre-là.

Toujours est-il que Ruth se présente comme un modèle de vertu et une authentique matriarche.

P.S. Blaquière, de grâce! pas de jeu de mots sur “Moabite”...

C est vrai qu elle a du dormir au pied du lit de Boaz, ce que je n ai toujours pas compris.

Blaquière à part, revenons à nos moutons.

P.S. Blaquière, de grâce! pas de jeu de mots sur “Moabite”...

Je m'en garderai bien !

"Moa" ne représente absolument rien de suspect pour moa...

ça me suffit ! Ste Thérèse d'Avila ne m'intéresse pas !

.C'est l'apologie des arrières mondes. "La vie n'est rien c'est à la mort que commence la vraie vie !"

MENSONGE !

Je vous supplie de considérer cela avec la plus simple des raisons :

"La vraie vie commence après la mort !"

NON !

C'est juste une figure de style : un simple "oxymore".

En étymologie : de "occire" et de "mort" !

La mort c'est la fin de la vie ! De toutes les formes de notre vie !

Et moi (qui ne suis rien) je vous dis : la vie c'est tout !

C'est peut-être pas grand chose, mais

C'est tout ce que l'on a !

Pour un moment trop court, oui, mais là, on l'a encore !

Un peu.

Profitons-en. Intelligemment.

On sent, on voit, on respire, on est triste, gai, voire gay !

MAIS après,

IL N'Y AURA RIEN !

Plus rien ! plus d'odeur, plus de beau ciel bleu, plus de connards qui nous gavent : PLUS RIEN.

(D'un autre côté; il ne faut pas trop s'inquiéter : "Plus Rien" n'a plus mal aux dents, ni plus mal nulle part.

Mais tiens, je préfère et de loin une rage de dents vivant que plus rien, nit plus de rage, mort !)

Notre esprit, notre conscience, nos molécules se dissoudront.

Sans doute elles composeront d'autres êtres, mais ça ne sera plus nous !

Nous, c'est cet assemblage imprévu, momentané, quelconque mais unique, exceptionnel, miraculeux que nous sommes.

Pensez-y !

Si vous ratez votre vie, ou simplement (qui ne la rate pas?) si vous n'en faites rien, après, il n'y a aucun rattrapage !

Ce sera fini.

(Pauvres KAMIKAZES !)

Pauvres crétins de kamikazes.

Ils avaient eu la chance unique et très momentanée d'une la vie et ils l'ont gaspillée.

Gaspillée dans l'espoir d'une imposture.

Je suis très brève sur la vie après la mort : comme disait en d'autres circonstances le copain de la Grande Thérèse (a ne pas confondre avec la petite normande) ... Nada, Nada ... Ce n'est pas dans mes préoccupations !

Je pense plutôt a ma matière qui sera biodégradable ...qui aura au passage régalé quelques vers de terre ..... fin de la chaine !

Nous voyons les différences entre les religions.

Dans la religion chrétienne, des aumônières existent dans la foi catholique et protestante.

Des sœurs font partis des représentants du culte religieux.

Si d'autres personnes connaissent des cas identiques dans d'autres religions, nous pourrons faire un état plus précis comment les femmes participent activement à la religion.

C'est juste une figure de style : un simple "oxymore".

En étymologie : de "occire" et de "mort" !

La mort c'est la fin de la vie ! De toutes les formes de notre vie !

Par Zeus, cette étymologie n'est pas celle figurant dans les dictionnaires étymologiques de la langue française. Ce mot savant "oxymore" a été créé à partir deux mots grecs contradictoires : oxu "aigu / fin, spirituel" et moros " mou, inerte / sot, bête, stupide, fou".

Excellent ! Je vous remercie. [/size]

Mais il n'y a pas de quoi, ce fût un plaisir :D

Et bonne nouvelle! J’en ai plein d’autre des citations de ce moine pour qui la femme (non déifiée) étant prédisposée à la procréation, joue un seul et unique rôle dans l’histoire de l’humanité, celui de pot de fleur pour semence masculine.

Ce qui n’est déjà pas si mal pour ce défaut de la nature que sont les femmes.

(Défaut qui se manifeste en cas d’échec du premier dessein de la nature ayant l’homme pour objectif.)

"Quand Dieu confère un pouvoir, il dispense aussi son aide pour qu’en soi fait bon usage. Dans le mariage, le pouvoir est imparti à l’homme d’utiliser sa femme pour la reproduction ; Mais celui-ci reçoit en même temps la grâce sans laquelle il ne pourrait s’acquitter convenablement de cette mission."

Voilà pour la mission divine de l’homme ou la femme joue un rôle ô combien positif, actif et efficace.

Dans un autre commentaire, Thomas d'Aquin explique ce que signifient les deux sœurs Marie et Marthe : la première, dit-il, représente la contemplation; la seconde, la pratique.

Je ne suis pas sûre qu’il était nécessaire de l’expliquer tellement ça crève les yeux quand on lit l’évangile selon Luc.

Les deux faces d’une même pièce estampillée "bon disciple". Etre à l’écoute de la parole de Dieu et mettre cette bonne parole en pratique dans le rapport à l’autre en se mettant à son service.

Aucun rapport avec l’enseignement et pas non plus avec le rôle des femmes dans la religion puisque ça concerne tous les disciples.

En effet, si Ruth elle-même est irréprochable, elle est aussi une Moabite; et ce dernier mot, aux yeux des Hébreux, n'est pas un titre de gloire.

Les Moabites sont les descendants de Moab. Or Moab est fils de Lot et de... mais non! la décence interdit presque de citer la mère.

P.S. Blaquière, de grâce! pas de jeu de mots sur “Moabite”...

Bon... Il lui reste quand même Ruth et Sodome, c'est jouable.

Allez Blaquière!

:D

"

Et bonne nouvelle! J’en ai plein d’autre des citations de ce moine pour qui la femme (non déifiée) étant prédisposée à la procréation, joue un seul et unique rôle dans l’histoire de l’humanité, celui de pot de fleur pour semence masculine.

Ce qui n’est déjà pas si mal pour ce défaut de la nature que sont les femmes.

(Défaut qui se manifeste en cas d’échec du premier dessein de la nature ayant l’homme pour objectif.)

"Quand Dieu confère un pouvoir, il dispense aussi son aide pour qu’en soi fait bon usage. Dans le mariage, le pouvoir est imparti à l’homme d’utiliser sa femme pour la reproduction ; Mais celui-ci reçoit en même temps la grâce sans laquelle il ne pourrait s’acquitter convenablement de cette mission."

Voilà pour la mission divine de l’homme ou la femme joue un rôle ô combien positif, actif et efficace."

Merci à l'auteur de cette diatribe qui semble avoir la même affection que moi pour ce torturé du 2 pièces cuisine lorsqu'il théorise sa misogynie.

Quant a la nature qui aurait pour objectif l'homme, la lecture de ce moine et de l'Eglise a sa suite n'a pas pompé qu'il s'agissait de l'humain (le genre) homme ou femme définissant le sexe masculin et le sexe féminin mais qu'aucunement la nature n'avait précisé que l'un valait mieux que l'autre !

Et dire que ce sont les femmes que l'on a brûlées et les écrits de ce bon "apôtre" sont restés en vie et c'est eux qui restent efficaces, actifs et "positifs" au sein et aux yeux de l'Institution !

Je prend votre post comme une défense envers la reconnaissance des femmes et de leurs véritables rôle et places .... "avec et aux côtés" des hommes "toutes et tous égaux et libres en humanité.Merci.

Venons-en à Judith, déjà citée par DroitDeRéponse et, n'en déplaise à Maroudiji, généralement peu connue au bataillon. C'est donc une nouvelle occasion de faire de l'esbroufe:

Le nom de Judith signifie simplement «Juive»: elle incarne à la perfection l'idéal féminin religieux, et comme nous le verrons, elle n'y va pas de main morte!

Le Livre de Judith, traditionnellement reconnu comme livre historique (mais dont la valeur historique est actuellement contestée par de nombreux historiens, probablement tous misogynes), raconte que le général assyrien Holopherne, accompagné d'une immense armée, se présente aux frontières d'Israël, prêt à l'envahir. Il commence par le siège de la ville frontalière Béthulie.

Un oracle prédit la victoire aux Béthuliens, dirigés par le magistrat Ouzia. Ces derniers, hommes de peu de foi, désespèrent de leur salut.

C'est Judith, une femme (je vous le jure) béthulienne, qui leur reproche cruellement leur incrédulité et leur inconstance (la tradition juive est parfois très misandre, un peu trop même).

Accusant ses concitoyens d'être des couards et des poltrons, elle quitte la ville, accompagnée d'une seule servante, et se rend au camp d'Holopherne, joue de sa beauté pour entrer dans ses bonnes grâces (les hommes sont si faciles à berner), et restée seule avec lui dans sa tente, l'enivre de vin, puis, sans faire sa mijaurée, le décapite (elle a besoin non d'un mais de deux coups de cimeterre; mais elle a une excuse, elle n'est qu'une faible femme).

Ensuite, elle quitte discrètement le camp d'Holopherne, avec la tête de ce dernier enveloppée, et la montre aux Béthuliens qui, ayant repris courage et confiance dans l'oracle, font une sortie et écrasent complètement les Assyriens surpris et ayant perdu... la tête.

____________________

Questions pour voir si vous avez bien suivi le récit:

– Qui est le héros de cette histoire?

A. Holopherne

B. Ouzia

C. Les vaillants Béthuliens

– Que faut-il retenir du rôle de Judith?

A. Elle est une simple habitante de Béthulie

B. Elle a une servante à qui elle ne paie probablement pas ses gages

C. Elle fait des remontrances à ses concitoyens, conduite indigne d'une femme

Le gagnant du concours aura droit à une nouvelle contribution d'Ouest.

Il lui reste quand même Ruth et Sodome.

Et Anaël.

Venons-en à Judith, déjà citée par DroitDeRéponse et, n'en déplaise à Maroudiji, généralement peu connue au bataillon. C'est donc une nouvelle occasion de faire de l'esbroufe:

Le nom de Judith signifie simplement «Juive»: elle incarne à la perfection l'idéal féminin religieux, et comme nous le verrons, elle n'y va pas de main morte!

Le Livre de Judith, traditionnellement reconnu comme livre historique (mais dont la valeur historique est actuellement contestée par de nombreux historiens, probablement tous misogynes), raconte que le général assyrien Holopherne, accompagné d'une immense armée, se présente aux frontières d'Israël, prêt à l'envahir. Il commence par le siège de la ville frontalière Béthulie.

Un oracle prédit la victoire aux Béthuliens, dirigés par le magistrat Ouzia. Ces derniers, hommes de peu de foi, désespèrent de leur salut.

C'est Judith, une femme (je vous le jure) béthulienne, qui leur reproche cruellement leur incrédulité et leur inconstance (la tradition juive est parfois très misandre, un peu trop même).

Accusant ses concitoyens d'être des couards et des poltrons, elle quitte la ville, accompagnée d'une seule servante, et se rend au camp d'Holopherne, joue de sa beauté pour entrer dans ses bonnes grâces (les hommes sont si faciles à berner), et restée seule avec lui dans sa tente, l'enivre de vin, puis, sans faire sa mijaurée, le décapite (elle a besoin non d'un mais de deux coups de cimeterre; mais elle a une excuse, elle n'est qu'une faible femme).

Ensuite, elle quitte discrètement le camp d'Holopherne, avec la tête de ce dernier enveloppée, et la montre aux Béthuliens qui, ayant repris courage et confiance dans l'oracle, font une sortie et écrasent complètement les Assyriens surpris et ayant perdu... la tête.

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Questions pour voir si vous avez bien suivi le récit:

– Qui est le héros de cette histoire?

A. Holopherne

B. Ouzia

C. Les vaillants Béthuliens

– Que faut-il retenir du rôle de Judith?

A. Elle est une simple habitante de Béthulie

B. Elle a une servante à qui elle ne paie probablement pas ses gages

C. Elle fait des remontrances à ses concitoyens, conduite indigne d'une femme

Le gagnant du concours aura droit à une nouvelle contribution d'Ouest.

Reponse d : une infamie chretienne mysogine et antisémite mise en lumière par le caravage et assimilant la femme à une daeshienne

En espérant avoir parfait votre éducation

Venons-en à Judith, déjà citée par DroitDeRéponse et, n'en déplaise à Maroudiji, généralement peu connue au bataillon. C'est donc une nouvelle occasion de faire de l'esbroufe:

Le nom de Judith signifie simplement «Juive»: elle incarne à la perfection l'idéal féminin religieux, et comme nous le verrons, elle n'y va pas de main morte!

Le Livre de Judith, traditionnellement reconnu comme livre historique (mais dont la valeur historique est actuellement contestée par de nombreux historiens, probablement tous misogynes), raconte que le général assyrien Holopherne, accompagné d'une immense armée, se présente aux frontières d'Israël, prêt à l'envahir. Il commence par le siège de la ville frontalière Béthulie.

Un oracle prédit la victoire aux Béthuliens, dirigés par le magistrat Ouzia. Ces derniers, hommes de peu de foi, désespèrent de leur salut.

C'est Judith, une femme (je vous le jure) béthulienne, qui leur reproche cruellement leur incrédulité et leur inconstance (la tradition juive est parfois très misandre, un peu trop même).

Accusant ses concitoyens d'être des couards et des poltrons, elle quitte la ville, accompagnée d'une seule servante, et se rend au camp d'Holopherne, joue de sa beauté pour entrer dans ses bonnes grâces (les hommes sont si faciles à berner), et restée seule avec lui dans sa tente, l'enivre de vin, puis, sans faire sa mijaurée, le décapite (elle a besoin non d'un mais de deux coups de cimeterre; mais elle a une excuse, elle n'est qu'une faible femme).

Ensuite, elle quitte discrètement le camp d'Holopherne, avec la tête de ce dernier enveloppée, et la montre aux Béthuliens qui, ayant repris courage et confiance dans l'oracle, font une sortie et écrasent complètement les Assyriens surpris et ayant perdu... la tête.

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Questions pour voir si vous avez bien suivi le récit:

– Qui est le héros de cette histoire?

A. Holopherne

B. Ouzia

C. Les vaillants Béthuliens

– Que faut-il retenir du rôle de Judith?

A. Elle est une simple habitante de Béthulie

B. Elle a une servante à qui elle ne paie probablement pas ses gages

C. Elle fait des remontrances à ses concitoyens, conduite indigne d'une femme

Le gagnant du concours aura droit à une nouvelle contribution d'Ouest.

"Le gagnant du concours aura droit à une nouvelle contribution d'Ouest."

Ma question monsieur le persifleur : "Qu'est-ce que Judith a apporté d'efficace, de positif et d'actif à la religion des hébreux ?

Persiflez donc !