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L'Ecole laïque en danger

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DroitDeRéponse

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

http://www.msn.com/f...ocid=spartandhp

L’école française est affreusement inégalitaire, répètent en boucle les experts du programme Pisa de l’OCDE ; l’éducation prioritaire est un échec patent, insiste un récent rapport Cnesco. Qu’en pensent donc les élus de banlieue ? Quelles actions mènent-ils localement pour tenter de lutter contre l’échec scolaire ? Quel regard portent-ils en tant qu’élus de terrain sur les réformes portées par le ministère, et quels aménagements souhaitent-ils ?

"L’Obs" a lu en primeur l’enquête menée cet été par l’association Ville & Banlieue qui rassemble les communes périphériques des grandes agglomérations. Seules 19 commune ont répondu (soit le quart des adhérents), mais ces chiffres "indiquent des tendances assez nettes, pointent certaines lacunes et contradictions, permettent d’établir une typologie des enjeux éducatifs très instructive pour l’action publique nationale et locale", comme le soulignent les rédacteurs du rapport. En voilà les points les plus saillants.

Lire la suite sur http://www.msn.com/f...ocid=spartandhp

1. La géographie des zones prioritaire doit être revue

Ce serait enlever des moyens, pourquoi niveler par le bas , toutes les écoles devraient être en ZEP, il faut conserver les avantages acquis ?

2. L’école doit s’ouvrir sur la ville… et ses habitants

Gare à la continuité territoriale

3. Des moyens pour les tout-petits

Une vieille lune. Seront-ce les enfants déjà en crèche qui iront. Abaissera t'on d'une année le congé parental ?

4. Faire le bilan des rythmes scolaires

Cette brillante réforme largement plébiscitée par les parents se basant sur le fait que les crédits seraient illimités et permettant à leurs enfants de s'initier au violon est un succès. Enfilage de perle , temps plus long à l'écolé surtout pour les maternelles, la chronobiologie de l'enfant c'est important :sleep:

5. Faute de mixité sociale, l’école laïque est en danger

Les parents ne sont pas citoyens, les parents proches d'une ZEP devraient être contraints à y inscrire leurs enfants et les établissements confessionnels devraient être tous fermés pour l'apprentissage du vivre ensemble et de la laïcité . Sinon on remarquera le développement d'une offre multiculturelle de soutien scolaire , marque d'un respect de toutes les différences .

Modifié par Théia
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Membre, Posté(e)
Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je me marre en repensant à tous ces articles dans des journaux "de gauche" comme Libé ou l'Obs ou l'on apprennait avec stupéfaction que les bobos et même les enseignants se livraient à toutes les manoeuvres possibles et imaginables pour que leurs gamins (carte scolaire oblige) échappent aux collèges et lycées "difficilles" et aux performances médiocres. Les plus fortunés n'hésitant pas à acheter un studio dans les beaux quartiers pour "changer de zone" :bave:

Juste une petite piqure de rappel pour completer un sujet fort interessant par ailleurs... :noel:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Je me marre en repensant à tous ces articles dans des journaux "de gauche" comme Libé ou l'Obs ou l'on apprennait avec stupéfaction que les bobos et même les enseignants se livraient à toutes les manoeuvres possibles et imaginables pour que leurs gamins (carte scolaire oblige) échappent aux collèges et lycées "difficilles" et aux performances médiocres. Les plus fortunés n'hésitant pas à acheter un studio dans les beaux quartiers pour "changer de zone" :bave:

Juste une petite piqure de rappel pour completer un sujet fort interessant par ailleurs... :noel:

Il y a peu de bobos en zep . Ce sont bel et bien nos concitoyens des cités qui font le choix du privé .

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

http://www.francetvinfo.fr/societe/education/video-complement-d-enquete-les-meres-de-bard-se-battent-pour-la-mixite-dans-les-ecoles_957275.html

Safia est l'une des mères en colère du Petit-Bard, un quartier populaire de Montpellier. Elle vit là depuis dix ans, et ses trois enfants y sont scolarisés. Il y a vingt ans, ce quartier était encore "multiculturel", des pieds-noirs, des Espagnols et des Français y vivaient ensemble. Puis les "Blancs" sont partis. Pas besoin du "fichage ethnique" cher à Robert Ménard pour se rendre compte de la situation à la sortie de l'école maternelle. Pour Complément d'enquête, Safia s'est confiée à Laure Pollez et Vincent Piffeteau : "Il y a un manque de mixité. Les enfants sont tous de la même origine ethnique, tous des Marocains, des Maghrébins."

Les mères sont en colère, elles veulent de la mixité sociale et ethnique pour leurs enfants. Elles réclament du "vivre-ensemble", un thème redevenu d'actualité depuis les attentats de janvier à Paris. Pour elles, le Petit-Bard est un ghetto "ethnique" et elles ne veulent plus de cette vie communautaire.

La directrice de l'école maternelle a fait le choix d'y travailler. C'est la seule "Blanche", et elle soutient les mères qui se battent pour leurs enfants. Elle le constate chaque jour, la non-mixité provoque des dégâts très concrets. Ses élèves ne parlent pas bien le français : "Il y a un niveau de langage en maternelle qui est bien inférieur à ce qu'on peut trouver ailleurs". Au Petit-Bard, la mixité sociale et ethnique est en panne.

===========================================================================

«En classe, on voudrait des petits blonds avec nos enfants»

http://www.liberation.fr/societe/2015/06/03/en-classe-on-voudrait-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454

«Non au ghetto, oui à la mixité.» Tracé sur un grand drap bleu accroché aux grilles de l’école élémentaire Joseph-Delteil, le message est immanquable. Le long de l’établissement s’étirent d’autres slogans : «L’avenir pour nos enfants», «Pas de fatalité». Les tissus se trouent, les lettres s’effacent, mais les revendications restent. Au Petit Bard, un quartier populaire d’environ 6 000 habitants situé dans le nord-ouest de Montpellier (Hérault), les mères d’enfants scolarisés dans deux maternelles et deux écoles primaires (classées en Réseau d’éducation prioritaire renforcé) se battent depuis trois mois pour obtenir davantage de mixité. «Ces quatre écoles réunissent environ 600 enfants, tous d’origine marocaine, à l’image de la population du Petit Bard, presque exclusivement originaire du Maroc, témoigne Safia, l’une des mères engagées dans ce combat. Valls avait dénoncé l’apartheid social : alors on a saisi cette perche et on ne la lâchera plus. On veut que nos enfants, citoyens français, soient considérés et éduqués comme les autres. Comment voulez-vous qu’ils se sentent Français alors qu’ils grandissent exclusivement entre eux ? On aimerait bien que, sur les photos de classe, il y ait des petits blonds ou des petits roux assis à côté d’eux.»

Safia, Fatima, Malika, Haïcha ou Khadéja parlent d’une seule voix.

Aucune ne revendique de leadership. Engagées dans une même lutte, témoignant d’un parcours similaire : nées au Maroc, mariées, mères au foyer, musulmanes pratiquantes, voilées. Certaines ont travaillé avant de se consacrer à leurs enfants, comme Fatima, «quatorze ans d’expérience dans le ménage». D’autres ont suivi des études secondaires, à l’instar d’Haïcha : «J’étais en comptabilité. Quand mes deux enfants seront plus âgés, je chercherai du travail. Mais je n’ai pas trop envie qu’ils grandissent ici.» La plupart de ces femmes vivent depuis leur enfance au Petit Bard, arrivées gamines au bras de leurs parents. «Avant, c’était mieux, raconte Khadéja. Il y avait une église, un boulanger, un tabac-presse… Des Asiatiques, des Africains, des Français, d’autres gens vivaient ici. Les instituteurs habitaient le quartier. Et puis ces gens-là ont déménagé : on n’a pas fait attention mais, peu à peu, il n’y avait plus que des Marocains. Notre génération a connu la mixité à l’école, pas nos enfants.»

===========================================================================

Depuis ces parents ont demandé à ce que la carte scolaire ne soit plus respectée . Apparemment le besoin n'est pas la ZEP ?

http://www.lemonde.fr/education/article/2016/03/02/a-montpellier-et-paris-des-familles-se-mobilisent-contre-les-ecoles-ghettos_4875318_1473685.html

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Invité Simplicius
Invités, Posté(e)
Invité Simplicius
Invité Simplicius Invités 0 message
Posté(e)

J'avoue que je ne comprendrai jamais ce genre de constat stérile.

Qu'est-ce qui fonde la réussite ? L'exigence disciplinaire ! Et ce dans tous les sens du terme.

La question des moyens ou des circonscriptions géographiques devient relativement annexe, tant qu'il est expliqué qu'il est impossible d'obliger les enfants à une concentration soutenue et sur la durée.

Il est évident que les facultés d'apprentissage s'avèrent bien plus hautes à l'âge tendre qu'à la trentaine ou après. Diminuer le temps d'apprentissage des fondamentaux ne peut, dès lors, que conduire à une culture des plus évanescentes, voire au quasi analphabétisme.

Combien d'heures d'enseignement avaient suivi, durant leur scolarité primaire et secondaire, les bacheliers des années 1900 ? Et quel en est le ratio actuel ?

L'un des problèmes principaux de l'enseignement, en Occident, est de se fonder sur le principe qu'il doit être ouvert à tous, durant un grand nombre d'années. Or, il est bien évident qu'une part non négligeable d'élèves se révélera à jamais incapable de comprendre et donc de se montrer attentif à un enseignement théorique. Cette réalité anthropologique était couramment admise des sociétés classiques, au sein desquelles la classe des lettrés restait numériquement marginale, dans la mesure où lesdites sociétés reposaient sur une économie très terre à terre (c'est le cas de le dire), qui exigeait, pour la plupart des domaines, un apprentissage concret plutôt qu'un recours à l'abstraction.

Il est bien évident que la tertiarisation d'une part ultra majoritaire du corps social, en obligeant à l'organisation d'études mandarinales pour la grande masse, ne vient que cruellement souligner l'inaptitude intellectuelle de beaucoup.

Or, le mythe égalitaire, la notion même du "collège unique" qui oblige à organiser l'enseignement pour des classes constituées d'élèves de niveau très hétérogène et qui a pour conséquence principale de peupler les pupitres d'individus qui s'y ennuient et n'hésitent pas à manifester tout leur dédain pour ce qu'ils ne comprennent pas, ainsi que l'objectif de "80% d'une classe d'âge titulaire du bac" ne peuvent qu'être préjudiciables à l'excellence de l'enseignement "moyen" dispensé dans une très grande part des établissements publics.

L'explication "sociale" n'en sera jamais une. Des non francophones, l'école des "hussards noirs" de la IIIe République comme son prédécesseur paroissial en ont vu défiler quelques-uns. Les fils de paysans de la Bretagne bretonnante ou de la Corse du XIXe siècle arrivaient sans parler autre chose que leur patois. Le rôle du maître consistait justement à leur enseigner, à l'oral comme à l'écrit, la maîtrise pleine et entière de la langue officielle de leur pays. Et la mission réussit suffisamment pour qu'au début du XXe siècle, il n'y ait quasiment plus d'enfants uniquement patoisants et complètement analphabètes. Mais, pour parvenir à ce résultat, les recettes étaient autres, dès le primaire. Cela passait déjà par le recrutement de maîtres d'école qui, contrairement à beaucoup de ceux qui accèdent aujourd'hui à ce statut, écrivaient une langue pure, exempte de toute scorie grammaticale ou erreur orthographique. Et dans la reconnaissance sociale, de la part des populations, de leur qualité de "sachant".

Des résultats parfaitement corrects, à la fin de la primaire, seraient aisés à obtenir, en soignant davantage le recrutement, en restaurant la distance et donc le respect entre le maître d'une part et les élèves et leurs parents d'autre part, et, surtout, en relevant considérablement le nombre d'heures de cours, notamment en restaurant la journée entière du samedi et faisant fondre les vacances à huit ou dix semaines sur l'année entière.

Et pour le secondaire : barrage à l'entrée, sur le modèle de l'ancien certificat d'études, et, là aussi, augmentation réelle du nombre d'heures, probablement facilitée par la généralisation de l'internat. Bref, le modèle des collèges d'excellence, réservés aux seuls élèves qui en ont les aptitudes intellectuelles.

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Membre, Posté(e)
juliette56 Membre 1 101 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il faudrait supprimer la carte scolaire, car je trouve inadmissible de vouloir imposer une école publique plutôt qu'une autre, en fonction de notre lieu de résidence. En effet, dans beaucoup de cas, les parents souhaiteraient une école à proximité de leur lieu de travail. Ensuite, quant une famille vit dans un quartier "difficile" parce que ses moyens ne lui permettent d'aller se loger ailleurs, qu'on permette au moins aux parents de choisir une école dans un autre quartier.

Maintenant me direz vous, il reste l'école privée sauf que tout le monde n'a ni les moyens, ni les convictions pour inscrire son enfant dans le privé.

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Membre, 55ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Oui, sujet extrêmement intéressant .A l'exception de une ou deux phrases, je suis d'accord avec ce que préconise Simplicius.

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Membre, Pépé fada , râleur , et clairvoyant ., 79ans Posté(e)
Maurice Clampin Membre 11 038 messages
79ans‚ Pépé fada , râleur , et clairvoyant .,
Posté(e)

J'avoue que je ne comprendrai jamais ce genre de constat stérile.

Qu'est-ce qui fonde la réussite ? L'exigence disciplinaire ! Et ce dans tous les sens du terme.

La question des moyens ou des circonscriptions géographiques devient relativement annexe, tant qu'il est expliqué qu'il est impossible d'obliger les enfants à une concentration soutenue et sur la durée.

Il est évident que les facultés d'apprentissage s'avèrent bien plus hautes à l'âge tendre qu'à la trentaine ou après. Diminuer le temps d'apprentissage des fondamentaux ne peut, dès lors, que conduire à une culture des plus évanescentes, voire au quasi analphabétisme.

Combien d'heures d'enseignement avaient suivi, durant leur scolarité primaire et secondaire, les bacheliers des années 1900 ? Et quel en est le ratio actuel ?

L'un des problèmes principaux de l'enseignement, en Occident, est de se fonder sur le principe qu'il doit être ouvert à tous, durant un grand nombre d'années. Or, il est bien évident qu'une part non négligeable d'élèves se révélera à jamais incapable de comprendre et donc de se montrer attentif à un enseignement théorique. Cette réalité anthropologique était couramment admise des sociétés classiques, au sein desquelles la classe des lettrés restait numériquement marginale, dans la mesure où lesdites sociétés reposaient sur une économie très terre à terre (c'est le cas de le dire), qui exigeait, pour la plupart des domaines, un apprentissage concret plutôt qu'un recours à l'abstraction.

Il est bien évident que la tertiarisation d'une part ultra majoritaire du corps social, en obligeant à l'organisation d'études mandarinales pour la grande masse, ne vient que cruellement souligner l'inaptitude intellectuelle de beaucoup.

Or, le mythe égalitaire, la notion même du "collège unique" qui oblige à organiser l'enseignement pour des classes constituées d'élèves de niveau très hétérogène et qui a pour conséquence principale de peupler les pupitres d'individus qui s'y ennuient et n'hésitent pas à manifester tout leur dédain pour ce qu'ils ne comprennent pas, ainsi que l'objectif de "80% d'une classe d'âge titulaire du bac" ne peuvent qu'être préjudiciables à l'excellence de l'enseignement "moyen" dispensé dans une très grande part des établissements publics.

L'explication "sociale" n'en sera jamais une. Des non francophones, l'école des "hussards noirs" de la IIIe République comme son prédécesseur paroissial en ont vu défiler quelques-uns. Les fils de paysans de la Bretagne bretonnante ou de la Corse du XIXe siècle arrivaient sans parler autre chose que leur patois. Le rôle du maître consistait justement à leur enseigner, à l'oral comme à l'écrit, la maîtrise pleine et entière de la langue officielle de leur pays. Et la mission réussit suffisamment pour qu'au début du XXe siècle, il n'y ait quasiment plus d'enfants uniquement patoisants et complètement analphabètes. Mais, pour parvenir à ce résultat, les recettes étaient autres, dès le primaire. Cela passait déjà par le recrutement de maîtres d'école qui, contrairement à beaucoup de ceux qui accèdent aujourd'hui à ce statut, écrivaient une langue pure, exempte de toute scorie grammaticale ou erreur orthographique. Et dans la reconnaissance sociale, de la part des populations, de leur qualité de "sachant".

Des résultats parfaitement corrects, à la fin de la primaire, seraient aisés à obtenir, en soignant davantage le recrutement, en restaurant la distance et donc le respect entre le maître d'une part et les élèves et leurs parents d'autre part, et, surtout, en relevant considérablement le nombre d'heures de cours, notamment en restaurant la journée entière du samedi et faisant fondre les vacances à huit ou dix semaines sur l'année entière.

Et pour le secondaire : barrage à l'entrée, sur le modèle de l'ancien certificat d'études, et, là aussi, augmentation réelle du nombre d'heures, probablement facilitée par la généralisation de l'internat. Bref, le modèle des collèges d'excellence, réservés aux seuls élèves qui en ont les aptitudes intellectuelles.

Du haut de mon certificat d' études des années 50 , j' adhère largement à votre vision des choses .

Toutefois vous l' eûtes dis de façon un peu plus brève ça aurait soulagé ma vision sinon totalement défaillante mais tout de même quelque peu paresseuse .

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Membre, 58ans Posté(e)
Francelibre Membre 8 773 messages
Forumeur accro‚ 58ans‚
Posté(e)

Il y a peu de bobos en zep . Ce sont bel et bien nos concitoyens des cités qui font le choix du privé .

Si les écoles publiques des cités n'étaient pas des lieux d'islamisation, ces chers concitoyens ne seraient pas contraints de faire ce choix.

http://www.francetvinfo.fr/societe/education/video-complement-d-enquete-les-meres-de-bard-se-battent-pour-la-mixite-dans-les-ecoles_957275.html

Safia est l'une des mères en colère du Petit-Bard, un quartier populaire de Montpellier. Elle vit là depuis dix ans, et ses trois enfants y sont scolarisés. Il y a vingt ans, ce quartier était encore "multiculturel", des pieds-noirs, des Espagnols et des Français y vivaient ensemble. Puis les "Blancs" sont partis. Pas besoin du "fichage ethnique" cher à Robert Ménard pour se rendre compte de la situation à la sortie de l'école maternelle. Pour Complément d'enquête, Safia s'est confiée à Laure Pollez et Vincent Piffeteau : "Il y a un manque de mixité. Les enfants sont tous de la même origine ethnique, tous des Marocains, des Maghrébins."

Les mères sont en colère, elles veulent de la mixité sociale et ethnique pour leurs enfants. Elles réclament du "vivre-ensemble", un thème redevenu d'actualité depuis les attentats de janvier à Paris. Pour elles, le Petit-Bard est un ghetto "ethnique" et elles ne veulent plus de cette vie communautaire.

La directrice de l'école maternelle a fait le choix d'y travailler. C'est la seule "Blanche", et elle soutient les mères qui se battent pour leurs enfants. Elle le constate chaque jour, la non-mixité provoque des dégâts très concrets. Ses élèves ne parlent pas bien le français : "Il y a un niveau de langage en maternelle qui est bien inférieur à ce qu'on peut trouver ailleurs". Au Petit-Bard, la mixité sociale et ethnique est en panne.

===========================================================================

«En classe, on voudrait des petits blonds avec nos enfants»

http://www.liberation.fr/societe/2015/06/03/en-classe-on-voudrait-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454

«Non au ghetto, oui à la mixité.» Tracé sur un grand drap bleu accroché aux grilles de l’école élémentaire Joseph-Delteil, le message est immanquable. Le long de l’établissement s’étirent d’autres slogans : «L’avenir pour nos enfants», «Pas de fatalité». Les tissus se trouent, les lettres s’effacent, mais les revendications restent. Au Petit Bard, un quartier populaire d’environ 6 000 habitants situé dans le nord-ouest de Montpellier (Hérault), les mères d’enfants scolarisés dans deux maternelles et deux écoles primaires (classées en Réseau d’éducation prioritaire renforcé) se battent depuis trois mois pour obtenir davantage de mixité. «Ces quatre écoles réunissent environ 600 enfants, tous d’origine marocaine, à l’image de la population du Petit Bard, presque exclusivement originaire du Maroc, témoigne Safia, l’une des mères engagées dans ce combat. Valls avait dénoncé l’apartheid social : alors on a saisi cette perche et on ne la lâchera plus. On veut que nos enfants, citoyens français, soient considérés et éduqués comme les autres. Comment voulez-vous qu’ils se sentent Français alors qu’ils grandissent exclusivement entre eux ? On aimerait bien que, sur les photos de classe, il y ait des petits blonds ou des petits roux assis à côté d’eux.»

Safia, Fatima, Malika, Haïcha ou Khadéja parlent d’une seule voix.

Aucune ne revendique de leadership. Engagées dans une même lutte, témoignant d’un parcours similaire : nées au Maroc, mariées, mères au foyer, musulmanes pratiquantes, voilées. Certaines ont travaillé avant de se consacrer à leurs enfants, comme Fatima, «quatorze ans d’expérience dans le ménage». D’autres ont suivi des études secondaires, à l’instar d’Haïcha : «J’étais en comptabilité. Quand mes deux enfants seront plus âgés, je chercherai du travail. Mais je n’ai pas trop envie qu’ils grandissent ici.» La plupart de ces femmes vivent depuis leur enfance au Petit Bard, arrivées gamines au bras de leurs parents. «Avant, c’était mieux, raconte Khadéja. Il y avait une église, un boulanger, un tabac-presse… Des Asiatiques, des Africains, des Français, d’autres gens vivaient ici. Les instituteurs habitaient le quartier. Et puis ces gens-là ont déménagé : on n’a pas fait attention mais, peu à peu, il n’y avait plus que des Marocains. Notre génération a connu la mixité à l’école, pas nos enfants.»

===========================================================================

Depuis ces parents ont demandé à ce que la carte scolaire ne soit plus respectée . Apparemment le besoin n'est pas la ZEP ?

http://www.lemonde.fr/education/article/2016/03/02/a-montpellier-et-paris-des-familles-se-mobilisent-contre-les-ecoles-ghettos_4875318_1473685.html

Je connais "le petit Bard" à Montpellier.

C'est les islamistes qui ont fait de ce quartier un ghetto communautariste.

Et maintenant, ils réclament plus de mixité, alors que c'est leur communautarisme, qui est la cause de cette absence de mixité.

Et pourquoi réclament-ils plus de mixité ?

Afin de mieux islamiser, ceux qui ne sont pas encore convertis !

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Si les écoles publiques des cités n'étaient pas des lieux d'islamisation, ces chers concitoyens ne seraient pas contraints de faire ce choix.

Je doute que l'école soit un lieu d'islamisation .

Je connais "le petit Bard" à Montpellier.

C'est les islamistes qui ont fait de ce quartier un ghetto communautariste.

Et maintenant, ils réclament plus de mixité, alors que c'est leur communautarisme, qui est la cause de cette absence de mixité.

Et pourquoi réclament-ils plus de mixité ?

Afin de mieux islamiser, ceux qui ne sont pas encore convertis !

Je pense que vous confondez deux catégories de population . Je doute que ces mères de famille veuillent convertir qui que ce soit, si ce n'est leurs enfants à une vie non communautarisée .

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Membre, 58ans Posté(e)
Francelibre Membre 8 773 messages
Forumeur accro‚ 58ans‚
Posté(e)

Je doute que l'école soit un lieu d'islamisation .

Je pense que vous confondez deux catégories de population . Je doute que ces mères de famille veuillent convertir qui que ce soit, si ce n'est leurs enfants à une vie non communautarisée .

Si vous doutez que l'école puisse être un lieux d'islamisation, c'est que vous êtes d'une grande naïveté.

Tant qu'aux mères du "Petit Bard", elles sont facilement reconnaissable, grâce au voile islamique qu'elles portent.... Et si porter un voile islamique, n'est pas "faire de la pub" à la tradition musulmane, alors qu'est-ce que c'est ?

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://www.msn.com/f...ocid=spartandhp

Lire la suite sur http://www.msn.com/f...ocid=spartandhp

1. La géographie des zones prioritaire doit être revue

Ce serait enlever des moyens, pourquoi niveler par le bas , toutes les écoles devraient être en ZEP, il faut conserver les avantages acquis ?

2. L’école doit s’ouvrir sur la ville… et ses habitants

Gare à la continuité territoriale

3. Des moyens pour les tout-petits

Une vieille lune. Seront-ce les enfants déjà en crèche qui iront. Abaissera t'on d'une année le congé parental ?

4. Faire le bilan des rythmes scolaires

Cette brillante réforme largement plébiscitée par les parents se basant sur le fait que les crédits seraient illimités et permettant à leurs enfants de s'initier au violon est un succès. Enfilage de perle , temps plus long à l'écolé surtout pour les maternelles, la chronobiologie de l'enfant c'est important :sleep:

5. Faute de mixité sociale, l’école laïque est en danger

Les parents ne sont pas citoyens, les parents proches d'une ZEP devraient être contraints à y inscrire leurs enfants et les établissements confessionnels devraient être tous fermés pour l'apprentissage du vivre ensemble et de la laïcité . Sinon on remarquera le développement d'une offre multiculturelle de soutien scolaire , marque d'un respect de toutes les différences .

Bjr DroitDeRéponse,

Il est bien loin le temps, ou le petit écolier commençait le premier jour de la semaine par deux heures de morale, et ce toute les semaines. C'est peut être par là qu'il faut commencer.

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Bjr DroitDeRéponse,

Il est bien loin le temps, ou le petit écolier commençait le premier jour de la semaine par deux heures de morale, et ce toute les semaines. C'est peut être par là qu'il faut commencer.

a+

Que voilà un bien gros mot laugh.gif

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)

http://www.msn.com/f...ocid=spartandhp

Lire la suite sur http://www.msn.com/f...ocid=spartandhp

1. La géographie des zones prioritaire doit être revue

Ce serait enlever des moyens, pourquoi niveler par le bas , toutes les écoles devraient être en ZEP, il faut conserver les avantages acquis ?

2. L’école doit s’ouvrir sur la ville… et ses habitants

Gare à la continuité territoriale

3. Des moyens pour les tout-petits

Une vieille lune. Seront-ce les enfants déjà en crèche qui iront. Abaissera t'on d'une année le congé parental ?

4. Faire le bilan des rythmes scolaires

Cette brillante réforme largement plébiscitée par les parents se basant sur le fait que les crédits seraient illimités et permettant à leurs enfants de s'initier au violon est un succès. Enfilage de perle , temps plus long à l'écolé surtout pour les maternelles, la chronobiologie de l'enfant c'est important :sleep:

5. Faute de mixité sociale, l’école laïque est en danger

Les parents ne sont pas citoyens, les parents proches d'une ZEP devraient être contraints à y inscrire leurs enfants et les établissements confessionnels devraient être tous fermés pour l'apprentissage du vivre ensemble et de la laïcité . Sinon on remarquera le développement d'une offre multiculturelle de soutien scolaire , marque d'un respect de toutes les différences .

bonjour DDR, pour ma part, je trouve que l'école se devrait de penser tout bêtement que tout enfant se doit d'avoir à la sortie de sa "communale" la base nécessaire de savoir: lire, écrire et compter... c'est pas gagné!!! (c'est vulgaire mais je le pense!) bonne continuation! jacky.

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  • 2 semaines après...
Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pourquoi-l%C3%A9cole-priv%C3%A9e-r%C3%A9ussit-mieux-que-le-public-et-comment-r%C3%A9duire-l%C3%A9cart/ar-AAjiHsl?li=BBwlBpb&ocid=spartanntp

Le regroupement d’enfants de milieux favorisés explique-t-il les meilleurs résultats du privé ?

C’est un sujet délicat, sur lequel il n’y a pas de recherche précise. En effet, les établissements privés ont en général de meilleurs résultats que les établissements publics. En France, cet écart, tel qu'il est calculé par l’OCDE dans l’enquête Pisa 2012, est de 31 points. Il tient à l’origine sociale des élèves. Les milieux aisés sont associés à de meilleurs résultats scolaires.

Mais ce n'est pas la seule explication. Car quand on neutralise le critère social, avec 8 poins en plus, le privé continue d'avoir un meilleur score. L’école privée, indépendamment de l’origine sociale, est plus efficace que l’école publique ! Ce n’est pas un hasard si les meilleures académies de France sont situées dans l’Ouest, où le privé accueille la moitié des élèves, bien au-dessus des 17% de la moyenne nationale.

Comment comprendre que l’enseignement privé soit plus efficace, même après la neutralisation du critère social ?

Ce résultat est paradoxal, en effet. Le privé a des professeurs moins bien formés : selon le Bilan social de l’Education nationale, le second degré compte 4% d’agrégés dans le privé contre 13% dans le public, 72% de capétiens dans le privé contre 77% dans le public, et 26% de non-titulaires dans le privé contre… 6,5% dans le public ! Les classes sont plus chargées. Le collège et le lycée proposent moins d'options... Et pourtant, le système scolaire privé est plus efficace.

A cet égard, la Cour des Comptes a fait des calculs : l’enseignement privé est une bénédiction pour les finances publiques ! Une option de lycée coûte moitié moins cher dans le privé que dans le public, par exemple. Les enseignants sont moins gradés, l’Etat ne finance pas les bâtiments...

Je pointerais plusieurs facteurs pour expliquer ce paradoxe, et d'abord le traitement de l’absentéisme : les absences de courtes durées sont remplacées à 98% dans le privé ; dans le public, à moins de 30%. En clair, le privé assure mieux la continuité du service public que le service public lui-même !

Du point de vue pédagogique, ensuite, les établissements privés sont de bons élèves. Ils sont volontaires, ils appliquent les réformes. Celle du collège ? Ils jugent qu’elle va dans le bon sens, ils jouent le jeu, ils ont même publié à la rentrée un guide d’accompagnement. Alors que dans le public, des syndicats puissants freinent souvent les changements.

J’ajouterai la cohésion des équipes autour d’un projet d’établissement, qui maintient une mobilisation et donne du sens. Les enseignants hésitent à sécher les réunions pédagogiques, alors que dans le public, ils sont souvent moins disciplinés. Dans le privé, la communauté éducative est une réalité, à laquelle participent réellement les parents d’élèves, alors qu’ils sont tenus en lisière dans le public.

Enfin, les établissements privés bénéficient d’une autonomie qui assure en général un dynamisme plus grand. Au fond, l’enseignement privé est l’enseignement public dont rêvent les classes moyennes.

==========================================================================

:noel:

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/pourquoi-l%C3%A9cole-priv%C3%A9e-r%C3%A9ussit-mieux-que-le-public-et-comment-r%C3%A9duire-l%C3%A9cart/ar-AAjiHsl?li=BBwlBpb&ocid=spartanntp

Le regroupement d’enfants de milieux favorisés explique-t-il les meilleurs résultats du privé ?

C’est un sujet délicat, sur lequel il n’y a pas de recherche précise. En effet, les établissements privés ont en général de meilleurs résultats que les établissements publics. En France, cet écart, tel qu'il est calculé par l’OCDE dans l’enquête Pisa 2012, est de 31 points. Il tient à l’origine sociale des élèves. Les milieux aisés sont associés à de meilleurs résultats scolaires.

Mais ce n'est pas la seule explication. Car quand on neutralise le critère social, avec 8 poins en plus, le privé continue d'avoir un meilleur score. L’école privée, indépendamment de l’origine sociale, est plus efficace que l’école publique ! Ce n’est pas un hasard si les meilleures académies de France sont situées dans l’Ouest, où le privé accueille la moitié des élèves, bien au-dessus des 17% de la moyenne nationale.

Comment comprendre que l’enseignement privé soit plus efficace, même après la neutralisation du critère social ?

Ce résultat est paradoxal, en effet. Le privé a des professeurs moins bien formés : selon le Bilan social de l’Education nationale, le second degré compte 4% d’agrégés dans le privé contre 13% dans le public, 72% de capétiens dans le privé contre 77% dans le public, et 26% de non-titulaires dans le privé contre… 6,5% dans le public ! Les classes sont plus chargées. Le collège et le lycée proposent moins d'options... Et pourtant, le système scolaire privé est plus efficace.

A cet égard, la Cour des Comptes a fait des calculs : l’enseignement privé est une bénédiction pour les finances publiques ! Une option de lycée coûte moitié moins cher dans le privé que dans le public, par exemple. Les enseignants sont moins gradés, l’Etat ne finance pas les bâtiments...

Je pointerais plusieurs facteurs pour expliquer ce paradoxe, et d'abord le traitement de l’absentéisme : les absences de courtes durées sont remplacées à 98% dans le privé ; dans le public, à moins de 30%. En clair, le privé assure mieux la continuité du service public que le service public lui-même !

Du point de vue pédagogique, ensuite, les établissements privés sont de bons élèves. Ils sont volontaires, ils appliquent les réformes. Celle du collège ? Ils jugent qu’elle va dans le bon sens, ils jouent le jeu, ils ont même publié à la rentrée un guide d’accompagnement. Alors que dans le public, des syndicats puissants freinent souvent les changements.

J’ajouterai la cohésion des équipes autour d’un projet d’établissement, qui maintient une mobilisation et donne du sens. Les enseignants hésitent à sécher les réunions pédagogiques, alors que dans le public, ils sont souvent moins disciplinés. Dans le privé, la communauté éducative est une réalité, à laquelle participent réellement les parents d’élèves, alors qu’ils sont tenus en lisière dans le public.

Enfin, les établissements privés bénéficient d’une autonomie qui assure en général un dynamisme plus grand. Au fond, l’enseignement privé est l’enseignement public dont rêvent les classes moyennes.

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:noel:

Bsr DroitDeRéponse,

Le public éduque, le Privé instruit, enfin c'est mon constat personnel. J'ai eu la chance de placer mes enfants dans le meilleur établissement privé de la capitale auvergnate, et je me suis aperçu qu'a partir du lycée, soit l'enfant avait le niveau, sois les parents étaient convoqué par la direction pour leur signifier que leur enfant n'avait rien a faire là.

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Bsr DroitDeRéponse,

Le public éduque, le Privé instruit, enfin c'est mon constat personnel. J'ai eu la chance de placer mes enfants dans le meilleur établissement privé de la capitale auvergnate, et je me suis aperçu qu'a partir du lycée, soit l'enfant avait le niveau, sois les parents étaient convoqué par la direction pour leur signifier que leur enfant n'avait rien a faire là.

a+

Ca dépend beaucoup des lycées Abou, et puis quand on vient du privé, la bonne classe prépa est difficile à obtenir . Je connais bien les deux. Moi dans le privé, mes fils dans le public , parce que ça marche comme dans le privé, ils n'hésitent pas à virer .

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Ca dépend beaucoup des lycées Abou, et puis quand on vient du privé, la bonne classe prépa est difficile à obtenir . Je connais bien les deux. Moi dans le privé, mes fils dans le public , parce que ça marche comme dans le privé, ils n'hésitent pas à virer .

Bsr DroitDeRéponse,

L'etablissement ou j'avais placé les miens était et reste toujours le mieux noté, mais il est aussi le plus discriminatoire si je puis m'exprimer ainsi, a cause de sa sélectivité. D'un autre coté quand mes enfants ont vu certain de leur camarades se faire gicler, cela leur a mis le cœur a l'ouvrage. C'est de bonne guerre

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 760 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Bsr DroitDeRéponse,

L'etablissement ou j'avais placé les miens était et reste toujours le mieux noté, mais il est aussi le plus discriminatoire si je puis m'exprimer ainsi, a cause de sa sélectivité. D'un autre coté quand mes enfants ont vu certain de leur camarades se faire gicler, cela leur a mis le cœur a l'ouvrage. C'est de bonne guerre

a+

C'est pas une question de note Abou, mais quand tu viens du privé , ton dossier ne va pas sur le dessus de la pile .

Et à part ginette ou Stanislas les grandes prépas sont dans le public .

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Membre, Posté(e)
Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je doute que l'école soit un lieu d'islamisation .

Je pense que vous confondez deux catégories de population . Je doute que ces mères de famille veuillent convertir qui que ce soit, si ce n'est leurs enfants à une vie non communautarisée .

Je rebondis (("découvrant" le sujet) sur - islamisation -

Je crois de plus en plus que cette fameuse "islamisation" à de moins en moins à voir avec la religion et de plus en plus à

une façon de créer un "état d'esprit", une société, un "mode de pensée" antagonistes à nos valeurs et revendiqués comme tel

Une islamisation de "rejet".

Citoyen français, oui, mais une autre françe dont la "création" avance à grands pas et se trouve, dans certains quazrtiers, quasiment en voie d'achèvement.

Les laïques appelent celà le communautarisme et "eux" l'islamisation.

Lorsque j'entends des "musulmans", et des très gentils et très polis nous désigner comme "les français", avec candeur, sans aucun mépris, mais comme l'on parlerais d'un autre peuple avec lequel on co-habiterait, je m'interroge ?...

Et lorsque je vois nos "chères petite têtes blondes" et même les plus blondes du tout prendre leurs cliques et leur claques pour aller étudier "ailleurs" je ne m'interroge que du fait qu'on puisse s'en étonner ! :o°:o

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