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Aide dissertation de philo (Terminale L)


Invité engl

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Invité engl
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Invité engl
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Bonsoir, je suis rentré en terminale L et autant vous dire que je me sens perdu avec cette matière... Le prof nous a donné un sujet de dissertation à faire "Peut-on se dispenser de penser ?" donc bien évidemment il nous a fait un cours de méthode j'ai certes écouté mais c'est compliqué en fait d'après ce que j'ai compris à partir de la question du sujet faut retrouver une autre question dans l'introduction ?

Ah oui et dans le développement il faut faire une 3ème partie qui résume la thèse et l'antithèse mais dans ce cas là pourquoi faire une conclusion après le développement ?

Je vous promets je suis complètement perdu en plus ça me stresse parce que je sens que je vais pas du tout être bon dans cette matière c'est trop compliqué en plus 8h par semaine et coefficient 7 je suis désolé mais c'est beaucoup trop pour une matière qu'on fait que pendant un an

Enfin bref, je voulais vous demander si vous aviez des idées pour faire cette dissertation "Peut-on se dispenser de penser ?" parce que I'm very lost...

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Invité Yokkie
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Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
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"Peut-on se dispenser de penser ?"

Tu peux t'appuyer sur Descartes pour développer la thèse, l'anti-thèse et la synthèse....

Je pense donc je suis : le cogito

Cette citation sur la conscience est extraite du Discours de la Méthode, oeuvre-phare de la philosophie de René Descartes, dans laquelle il relate sa vie et la manière dont il a pu s’appuyer sur la certitude de son existence afin de fonder une nouvelle métaphysique.

Descartes cherche un fondement sûr pour bâtir la connaissance, un point fixe à partir duquel fonder le savoir et accéder aux vérités.

1. Le doute méthodique : la voie active

Descartes décide de volontairement mettre en doute toutes ses connaissances et opinions. Que reste-t-il de cette mise hors circuit du monde et des ses objets ? Que c’est lui, sujet, qui doute. Or, pour douter, il faut penser.

Donc, si je doute, je pense, et si je pense, je suis.

Le doute, qui au départ mettait tout en question, se renverse et devient source de certitude. La dialectique de Descartes crée le cogito.

2. Le malin génie : la voie passive

Descartes fait l’hypothèse qu’une force obscure le trompe, en lui faisant passer pour vraies des représentations fausses.

Mais là aussi, si on peut me tromper, si mes sens peuvent être source d’illusions, il reste que j’ai le pouvoir de suspendre mon jugement. Et là aussi, cette suspension est une action de la pensée qui vient prouver mon existence irréfutable.

Dans les deux méthodes, actives ou passives, le certitude du cogito est acquise. Le Sujet, sûr de son existence, peut agir en tant que terre natale de la Vérité.

Mon lien

Enfin bon...

C'est ce que je ferais, à tort ou à raison ! :facepalm:

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Membre, 64ans Posté(e)
S.A.S Membre 3 368 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

Salut engl .... qu'est ce que tu fabrique en littérature ... ????

Tu ne semble pas être à ta place .

Est ce un choix ou à tu choisis cette voie au petit bonheur la chance ?

Peut être que la solution serais une réorientation ? .. Tu y a déjà pensé ? :hu:

... Sinon ... Peut on se dispenser de penser ?

... la réponse est Non évidemment . Le simple fait de se poser la question , nous oblige à y penser ... à y réfléchir .

Par contre on peut ... volontairement se dispenser de penser .... pour se protéger d'une vérité qui pourrait nous déranger .

.. on pourrait aussi se dispenser de penser ... tout simplement par peur de devoir se remettre en question ; et de devoir renoncer à des choses que l'on avait considéré comme acquises depuis de longues années ...... et se taper la honte auprès de gens , devant lesquels ont avait soutenue mordicus , des choses auxquelles ont ne crois plus désormais .

Voilà quelques idées .

A toi de développer .... en essayant de ne pas tomber dans le hors sujet .

Bon courage . :)

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 667 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

A travers cette question ressortent à mon avis l'intellectualisation du vécu par la pensée qui prolonge la conscience et la nécessité de son absence favorisant la réceptivité à l'environnement nourrissant cette pensée. Mais la pensée peut se nourrir également d'elle-même. Et on pourrait aussi se demander à l'inverse s'il était possible de penser continuellement. Or la pensée se rythme grâce à son absence synchronisée qui s'apparente à des silences intérieurs plus ou moins longs.

Résumer est différent de conclure puisqu'en résumant tu condenses tes paragraphes, et en concluant tu réponds à la question principale par une réflexion nuancée issue du résumé.

J'espère que mon point de vue te sera utile. Quoi qu'il en soit, bonne chance pour ta dissertation.

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 340 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
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"Peut-on se dispenser de penser?"

Réponse : non.

Terminé.

(J'ai toujours détesté la philo.)

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Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
  Le 10/09/2016 à 19:55, Gouderien a dit :

"Peut-on se dispenser de penser?"

Réponse : non.

Terminé.

(J'ai toujours détesté la philo.)

Pensez-vous l'aider avec votre réponse ?? :mef:

Normal...

Vous n'avez goût à pas grand chose, d'après ce que j'ai pu entrevoir dans différents topics ! :o°

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Membre, Né "vieux con", 43ans Posté(e)
Pompon47 Membre 1 845 messages
43ans‚ Né "vieux con",
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J'ai un tres bon sujet pour toi que tu devrais bosser en priorité .

"Peut-on se dispenser de terminale L quand on y est pas à sa place ?"

Franchement penses y .

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 667 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

Je précise concernant la comparaison entre l'absence de pensée et le silence pour souligner l'importance du silence au son et au langage, qu'il faut tenir compte aussi du fait que la pensée peut aussi exister sous forme d'images, ou autres créativités intellectuelles générées par la perception des sens. Donc cette comparaison de l'absence avec le silence ne se limite qu'à la pensée liée au son.

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Bonjour tous et toutes,

"Peut-on se dispenser de penser ?" Oui et c'est même indispensable dans certaines circonstances : Un conducteur automobile devra agir par reflex pour éviter un chevreuil bondissant, or ce reflex n'est pas considéré comme une pensée selon la différentiation antique. Au niveau d'étude où est posé la question je considérerais comme hors sujet ceux qui ne développeraient que le "cogito ergo sum"

La méthode d'analyse raisonnée soulève deux questions : Qui est ce "on" ? Qu'es ce que "penser" ?

Ensuite il y a tout un jeu de circonstances qui viennent nuancer les propos ; il me semble indispensable d'aborder le problème de l'identité de l'humain comme se distinguant du reste de l'existence par sa faculté de penser mais qui encore survit souvent sans y penser. D'un autre côté les découvertes les plus récentes confirment que la structure des êtres complexes est organisée en colonie avec même une mémoire décentralisée ; Ce qui fait de certains gestes reflex le résultat d'une "pensée" du membre.

De quoi ouvrir bien des perspectives.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Pour la méthodologie je t'aiguille vers :

http://www.lemonde.fr/revision-du-bac/annales-bac/philosophie-terminale/methodologie-pour-l-epreuve-de-philosophie-toutes-series_met-t-i.html

idem mais plus détaillé

http://www.lyc-cassin-gonesse.ac-versailles.fr/spip.php?article101

en vidéo (les bons profs - fouille un peu avec ce prof de philo, il a l'air d'être pas mal)

Analyse bien tous les termes de la question posée avant d'entreprendre un plan d'attaque (le cas de "peut-on" par exemple qui implique soit la possibilité, soit le droit ou la légitimité). Pareillement, répondre à la question "qu'est ce que penser" baliserait peut être un peu mieux le terrain.

http://www.philagora.net/dissert2/penser.php

En espérant t'avoir un peu aidé, je te souhaite bien du courage.

Tiens le coup et reste zen ! :zen:

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Invité Yokkie
Invités, Posté(e)
Invité Yokkie
Invité Yokkie Invités 0 message
Posté(e)
  Le 11/09/2016 à 00:18, Genesiis a dit :

Au niveau d'étude où est posé la question je considérerais comme hors sujet ceux qui ne développeraient que le "cogito ergo sum"

Je pense l'inverse, et continue donc à t'inviter à développer la thématique de ta dissertation avec cette approche :

On peut admettre que l’homme, d’un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l’animal, l’homme a des besoins physiologiques qu’il doit satisfaire s’il veut se maintenir en vie. Pour vivre, l’homme doit s’alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri. Cela ne le distingue pas de l’animal. Mais l’homme est doué de conscience : à ce titre, il doit s’efforcer de l’employer. S’il n’utilisait pas sa pensée, l’homme ne serait pas véritablement humain. Il est nécessaire que l’homme fasse usage de sa pensée, un peu comme il serait nécessaire que l’oiseau fasse usage de ses ailes, puisque la nature l’en a doté. Pour vivre comme vit un oiseau, l’oiseau doit voler. Pour vivre comme vit un homme, l’homme doit penser.

La question posée : « Peut-on vivre sans penser ? » contient a priori la réponse qu’il convient de lui apporter : pour se réaliser en tant qu’homme, celui-ci doit penser. S’il ne pense pas, il sera pareil à l’animal, qui n’a pas besoin de penser pour vivre. La difficulté principale réside en fait dans le terme : « penser », qu’il convient de définir précisément. Qu’appelle-t-on « penser » ?

1. Penser, c'est exister, Descartes

a. Exister c'est penser, et penser c'est exister

La pensée renvoie aux activités de l’esprit. Penser, c’est réfléchir, s’interroger, raisonner, argumenter, mais ce pourrait être également percevoir, sentir, éprouver des émotions, imaginer. Dans les Principes de la philosophie, Descartes (1596-1650) écrit : « Par le mot de pensée, j’entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement par nous-mêmes ; c’est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est la même chose ici que penser ». Penser, c’est être conscient. L’animal, à ce titre, n’aurait pas vraiment conscience de lui-même. La seule « conscience » que nous pourrions reconnaître à l’animal se réduit à un instinct, qui lui permet de se nourrir ou d’éviter le danger. Mais il ne saurait désirer ou vouloir : la volonté suppose que l’on puisse se représenter ce que l’on veut ; le désir se rapporte à un objet que l’on imagine être source de plaisir ou de satisfaction.

Etre conscient signifie également que nous savons ce que nous faisons, ce que nous pensons ou ce que nous ressentons. Dans les Méditations métaphysiques (Seconde méditation) Descartes affirme encore : « Je suis, j’existe : cela est certain. Mais combien de temps ? A savoir, autant que je pense, car peut-être se pourrait-il faire, si je cessais de penser, que je cesserais en même temps d’exister ». Ceci nous permet d’apporter un élément de réponse à la question posée : si je ne pense pas, c’est-à-dire si je n’ai pas conscience de moi-même, c’est que je n’existe pas. Exister, c’est penser et penser, c’est exister.

b. La pensée comme lieu d'exercice de notre raison.....

http://www.maxicours.com/soutien-scolaire/philosophie/terminale-l/232433.html

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Membre+, Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre, 41ans Posté(e)
Noisettes Membre+ 10 576 messages
41ans‚ Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre,
Posté(e)

Tu n'es pas dans l'obligation de faire un dissertation qui fait trois parties composées de trois sous-parties. Tu peux la faire en deux parties avec trois sous-parties ou trois parties avec deux sous parties.

Il faut que tous soigne ton introduction qui doit contenir un peu près les points suivant : définition des termes du sujet, petite explication rapide des termes ,analyse du sujet, annonce de la problématique et du plan. Soigne aussi ta conclusion car ton prof va examiner ces deux points lors de la correction, ce qui va la moitié de ta note.

Faut que tu définisses ce que qu'est la " penser " et que tu l'explique, idem pour " dispense " dans ton introduction, tu donnes une définition rapide et une explication rapide en introduction, mais aussi que tu développes ces deux concepts tout au long de ton devoir. Après avoir donner une explication rapide de ces termes, tu peux passer à l'analyse du sujet en lui même et de cette analyse, tu trouveras une problématique qui annoncera le plan que tu suivra pendant ton devoir. Surtout, ne perds pas de vu ta problématique à laquelle doit répondre ton devoir.

Voilà ce que je peux dire à ce niveau.

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 166 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)

On ne cesse de penser que dans la mort. Quand à la pensée, elle n'est pas soumise à notre volonté. On ne peut décider de nier ce qui nous semble vrai. On peut se dispenser de dire ce qu'on pense.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 667 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

Quand nous sommes "dans nos pensées", nous sommes centrés au moins partiellement sur notre propre intellectualisation, or nous ne sommes pas toujours "dans nos pensées". Lorsque nous écoutons ou lisons quelqu'un par exemple nous nous intéressons à sa pensée à lui, et pas à la notre, bien que nous puissions y penser par intermittence. Si nous pensions continuellement quand une personne s'adresse à nous, nous ne pourrions pas recevoir suffisamment sa pensée pour y réagir. Ou si nous imaginions continuellement toutes sortes de visualisations, nous ne serions pas suffisamment réceptifs aux visions des yeux, aux perceptions sensorielles directes. C'est pourquoi il est parfois nécessaire de s'abstenir de penser (sur des temps relativement courts et synchronisés) pour favoriser la réceptivité à l'environnement à mon avis.

La pensée peut dépendre de la volonté si nous décidons par exemple de réfléchir à quelque chose en particulier durant un certain temps ou au contraire de privilégier un autre centre d'intérêt, si du moins le contexte permet le choix, donc elle n'est effectivement pas totalement soumise à la volonté mais celle-ci peut quand-même l'influencer.

J'ajoute quelques citations à propos d'Hannah Arendt pouvant être utiles à ce sujet:

Si Hannah Arendt n’établit pas encore clairement, dans Eichmann à Jérusalem, la différence entre absence de pensée et incapacité de juger, elle posera par la suite la question de savoir en quoi « la capacité de distinguer le bien du mal [est] liée au pouvoir de penser » . Dans La vie de l’esprit, elle aborde le problème du lien entre ces deux facultés : alors que la pensée « actualise la différence comprise dans l’identité que connaît la conscience de soi, et par là élabore la conscience en sous-produit », le jugement, « sous-produit de l’effet libérateur de la pensée, réalise la pensée, la rend manifeste dans le monde des phénomènes où l’on n’est jamais seul et toujours trop occupé pour penser »

Ainsi, l’exercice de la faculté de jugement révèle la capacité de la pensée représentative à se déplacer vers d’autres points de vue que le sien, ce que Kant nomme la « mentalité élargie ». Cette disposition témoigne du fait que les jugements n’ont pas vocation à être gardés pour soi. En outre, leur mode de formation indique qu’ils sont dénués de validité cognitive ou scientifique, ce qui induit un type de rapport humain fondé sur la persuasion et non la contrainte. Alors que la vérité est nécessairement tyrannique, la discussion constitue le fondement de la vie politique. Dans le dialogue, chaque homme rend manifeste la vérité qui habite son opinion et fait ainsi comprendre à son interlocuteur comment le monde se présente à lui. Il permet ainsi aux autres de voir les choses de son « point de vue ». La réalité du monde apparaît « lorsque les choses sont vues par un grand nombre d’hommes sous une variété d’aspects sans changer d’identité », car les spectateurs savent alors « qu’ils voient l’identité dans la parfaite diversité » .

Dans la perspective arentienne, il est fondamental que la pluralité soit inscrite au cœur du jugement et la publicité ancrée dans la faculté de penser. En effet, non seulement la réalité du monde ne peut émerger que de la confrontation des points de vue, mais en outre, « faute de pouvoir, d’une manière ou d’une autre, communiquer et exposer à l’épreuve des autres, oralement ou par écrit, ce qu’on peut avoir découvert quand on était seul, cette faculté qui s’exerce dans la solitude disparaîtra »

Cette potentialité à penser et juger par soi-même, indispensable à l’expression de l’humanité de l’homme dans le monde, constitue également l’un des critères d’appréciation de la responsabilité juridique.

Si l’absence de pensée constitue, d’après Arendt, l’un des facteurs permettant d’expliquer la « banalité du mal », elle n’est assurément pas exempte de responsabilité. Eichmann disposait des facultés proprement humaines de penser et de juger qui permettent à tout un chacun de distinguer le bien du mal et de juger un cas particulier sans le ranger automatiquement sous une catégorie générale. Et c’est de lui-même qu’il a renoncé à les exercer. L’obéissance aux ordres, telle que la décrit Arendt, n’est pas « mécanique » et ne fait pas de l’individu concerné le « jouet » d’un système. En effet, insiste-t-elle, l’obéissance et le soutien ont en politique la même signification. Chacun est responsable personnellement de ses actes et c’est à ce titre qu’il comparaît devant un tribunal, non en tant que rouage d’un système.

Mais aussi dans la philosophie religieuse:

"Dans l'absence de pensée, la pensée, c'est celle de l'absolu."

"Prenez conscience de la nature propre du Spontané et d'elle-même la pensée s'immobilisera."

Il est important pour avoir un avis nuancé à ce sujet et donc développer la thèse et l'antithèse, de comprendre que "Peut-on se dispenser de penser?" est différent de "Peut-on se dispenser perpétuellement de penser?"ou "Peut-on se dispenser de toutes pensées?" et donc de concevoir ce qu'est l'absence de pensée.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
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Les pensées viennent du mental, c'est le "je" qui pense.

Tant que l'on a une identité on ne peut donc pas empecher les pensées d'émerger.

Mais les Bouddhistes et les Hindouistes, notamment, nous disent que l'on peut ne pas s'attacher a nos pensées, les laisser passer comme des nuages.

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