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Invité Quasi-Modo

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

Mon brave Chapati, tu fais une fixation sur Staline,

sur les communistes, sur Marx et tu m'as identifiée à Staline,

au mal ... Qu'y puis-je ?

Tu adjures les uns et les autres de me régler mon compte, (une fois de plus),

"si t'en as tant que ça dans le ventre" dis-tu, et l'on entend bien, que toi,

tu en as ... dans le ventre ... Les autres sont des mauviettes qui ne savent pas penser !

Et sauvagement, je relève que tu conclus en disant " je déconnecte" ...

Comment l'entendre ? Reconnais que c'est ambigu ... :smile2:

Ma petite Louise, c'est pas à Staline que je t'ai identifiée, c'est à l'oie qui n'avait jamais pensé la justice et qui se pretendait communiste.

J'ai simplement constaté que de Staline tu en avais les méthodes, que sur la calomnie comme d'ailleurs sur le reste, tu n'as juste rien à repondre, en dehors de venir exercer ton droit de faire du blahblah en venant sur d'autres fils tenter de régler tes comptes, en lieu et place d'argumenter ici sur ce fil ! (où tu ne fais que fuir)

Excuse-moi mais la carte du Parti, c'est pas un laisser-passer qui vaut preuve de quoi que ce soit. Et quand on en est à calomnier (ou envoyer au goulag, c'est le même principe, Staline ou pas) ceux qui ne sont pas d'accord avec nos idées, on est un fasciste !

Ça c'est très clair pour moi.

Le reste c'est du blahblah qui marche peut-être ici, mais pas avec Joe Bousquet, petite...

Qui aurait denoncé, qui n'aurait pas denoncé. Qui se serait bien comporté pendant la guerre, qui aurait été un salaud, franchement, si vous savez ce que vous auriez fait bravo à vous, mais c'est quand même objectivement facile de decider que l'on aurait été forcement du "bon côté".

Exact !

Voila, ça resume bien ce que je pense du sujet.

Hélas...

(c'etait pas ça le sujet)

Bah, ça marche pas à tous les coups... ;)

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

:)

Aragon fou d'Elsa (1963)

Vainement ton image arrive à ma rencontre

Et ne m’entre où je suis qui seulement la montre

Toi te tournant vers moi tu ne saurais trouver

Au mur de mon regard que ton ombre rêvée

Je suis ce malheureux comparable aux miroirs

Qui peuvent réfléchir mais ne peuvent pas voir

Comme eux mon œil est vide et comme eux habité

De l’absence de toi qui fait sa cécité

Louis Aragon, Contre-Chant, dans: Fou d'Elsa

:) Il en parle bien, Aragon, de nos problèmes ...

d'amour, d'être, de désêtre ...

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

... entre deux sanglots à la mort de papa Staline, il en parle oui.

Joe Bousquet parle aussi d'être et de desêtre, mais pour lui c'est goulag !

(avec faux témoignage en prime, le train-train stalinien)

.

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Membre, Posté(e)
tison2feu Membre 3 039 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)

( https://cahiersphilo...otheses.org/828 )

Pour ma part cette question n'a pas de sens, pas plus que de me demander pourquoi aimer ou ne pas aimer ! C'est inscrit en moi, naturellement.

Dans la perspective que tu rappelles, je crois déceler une vision utilitariste/causale de la philosophie, qui rejoint une interdépendance avec la " politique ", ce que je récuse vigoureusement.

D'une part, philosopher est un état d'esprit, qui ne s'invente/crée pas, on en dispose ou pas, à ne pas confondre avec une activité de philologue, ce qui me conduit également à ne pas voir de différence essentielle avec celui ( état d'esprit ) de la science. J'irai même plus loin, en disant que finalement toute activité humaine, qui n'est pas rigoureusement contrainte extérieurement, nait d'un même " désir ", celui d'être, en tant qu'être, satisfait, ou plus précisément celui de ne plus être insatisfait, sans avoir besoin de parler d'envie ou de manque nécessairement, mais bien plutôt comme quelque chose qui s'impose à nous, pour certains a priori plus que d'autres, qui fait partie intégrante de notre être, qui tente de s'exprimer, de se faire entendre, ou plus simplement de vivre pour ainsi dire, et donc, conduit effectivement à l'action, m'amenant à ma deuxième remarque et objection, notre action n'est pas forcément tournée vers le social, dans le sens de vouloir le transformer, mais plus volontiers d'agir sur soi, à défaut de pouvoir agir sur ce qui nous est extérieur et donc dépassant de loin nos capacités d'action, la parole du philosophe peut alors être tendue vers les individus eux-mêmes pour qu'ils s'orientent individuellement, non collectivement/socialement et qui n'en serait qu'une conséquence, souhaitée ou souhaitable.

Bonjour Déjà,

Avant de te répondre, je tiens à préciser que l'ouvrage Pourquoi philosopher ? de Lyotard regroupe quatre conférences introductives à la philosophie, la première conférence ayant pour titre "Pourquoi désirer ?" et comme source d'inspiration les travaux de Freud et de Lacan. C'est cette imprégnation de la psychanalyse qui m'a le plus frappé en lisant cette première conférence.

Lyotard nous invite à établir un parallèle entre philosopher et désirer, le désir étant ambivalent (tout à la fois force attractive et créative, présente en nous, et expression d'une absence, d'une insatisfaction). Lyotard cite Lacan : "Toute relation à la présence s'accomplit sur fond d'absence".

Quant à l'habitude du prof de philosophie d'inaugurer son cours par la question classique : qu'est-ce que la philosophie ?, Lyotard y voit une ressemblance avec un acte manqué freudien par le fait de "ne pas réussir à mettre la main sur un objet qu'on avait seulement rangé quelque part". Nous sommes invités à partir en quête de la philosophie à partir de zéro, ou mieux, à partir de quelque chose qui apparaît et qui disparaît, qui est à la fois présence et absence, dont l'objet insaisissable, voire oublié pour la plupart des gens, a tout le temps besoin d'être rétabli.

Comme toi, Déjà, Lyotard compare la philosophie à une histoire d'amour. Dans philo-sophie, il y a phylein, aimer, être amoureux, désirer. Mais il s'interroge sur le pourquoi de ce désir ambivalent et de sa structure présence / absence. D'abord en se posant la question : est-ce le désirable/l'aimable qui suscite le désir ou au contraire le désir qui crée le désirable ? Puis en rappelant le mythe de la naissance d'Eros évoqué dans le Banquet de Platon par Diotime ; la nature d'Eros est double, divine par son père (ingénieux) et humaine/mortelle par sa mère (démunie), et cette paire contrastée est identifiée aussi à la dualité mâle-femelle. Lyotard voit dans le désir la manifestation névrotique de la double ambiguïté scrutée dans Eros, celle de la vie et celle du sexe, sans pour autant tomber dans un pansexualisme réducteur qui éluderait les autres activités de la libido.

Après s'être référé au dialogue entre Alcibiade et Socrate, Lyotard en vient à conclure que "philosopher n'est pas désirer la sagesse, c'est désirer le désir..." En clair, il y a bien de l'amour dans la philosophie, cet amour est sa ressource. Mais la philosophie est autant dans l'amour que dans son indigence (la mère d'Eros s'appelle Pénia = Indigence).

Je comprends bien que la réflexion philosophique doive privilégier le souci de soi en prenant acte de ce qui ne dépend que de toi et non des autres. Mais enfin, cher Déjà, peux-tu t'extraire de ton époque au point de ne devenir, toi en tant que philosophe solitaire, que l'inventeur de tes propres problèmes dans lesquels personne ne se retrouverait dans ce que tu pourrais en dire ? (puisque la philosophie passe par le dire). Ma conviction est que nous sommes avant tout travaillés par notre époque et, comme le dit Lyotard, il n'y aurait pas eu de grandes philosophies repliées en "strates épaisses" (ici, je sens poindre l'influence deleuzienne) parce que chacune des modalités de la parole philosophique a été un moment où l'Occident cherchait à se dire et à se comprendre dans son discours. La parole sur soi est le noyau, une singularité précieuse, une différence que nul ne doit faire taire, mais elle ne peut se limiter à une parole solitaire et vouée à la folie. La conclusion de Lyotard prend des accents lacaniens : "ça veut à travers eux", "nous philosophons parce que ça désire". Ce faisant, Lyotard, me semble travaillé par son époque, elle-même secouée depuis plus d'un demi-siècle par la vague freudienne - et la vogue lacanienne - de la psychanalyse.

Cette brève analyse m'a conduit à la réflexion suivante : dans quelle mesure définir la philosophie comme étant un discours antidoxique et antisophistique n'est-il pas au final réduire la philosophie à n'être que l'expression d'une "pénurie" de la pensée ? La philosophie, en tant qu'histoire d'amour, ne peut donc pas seulement se définir négativement, c'est-à-dire uniquement par ce qu'elle n'est pas ou par ce qu'elle met à l'écart (Démonax, si tu me lit... poigne de mains). Par quoi, la philosophie bien comprise est aussi et avant tout une force créatrice (de concepts, comme le formuleront 20 ans plus tard Deleuze et Guattari dans leur Qu'est-ce que la philosophie ?), même si les pensées et les concepts ne viennent pas toujours quand nous le voulons.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 494 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Ce sont toujours de superbes écrits mêlant connaissances et prise de position personnelle, merci Tison.

Dans tes reflexions plusieurs pensées désordonnées me viennent que je livre brut de pomme.

La première serait que ce lien entre philosophie et psychanalyse ou entre le discours à propos du monde motivé et argumenté par le philosophe dans le monde est riche de sens.

Nous sommes dans le rapport du sujet observant à propos de l'objet observé dont lui-même est partie prenante.

Cette interaction voire imbrication, on la retrouve dans les mecanismes les plus intimes de la matière lorsque l'acte d'observer transforme la realité profonde de l'onde / particule élémentaire.

Certains allant jusqu'à se demander si la lune existerait sans un observateur pour la regarder

La theorie du tout peut s'envisager comme une theorie qui devrait intégrer ce rapport un peu comme si notre perception d'une realité fondamentalement différente et extérieure était impossible sans intégrer ce feed back d'un être conscient pour l'interroger et s'interroger

Physiciens et neurophysiologues s'opposent souvent dans cette conception et les seconds n'hésitent pas à définir la realité comme une reconstruction totale de notre esprit

Tu parles de machine à concept à propos de la philosophie et, sur ce point, je souligne le parallèle à Alain Connes qui definit les mathematiques et en particulier celles de la seconde moitié du vingtième siècle comme....créatrices de concepts....

On retrouve le lien antique philosophie mathématiques dans la modernité avec le même débat sur la nature ontologique mathématique vue comme une realité plus fondamentale tel Platon ou vu comme creation de notre esprit comme Lichnerowicz

Decouvrons nous le monde mathématique ? L'inventons nous ? Est il réél ou pas ?

Quand Galilée parle du langage de la nature, est il intrinsèquement lié à elle ? N'est ce qu'une intermediation de la nature à nous pour nous "parler"? Est ce un nieme langage humain qui force la nature à cracher du nombre ?

On retrouve le même rapport sujet / objet...,

Un truc qui me parle dans ton ecrit est l'ambivalence également

On sent deux forces se tirailler dans les motivations à philosopher entre la carotte et le bâton, entre le desir positif et la motivation négative qui ne peut réduire la philosophie à ce qu'elle n'est pas

J'ai le sentiment de retrouver dans une definition négative de la philosophie sur ce qu'elle n'est pas la même position que l'athéisme aux religions à savoir un déni du sens sans donner de sens

On peut se construire dans l'opposition mais peut on construire sans fondement ?

Bref, donner du sens, créer des concepts, se définir, s'aimer, aimer, proposer, construire, écouter, accepter...

La psychanalyse est peut-être un voyage en soi pour mieux entreprendre le voyage vers les autres

Synthetiser le sujet de l'objet, l'actif du passif, le yin et le yang car au final le désir, l'amour, la connaissance de soi et des autres est un chemin qui s'impose à chacun avec nos maladresses

Evader l'esprit pour lui permettre de trouver une nourriture à être parmi les autres et dans ce monde

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 978 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Pipo.

On n'a jamais ici discuté de communisme.

Il a été question de méthodes staliniennes de calomnie parfaitement PROUVÉES et qu'un minimum d'honnêteté et de courage aurait du, à toi et aux autres, te faire reconnaître.

Il a été question de la lâcheté qui vous a fait ne pas prendre position, ne pas dire un mot sur le principe de la calomnie. On calomnie dans ce forum tout le monde s'en fout ? Ça ne t'intéresse pas la calomnie, c'est pas grave, tu préfères regarder ailleurs et parler d'autre chose, d'un mot qui soit-disant serait au coeur d'une polémique ?

Foutaises mon ami !

Il est bien question de regarder ailleurs oui, dans un fil dédié a la psyK.

:smile2:

Même chose que pour Zenalpha. Tu dis que tu ferais, tu dis que tu dis que.

Mais la calomnie, ça ne te dérange pas tant que ça ne s'adresse qu'aux autres. C'est une façon de voir les choses qui me fait dire que je n'ai aucune idée de ce que tu aurais fait pendant la deuxième guerre mondiale.

Je ne sais pas.

.

Tu lis ce que les autres écrivent ou non ?

J'ai pas dit que je ferais, j'ai dit que j'ai fait.

Et j'ai pas vu de calomnies juste des opinions.

Freud te rend furieux, Marx aussi, Deleuze, c'est bien.

Bon, ben on sait ce que tu penses.

Et puis, je m'en fous !...

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

Tu lis ce que les autres écrivent ou non ?

J'ai pas dit que je ferais, j'ai dit que j'ai fait.

Et j'ai pas vu de calomnies juste des opinions.

Freud te rend furieux, Marx aussi, Deleuze, c'est bien.

Bon, ben on sait ce que tu penses.

Et puis, je m'en fous !...

En clair tu comprends rien. C'est toi qui sais pas lire.

- Deleuze est d'accord avec Marx sur sa critique du capitalisme, Deleuze est sur ce point marxiste. Par contre Staline etc c'est pas son truc, d'où la haine des communistes envers lui (les diffamations pour les pires staliniens etc)

- Freud dit un max de conneries, c'est un vieux bourgeois englué dans le XIX° mais depuis le début, je n'ai cesse de dire que la thérapie par le divan etait plus intéressante que les machins comportementaux à la mode qui ne traitent que les symptômes... sauf qu'elle interprète tout "délire" en le réduisant à papa-maman, ce qui est grotesque.

- T'as pas vu de calomnie parce que tu vois rien : j'ai cité quinze fois la phrase calomnieuse... libre à toi de croire Louise et Garo quand elle dit que Deleuze méprise les ouvriers. Y'a 5000 pages écrit petit qui disent le contraire. Moi je dis que ça pue sévèrement d'en arriver là pour imposer ce que j'ai appelé du fascisme : les méthodes fascistes, c'est du fascisme ! Excuse-moi d'être cohérent.

Ça te gêne d'être tombé dans le piège grossier que j'ai tendu pour faire comprendre ce que c'est, la calomnie... ben tu devrais plutôt en déduire que certaines méthodes sont inadmissibles. Mais libre a toi de ne pas voir plus loin que le bout de ton nez, ou comme a Zenalpha de pondre soudain des textes sérieux, après avoir raillé en digressions constantes de deux lignes la nature du problème Louise pour passer a autre chose.

Autre chose, c'est ce dont parle Tison - merci à lui. On peut poursuivre dessus.

Sauf que j'ai bien compris les forces en présence : un max de pro-psyK (pas tous) qui ici préfèrent intégrer des personages fascistes tant qu'ils ont la même opinion qu'eux sur Freud que se montrer solidaire de quelqu'un qui dit autre chose qu'eux sur Freud et qui dit une vérité sur certaines méthodes... ce qui me fait parler de "lâcheté" d'une part, et conforte ma position que les gens s'identifient a leur pensée (sans penser la croyance etc) jusqu'a dire et faire n'importe quoi sous l'emprise de celle-ci, sans le moindre recul cis-a-vis de celle-ci : esclaves schizoïdes de quelques mots qui leur servent d'identité première.

Excuse-moi encore et de penser et d'être cohérent, donc.

En attendant je ne lâcherais rien sur Louise qui est une personne infiniment dangereuse de par ses certitudes qu'elle psalmodie jusqu'à le faire avec des méthodes fascistes.

Tu a eu une idée des dégâts que ca pouvait faire avec mon piège a la con, réfléchis-y plutôt et imagine - si tel ou tel régime la dotait d'un pouvoir de decision, d'action - les dégâts que ca pourrait faire en vrai !

Si t'imagines pas tu te réfères aux procès staliniens et t'arrives au même endroit, point barre !

A bon entendeur, ça c'est de la bonne psyK !

.

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 978 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Le désir est un mystère.

Et dès lors qu'on parle d'amour, les dés sont pipés.

On est allé trop vite.

L'idée même d'amour est bien trop chargée symboliquement, subjectivement, émotionnellement.

Prenons le désir sexuel.

On envisage facilement sa fonction pour l'espèce : faire en sorte qu'on ne puisse pas ne pas se reproduire.

Mais en lui même, ce désir sexuel, n'a rien à voir, n'est pas vécu comme un désir de se reproduire. Pas comme un désir d'enfant.

Et on sait bien pourtant que c'est là sa fonction.

Donc, déjà, ce désir est incompréhensible. Je veux dire pas logique ou rationnel sous sa forme.

Et l'amour constitue, se situe en plus sur une nouvelle strate supérieure.

Deux fois plus incompréhensible, alors !

C'est donc sur la nature même du désir qu'il faudrait se pencher.

Tenter de retrouver la toute première strate.

"Tout' premièr' fois, la tout' premièr' fois..."

Et là c'est décevant.

Le désir, n'est qu'un mécanisme.

Freud l'a dit et là je dis : chapeau !

La genèse du désir, c'est tendre vers l'excitation zéro.

Plus que décevant : c'est bien triste ! Penser que tout l'enthousiasme fantasmé du désir, c'est son contraire.

Son abolition.

Mais dans un sens comme dans l'autre.

Soit combler un manque, soit évacuer un trop plein...

L'arrivée c'est... le bouddhisme !

Être malheureux comme les pierres ?

Là il faudrait revenir à la logique. A la science !

Au principe quantique ?

A savoir que l'égalité, la parfaite adéquation entre la pression extérieur et la pression intérieure (la non excitation)

risque de n'être qu'un voeu pieux.

(Un quanta de plus et le pas assez devient un trop)

Dès lors, l'objet du désir est systématiquement hors d'atteinte.

(C'est pas un a priori : seulement expérimental. Il se trouve quand quand on a obtenu satisfaction, on n'est toujours pas satisfait.)

Le désir n'est donc pas tant la nécessité d'équilibrer (il l'est aussi)

que le fait que l'équilibre ne puisse pas être atteint.

Le désir est instable par essence.

Il est cette instabilité.

L'incertitude mathématique. L'impossible exactitude....

Je ne sais plus ce que je voulais dire...

(C'est mon côté spiritualiste !)

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

Je sais pas. Parler d'autre chose peut-être ?

Mais peut-être pas aussi, je n'ai pas la science infuse de l'interprétation.

Moi.

Je lirai ça...

.

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 978 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Chapati : il faudrait que je relise tout point par point pour essayer de comprendre ce qui t'a fait dérailler dans ce que dit Louise,

mais j'ai pas le courage. Si quelqu'un a le temps et surtout l'énergie pour ça, merci !

A priori quand on dit du communiste qu'il est fasciste, je trouve ça louche, mais bon, tu as peut-être raison ?

(Par pour Louise : de mélanger les deux.)

Non ! Pas le communisme ; Staline !

ça, on sait qu'il était malade. (Psychologiquement)

Ce qui n'a pas empêché des millions de gens de lui faire confiance.

A l'époque. Aujourd'hui qui le défendrait ?

Il n'empêche que sans ce misérable de Staline (misérable : je suis sérieux) et de la méchante URSS bien sûr, les seuls gentils capitalistes

ne seraient probablement pas venus à bout des méchants nazi-fascistes.

Il faut replacer les choses dans leur époque.

(C'est bien ce qui est dit plus haut)

Je me reproche tous les jours d'avoir voté Hollande.

mais à l'époque, on n'avait le choix qu'entre lui et Sarko.

Autrement dit pas le choix.

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

il faudrait que je relise tout point par point pour essayer de comprendre ce qui t'a fait dérailler dans ce que dit Louise,

Elle et Garo calomnient un homme, point.

C'est pas compliqué et expliqué de long en large au dessus.

Moi ça ne me va pas !

(et je "déraille" pas)

Point.

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 978 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

:)

Aragon fou d'Elsa (1963)

Vainement ton image arrive à ma rencontre

Et ne m’entre où je suis qui seulement la montre

Toi te tournant vers moi tu ne saurais trouver

Au mur de mon regard que ton ombre rêvée

Je suis ce malheureux comparable aux miroirs

Qui peuvent réfléchir mais ne peuvent pas voir

Comme eux mon œil est vide et comme eux habité

De l’absence de toi qui fait sa cécité

Louis Aragon, Contre-Chant, dans: Fou d'Elsa

:) Il en parle bien, Aragon, de nos problèmes ...

d'amour, d'être, de désêtre ...

Ce qui est remarquable, c'est que le poète ne reste pas à la surface de l'amour,

il remonte direct à son précambrien.

(ou son pré-cambré !)

L'absence et la présence, le trop et le pas assez qui constituent le désir.

Il nous parle de " l'amour" de la première cellule.

D'ac : il a peut-être cru en Staline...

Et c'était pas bien.

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

No comment

...

L'heure d'arrêter de distribuer de la confiture aux cochons se rapproche mes frères, vous allez pouvoir a nouveau blablater en paix, dans la douce quiétude du salon freudien.

Amen

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 978 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Ecoute : si il est dit que Deleuze dénonce une tendance fascisante du prolétariat c'est peut-être pas une calomnie ?!

On voit bien que beaucoup d'électeurs communistes se tourne maintenant vers le FN !

Il disait peut-être la vérité !!!

(Mais qu'est-ce que j'ai pas dit là !)

Nota bene : je parles des électeurs, pas des VRAIS communistes !

(Ouff !)

Et ne me suspectez pas d'être réactionnaire : sur mes étiquettes de pinard,

à la place de "propriétaire récoltant" j'écris :

"Blaquière prolétaire récoltant " !!!

Commercialement, c'est zéro, le pinard se vent et se vante partout de venir d'un château !

Château ceci, château cela ! La moindre remise qui fait son vin s'est rebaptisée "château" !

Je suis allergique !

Mais j'ai une excuse : mon vin n'est pas très bon !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Membre, 157ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 157ans‚
Posté(e)

Un topic Freud tout entier dévoué à la "distraction" des vrais problèmes, esthétiquement parlant, il y aurait beaucoup a redire...

Tiens je remets ça, ça donnera une chance a ce fil de sortir de cette gadoue...

Bonne continuation.

Bonjour Déjà,

Avant de te répondre, je tiens à préciser que l'ouvrage Pourquoi philosopher ? de Lyotard regroupe quatre conférences introductives à la philosophie, la première conférence ayant pour titre "Pourquoi désirer ?" et comme source d'inspiration les travaux de Freud et de Lacan. C'est cette imprégnation de la psychanalyse qui m'a le plus frappé en lisant cette première conférence.

Lyotard nous invite à établir un parallèle entre philosopher et désirer, le désir étant ambivalent (tout à la fois force attractive et créative, présente en nous, et expression d'une absence, d'une insatisfaction). Lyotard cite Lacan : "Toute relation à la présence s'accomplit sur fond d'absence".

Quant à l'habitude du prof de philosophie d'inaugurer son cours par la question classique : qu'est-ce que la philosophie ?, Lyotard y voit une ressemblance avec un acte manqué freudien par le fait de "ne pas réussir à mettre la main sur un objet qu'on avait seulement rangé quelque part". Nous sommes invités à partir en quête de la philosophie à partir de zéro, ou mieux, à partir de quelque chose qui apparaît et qui disparaît, qui est à la fois présence et absence, dont l'objet insaisissable, voire oublié pour la plupart des gens, a tout le temps besoin d'être rétabli.

Comme toi, Déjà, Lyotard compare la philosophie à une histoire d'amour. Dans philo-sophie, il y a phylein, aimer, être amoureux, désirer. Mais il s'interroge sur le pourquoi de ce désir ambivalent et de sa structure présence / absence. D'abord en se posant la question : est-ce le désirable/l'aimable qui suscite le désir ou au contraire le désir qui crée le désirable ? Puis en rappelant le mythe de la naissance d'Eros évoqué dans le Banquet de Platon par Diotime ; la nature d'Eros est double, divine par son père (ingénieux) et humaine/mortelle par sa mère (démunie), et cette paire contrastée est identifiée aussi à la dualité mâle-femelle. Lyotard voit dans le désir la manifestation névrotique de la double ambiguïté scrutée dans Eros, celle de la vie et celle du sexe, sans pour autant tomber dans un pansexualisme réducteur qui éluderait les autres activités de la libido.

Après s'être référé au dialogue entre Alcibiade et Socrate, Lyotard en vient à conclure que "philosopher n'est pas désirer la sagesse, c'est désirer le désir..." En clair, il y a bien de l'amour dans la philosophie, cet amour est sa ressource. Mais la philosophie est autant dans l'amour que dans son indigence (la mère d'Eros s'appelle Pénia = Indigence).

Je comprends bien que la réflexion philosophique doive privilégier le souci de soi en prenant acte de ce qui ne dépend que de toi et non des autres. Mais enfin, cher Déjà, peux-tu t'extraire de ton époque au point de ne devenir, toi en tant que philosophe solitaire, que l'inventeur de tes propres problèmes dans lesquels personne ne se retrouverait dans ce que tu pourrais en dire ? (puisque la philosophie passe par le dire). Ma conviction est que nous sommes avant tout travaillés par notre époque et, comme le dit Lyotard, il n'y aurait pas eu de grandes philosophies repliées en "strates épaisses" (ici, je sens poindre l'influence deleuzienne) parce que chacune des modalités de la parole philosophique a été un moment où l'Occident cherchait à se dire et à se comprendre dans son discours. La parole sur soi est le noyau, une singularité précieuse, une différence que nul ne doit faire taire, mais elle ne peut se limiter à une parole solitaire et vouée à la folie. La conclusion de Lyotard prend des accents lacaniens : "ça veut à travers eux", "nous philosophons parce que ça désire". Ce faisant, Lyotard, me semble travaillé par son époque, elle-même secouée depuis plus d'un demi-siècle par la vague freudienne - et la vogue lacanienne - de la psychanalyse.

Cette brève analyse m'a conduit à la réflexion suivante : dans quelle mesure définir la philosophie comme étant un discours antidoxique et antisophistique n'est-il pas au final réduire la philosophie à n'être que l'expression d'une "pénurie" de la pensée ? La philosophie, en tant qu'histoire d'amour, ne peut donc pas seulement se définir négativement, c'est-à-dire uniquement par ce qu'elle n'est pas ou par ce qu'elle met à l'écart (Démonax, si tu me lit... poigne de mains). Par quoi, la philosophie bien comprise est aussi et avant tout une force créatrice (de concepts, comme le formuleront 20 ans plus tard Deleuze et Guattari dans leur Qu'est-ce que la philosophie ?), même si les pensées et les concepts ne viennent pas toujours quand nous le voulons.

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En France, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789 pose la liberté d'expression[...] Mais au nom de qui et de quoi peut-on, de manière aussi péremptoire, trancher ainsi les choses [...]
Il n'y a pas que "ça" dans la Constitution Française.

Il y a aussi: "Quand on n'a rien à dire, on ferme sa gueule"... Ha non, désolé, ça c'est de Coluche :blush:

Mais il y a ça: "Il faut savoir être raisonnable"... Ha non, désolé, ça c'est la bienséance :blush:

Au final, que peut-on dire d'intéressant ?

Je demande de l'aide à Captain Obvious !

965367CaptObvious.jpg

  • Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse : articles 32 et 33
    Peine encourue en cas d'injure publique
  • Code pénal : articles R621-1 à R621-2
    Peine encourue en cas d'injure non publique

L’injure vise toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait (Article 29 de la loi du 29 juillet 1881).

:hehe:

Ce qui serait drôle, se serait de prétendre que l'obscurantisme, ou le sophisme de certains, est une forme d'injure envers l'intelligence ou l'avenir des individus qui le subissent :wink:

Mais je n'irais pas jusqu'à là, je me satisferais seulement de dénoncer les hors-sujet, les arguments fallacieux et les procès d'intentions de certains :happy:

Après tout, ce n'est pas parce que nous avons le droit d'être cons, qu'il faut en user pleinement :bo:

#JeDisCa-JeDisRien

578704Quiquiqui.png[...]qui [...]qui [...]qui [...]qui [...]qui pourrit l'ambiance ?
Ceux qui polluent ce topic philosophique sur la psychanalyse, sont ceux qui font à répétition, des hors-sujets, du sophisme, des arguments fallacieux, des procès d'intention, des témoignages comme preuve et de la propagande pour l'illusion/escroquerie qu'est la psychanalyse d'obédience freudienne :cool:

Questions-pour-un-champion-Julien-Lepers-France-3.jpg

*-------------------*

*-------------------*

Quelque part je me demande si l'anti-psychanalyse n'est pas tout simplement une réaction pour certains à l'anti-philosophie de la psychanalyse.
Et quelque part je me demande si ces justifications bidon pour éviter d'entendre raison* (conformément aux biais cognitifs, que je reproche à certains, et que j'ai déjà expliquer sur ce topic), ne sont pas des arguments fallacieux de l'homme de paille (conformément aux nombreuses autres dénonciation de sophisme, précédemment faite sur ce topic). 6949091350056331.gif

*:Entendre raison = Reconnaitre la critique de la psychanalyse (d'obédience freudienne, majoritairement pratiquer en France).

*-------------------*

*-------------------*

Peut être que la psychanalyse est l'art de donner des réponses aux questions qu'on ne se pose pas et de poser des questions sur les réponses qu'on a
En France ?

Non, la psychanalyse (d'obédience freudienne), c'est une illusion, et au pire une escroquerie.

La science, la raison, l'empirisme (etc, comme déjà expliquer ICI), prouvent que c'est bidon.

Mais contre le lobbying de la psychanalyse d'obédience freudienne, en France: difficile de tourner la page.

On change pas une équipe qui gagne du frique.

argent-8.gif

*-------------------*

*-------------------*

[...]la philosophie comme étant un discours antidoxique et antisophistique [...] ?
Pour faire simple:

On sait que le sophisme n'est pas raisonnable (définition ICI).

Or, la philosophie c'est (définition ICI, explication LA, et étymologie ICI) "cultivé la raison"

Donc, le sophisme ne concerne pas la philosophie.

Ce Qu'il Fallait Démontrer !

*-------------------*

*-------------------*

Un topic Freud tout entier dévoué à la "distraction" des vrais problèmes, esthétiquement parlant, il y aurait beaucoup a redire...
:plus: Mais......

Tu parles de ce topic ?

Dois-je rappeler que Freud n'est pas la psychanalyse ou la psychanalyse n'est pas Freud ?

C'est pour ça que je m'évertue de souligner l'absurdité, l'illusion, et au pire l'escroquerie, de la psychanalyse d'obédience freudienne, qui est majoritairement employer en France.

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
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Chapati : il faudrait que je relise tout point par point pour essayer de comprendre ce qui t'a fait dérailler dans ce que dit Louise,

mais j'ai pas le courage. Si quelqu'un a le temps et surtout l'énergie pour ça, merci !

A priori quand on dit du communiste qu'il est fasciste, je trouve ça louche, mais bon, tu as peut-être raison ?

(Par pour Louise : de mélanger les deux.)

Non ! Pas le communisme ; Staline !

ça, on sait qu'il était malade. (Psychologiquement)

Ce qui n'a pas empêché des millions de gens de lui faire confiance.

A l'époque. Aujourd'hui qui le défendrait ?

Il n'empêche que sans ce misérable de Staline (misérable : je suis sérieux) et de la méchante URSS bien sûr, les seuls gentils capitalistes

ne seraient probablement pas venus à bout des méchants nazi-fascistes.

Il faut replacer les choses dans leur époque.

(C'est bien ce qui est dit plus haut)

Je me reproche tous les jours d'avoir voté Hollande.

mais à l'époque, on n'avait le choix qu'entre lui et Sarko.

Autrement dit pas le choix.

L'espace Deleuze serait plus approprié pour débattre de philosophie,

chacun pouvant y apporter sa pierre pour en faire un espace de débat démocratique !

Mais bon ... Poursuivons sur le topic " La Psychanalyse" ...

Il y a ce livre d'Yvon Quiniou qui vient de paraître aussi:

Misère de la philosophie contemporaine, au regard du matérialisme

- Heidegger, Husserl, Foucault, Deleuze dont voici la présentation:

"Dans ce nouveau livre, Yvon Quiniou s'attelle à une tâche inédite et audacieuse. D'abord faire le point sur ce

qu'a été la philosophie dans son histoire et sur ce qu'elle peut devenir depuis que les sciences

l'ont détrônée de son statut d'instance de connaissance suprême, apportant la vérité dans tous les domaines

de la réalité concevables.

Elle ne peut échapper au diagnostic de Marx annonçant sa mort et rebondir, malgré diverses tentatives liées à

l'idée d'interprétation, qu'en élaborant réflexivement une conception du monde et de l'homme fondée sur la science, matérialiste donc, et débouchant sur un projet d'émancipation humaine indissolublement moral et politique.

Sur la base de ce réquisit intransigeant, il peut ensuite se permettre de démythifier de grands noms de la

philosophie contemporaine — Heidegger, Husserl, Foucault et Deleuze — dont il montre avec rigueur et vivacité

que leur renommée théorique est usurpée, parce qu'ils ne nous apportent, du fait de leur irrationalisme foncier,

ni le vrai ni le bien dont la poursuite, sous une forme nouvelle, certes, définit toujours l'exigence philosophique authentique.

Cette réflexion devrait susciter de nombreux débats."

Médiapart en fait aussi une présentation :

https://blogs.mediapart.fr/yvon-quiniou/blog/250616/misere-de-la-philosophie-contemporaine-au-regard-du-materialisme

Vais-je susciter une nouvelle salve d'insultes en citant les travaux de nos contemporains ? :)

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

En France ?

Non, la psychanalyse (d'obédience freudienne), c'est une illusion, et au pire une escroquerie.

La science, la raison, l'empirisme (etc, comme déjà expliquer ICI), prouvent que c'est bidon.

Mais contre le lobbying de la psychanalyse d'obédience freudienne, en France: difficile de tourner la page.

On change pas une équipe qui gagne du frique.

Pour faire simple:

On sait que le sophisme n'est pas raisonnable (définition

Or, la philosophie c'est

Donc, le sophisme ne concerne pas la philosophie.

:plus: Mais......

Tu parles de ce topic ?

Dois-je rappeler que Freud n'est pas la psychanalyse ou la psychanalyse n'est pas Freud ?

C'est pour ça que je m'évertue de souligner l'absurdité, l'illusion, et au pire l'escroquerie,

de la psychanalyse d'obédience freudienne, qui est majoritairement employer en France.

Merci pour tes informations ! Tu communiques bien

Tu es dans l'air du temps ! Bravo !

Définition ;Le scientisme est d'abord la croyance que la méthode scientifique est la seule valable, car elle est a même d'engendrer une connaissance vraie,

précise et universelle et que la science permet d'appréhender tous les

phénomènes, des plus simples aux plus complexes, du fait de son objectivité.

Les statistiques et la politique du chiffre (rentabilité) ont été développées

par les Etats pour gérer les ressources. (ressources humaines, y compris !)

Un des effets spectaculaires de leur utilisation massive est l' abolition des singularités.

La généralisation de la politique du chiffre au détriment des lettres (du quantitatif

au détriment du qualitatif) aboutit à une véritable acculturation oubliant qu' un

sujet a et est d'abord et avant tout une histoire singulière.

On a aligné le sentiment d'anxiété sur celui de la fièvre et on a fabriqué le psychomètre sur le modèle du thermomètre. C'est moderne !

.

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Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Tarte aux pommes à l'Alsacienne:

Posez sur un fond de moule à tarte une pâte brisée que vous trouez avec une fourchette.

Pelez et coupez les pommes en fines tranches que vous disposer sur le fond de tarte.

Dans un saladier, mélangez le sucre, la crème fraîche, les oeufs, le sucre vanillé; versez le tout sur les pommes.

Enfournez au four préchauffé à 200°C (th 6-7), jusqu'à ce que la tarte prenne une belle couleur dorée.

Merci pour tes informations !

Que disait Coluche déjà ?....... :hum:

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