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Invité Quasi-Modo

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

@ Louise et en réponse,

J'en ai marre de filer de la confiture a des cochons, oui !

Des cochons insultants qui plus est...

(et je suis pas le seul, si je lis encore le français)

Clair là ?

Quant a mon texte, il parle de dignité.

Tu trouveras la définition du mot sur wiki.

...

PS : "... les terroristes de la théorie, ceux qui voudraient préserver l'ordre pur de la politique et du discours politique. Les bureaucrates de la révolution et les fonctionnaires de la Vérité "

"Comment faire pour ne pas devenir fasciste même quand (surtout quand) on croit être un militant révolutionnaire ? "

Michel Foucault

(qui n'est pas non plus un apôtre de l'entreprise :noel: pareil : voir wiki)

.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est quand même un monde, ça.

Vos idoles sont des dieux et on ne peut rien émettre qui les remette en doute.

Moi, Deleuze, ne m'emballe pas. Je le dis en forçant un peu le trait mais c'est pour rigoler...

Qu'ai-je fait là je ne peux donc être qu'un crétin notoire.

Je le répète Deleuze ne m'emballe pas. J'ai pas le droit ?

Platon j'exècre, si ça peut te rassurer. Aristote il a bien bossé, et bien réfléchi mais il ne m'emballe pas non plus. Il mélange un peu le réel et le symbolique. Mais c'était l'époque... Certains ne s'y sont pas trompés tout de même à la même époque. Descartes, moyen. Sa "méthode" est remarquable mais le plus souvent, il ne l'applique pas lui-même ! le point faible (à mon avis) c'est l'évidence. Spinoza, bien. Marx, Freud, bien mais c'est pas mes dieux.. Alain... pas mal dans son genre.

Deleuze se pensait de gauche. Mais il se trouve que tous mes copains philosophes qui l'adore ont une putain de mentalité de droite !... Alors, je me pose des questions...

Ce serait peut-être la gauche Hollande ou... Macron ? Non ! je recommence à dire des conneries !

L'idée de l'Oedipe chez lui n'est pas passé. Comme chez la plupart des philosophes..

Je ne partage évidemment pas toutes les idées de Freud, mais je pense qu'il a mis là le doigt sur une évidence que la plupart ne peut pas digérer.

Au point que ça ressemble quand même à un refoulement.

Quand Deleuze dit que l"influence de la société ou de l'histoire joue un plus grand rôle dans le développement psychique de l'individu que celle de ses parents, je trouve ça un peu forcé et pas très réaliste.

Influence psychologique générale des parents ?

Chacun d'entre nous a (à mon avis) formé, formaté, structuré, composé sa personnalité par rapport aux adultes qui l'entouraient dans sa petite enfance.

Leur influence me semble largement prédominante sur tout le reste du monde extérieur.

Bien sûr que ces adultes (la mère et le père par exemple) sont influencés par leur contextes sociaux et historique.

Mais ce n'est qu'à travers eux que ces contextes vont (dans les premières années) atteindre l'enfant.

Il agissent alors comme filtre. Et c'est leur propre psychologie qui va déformer cet apport extérieur.

D'où ces névroses qui se refilent de générations en génération.

Peut-être que ceux qui nient OBSTINEMENT l'importance de l'Oedipe sont ceux qui ne veulent rien devoir à leurs parents ?

C'est juste une idée comme ça. A chacun de faire sa propre réflexion.

Physiologiquement, nier l'importance (génétique) de l'apport parental, personne ne s'y amuserait plus.

Sexuellement, chacun a son propre exemple sous les yeux, s'il ose se regarder en face.

Mais aussi --et cela amuse bien tout le monde-- bien des petites filles disent que quand elle seront grandes

elles se marieront avec papa et les petits garçons avec maman...

Bien entendu il faut faire la part de "l'innocence enfantine"(!). Mais tout de même, c'est pas rien.

Et je ne pense pas que ces enfants soient influencés par la théorie de l'Oedipe freudienne.

Alors, c'est quoi qui vous horrifie tant dans l'Oedipe ?

Moi, ma mère ne m'intéressait pas du tout sexuellement et tiens, ma soeur non plus !

Pour moi, elles étaient (et est encore pour la seconde), comme... des hommes !

Ma soeur était pourtant est et est encore considérée par tout mes copains comme une très jolie fille. Ou femme.

Pour moi ? Rien ! C'est comme un copain !

Ben, vous voulez que je vous dise ? Objectivement, c'est pas normal !

J'ai donc un problème flagrant d'objectivité !

Je dois sûrement "bénéficier" (envers elle) d'un méga refoulement !...

Je fais avec !

Heureusement que l'inconscient est inconscient !

Vous imaginez la pagaille générale sans ça ?!

L'Oedipe ? Généralisé ? Pourquoi pas ! ça ne me gène pas trop.

Mais je suis tout prêt à penser que la lecture précise qu'en faisait Freud était largement dépendante de la société dans laquelle il vivait (celle du XIX ème, et j'ai jadis pu interprété le poème de Frédéric Mistral, "Mireille", qui quelques 50 ans avant Freud avait eu très précisément l'intuition de l'ensemble de la psychanalyse freudienne, Oedipe, sur-moi et ça compris ) et aussi un peu de notre époque.

Dépendante de la structure familiale à une époque ou dans une civilisation données. Bien sûr.

Merci Blaquière !

Merci pour le cours de philo, et merci de le replacer dans l'histoire,

de bien contextualiser les pensées dans leurs époques et de les hisser jusqu'à

nous, hommes du XXI° siècle ! Et merci pour votre écriture souriante et imagée,

gentille, pédagogue !

J'aime bien l'histoire, elle m'est nécessaire pour comprendre ...

Michel Lapeyre explique comme ça lui aussi ! Pas à pas !

Il était très gentil, Michel Lapeyre, d'une humilité rare !

"Le sujet est divisé entre le savoir et la vérité. Je pense, « donc je suis » :

« là où je pense, je ne sais pas ce que je sais », et « ce n’est pas où je discours,

là où j’articule, que se produit cette annonce qui celle de mon être d’être,

du « je suis » d’être, c’est dans les achoppements, dans les intervalles de ce discours

où je trouve mon statut de sujet.

Là m’est annoncée la vérité : où je ne prends pas garde à ce qui vient dans ma parole. »"

Et au risque d'en déranger certains, qu'ils me pardonnent, je glisse ce lien...

qui, à mon avis, est intéressant sur ce sujet.

Je mets donc le lien, ceux qui veulent l'ouvrir, l'ouvrent, c'est tout !

« Chaque individu est un prolétaire » animé par M. Lapeyre, psychanalyste.

M.L y parle justement de psychanalyse aujourd'hui, du lien social, et de la rupture

du lien social qui amène le fascisme ...

http://www.ajet.fr/index.php/archives-hs/51-hs07

:hi:

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)
name='Anna Kronisme' timestamp='1471214680' post='10352611']

Je viens enfin de retrouver un petit quelque chose dans mes archives, pour étayer quant à l'adversité salutaire, donnant à progresser et faire un clin d'oeil à Ping qui a déjà évoqué cet homme profondément intéressant et passionnant, en amont dans ce sujet :

Alejandro JODOROWSKY

Extrait de “Une séance, deux patients” (On aura tout vu) par Christine Masson et Laurent Delmas - France inter - Emission du 7 septembre 2013 à 10h.

[...]

Mais je ne me plains pas parce que pour moi, c’est le cadeau que j’ai reçu, c’est cette souffrance, ces limitations… c’est ça qui m’a fait, à moi.

Il y a un homme de la campagne qui appelle Dieu. Dieu arrive :

- Dieu, c’est terrible ! Je mets mes graines et il y a les corbeaux, il y a la pluie, il y a le vent, il y a la chaleur ! C’est terrible ! Pourquoi vous me faites ça ?!

- Bien, cette année, tu n’auras aucun problème.

- Formidable.

Il met les graines et ça ne pousse pas car il n’y a pas la force. Elles pourrissent car il n’y a pas les obstacles.

Alors moi je remercie chacun des obstacles que j’ai eu et mon film (La danza de la realidad), c’est le chant à mes douleurs et mes obstacles. Je ne viens pas ici me plaindre, non.

[...]

C'est quelqu'un de vraiment succulent à ecouter. Petit extrait, qui s'il n'a pas de rapport direct avec la psychanalyse, à mon sens illustre par l'exemple, et par la position que choisit le type qui se prète à l'experience pour placer et se placer par rapport à ses parents, qu'y-a pt'et ben kek chose de vrai dans cette histoire d'Oedipe, :)

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est plutôt un fleuve. Quelle que soit la quantité d'eau que tu en retires tu observeras de l'eau mais pas le fleuve.

Merci PING, c'est gentil ;)

B. BRECHT disait comme ça :

" On dit d’un fleuve emportant tout qu’il est violent, mais on ne dit jamais rien

de la violence des rives qui l’enserrent. »

:hi:

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

'y-a pt'et ben kek chose de vrai dans cette histoire d'Oedipe, :)

C'est sans fin : personne n'a dit le contraire mais comme c'est la seule chose que vous ayez à dire...

Sinon Jodorowski est un type intéressant oui.

.

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 217 messages
Forumeur survitaminé‚
Posté(e)

Oiseau_Cage-Jodorowsy.png

C’est oublier qu’un oiseau même né en cage possède des instincts, pulsions, etc.

Il finira par prendre conscience en s’étirant et en développant ainsi ses ailes, qu’en animant celles-ci de haut en bas, il peut s’élever au-dessus du sol de sa cage.

Il saura alors qu’il est fait pour voler haut dans les airs, et attendra impatiemment que l’on veuille bien ouvrir la porte de sa cage pour pouvoir enfin prendre son envol vers la liberté tant espérée.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Et pourquoi ça t'étonne ? Je suis (presque) sûre que Blaquière connait aussi Joe Bousquet ...

Eh bien à ma grande honte, non, je ne connaissais pas ! Ou peut-être de nom ?

Alors j'ai cherché sur internet

et j'ai trouvé ça.

Pardonnez mon langage poétique, mais j'en suis resté sur le cul !

41DRSSFMBHL._SX95_.jpgcoco464921 octobre 2015 La Connaissance du soir de Joë Bousquet

CHILD-WIFE

Aux yeux de faïence

Des jolis joujoux

Naît l’amour d’enfance

Qui finit sans nous

Dans les yeux de brume

Des fantômes noirs

Tout ce que nous fûmes

Est mort sans nous voir

Mais l’azur qui sombre

Sous le poids d’un lys

Abandonne aux ombres

D’effacer l’oubli

Et ses pleurs fiancent

Le ciel qu’il n’est plus

Aux yeux en enfance

Des jours jamais vus

Que ma peine est lente

A suivre sans moi

Les joujoux qui chantent

Mon cœur d’autrefois

L’heure de rosée

Qui fut tout l’amour

De leur voix brisée

Dans mes chants d’un jour

Quand les froids emmènent

Les enfants qu’ils sont

Ils ont de la peine

A porter leurs noms

Si lourds de leur âme

Qu’elle accroît des cieux

Le flot noir qui rame

Au cœur de leurs yeux

Quand les jours se lassent

Des joujoux salis

Leurs yeux noirs s’effacent

Sous des yeux d’oubli

Dans un vol d’abeille

Sous les ors muets

Des maisons qui veillent

S’en vont les jouets

Sous nos pleurs d’une heure

Payer d’un gros sou

Les enfants qui meurent

De nos chants de fous

p.74-75

Si vous aviez attaqué l'Oedipe freudien de cette façon, je suis sûr que je n'aurais pas moufté !

(J'ai souligné quelques passages qui m'ont particulièrement saisi, mais il faudrait tout souligner !)

Tiens hier soir je suis resté j'usqu'à deux heures du matin, j'ai suivi le début de l'abécédaire de Deleuze. Jusqu'au D de désir...

Très intelligent. Mais je me demande un peu s'il n'est pas souvent à côté de la plaque.

Est-ce que la construction du désir qu'il met en avant avec raison et qu'il remarque très justement, n'aurait pas finalement pour "fonction" ou en tout cas comme résultat, par exemple de maquiller, ce désir, d'en camoufler une origine inconsciente-insupportable ? (insupportable : je ne pense même pas à l'Oedipe ni à un aspect forcément dramatique, insupportable parce qu'incompréhensible !)

De même que sa remarque sur le délire.

Le délire s'applique à tout. On délire sur tout le monde, sur tout ce qui nous entoure : Oui ! Pas sur papa et mamam : sans doute, encore que pourquoi pas ?!! ! Mais est-ce ce sur quoi on délire qui provoque ce délire ? N'est-ce pas là encore une fuite, un habillage bien visible d'une origine du délire, du désir de délirer, située ailleurs ?

(Et je ne sais pas vraiment où ! même si je peux m'en douter.)

Je ne comprends sans doute rien à rien, mais je sais au moins que je ne comprends pas....

Et je n'ai pas de réponses bien claires ni définitives.

Ce que je sais (d'expérience) c'est que les rapports entre notre conscient et notre inconscient sont inimaginablement complexes,

apparemment insensés... incongrus !

C’est oublier qu’un oiseau même né en cage possède des instincts, pulsions, etc.

C'est exactement ce que j'ai pensé quand j'ai lu cette phrase sur l'oiseau !

Et c'est d'autant plus vrai que si vous lui ouvrez la porte il s'envolera illico !

Même si comme un couillon il ira un peu taper contre les murs !...

Modifié par Blaquière
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Ben ce n'est pas l'oublier justement, c'est un constat du refoulement induit par la cage. Sa cage saccage l'être oiseau qui en arrive à s'identifier à elle, et à oublier ce qu'il est. Ouvrez la cage aux oiseaux, la plupart auront si peur de ce qui se passe ailleurs qu'il resteront dans leur cage malgré la porte ouverte.

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 217 messages
Forumeur survitaminé‚
Posté(e)

Ouvrez la cage aux oiseaux, la plupart auront si peur de ce qui se passe ailleurs qu'il resteront dans leur cage malgré la porte ouverte.

Les plus téméraires partiront les premiers et les autres, malgré la peur de l’inconnu, finiront timidement par suivre leur exemple poussés par la curiosité.

Les plus peureux ne s’éloigneront guère de la cage et y retourneront peut-être à la recherche de sécurité les premiers temps puis, ayant pris goût à la liberté, n’y reviendront plus par la suite.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Si vous aviez attaqué l'Oedipe freudien de cette façon, je suis sûr que je n'aurais pas moufté !

Et toi si tu avais commencé par lire le fil au lieu de débarquer en racontant strictement n'importe quoi alors que j'avais depuis dix pages exposé clairement les tenants du problème, je t'aurais pas répondu comme ça.

Maintenant le problème c'est de savoir si tu veux discuter honnêtement ou faire une Louise 2 sur le fil, ce dont je n'ai aucune idée ne te connaissant pas. Et je vais pas passer une semaine à attendre le moment où je vais me reprendre ta violence dans la figure pour m'en faire une, d'idée.

En tous cas, si t'as pas lu le fil (ici par exemple ce que j'ai dit sur le délire, soit que tout le monde délire, en reprenant Deleuze), c'est peut-être le moment de le faire

Et ça ira plus vite que de passer par Deleuze, de passer par comprendre sa philosophie, voire faire une analyse sauvage du bonhomme après visionnage de deux heures d'un speech.

Speech que d'ailleurs et ceci dit je conseille à tout le monde ici : ça s'écoute facilement et c'est très intelligent (taper "Deleuze abécédaire").

(et il n'y est pas question de glorifier l'entreprise !)

.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

A un moment donc, il est dit : "je ne peux plus penser comme un occidental"...

Ensuite un type ricane, éclate de rire, et conclut haut et fort qu'il est question d'un "désir de rabaisser les autres".

C'est son diagnostic, interprétation. Un peu plus loin est rajouté : "moralement, humainement, pretentieux, moche".

Tu t'es vu quand t'as bu ?

Et puis en écoutant Deleuze dire que le désir jusqu'à maintenant, on n'en a dit que des conneries, bizarrement le type, il éclate pas de rire.

Il ne dit pas : "mais pour qui il se prend celui-là à prendre les gens pour des cons, en venant se pavaner qu'il va donner un nouveau concept de "désir".

Pourquoi ? Pourquoi plus de ricanement d'un coup ?

Un type arrive et dit : "le désir c'est autre chose, vous savez pas". C'est rien. Il a le droit. Lui on l'écoute. Finie la crise d'égalitarisme.

Ah bon ?

Parce que moi je suis forcément le client qui regarde des amphores et à partir duquel on s'autorise à donner de si humbles et pourtant si grands point de vue sur la vie (genre Dieu ah ah ah) ?

Et quoi, Deleuze lui c'est un "monsieur" alors c'est pas pareil... c'est comme l'autre affilié au Parti, le monsieur qui a écrit des livres ?

Un quoi un monsieur, un papa ?

Au nom de l'humilité, du "peuple" ???

...

Ouais c'est intéressant tout ça...

Oui je sais, la réponse c'est : "il se prend pour Deleuze, ce type etc... Deleuze papa etc" - déjà vu, entendu. Fini de penser comme un occidental, compris tous ces ressorts de cause à effets ego ego ego cette façon de dénigrer en cherchant à faire mal pour faire poids... problème de poids kamarad internaute ? Non non moi ça m'intéresse plus vos egos tellement humbles et près du peuple, kamarad, je sais déjà ce que vous allez dire avant que vous ne le disiez kamarad. A chaque fois...

Autre chose ? Du nouveau dans le topic ?

Argumenter, penser ?

Ou on en était ?

Ah oui, Joe Bousquet...

.

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Ton texte superbe m'a oté la réponse à la bêtise.

Certes tu as raison, mais pour moi, c'est l'ignorance qui est dangereuse.

Par ce que par l'ignorance on devient bête , même un être très intelligent par l'ignorance devient bête.

Alors que les vrais bête, sont rare, se sont au final des handicapés.

Ah oui...

Alors j'avais dit que je répondrai.

Là j'ai rien pour l'instant.

Je reprend ce que j'ai dit plus haut :

"l'ignorance n'est pas exponentielle et tout savoir (n'importe quel savoir) est contestable"

Bon. Quelque chose du genre en tous cas...

Ajouter euh : oui l'ignorance du fait que l'Occident, c'est la dictature de la raison sur le sensible, ça aide pas à sortir de la bêtise.

Mouais (etc)...

L'ignorance ça va pas, parce qu'en face il est question de savoir. Il est question de dire que si l'on savait (quelque chose), les choses iraient mieux.

Et ça non, je crois pas.

Et si l'on pense que le problème est la dictature de la raison, c'est encore pire : on enfonce le clou !

Alors bon on peut convoquer telle autorité, dire que Machin a dit qu'au temps de Platon il était question d'erreur (si je me goure pas hein), et puis avec les "modernes" on a dit que ben non, c'est l'ignorance, etc (on croyait au savoir, à la science, tout ça), ensuite c'est l'illusion non ? L'illusion la bêtise...

On peut.

Mais qu'est-ce qu'on aurait "ignoré" avec la Shoah, le Goulag tout ça ?

Mmmh la bêtise ouais, il est question de bêtise !

(mais chacun est libre de penser ce qu'il veut)

.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Je ne sais pourquoi tu attribues cette citation à NELSON MANDELA !

C'est un texte de Marianne Williamson, auteure étasunienne du XX° Siècle.

Et pour ce qui concerne "le désir de surpuissance", Mandela en était dépourvu !

Il était d'une grande humilité et d'une grande générosité, il avait le sens du collectif,

au point de faire 30 ans de prison au nom de la liberté et de la justice.

C'est à cause de sa simplicité que le peuple sud africain en lutte le reconnut et en fit son représentant!

[...]

A Ping et à la compagnie !

Pourrait-on dire que l'inconscient, c'est le savoir indisponible, celui

qui ne fait que clignoter ....

On pourrait dire aussi peut être que l'inconscient c'est ne pas savoir ce que l'on dit

et ne pas dire ce que l'on sait ...

:hi: à la compagnie !

En effet, une citation attribuée à Mandela alors qu'il n'en est rien. Merci Roudinescocotte (en papier ou en chocolat, comme tu préfères :blush: )

Et j'ai même trouvé une version plus belle à lire :

« Notre peur la plus profonde n'est pas d'être inadéquats, notre peur la plus profonde est d'être puissants au-delà de toute limite. C'est notre lumière, pas notre part d'ombre, qui nous effraie le plus. Nous nous demandons, qui suis-je pour oser être brillant, magnifique, talentueux, fabuleux ? Mais en fait, qui suis-je pour ne pas l'être ? »

Marianne Williamson

Par contre, je suis convaincue que ces quelques lignes n'ont aucun lien avec un quelconque "désir de toute puissance".

Elles racontent davantage que nous en avons peur de cette puissance (oui, c'est écrit en toutes lettres).

Pour le savoir indisponible, Mandela, Williamson, Jung (tu confirmeras ou infirmeras) disait que chaque individu s'incarne avec toute la Connaissance... Connaissance qui sera refoulée durant les premières années de l'individu éduqué. L'inné étant relégué en "arrière-plan" afin de satisfaire les exigences de l'éducation reçue (constitution du Surmoi). Elle ne clignote pas, elle se manifeste continuellement et simultanément avec la conscience mais, elle ne surgit que là où l'autre a des défaillances (c.f Jacques Lacan)

[...] Il s’ajoute au fait que "l’inconscient est structuré comme un langage", reprend Jacques Lacan, un enrichissement du langage qui lui-même se trouve structuré sur deux portées : le pré-conscient et l’inconscient – ce dernier étant, j’y insiste bien, non pas plus difficile d’accès mais radicalement inaccessible, et qui se manifeste en poussant des surgeons vers l’autre niveau. Je crois qu’on peut employer l’image d’un palimpseste, vous savez, ces manuscrits sur lesquels un premier texte avait été effacé pour être recouverts d’une autre écriture. Oui, un palimpseste, vous avez deux textes à lire dont un ne surgit que là où l’autre a des défaillances, mais qui ne se relie pas du tout au premier texte et que vous ne pouvez pas entendre, aussi longtemps que sa structure n’a pas été reconnue.[...] J. Lacan.

NB : La Connaissance est différente du Savoir qui, lui, est un acquis.

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
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C’est oublier qu’un oiseau même né en cage possède des instincts, pulsions, etc.

Il finira par prendre conscience en s’étirant et en développant ainsi ses ailes, qu’en animant celles-ci de haut en bas, il peut s’élever au-dessus du sol de sa cage.

Il saura alors qu’il est fait pour voler haut dans les airs, et attendra impatiemment que l’on veuille bien ouvrir la porte de sa cage pour pouvoir enfin prendre son envol vers la liberté tant espérée.

Ben ce n'est pas l'oublier justement, c'est un constat du refoulement induit par la cage. Sa cage saccage l'être oiseau qui en arrive à s'identifier à elle, et à oublier ce qu'il est. Ouvrez la cage aux oiseaux, la plupart auront si peur de ce qui se passe ailleurs qu'il resteront dans leur cage malgré la porte ouverte.

Les plus téméraires partiront les premiers et les autres, malgré la peur de l’inconnu, finiront timidement par suivre leur exemple poussés par la curiosité.

Les plus peureux ne s’éloigneront guère de la cage et y retourneront peut-être à la recherche de sécurité les premiers temps puis, ayant pris goût à la liberté, n’y reviendront plus par la suite.

Comme l'exprime Ping juste au dessus, l'oiseau né en cage oublie ce qu'il est, donc il sera compliqué pour lui de s'identifier à un autre oiseau, s'il se vit "cage". Il y a des chenilles qui meurent sans jamais être devenues papillon, soit parce que "Pas de chance, emportées trop tôt" soit parce qu'elles n'ont pas pu ou pas su évoluer dans l'environnement adéquat à leur métamorphose.

Si nous appliquons cette métaphore de l'oiseau né en cage - et attention à ne pas le confondre avec l'oiseau capturé et emprisonné, non, celui qui naît dans la cage, qui n'a jamais connu autre chose que la cage, qui est lui-même devenu une cage à force d'identifications - cette métaphore, disais-je, appliquée à un humain pour qui tout ce que fait l'autre semble absurde voire maladif car il ne se reconnaît pas dans cet autre, il ne s'identifie pas à la liberté de l'autre par méconnaissance de sa propre "puissance", de sa propre liberté... est-il condamné à mourir ainsi ? Si un miroir lui est posé devant le nez et qu'une voix lui souffle que ce qu'il y voit, c'est lui, et qu'il comprend tout à coup qu'il est ressemblant à l'autre mais, étant né en cage, il ne sait pas comment s'y prendre pour se vivre tel qu'il le devrait, tel qu'il est... Comment peut-il y parvenir ?

Il suffirait d'ouvrir la porte de la cage et puis voilà ?

N'y aurait-il pas tout un travail de "ré-éducation" à faire avant qu'il puisse (s')en sortir ?

N'y aurait-il pas, finalement, cette nécessité de tout reprendre "depuis le début" afin de faire évoluer ses représentations fausses et invalidantes ?

Et là, Dolto nous dit, avec une simplicité déconcertante :

"La psychanalyse, c'est aider les gens à devenir ce qu'ils sont"

Alors, je le réécris, la psychanalyse ne s'adresse pas à tous. Certaines personnes ne sont pas nées en cage et souffrent pourtant, certes, mais elles auraient tort d'insister auprès de la psychanalyse quand elles pourraient s'apaiser avec d'autres méthodes plus adaptées. La psychanalyse, elle ne guérit de rien, elle est un remède à l'ignorance (cf. J. Lacan).

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Oui Anna, et je rajouterais que pour sortir du cocon ce n'est pas une partie de plaisir pour le futur papillon, qu'il faut se debattre seul avec soi-même, mais que c'est pourtant necessaire, comme l'illustre cette petite histoire:

Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un

homme s'assit et regarda le papillon naissant se battre

pendant des heures pour crever son abri et forcer le

petit trou à s'agrandir. Mais bientôt il sembla à l'homme

que l'insecte ne progressait plus.

Il était allé aussi loin qu'il avait pu, mais il ne

bougeait plus.

Alors l'homme prit une paire de ciseaux et découpa

délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir.

Celui-ci émergea facilement. Mais il avait un corps chétif

et ses ailes froissées étaient atrophiées.

" Pas grave, il va se développer " se dit l'homme.

Et il continua à regarder le papillon en espérant qu'il

déploie ses ailes pour voler.

Mais cela n'arriva jamais. Le papillon passa le reste

de sa vie à ramper sur son petit corps, incapable

d'utiliser ses ailes rabougries.

Ce que l'homme, dans sa bonté précipitée, n'avait pas

compris, c'est que le cocon trop serré est une ruse de la

Nature pour forcer le papillon à le percer et à

entraîner ses ailes… A cette condition seulement, il peut

voler.

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

...Essentiellement parce que la psychanalyse est un camouflet à notre narcissisme et à nos fantasmes de toute-puissance. Nous avons un inconscient et cet inconscient est source permanente et inextinguible de pulsions impérieuses et tyranniques. Cet inconscient est le véritable coeur de notre être, et toujours il nous leurre et nous manipule par de faux objectifs, des pseudo-désirs, de pitoyables rationalisations. Cet inconscient, nous n'en déchiffrons les logiques que dans l'après-coup. Et face à lui, notre moi conscient est bien faible. "Je" toujours se dérobe et nous nargue.

On connaît l'infernal, l'odieux trio : Copernic, Darwin et Freud. Trois décentrages. Trois impardonnables injures. La Terre n'est pas le centre de l'Univers. L'homme n'est qu'un animal, un animal peut-être un peu particulier, mais animal tout de même, et issu d'une longue lignée d'animaux. Et la conscience de l'homme, en dernière analyse, n'est jamais qu'épiphénomène d'autre chose. L'inconscient triomphe et nous ne sommes même plus maîtres chez nous, en nous. Comme c'est triste...

http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/04/21/la-psychanalyse-sans-illusion-par-patrick-declerck_1340654_3232.html

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 217 messages
Forumeur survitaminé‚
Posté(e)

Par curiosité et pour expérimenter : achetez des oiseaux dans une oisellerie et ouvrez-leur la cage…

Vous verrez bien !

Et là, Dolto nous dit, avec une simplicité déconcertante :

"La psychanalyse, c'est aider les gens à devenir ce qu'ils sont"

Comme l’on n’est jamais si bien servi que par soi-même, je préfère celle-ci :

La psychanalyse, c’est aider les gens à prendre conscience de ce qu’ils sont.

Ce que dit apparemment Lacan :

La psychanalyse, elle ne guérit de rien, elle est un remède à l'ignorance (cf. J. Lacan).

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

A un moment donc, il est dit : "je ne peux plus penser comme un occidental"...

Ensuite un type ricane, éclate de rire, et conclut haut et fort qu'il est question d'un "désir de rabaisser les autres".

C'est son diagnostic, interprétation. Un peu plus loin est rajouté : "moralement, humainement, pretentieux, moche".

Tu t'es vu quand t'as bu ?

Et puis en écoutant Deleuze dire que le désir jusqu'à maintenant, on n'en a dit que des conneries, bizarrement le type, il éclate pas de rire.

Il ne dit pas : "mais pour qui il se prend celui-là à prendre les gens pour des cons, en venant se pavaner qu'il va donner un nouveau concept de "désir".

Pourquoi ? Pourquoi plus de ricanement d'un coup ?

Un type arrive et dit : "le désir c'est autre chose, vous savez pas". C'est rien. Il a le droit. Lui on l'écoute. Finie la crise d'égalitarisme.

Ah bon ?

Parce que moi je suis forcément le client qui regarde des amphores et à partir duquel on s'autorise à donner de si humbles et pourtant si grands point de vue sur la vie (genre Dieu ah ah ah) ?

Et quoi, Deleuze lui c'est un "monsieur" alors c'est pas pareil... c'est comme l'autre affilié au Parti, le monsieur qui a écrit des livres ?

Un quoi un monsieur, un papa ?

Au nom de l'humilité, du "peuple" ???

...

Ouais c'est intéressant tout ça...

Oui je sais, la réponse c'est : "il se prend pour Deleuze, ce type etc... Deleuze papa etc" - déjà vu, entendu. Fini de penser comme un occidental, compris tous ces ressorts de cause à effets ego ego ego cette façon de dénigrer en cherchant à faire mal pour faire poids... problème de poids kamarad internaute ? Non non moi ça m'intéresse plus vos egos tellement humbles et près du peuple, kamarad, je sais déjà ce que vous allez dire avant que vous ne le disiez kamarad. A chaque fois...

Autre chose ? Du nouveau dans le topic ?

Argumenter, penser ?

Ou on en était ?

Ah oui, Joe Bousquet...

.

Finalement le mal semble assez profond.

Je suis désolé si pour faire le malin, je t'ai blessé à ce point.

Excuse-moi !

Quand tu parles de Deleuze qui t'est si important, je me dis bon j'ai dit qu'il "aimait l'entreprise" je vais essayer de le respecter mieux, il (tu) sera content ! Par du tout ! ça te rend furieux.

J'espère que ton allusion aux amphores (à laquelle je n'ai rien compris) n'est pas à mettre au compte d'un mépris (assez habituel quoi qu'on en dise) pour les gens qui travaillent de leur mains.

Deleuze-papa ?

Là je dois dire que je suis largué, alors, je ne dis plus rien.

Encore une fois excuses-moi si je t'ai blessé.

Moi je peux garder le mépris de l'amphore en travers ; je suis de taille.

Disons que j'ai l'habitude.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Et sur le texte sur Bousquet, rien à dire non plus, à ce que je vois

(...) Rien de neuf :hi:

(de la confiture pour les cochons)

.

Tu abordes donc la question de la dignité ! Enfin, je suppose puisque tu ne

fais aucun commentaire sur le texte de Mr Deleuze ! Tu ne dis rien sur ce qui te motive

à publier ce texte, ici, tu l'avances un peu comme une 'preuve' de l'intelligence de

ce professeur de philosophie.

Mais tu as oublié de contextualiser l'extrait, et à part d'aller faire des recherches,

il est difficile de comprendre pourquoi Mr Deleuze convoque le poète Joe Bousquet.

Il est question donc d''effectuation de l'évènement' 'd'individuation propre

à l'évènement'. "Ce quelque chose, c’est ce que j’appelle l’individuation propre à l’événement

qui ne passe plus par les personnes ni les états de choses, et c’est ce qu’il faut bien appeler

"la splendeur d’un événement". À la fois il ne peut pas ne pas être effectué et il déborde

sa propre effectuation... comme s’il avait un "en plus", un surcroît, quelque chose qui

déborde l’effectuation par les choses, dans les choses et par les personnes. "

J'avoue que ce langage là m'est extérieur, et que j'ai besoin pour y rentrer de traduire

en mots plus courants ce que ce Mr Deleuze veut démontrer ! Il faudrait contextualiser cet

extrait pour suivre le raisonnement poursuivi par Deleuze !

En tout cas, dans cet extrait, il en vient donc à nous parler de dignité et

il s'appuie sur la dignité du poète.

On sait que Joe Bousquet a dû réorganiser sa vie suite à l'événement qu'il subit

au cours de la 1° guerre, une blessure qui le fit paralysé à partir du thorax jusqu'aux jambes.

Dignement, Joe Bousquet encaissa ce réel indépassable et composa une oeuvre poétique et

romanesque.

Il fait de cet événement cruel la possibilité qui s'ouvre à lui de créer une oeuvre littéraire,

estimant que de toute façon, c'est là qu'avait toujours été son désir intime, produire une

oeuvre.

Doit-on parler 'd'effectuation de l'événement', de 'splendeur de l'événement' ?

Doit-on imaginer que peut-être Joe Bousquet n'aurait pas produit son oeuvre sans sa paralysie

et qu'on peut donc parler de 'splendeur de l'événement' dont il se fit digne ?

Je suppose que tu voudras bien répondre aux questions que j'ouvre dans mon petit

commentaire et ce, sans penser que peut-être ici, nous sommes tous des 'cochons'

indignes, et moi particulièrement, de suivre les hauteurs de tes raisonnements

et les 'concepts deleuziens' que tu manies peut- être avec vivacité ...

:hi: Mes salutations à la compagnie !

.

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Par curiosité et pour expérimenter : achetez des oiseaux dans une oisellerie et ouvrez-leur la cage…

Vous verrez bien !

Encore une fois c'est excactement ce que j'ai pensé quand on s'est embarqués à dire

l'un "l'oiseau restera dans la cage",

l'autre (moi) "il s'envolera", l'autre,

"il attendra un moment"!

Bon sang, mais pourquoi on décide de ceci ou de cela a priori : expérimentons donc !!!

Sans l'expérimentation, j'en sais foutrement rien de ce qu'il fera ce pauvre oiseau !

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