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Cruauté de la vie

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querida13

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 47 967 messages
forumeuse acharnée,
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Les paradis artificiels,non,malheureux..;car il faut être lucide pour pouvoir capter les moindres sources de bonheur authentique!

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 217 messages
Forumeur survitaminé‚
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« Cruauté de la vie »

Bah ! La vie n’est ni bonne, ni cruelle. Elle est, tout simplement.

Heureux est celui qui sait apprécier, à sa juste valeur, et savourer la chance inouïe qu’il a d’être né sur notre si belle Planète. A défaut de mieux, cela peut, bien souvent, suffire à son bonheur.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Vivre sans éprouver d'empathie est -ce la solution?

Premièrement, je n'ai JAMAIS préconisé cela.

Deuxièmement, il n'existe pas de solution unique final, pour vivre une vie.

Troisièmement, si tu veux être dépressif ou froide, c'est ton choix, il se respecte; Mais ne te plein pas des conséquences après ça ! On ne récolte que ce que l'on sème :cool:

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 426 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

Le suicide est la plus trompeuse des solutions. Ca revient à saborder le Titanic dans les eaux temperées par peur des icebergs qu'on pourrait rencontrer un jour. En fait très simplement, notre moi produit de l'imaginaire, et nous fait anticiper un futur qui n'existe pas. Si l'on sait de façon sûre qu'un jour nous finirons par mourir, ne nous empêchons pas d'être ( ici et maintenant) dans l'action la plus juste possible afin au moins de ne pas finir avec trop de regrets.

Etre mort c'est comme être con. On ne s'en rend pas compte, c'est pour les autres que c'est pénible, :smile2:

Je te raconte l'histoire d'un film que j'ai vu et dont je ne me souviens plus le titre pour illustrer une idée de ce que peux représenter de salvateur le suicide pour beaucoup:

Un tueur prend au piège sa victime dans les flammes auxquelles elles n'a aucune chance d'échapper mais qui ne peuvent la tuer qu'après un certain temps d'agonie. Il lui laisse aussi un fusil lui permettant d'abréger ses souffrances plus vite.

La plupart des suicidés savent ou croient savoir que leur avenir serait pire que de cesser de vivre, ils ne se contentent pas de le supposer.

L'idée de notre propre mort nous fait naturellement souffrir car nous avons entre autres fonctions de vouloir survivre, d'être résistants, forts vis-à-vis de l'environnement et d'avoir de l'amour propre. C'est parmi ce qui explique les progrès dans ce sens au cours de l'évolution. Notre souffrance appartient à notre sensibilité qui peux aussi nous diriger. Et les hommes chercheront toujours à se préserver de ce pouvant leur nuire d'une façon ou d'une autre. Ils ne se résignent donc à mourir que quand leur corps leur dessert plus qu'il ne leur sert, et ce, en tenant compte de ce qu'ils peuvent anticiper. (En sachant effectivement qu'un raisonnement erroné peut perturber la conscience et le jugement.)

"La cruauté de la vie." "La vie" a souvent bon dos à mon avis. Ce n'est pas elle que j'aurais qualifiée ainsi personnellement. Mais contrairement à nolibar je pense qu'elle a une réelle utilité et qu'elle peut donc être qualifiée de "bonne".

Modifié par sirielle
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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Nous sommes aussi porteurs de cette cruauté-là, puisque nous sommes de la vie aussi. Seulement, la vie collective nous a poussés à reléguer à l'arrière-fond de notre vie intérieure cette facette de nous-mêmes. Puis, nous avons développé toutes sortes de moyens de contenir cet arrière-fond. Notamment, la morale. Il s'agit de se faire un théâtre collectif, une enclave où nous nous entraînons à vivre de cette façon. À un moment donné, c'est devenu une maladie: nous nous sommes rendus compte que pour aimer la vie, il nous fallait trouver une manière de tout de même frayer avec la violence du monde - ou du moins avec ce petit bout que nous portons en nous. Nous avons alors assoupli la morale et notre théâtre collectif est devenu plus sombre, ou plus orgiaque. Mais c'est pas encore tout à fait au point, nous sommes encore assez maladroits dans l'art de rejoindre les deux bouts de notre nature. C'est une alchimie complexe à maîtriser.

Museler la bête, la rendre inoffensive, l'enfermer dans l'arrière-boutique et lui donner une bonne dose de tranquillisants.

Heureusement qu'il existe de ces soirs, lorsque l'astre nocturne mène la danse, qui donnent grâce à la sauvagerie.

L'image choisie du théâtre, Dompteur de mots, me permet de saluer la marionnette qui te répond et qui te salue également.

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Membre, Posté(e)
art-chibald Membre 3 636 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

N’appelait-il pas plutôt la vie pour qu'elle l'emporte loin de ta menaçante emprise ? (Qu'en savait-il que tu souhaitais le libérer ?)

Bien sûr qu'il ne le savait pas. Mon expression était synonyme de " hurler à la mort ", c'était pour souligner à quel point il tenait à la vie.

Ta prose Art chibald est belle comme un poème!

Ah bon ? Dans ce domaine Il y en a qui sont plus doués que moi ici ;)

"J'veux mourir malheureux pour ne rien regretter " Que t'inspire cette phrase ? Est ce à dire que les gens heureux craignent la mort plus que d'autres ?

Tout le monde peut répondre bien sûr.

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Membre, Posté(e)
poxy91 Membre 126 messages
Baby Forumeur‚
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Les paradis artificiels,non,malheureux..;car il faut être lucide pour pouvoir capter les moindres sources de bonheur authentique!

Et si l'artificiel était aussi une part de bonheur authentique?

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Bien sûr qu'il ne le savait pas. Mon expression était synonyme de " hurler à la mort ", c'était pour souligner à quel point il tenait à la vie.

"J'veux mourir malheureux pour ne rien regretter " Que t'inspire cette phrase ? Est ce à dire que les gens heureux craignent la mort plus que d'autres ?

Tout le monde peut répondre bien sûr.

Etre heureux donnerait plutôt une version complètement absurde de cette parole de chanson : "Je suis tellement heureux(se) que je pourrais mourir à l'instant, je ne regretterais absolument rien !".

Ceux qui redoutent la mort sont ceux qui craignent de ne pas avoir pu ou su y goûter, à ce bonheur d'être en vie.

PS : Pour l'expression "Hurler à la mort", j'avais saisi mais, je trouve tellement plus joli d'hurler à la vie. :-)

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Membre, Posté(e)
poxy91 Membre 126 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Devenir sage, devenir philosophe, c'est précisément ça: Renoncer a nos réves.

Devenir philosophe c'est devenir triste. Et pourtant quoi de plus vivant qu'un idéaliste?

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Membre, Posté(e)
poxy91 Membre 126 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Cela amusait beaucoup Socrate le fait que les hommes courent,il trouvait dérisoires leurs buts dans la vie mais il disait cependant;"et pourtant ils courent!"

Que faire d'autre?Nous ne sommes pas de purs esprits et l'organisme a besoin de bouger.Cependant Pascal remarque avec une certaine justesse que" tout le malheur des hommes provient de ne savoir pas rester en repos dans une chambre".Oui mais le bonheur aussi...

Le malheur c'est donc le corps, la pulsion de vie et le bonheur la pulsion de mort, l'esprit.( c'est ça Ping?) Éviter le Malheur ou rechercher le bonheur est ce la même chose? Pas quitter sa piaule, refuser le corps et le mouvement qu'il entraine. L'homme heureux, baignant dans le bonheur est une statue.

Modifié par poxy91
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Le malheur c'est donc le corps, la pulsion de vie et le bonheur la pulsion de mort, l'esprit.( c'est ça Ping?) Éviter le Malheur ou rechercher le bonheur est ce la même chose? Pas quitter sa piaule, refuser le corps et le mouvement qu'il entraine. L'homme heureux, baignant dans le bonheur est une statue.

"Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre" Pascal.

Les homme ne tiennent pas en place, ils s'agitent, telles les molécules d'un gaz dans un récipient, et n'arretent pas de se heurter les uns aux autres ou contre les parois de leurs vies trop restreintes.

"Je veux mourir malheureux pour ne rien regretter"

Pour moi cette expression est équivalente a celle ci:

" Bruler la chandelle par les deux bouts"

Ne pas s'économiser, vivre a fond sans se soucier des conséquences, et donc fatalement en payer le prix a la fin.

Modifié par swam
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)
La plupart des suicidés savent ou croient savoir que leur avenir serait pire que de cesser de vivre, ils ne se contentent pas de le supposer.

Je situerais plutôt pour ma part le passage à l'acte suicidaire du coté pulsionnel que de celui de la volonté de la personne.Dans le jeu de tire à la corde entre Thanatos et Eros nous sommes la corde, en quelque sorte. L'Eros, la pulsion de vie etant tout sauf de tout repos, à l'inverse de Thanatos, la pulsion de mort qui elle promet l'absence totale de tension et donc de souffrances. Il est alors indeniable que l'idée de suicide represente quelque part cette solution radicale d'evasion de ce corps qui souffre, pour retrouver le grand calme lymbique. Sauf que, et quelque part heureusement, la pulsion de vie se montre le plus souvent la plus forte, et arrive à pousser parfois malgré eux les individus à vivre, et celà même quand tout leur semble perdu.

Modifié par ping
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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 47 967 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Nous vivons tous des tribulations.

Et celui qui vit le plus longtemps subit plus d'avanies que celui qui a une existence brève!

La longévité permet l'accomplissement de ses objectifs d'existence compte tenu des forces en présence;Mais n'oublions pas que nous sommes tous des Damoclès!C'est ce qui est cruel.

Le suicidaire décide que'il n'en subira pas davantage et malgré l'état de validité potentielle de son corps il décide de ne plus prolonger le champ d'expérience de cette existence invivable qui ne lui apporte aucun avantage ni satisfaction.

Modifié par querida13
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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

Le malheur c'est donc le corps, la pulsion de vie et le bonheur la pulsion de mort, l'esprit.( c'est ça Ping?) Éviter le Malheur ou rechercher le bonheur est ce la même chose? Pas quitter sa piaule, refuser le corps et le mouvement qu'il entraine. L'homme heureux, baignant dans le bonheur est une statue.

C'est un peu ça. Nous sommes animé par la pulsion de vie, et la souffrance est du côté de cette pulsion de vie. Tu vis donc tu souffres. Comme dit plus haut, lunettes roses ou pas, moments de répits plus ou moins longs, la vie ça fait mal. Mais c'est la vie, :)

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Et celui qui vit le plus longtemps subit plus d'avanies que celui qui a une existence brève!
Celui qui vit plus longtemps => vit plus longtemps !

Il ne tiendra qu'à son environnement et sa personnalité (grosso-modo) d'interpréter cette plus longue vie comme une grande expérience, une petite expérience, une bonne expérience, une mauvaise expérience, etc.

Pour certains, c'est désastreux :

À cause de leur personnalité.

À cause de leur environnement.

À cause de leur personnalité et environnement

À cause d'autres choses.

Pour d'autres, c'est fantastique :

Grâce à leur personnalité.

Grâce à leur environnement.

Grâce à leur personnalité et environnement.

Grâce à autres choses.

Pour les uns, c'est fantastique et désastreux :

"Grâce à cause" leur personnalité.

"Grâce à cause" à leur environnement.

"Grâce à cause" leur personnalité et environnement.

"Grâce à cause" autres choses.

Etc :...

La longévité permet l'accomplissement de ses objectifs d'existence compte tenu des forces en présence;
[...] ET aussi d'apprendre à profiter de la vie, à ce suffire de ce que l'on a pour être heureux, partager des bons moments, se battre (#s'améliorer #évoluer #s'adapter #survivre #Aider #partager/créer #s'accomplir #joie-de-vivre) pour créer d'autres bons moments, etc.

Il n'y a pas que les objectifs dans la vie. ;)

Et combien même il n'y aurait que ça (tout dépend comment on l'interprète), les objectifs peuvent aussi bien être plaisant et joyeux, que dans les intérêts des autres (légitime, donc les plus démunie de préférence) si on en à plus pour soit.

Si tu ne vie que d'avantage pour accomplir une tâche sans fun, plutôt que pour profiter de la "pause" qu'il y entre chaque. Effectivement, la vie doit avoir un goût amère (#Robotique #Mouton #Esclave #Intégriste).

Mais n'oublions pas que nous sommes tous des Damoclès!C'est ce qui est cruel.
Et ?

Ce qui est "normal" n'est pas cruel. C'est toi qui interprètes abusivement (Hyper-émotivité ? Fleur-bleu ? Dépressif ?) un fait commun à toute existence (la non-existence) comme une chose "cruel".

Personnellement, j'interprète ce fait commun à toutes existence, comme une "motivation", pour rendre la vie plus agréable, sympas et mémorable :bo:

Si tout va bien: tant mieux, on profite de la vie avant qu'elle nous consumes.

Si quelque chose va mal, on se bat pour que ça aille mieux, si ce n'est pas pour nous, se sera pour autrui.

Le suicidaire décide que'il n'en subira pas davantage[...]
LOL :mef:

Le suicidaire est un lâche égoïste qui fuit ces responsabilités (Responsabilité: se battre pour aller mieux, pour soit, ou autrui). Et lorsqu'il agit, il ne le fait que pour lui et dans l'intention (en connaissance de cause) que ça blessera ces proches.

C'est triste pour lui et ces proches (victime et bourreaux), c'est malheureux (parfois c'est d'origine psychologique, parfois extérieur, etc). Mais l'existence continue, avec ou sans nous.

Le suicidaire ne choisit à aucun moment, il subit son suicide jusqu'à la fin et l'impose aux autres.

Il faut arrêter la sacralisation de la sensiblerie et être honnête intellectuellement à un moment donné, pour apprendre à mieux-vivre (plutôt que se complaire dans ces malheurs) !

La culture française est dramatique pour ça... très dépressif, très pessimistes, trop dans la complainte...

Il existe des milliards de raisons de se plaindre.

L'homo sapiens à instinctivement (#Primitif #Instinct-de-survie) tendance à se focaliser sur ce qui ne va pas.

Mais il existe aussi des milliards de raisons d'aller bien.

Suffit-il encore de les voir, de faire le choix intellectuel de les reconnaitre et de pouvoir/savoir faire avec (certains sont trop maso, névrosés, ou malsain pour y arriver).

Et voir ce qui va bien, n'est pas synonyme de ne pas voir ce qui va mal. De même, voir ce qui va mal, n'est pas synonyme de ne pas voir ce qui va bien, mais "le conditionnement" (nous ne sommes que des simples mammifère #Anthropologie #Sociologie #Psychologie) lorsqu'on se focalise d'abord sur ce qui ne va mal, est bien plus néfaste (sur le court, moyen et long terme), que celui de préférer voir les choses qui vont bien.

Toutes choses ne sont que des "faits", qui existeraient aussi sans notre observation.

Ce n'est que noter ego (sous l'influence de notre état mental, santé mentale, environnement, expérience, raisonnement, empathie, réflexion, etc) qui va interpréter ce fait en "quelque chose" de bien, ou de mauvais (à juste titre, ou pas), par rapport à nous.

Tu trouves tout ceci "cruel", parce que ton ego aime vivre !

:bo:

Assume-le, et fait d'avantage profiter à ton ego les joies de la vie (de façon mesurer, légale et morale de préférence), plutôt que de le perdre dans les méandres des idées noires, pensées parasite, et autres névroses malsaines dont tu n'en ressortiras pas (conditionnement psychologique, biologique, etc).

Ce conditionnement existe aussi du côté de la force des Jedi :smile2: Mais quand on en a conscience, il agit moins, et moins négativement que celui de la force obscure :smile2:.

il décide de ne plus prolonger le champ d'expérience de cette existence invivable
On ne va pas se mentir, entre adultes réfléchi, il existe aussi pas mal de suicidaire qui agissent par manque d'éducation (#Morale-de-merde), de combativité (#Sélection-naturel), pour un ego mal placé , un Environnement-de-merde, etc. Leur raison est "rarement" (pour ne pas dire jamais) logique, juste, efficace.

Le combat est difficile, surtout quand on conditionne notre cerveau dans la spirale du malheureux (influence psychologique, et biologique). Mais pas impossible. Et plus grande sera la satisfaction d'avoir réussi (ou d'esquiver) !

Je te conseil ce film:

12870318708437.jpg

PS: Oui, ce n'est qu'un film... une pompe à frique... ce n'est pas la réalité... c'est romancer...

Mais, c'est toujours plus accessible, qu'une philosophie de vie, qu'un livre philosophique, que des séances chez un psy, etc... :cool:

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Membre, Posté(e)
art-chibald Membre 3 636 messages
Baby Forumeur‚
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Etre heureux donnerait plutôt une version complètement absurde de cette parole de chanson : "Je suis tellement heureux(se) que je pourrais mourir à l'instant, je ne regretterais absolument rien !".

Ce n'est pas mon avis, il me semble que quand on est heureux on a pas envie que ça s'arrête. Cette phrase "j'veux mourir malheureux pour ne rien regretter" l'exprime bien

, on ne peut regretter que les bonnnes choses, c'est à dire le bonheur. Se sentir mourir quand on a plein de beaux souvenirs est sûrement plus douloureux qu'expirer après une vie affreuse, dans ce dernier cas la mort sera perçue comme un soulagement. On ne regrette pas une vie de souffrances.

Pour comparer il suffirait de demander à quelqu'un qui a eu une vie de bonheur s'il souhaiterait revenir 40 ans en arrière, et poser la même question à celui qui a beaucoup souffert.

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Membre, Posté(e)
art-chibald Membre 3 636 messages
Baby Forumeur‚
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"Je veux mourir malheureux pour ne rien regretter"

Pour moi cette expression est équivalente a celle ci:

" Bruler la chandelle par les deux bouts"

Ne pas s'économiser, vivre a fond sans se soucier des conséquences, et donc fatalement en payer le prix a la fin.

C'est une des interprétations possibles mais j'ai un doute car on peut très bien vivre à 100 % sans mourir malheureux. Faudrait savoir ce que l'auteur du texte pensait.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 426 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
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Confronté à la douleur et à l'adversité, on précise ses idéaux. Si Sartre put penser que l'enfer, c'est les autres, c'est aussi parce que l'union fait la force.

Modifié par sirielle
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Membre, Posté(e)
art-chibald Membre 3 636 messages
Baby Forumeur‚
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Celui qui vit plus longtemps => vit plus longtemps !

LOL :mef:

Le suicidaire est un lâche égoïste qui fuit ces responsabilités (Responsabilité: se battre pour aller mieux, pour soit, ou autrui). Et lorsqu'il agit, il ne le fait que pour lui et dans l'intention (en connaissance de cause) que ça blessera ces proches.

Se donner la peine pour écrire des tartines sur une pseudo-analyse à deux balles c'est consternant ! Je n'ai pas voulu tout quoter tellement il y a d'inepties et niaiseries.

Tu ne sais rien de la vie, des autres. Quand tu sauras ce qu'est la souffrance, la vraie, tu reviendras écrire.

Moi je ne juge pas les suicidaires, Patrick Dewaere ou Nino Ferrer n'étaient peut être pas des lâches. Je suis contre le suicide, pour certaines raisons, mais je ne me permettrai pas de faire la leçon car je ne sais pas ce qu'ils vivent.

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 426 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)

Quand tu sauras ce qu'est la souffrance, la vraie, tu reviendras écrire.

Moi je ne juge pas les suicidaires, Patrick Dewaere ou Nino Ferrer n'étaient peut être pas des lâches. Je suis contre le suicide, pour certaines raisons, mais je ne me permettrai pas de faire la leçon car je ne sais pas ce qu'ils vivent.

Je suis d'accord (malgré ta sévérité excessive à l'égard de Demonax): Etre contre le suicide ne suffit pas quand la douleur est insoutenable. C'est souvent la solidarité qui peut beaucoup dans ces cas là, et pas suffisamment la personne confrontée seule à ses difficultés.

Modifié par sirielle
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