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Cruauté de la vie

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querida13

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Posté(e)

L'amour n'est jamais cruel Querida !

C'est quand l'amour s'en va que c'est cruel.

Et pourquoi l'amour s'en va ?

Quand on se repose sur ses lauriers.

L'amour il faut toujours s'en montrer digne.

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Membre, 110ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
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(qui représentent le citoyen lambda)

L'utilisateur de forumfr représente le citoyen lambda maintenant? Y a comme un petit biais de sélection la non vous qui vous posez comme le grand maitre des biais.

me trompe, prouvez le-moi. C'est vous qui m’accusez de maux qui ne sont pas les miens

Ouf, ca faisait longtemps j'ai failli appelé les secours.

Visiblement vous ne comprenez pas la nuance (en plus des arguments fallacieux et de votre dissonance cognitive).

Cherchez-vous au moins, vraiment, à comprendre quelques choses ?

Mais tout le monde comprend la nuance pas besoin de jouer les captains obvious. Vous n'êtes pas capable de répondre à la question que je vous ai posez sans faire de la dialectique :

''Et la solution n'est pas la mort, mais une délivrance plus rapide/efficace, que naturel (contrairement au suicidé)'' Le suicidé est immortel lui? Le fait de ce donner la mort dans le cas du suicidé est aussi une accélération d'un processus naturel. Bref de la sémantique, pour tenir à votre ''la mort n'est jamais une solution'' vous essayez de faire de la dialectique pour faire croire qu'on ne donne pas la mort dans une euthanasie c'est assez poilant.

Encore une fois votre point de vue n'a rien de logique, c'est juste un enchaînement de postulats arbitraires. L'euthanasie est une forme de suicide : le suicide ce définissant par une action ayant pour conséquence de causé sa propre mort l'action étant ici de demandé à quelqu'un de nous tuez en sachant qu'il va le faire.

Et vous n'êtes pas aussi bon troll que placide3 !

Ha, la par contre vous me vexez sleep8ge.gif.

Seriez vous entrain de dire que le suicide est un acte prédéfinis, innée, voir encouragé par le génome ?

:smile2: :smile2: :smile2:

Ne feriez vous pas l'amalgame entre la dépression (génétique ou psychologique) et le suicide ? :hehe:

Non, mais ce sont des facteurs favorisant le suicide, facteurs qui sont hors de contrôle de la volonté de l'individus.

Oui, enfin il y a quand même une (attention: sarcasme) toute petite différente entre un humain en possession de tous ces moyens physiques, et la personne âgée (ou l'handicapé moteur/mental 100%)...

A quelle moment l'un ou l'autre choisit sa condition, ''l'être humain en possession de tout ses moyens'' pas plus que la personne agée ou l'handicapé ne choisit l'intégralité de sa vie : il ne choisit pas sa génétique, il ne choisit pas son éducation, il ne choisit pas sa manière de pensée, il ne choisit pas tout ce qui va lui arriver dans sa vie, il a un certains contrôle sur son environnement mais celui-ci n'est pas total, bref il ne choisit pas tout ce qui va faire de lui une personne suicidaire (et encore je suis gentil la, j'admet un certains libre arbitre à l'être humain mais je n'en pense pas moins).

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Je voudrais pas dire mais, pour qui aurait envie de se suicider, vos longues tirades sur le suicide et la cruauté de la vie donneraient plutot envie de se pendre. :crazy:

Sur un sujet pareil il faudrait faire court, avec des mots qui puissent pénétrer les consciences.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Désolé pour le pavé, mais on ne pourra pas me reprocher de ne pas détailler ma pensé !

Dit celui qui pose un jugement morale sans argument sur celui qui pseudo-ridiculement pose un jugement morale sur le suicide dans l'intérêt d'améliorer notre environnement (en se focalisant d'avantage sur la résolution d'un problème, que sur une facilité extrémiste qui ne résout rien).

C'est peut-être la même "forme", mais ce n'est pas le même fond !

Arrêtons de ne voir que la partie émergée de l'iceberg !

928087icebergClevenger.jpg

Le suicide rapide est sans équivoque sur la psychologie et l'intention.

Le suicide lent, quant à lui est clairement différent (d'où l'importance de bien définir et juger le suicide).

La maladie n'est pas un suicide.

Sauf si tu choisi d'être mortellement malade, ce qui ne représente qu'une minorité infime des malades.

L'accident n'est pas un suicide.

Sauf si tu choisi d'être mortellement accidenté, ce qui ne représente qu'une minorité infime des accidents.

L'addiction n'est pas un suicide.

C'est une dépendance. Dans la majorité, où elle est abusé, elle ne tue pas, elle brise.

C'est justement parce que consciemment ça ne fonctionnera pas (pourquoi/comment étude sur le suicide), qu'il faut instaurer une influence inconsciente, par l'éthique !

Cela dépend de la volonté des gens. J'en connais pour qui c'est "gagné" !

C'est donc relatif, subjectif, partial, cela dépend de plein de choses, de nos différences.

C'est pourquoi il devient important de bien définir le sujet, afin de ne pas faire d'amalgame, ou de ne pas donner à des gens, ce qu'ils n'ont pas, pour en soulager d'autres !

Le suicidé ne se met pas volontairement au-dessus du vide ! Il y ait contraint par un problème extérieur.

Par contre, il fait le choix volontairement, à cause d'un conditionnement neuronale/psychologique/biologique (éthique de la responsabilité) de lâcher la branche (malgré les nombreuses autres plus solides à côté prête à l'aider, mais qu'il se refuse à voir pour soulager ces dissonances cognitives).

On parle de torture !

On ne s'inflige jamais volontairement une torture (sauf problème mentaux).

Mais on peut faire le choix de se battre pour y échapper.

Cela dépend de la force de caractère de chacun !

Objectivement, la sélection naturelle fait son métier (si je puis me permettre). Mais l'humain à assez évoluer, pour aider son prochain aussi faible qu'il soit (quant à en juger la pertinence, ce n'est pas le débat ici), et c'est une bonne chose.

----------

854082sub.png

Tu éprouve ces effet !

Ce n'est pas mon cas. J'admets ces effets, mais je ne les éprouves pas. Je les acceptes tel quel.

Je ne subis pas ce que je ne choisi pas, je m'adapte et je fais avec, à défaut de pouvoir faire sans.

Nuance. (Là on rentre dans de la philosophie pur et dure... attention à la branlette intellectuel)

C'est parce que des gens comme vous méjuge le suicide, que les faibles d'esprit se permettent de le considérer !

Il ne faut pas du courage pour sauter au dessus d'un pont, il faut une défaillance mentale !

47946090ok.png

Article ICI

CQFD.

Il est honteux, encore aujourd'hui, de croire que l'athée doit se suicider, ou n'existe pas, à cause de son athéisme !

Nous avons à faire ici à de l'obscurantisme religieux !

Demandez à ces personnalité, s'ils sont suicidaire, n'existe pas, sont menteur ou malheureux à cause de leur athéisme: https://en.wikipedia.org/wiki/Lists_of_atheists

Je suis un libre-penseur: je suis athée. Et je suis heureux d'exister, tout en acceptant ma future non-existence éternel ! :cool:

Mon exemple (comme la liste d'exemples que je donne en lien), prouve que votre raisonnement en plus d'être incorrecte moralement, n'est pas correcte intellectuellement.

Votre intégrisme face à l'athéisme ne doit pas être tolérer.

Une influence inconsciente par l'ethique? Autant essayer de faire bouger une pierre enfouie à dix mètres sous terre en sautant à pieds joints sur le sol. Bref...

Je voudrais pas dire mais, pour qui aurait envie de se suicider, vos longues tirades sur le suicide et la cruauté de la vie donneraient plutot envie de se pendre. :crazy:

Sur un sujet pareil il faudrait faire court, avec des mots qui puissent pénétrer les consciences.

Ou peut-être un petit conte?

Un jour , l'âne d'un fermier est tombé dans un puits. L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures et le fermier se demandait quoi faire.

Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître. De toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.

Il a invité tous ses voisins à venir l'aider. Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à boucher le puits.

Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui l'âne faisait quelque chose de stupéfiant : il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

Chacun de nos ennuis est une pierre qui nous permet de progresser.

Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais. Ne jamais abandonner ! secouez-vous et foncez !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Magnifique ce conte Ping !

Et oui la vie vous écrase parfois et personne, absolument personne pour vous tendre la main quand vous etes au fond du trou.

Alors pour quoi, pour qui, se relever et essayer de remonter ?

Parce que nous ne sommes pas des coquilles vides, Tel Sisyphe heureux, le bonheur consiste probablement a grandir en surmontant l'adversité.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 753 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Bonjour Demonax,

comme Sirielle, j'ai noté des choses intéressantes dans tes propos, il y a bien sûr une certaine cohérence dans ton discours, mais tu admettras également que ce ne serait être une condition suffisante, pour que cela ait trait à l'entière réalité.

Il est clair que tu as une approche optimiste de la vie, et que tes intentions sont louables, mais j'ai peur que ta méthode soit contre-productive, en effet, tu as donné un lien scientifique, entre suicide et forte dépression, dans ce cas, si tu connais la dépression profonde, tu sais aussi que dans cet état tout indiffère, on broie du noir, on n'a presque plus aucune motivation, pourtant tu prônes de mettre en avant la beauté de la vie et de responsabiliser les suicidés en puissance/potentiel, or, leur brandir sous le nez que la vie est magnifique alors qu'ils n'en perçoivent que l'horreur, que la partie douloureuse, n'est pas les aider à en sortir, mais les enfoncer encore plus dans leur mal être, puisque par leur état particulier, ils ne vont pas positiver, mais au contraire " négativer " cette information: " il existe le bonheur, le beau, l'agréable et moi je n'y ai pas droit, accès, c'est dégueulasse, etc.. ", ensuite tu souhaites les responsabiliser, mais il en va de même que de leur jeter la magnificence de la vie à la figure, de les faire culpabiliser davantage alors qu'ils sont en pleine période de crise existentielle, de doute insoutenable, de leur balancer qu'ils sont en-dessous de ce qu'ils doivent faire, c'est leur mettre un peu plus la tête sous l'eau qu'ils ne l'avaient.

Si tes intentions de départ sont bonnes, le remède que tu préconises aurait la fâcheuse tendance à aggraver la situation, plutôt que d'y remédier, un dépressif n'est pas dans le même tripe qu'un autre individu, on ne peut donc pas user des mêmes stratagèmes avec lui, comme on en use différemment avec un jeune enfant, qui n'a pas non plus la psychologie d'un adulte.

Il n'est pas question d'encourager au passage à l'acte, ni de cautionner le suicide, mais de comprendre ce qui se passe en amont de l'acte suicidaire, ce qui nous permettra de trouver éventuellement des parades, des solutions, et si possible de ne pas apposer de jugement de valeur, sur quelque chose qui dépasse l'individu, comme je l'avais dit antérieurement, car il est manifeste que personne ne choisit délibérément d'être grand dépressif, et que donc ceci transcende la simple volonté, ce qui conséquemment demande un traitement qui aussi ne se contente pas de la seule volonté, force de caractère ou combativité (réduite à peau de chagrin chez le dépressif ! ).

Quel que soit le lieu en France, lorsqu'on constate qu'une bande de bisounourse (je synthétise avec humour noir) est toujours près à intervenir pour crier au scandale, dès qu'on définit un suicidé comme lâche et égoïste (ce qui se prouve assez facilement, avec du recul, comme je l'ai déjà fait ici), pour leur préférer un respect éternel; à partir de ce moment-là, il n'est pas absurde de définir en France une sacralisation* du suicide.

Et tant que cette mentalité persistera, les faibles d'esprit y penseront toujours en s'imaginant que c'est une solution.

La dépression peut toucher n'importe qui, elle est certes en corrélation avec un passif favorable, mais elle est avant tout et surtout, contingente, et des circonstances particulières peuvent faire basculer n'importe qui, peu importe sa force d'esprit initiale.

Rajouter cette pression, permet de rajouter un "pallier" psychologique/sociétal sur lequel le faible d'esprit pourra se raccrocher (étape durant lequel, tant lui, que ces proches, pourra se servir pour aider) avant de choisir de faire une bêtise irréparable !

Rajouter des pressions à un dépressif, c'est l'encourager à persister dans son état.

Contrairement au suicidé qui cherche volontairement -à cause d'une défaillance mentale- à culpabiliser ces proches innocent de ces propres problèmes existentiels.

Ce sera bien la seule chose sur laquelle il aura encore une décision à prendre.

Car il arrive que ce soit justement l'environnement censé épauler notre individu, qui l'enfonce, qui le torture, comment se tourner vers les autres, y compris les proches, quand ce sont eux les sources de tous les maux.

Le but de suicidaire n'est donc pas de faire souffrir ses proches de la sorte, mais bien de mettre un terme à ses propres souffrances, car aucune issue ne lui parvient pour faire cesser ses maux, douleurs qu'il ne peut aucunement déposer à un endroit et les remettre plus tard après un temps de repos, il faut bien comprendre qu'il ne peut jamais s'y soustraire, ce qui finit par être épuisant, éreintant, jamais de répit ou de repos, le cerveau finit par sur-chauffer, phénomène que l'on ne retrouve pas chez une personne plus saine, qui elle peut se reposer de temps en temps, faire un break, repartir d'un nouveau pied. Il faut bien l'avoir à l'esprit, le plus proche que l'on puisse envisager quand on n'est pas dépressif ou suicidaire, pour arriver à s'en saisir, c'est la privation de sommeil, tu essaieras de réfléchir correctement quand tu es systématiquement privé de sommeil, tu verras les effets délétères que ça produit, et tu te rendras compte que la volonté n'est d'aucun secours, car anesthésiée, et les choix qui se présentent sont fortement influencés/biaisés par des processus biochimiques.

Je n'interdit pas à celui qui le souhaite, de réaliser son but. Je lui demande d'être honnête (moralement, intellectuellement) sur la valeur de son acte. Une honnêteté qui permettra d'avantage de sauver des vies de cette spirale mental malsaine

Encore unes fois, il n'est pas dans un état " normal ", on ne peut donc pas réfléchir en transposant ce que l'on ferait à partir de la situation actuelle à la sienne, c'est un non-sens. Pas plus que je peux dire aux gens qui souffrent de malnutrition par pauvreté, par famine, qu'ils doivent manger pour ne plus souffrir de carence alimentaire, il faut prendre en compte leur propre situation, leurs différents problèmes, c'est à dire de réfléchir en se mettant à leur place, non en restant à la nôtre, car le problématique est foncièrement différente selon les points de vues !

e honnêteté qui permettra d'avantage de sauver des vies de cette spirale mental malsaine

On résous un problème en y faisant face, on le contrôlant ou en évitant la confrontation si on est trop faible.

Et éviter, ne veux pas dire inexistence.

Bien sûr, à la condition d'avoir fait preuve non pas de compassion, mais de réelle empathie envers le suicidaire/dépressif, de s'être mis à sa place, de s'être projeter corps et âme dans sa situation, avec toutes nos facultés, on pourras de la sorte l'aider de manière plus efficiente.

Ce qui ne veut toujours pas dire de l'encourager à se suicider, mais que si on veut l'en empêcher autrement que par un sermon inefficace, ou pire favorable à ce que l'on cherche à éviter, il nous faut comprendre les raisons, les causes pour pouvoir agir dessus, et non pas sur les seuls effets observables !

Crdlt, D-U

Modifié par deja-utilise
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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

C'est faux le suicide est autant un acte de courage que de lâcheté : courage parce qu'il faut aller à l'encontre de son instinct de conservation (ce qui n'est pas rien) et lâcheté parce qu'il représente une fuite d'une situation intolérable.

Au sujet de l'égoïsme, la typologie des suicides de Durkheim me paraît judicieuse (et toujours d'actualité à ma connaissance), et fait varier la catégorie en fonction de deux critères : l'intégration et la régulation. Certains suicides peuvent être altruistes en cas d'excès d'intégration, exactement comme un militaire suicidaire fait son garde-à-vous avant de tirer sa révérence, parce qu'il considère que c'est son devoir.

Typologie sociologique des suicides

  1. Le suicide égoïste : le suicide égoïste intervient lors d'un défaut d'intégration : l'individu n'est pas suffisamment rattaché aux autres. La société tient les individus en vie en les intégrant (cf. le suicide de célibataires).
  2. Le suicide altruiste : à l'inverse du suicide égoïste, le suicide altruiste est déterminé par un excès d'intégration. Les individus ne s'appartiennent plus et peuvent en venir à se tuer par devoir (on peut avoir en tête les suicides dans l'armée, dans des sectes, etc.).
  3. Le suicide anomique : le suicide anomique intervient lors d'un défaut de régulation : la réglementation, les normes sont moins importantes, elles sont devenues plus floues. Les individus sont moins tenus, leurs conduites sont moins réglées, leurs désirs ne sont plus limités ou cadrés. Ils peuvent éprouver le « mal de l'infini » où tout semble possible alors qu'en fait tout ne l'est pas.
  4. Le suicide fataliste : le suicide fataliste, quant à lui, intervient dans les cas d'excès de régulation : la vie sociale est extrêmement réglée, les marges de manœuvre individuelles sont réduites. Le contrôle social, les normes, sont trop importants.

source

Tout dépend en fin de compte du contexte, et je finirai mon propos en disant comme Albert Camus qu'il y a toujours dans un suicide, ou bien quelque chose de méprisant, ou bien quelque chose de généreux.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Je trouve le suicide égoiste mal nommé car:

Ce défaut d'intégration n'est pas voulu, bien au contraire, c'est une absence, supposée ou non, de possibilité d'intégration.

En fait, c'est le contraire de l'égoiste qui lui est parfaitement intégré.

Modifié par swam
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
L'utilisateur de forumfr représente le citoyen lambda maintenant?
Parce que pour vous: un forum qui à pour titre "Forum Fr", et détail "Forums de discussions généralistes sur les sujets tels que l'actualité, les divertissements, l'informatique, le sport", c'est un lieu où l'on rencontrera principalement des minorités, des spécialistes, des originaux ?...

Attention à la mauvaise fois ! ;)

Vous voyez vos argument/troll ne tiennent pas la route une seconde, essayer de faire un effort !

[...]vous qui vous posez comme [...]

Mais tout le monde comprend[...]Vous n'êtes pas capable[...]Le suicidé est immortel[...] pour faire croire qu'on ne donne pas[...]Encore une fois votre point de vue n'a rien de logique*[...]L'euthanasie est une forme de suicide : le suicide ce définissant par une action ayant pour conséquence de causé sa propre mort l'action étant différente ici, de demandé à quelqu'un de nous tuez en sachant qu'il va le faire. [...]Non, mais[...]il ne choisit pas (répéter 4 fois), mais il a un certains contrôle sur son environnement[...]

slide_66.jpg

Votre trollisme est évident et d'une inutilité consternante, vous ne semblez même plus savoir de quoi parle le topic, a forcer de digresser. Pourquoi vous venez jouer dans la cours des grands ? Retournez sur JeuVidéo.com :hehe: :cool: :bo:

Si vous ne troller pas, veuillez excuser mes conclusions hâtives.

Cela voudra juste dire que vous n'avez aucun (contre-)argument valide et que seul parle votre dissonance cognitive. Dans cette optique tout dialogue avec vous n'a aucun intérêt.

Je vous laisserais le plaisir d'essayer de persuader/manipuler les lecteurs.

(et encore je suis gentil la, j'admet un certains libre arbitre à l'être humain mais je n'en pense pas moins).
Ne soyez pas seulement gentil, soyez aussi intelligent !

Le libre-arbitre n'existe pas, c'est un symbole créer par/pour l'humain !

C'est dans un intérêt sociétal, qu'on emploie le libre-arbitre, on appelle ça l'éthique de la responsabilité (Au plaisir de vous instruire ! Bonne recherche sur google).

Le fait de ce donner la mort dans le cas du suicidé est aussi une accélération d'un processus naturel.

LOL

D'après vous, le suicide accélère un processus naturel ?

Il faudrait presque croire que le suicide se légitime.... Quelle mentalité désastreuse.

Ce sont les propos comme ceux que vous énoncez qui encourage le suicide (votre trollisme est d'une consternation... Vous ne seriez pas du genre à voter FN, juste pour troller ?).

:mef: :mef: :mef:

Attention: Sarcasme

Le suicide c'est normal, après tout !

Avoir une vie lambda, puis se la faire pourrir cette vie par un problème extérieur, au point d'imaginer que le suicide est une solution, c'est quelque chose de naturel !

Fin du sarcasme.

Non !

Restons sérieux, deux minutes (après je vous laisserais éluder chaque arguments/question avec votre dissonance cognitive et votre trollisme :bo:).

Voici la situation:

828192001.pngA: Résout son problème en coupant tout lien sociale avec.

325212002.pngB: Résout son problème en y faisant face.

596177003.pngC: Résout son problème en demandant de l'aide.

271784004.pngD: Résout son problème en changeant de vie.

450702005.pngEt E: malheureusement rentré dans une spirale, qui influence sa structure neuronale à disfonctionné, il va choisir le suicide. Ainsi, il se transforme en problèmes sans résoudre celui d'origine !

383046006.pngEtc: ce n'est pas les solutions qui manquent.

Donc, reconnaitre le suicide comme légitime, comme vous le faites pour troller (ou pas), en plus d'être immorale, ce n'est pas intelligent ! (voila en quoi votre troll est d'une bien piètre qualité, en plus d'être évident)

CQFD.

*: Ce n'est pas parce que vous n'avez pas le quotient intellectuel nécessaire, pour accepter un raisonnement qui vous contredit, que ce raisonnement n'existe pas.

:bo:

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 36 435 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)

C'est étrange pour moi de concevoir le suicide comme une lâcheté.

Je le vois comme une liberté, la seule peut-être, que nous ayons.

Cette sacralisation de la vie, humaine, parce que les autres on s'assoit allègrement dessus, m'a toujours fascinée. Elle ne résulte, finalement, comme tout d'ailleurs, que d'un concours de circonstances, dont nous ne sommes qu'un résultat parmi une foultitude.

Quand un animal se laisse mourir parce qu'il a perdu son compagnon de vie, homme ou autre, on trouve ça touchant, mais jamais lâche. Le désespoir et l'infinie tristesse ne seraient-ils recevables que lorsqu'une vie n'est pas "sacrée", parce que pas humaine ?

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Membre, 110ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
Posté(e)

Parce que pour vous: un forum qui à pour titre "Forum Fr", et détail "Forums de discussions généralistes sur les sujets tels que l'actualité, les divertissements, l'informatique, le sport", c'est un lieu où l'on rencontrera principalement des minorités, des spécialistes, des originaux ?...

Attention à la mauvaise fois ! ;) [/Quote]

Argument fallacieux du biais de sélection

Faire croire qu'une population non sélectionné aléatoirement est un échantillon représentatif d'une population

Vous voyez vos argument/troll ne tiennent pas la route une seconde, essayer de faire un effort !

Pourquoi vous venez jouer dans la cours des grands ? Retournez sur JeuVidéo.com :hehe: :cool: :bo: [/Quote]

Argument fallacieux de l'attaque ad hominem

Ne soyez pas seulement gentil, soyez aussi intelligent !

Le libre-arbitre n'existe pas, c'est un symbole créer par/pour l'humain !

C'est dans un intérêt sociétal, qu'on emploie le libre-arbitre, on appelle ça l'éthique de la responsabilité (Au plaisir de vous instruire ! Bonne recherche sur google).

Argument fallacieux de l'homme de paille

Ma phrase voulait justement dire que je ne reconnaissais pas de libre arbitre.

D'après vous, le suicide accélère un processus naturel ?

Il faudrait presque croire que le suicide se légitime.... Quelle mentalité désastreuse.

Argument fallacieux de la pente savonneuse

Vous n'avez pas été capable de contredire mon propos originel à savoir que la mort est un processus naturel inéluctable le suicide ne faisant donc qu’accélérer ce processus alors vous glissez vers un argument considéré comme immoral '' le suicide ce légitime''.

Ce sont les propos comme ceux que vous énoncez qui encourage le suicide

Argument fallacieux de l'argumentum ad consequentiam

Attention: Sarcasme

Le suicide c'est normal, après tout !

Avoir une vie lambda, puis se la faire pourrir cette vie par un problème extérieur, au point d'imaginer que le suicide est une solution, c'est quelque chose de naturel !

Fin du sarcasme.

Définissez naturel. Car oui c'est naturel, quasiment tout le monde dans sa vie aura des pensées suicidaires, c'est leurs réalisations qui est problématique et non ''naturel''

Donc, reconnaitre le suicide comme légitime, comme vous le faites pour troller (ou pas), en plus d'être immorale, ce n'est pas intelligent ! (vo

Argument fallacieux de l'homme de paille

Je n'ai pas dit qu'il n'existait pas d'alternative viable au suicide, je dit juste que le suicidé n'est pas un sous-homme. Ce n'est ni nécessairement un imbécile, ni nécessairement un égoïste, ni nécessairement un lâche. (sinon en étant honnête reconnaissez également ces ''qualités'' à celui qui choisit l’euthanasie qui est une forme de suicide). Le post de Quasi-modo est déjà plus intéressant que les vôtres, ce n'est pas du traditionnel ''oué mais c'est que des loosers tte façon''

*: Ce n'est pas parce que vous n'avez pas le quotient intellectuel nécessaire, pour accepter un raisonnement qui vous contredit, que ce raisonnement n'existe pas.

:bo:

Je suis sur que mon contient intellectuel dépasse amplement le votre, assumez au moins vos insultes en les mettant visibles à tous

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Modifié par Encéphale
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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 673 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
Posté(e)

C'est étrange pour moi de concevoir le suicide comme une lâcheté.

Je le vois comme une liberté, la seule peut-être, que nous ayons.

Cette sacralisation de la vie, humaine, parce que les autres on s'assoit allègrement dessus, m'a toujours fascinée. Elle ne résulte, finalement, comme tout d'ailleurs, que d'un concours de circonstances, dont nous ne sommes qu'un résultat parmi une foultitude.

Quand un animal se laisse mourir parce qu'il a perdu son compagnon de vie, homme ou autre, on trouve ça touchant, mais jamais lâche. Le désespoir et l'infinie tristesse ne seraient-ils recevables que lorsqu'une vie n'est pas "sacrée", parce que pas humaine ?

Le suicide sacrifie la liberté à la désertion. Il n'est pas vraiment un accès à la liberté. Mais les libertés sont nombreuses, elles ont cependant des limites, représentables par exemple par des interdits, des règles, des devoirs, des prisons, ou plus radicalement par la mort. Un homme mort peut être un homme libéré mais pas un homme ayant globalement et concrètement gagné en liberté, du moins pas celle à laquelle il aurait dû pouvoir prétendre idéalement.

On peut aussi parfois parler de lâcheté pour les animaux. La lâcheté consiste à fuir une responsabilité importante pour en éviter les inconvénients. Le suicide n'en est pas toujours une, mais parfois si. Les suicides, comme par exemple les meurtres ou les assassinats (pour lesquels on parle parfois de légitime défense et de circonstances atténuantes, souvent aussi de cruauté), peuvent avoir de multiples visages.

La morale est essentielle à un raisonnement sain, l'anarchie intellectuelle est un déni de conscience et mène à la confusion.

Envisager de pouvoir réussir à éviter le suicide par de nombreux moyens est une manière de vouloir protéger les individus et la société (pour laquelle ceux-ci sont importants) en responsabilisant aussi ceux faisant l'entourage des malheureux, dont il serait vain de nier la souffrance et lâche de les abandonner à leur sort quand on connaît un peu les possibilités d'un être vivant dans un environnement favorable et supportable.

Modifié par sirielle
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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 753 messages
If you don't want, you Kant...,
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383046006.png

Ce qui est intéressant de remarquer dans ce diagramme, c'est qu'il a déjà " cadré " le problème, en l'occurrence, les individus sont extérieurs à la problématique ! Alors que si E ou par exemples tous les correspondants à E étaient à l'intérieur de l'ensemble qualifié de " problème ", les solutions à apporter seraient nécessairement différentes, puisque l'on peut voir ce schéma comme une représentation ensembliste, la délimitation des ensembles eux-mêmes n'est pas représentée/abordée !

Autrement dit, la problématique est déjà sérieusement délimitée, restreinte, alors qu'elle est plus large que cela, comme Quasi-modo a commencé à le dire, en détaillant différentes modalités et causes/finalités au suicide.

Ce n'est donc pas tant la façon d'aborder le sujet qui serait rigoureusement fausse, qu'elle n'engloberait pas toute la complexité qui lui est connexe, c'est à dire qu'il n'y aurait qu'une facette mise en avant, alors que nous essayons je pense chacun à sa manière, de dire qu'elle n'est pas représentative de l'intégralité du phénomène.

Enfin je dis ça... ;)

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C'est sur un sujet comme celui ci que l'on peut voir a quel point les gens sont différents.

Le clivage est considérable.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 36 435 messages
Grégairophobe...,
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Envisager de pouvoir réussir à éviter le suicide par de nombreux moyens est une manière de vouloir protéger les individus en responsabilisant aussi ceux faisant l'entourage des malheureux, dont il serait vain de nier la souffrance et lâche de les abandonner à leur sort quand on connaît un peu les possibilités d'un être vivant dans un environnement favorable et supportable.

S'arroger le droit de mort sur quelqu'un est un crime insupportable, que la morale que tu évoques réprouve avec la dernière énergie.

S'arroger le droit de vie serait-il moins insupportable, parce que cette même morale la sacralise ?

Modifié par Mite_Railleuse
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Membre, 36ans Posté(e)
sirielle Membre 8 673 messages
Maitre des forums‚ 36ans‚
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S'arroger le droit de mort sur quelqu'un est un crime insupportable, que la morale que tu évoques réprouve avec la dernière énergie.

S'arroger le droit de vie serait-il moins insupportable, parce que cette même morale la sacralise ?

Certains meurtres n'avaient pas l'ambition de "s'arroger le droit de mort" (ce n'est d'ailleurs jamais le vrai mobile) mais au contraire par exemple de protéger "comme on peut" et dans des circonstances ne laissant pas la place à d'autres moyens, les victimes innocentes de la cible. En sachant évidemment que dans de tels cas aussi c'est le devoir de la société d'essayer de faire en sorte de ne pas avoir à en arriver à de telles extrémités.

Il ne s'agit pas d'interdire la mort, mais de trouver les moyens quand c'est possible de proposer mieux à ceux dont l'existence est insupportable. Et aussi parfois de faire assistance à des personnes en danger.

L'anticipation peut être importante concernant le meurtre comme le suicide, il ne suffit pas de juger l'acte ni ceux qui en sont responsables, ni même de savoir si c'était ou non justifié par les circonstances malgré les inconvénients au moment où ils ont eu lieu. Car ce n'est pas qu'à ce moment là qu'ils se jouent.

Modifié par sirielle
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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Ce dont je suis intimement convaincu cependant c'est que le suicide est une erreur, si ce n'est une faute morale.

Car pour être révolté au points de vouloir se suicider, il faut au moins avoir une idée de ce qu'on voudrait qui change dans le monde tel qu'il est. Et notre suicide consisterait alors à faire naître une valeur potentiellement incomprise, quand au contraire rester en vie et combattre pour changer ce qui doit l'être, combattre pour donner corps à cette valeur aurait peut-être mérité qu'on vécût. Si bien qu'à proprement parler nous ne désirons jamais la mort pour elle même, mais que nous ne désirons que cesser de souffrir, cesser d'assister au viol de nos valeurs. Et nous sommes davantage dévoués à une cause quand nous sommes présents au monde et que nous oeuvrons dans le sens de nos valeurs.

Dans ce sens le suicide est bien une forme de démission effectivement, quand la moralité impliquerait de mener à bout nos projets en accords avec nos valeurs et ce que nous sommes profondément. Pourquoi opter pour le suicide quand de toucher le fond nous pourrions d'un seul rebond trouver cette fantastique énergie de celui qui connaît ses limites, qui sait désormais pour quoi il se bat? Pour cette raison, je pense qu'il faut avoir perdu tout espoir au moins une fois dans sa vie et avoir été poussé dans ses derniers retranchements pour ensuite pleinement investir notre propre vie. Ceux qui traversent l'existence sans connaître de crise majeure ne peuvent et ne pourront jamais comprendre la force morale inouïe et le plaisir d'être en vie qui résulte de ce type d'expérience.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 36 435 messages
Grégairophobe...,
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Certains meurtres n'avaient pas l'ambition de "s'arroger le droit de mort" (ce n'est d'ailleurs jamais le vrai mobile) mais au contraire par exemple de protéger "comme on peut" et dans des circonstances ne laissant pas la place à d'autres moyens, les victimes innocentes de la cible. En sachant évidemment que dans de tels cas aussi c'est le devoir de la société d'essayer de faire en sorte de ne pas avoir à en arriver à de telles extrémités.

Il ne s'agit pas d'interdire la mort, mais de trouver les moyens quand c'est possible de proposer mieux à ceux dont l'existence est insupportable. Et aussi parfois de faire assistance à des personnes en danger.

L'anticipation peut être importante concernant le meurtre comme le suicide, il ne suffit pas de juger l'acte ni ceux qui en sont responsables, ni même de savoir si c'était ou non justifié par les circonstances malgré les inconvénients au moment où ils ont eu lieu. Car ce n'est pas qu'à ce moment là qu'ils se jouent.

Qui sommes-nous pour nous approprier le droit de décider de la vie de quelqu'un ? De ce qui est "moralement" acceptable ?

Je trouve ces positions de "sauveurs", dictatoriales et bien peu humbles.

Le volonté de suicide ne peut-elle pas émaner d'une lassitude, d'un manque de désir, d'une sensation prégnante d'avoir fait le tour ? Cette volonté forcenée de préserver quelque chose qui peut paraître insipide à quelqu'un est une violence qu'on lui fait.

Et bien évidemment, si j'étais confrontée à ça avec un de mes proches, je me révolterais. Mais surtout, j'écouterais ce qu'il à me dire. Et je crois que je m'inclinerais, quitte à en être désespérée...

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Il faut savoir que la dépression est une maladie qui se soigne. Le dépressif mérite qu'on l'aide à vivre, pas qu'on l'aide à broyer du noir.

Personne n'a jamais fait le tour de la vie, nous avons toujours au fond de nous des désirs nouveaux qui naissent. Jamais nous ne cessons d'apprendre.

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