La fessée n’a aucune vertu éducative", selon le tout nouveau livret des parents

La fessée n’a aucune vertu éducative", selon le tout nouveau livret des parents

La ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes, Laurence Rossignol, a présenté lundi le nouveau « livret de parentalité » qui prodigue aux futurs parents conseils et bonnes pratiques.

Exit le livret de paternité. Place au livret des parents. Ce nouveau document, présenté lundi par Laurence Rossignol, la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes, sera envoyé à tous les futurs parents entre le quatrième et le cinquième mois de grossesse à partir de la semaine prochaine. Réalisé avec la Cnaf (Caisse nationale des allocations familiales) et la caisse de mutualité sociale agricole, ce petit livret d’une quinzaine de pages vise à donner des repères éducatifs et pratiques aux parents avant la naissance d’un premier enfant.

Pour Laurence Rossignol, ce document permet de promouvoir l’éducation bienveillante. Dans la foulée du débat sur l’interdiction de la fessée, toujours aussi polémique, la ministre a en effet jugé que la diffusion des bonnes pratiques permettait de lutter plus efficacement contre les violences éducatives qu’une loi qui pourrait être perçue comme « une atteinte à l’autorité parentale » dans un pays où la fessée est considérée « comme une liberté éducative ». Rappeler aux parents « leurs droits et leurs devoirs » lui semble donc une stratégie plus efficace, avait-elle estimé avant l’audition de la France par le Comité des droits de l’enfant de l’ONU, en janvier dernier.

Le bébé "ne crie pas pour vous énerver"

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http://madame.lefigaro.fr/education/un-livret-des-parents-plutot-quune-loi-sur-la-fessee-education-040416-113711

Je crois bien que la fessée est pas bon mais j'ai jamais eu d'enfants pour le savoir.

C'est bien ces livrets!

Et la violence psychologique, on la laisse au placard ?

C'est personnel, mais je n'y crois pas trop à ce livret.

Il est bien ce livret, associé à un rendez-vous spécifique de façon à le commenter de part et d'autre, ce serait encore mieux.

Madame Rossignol se doit de justifier un salaire, dans son livret, elle aurait aussi pu parler de ces parents qui font des mômes sans avoir la moindre idée des responsabilités qui vont leur incomber, entre autre, l'éducation qui fait défaut à ces parents qui préfèrent sanctionner plutôt qu'éduquer.Il serait temps qu'on apprenne aux parents de ces gamins mal élevés (pour la plupart) ce qu'est le savoir vivre en société et qu'on ne laisse pas la tablette, la télé ou autre jeux abrutissants remplacer ou se substituer au rôle essentiel des parents.Il est vrai que travailler 35 heures par semaine est épuisant et que ces parents la aspirent à autre chose quand il rentre de leur dur labeur, ouvrir le congélateur et allez direct au micro onde. ouf...Burn out..mdr

Pourtant j'ai connu des femmes qui aimaient ca !

Peut-être avaient elles reçu des fessées Lorsqu'elles étaient petites :smile2:

Madame Rossignol se doit de justifier un salaire, dans son livret, elle aurait aussi pu parler de ces parents qui font des mômes sans avoir la moindre idée des responsabilités qui vont leur incomber, entre autre, l'éducation qui fait défaut à ces parents qui préfèrent sanctionner plutôt qu'éduquer.

Visiblement tu n'as pas lu le livret puisqu'il en est justement question.

Voir aussi l'entretien prénatal précoce...

J'ai jamais pris de fessées par ma mére mais j'aurais préféré au lieu des : " t'es pas ma fille", " que dieu te donne une maladie de laquelle tu ne guériras pas", "

" que Dieu te donne le cancer" Puis milieu des années 90 pour coller à l'actualité est apparu le fameux "

que dieu te donne le sida". :smile2:

Hier au supermarché.

Une maman avec son fils qui ne faisait que des conneries (courir, remplir le chariot avec n'importe quoi, ouvrir des paquets de bonbons, etc).

La maman :

"Arrête sinon, je vais me fâcher".

Le garçon continue ses conneries.

La maman :

"A trois, je vais me fâcher. Une, deux, trois".

Le gamin continue ses conneries.

La maman :

"Qu'est-ce que tu veux à la fin ! Attention, je vais me fâcher.".

Le gamin :"Je veux le jouet là-bas".

La maman:"Bon, je te l'achète, mais tu me promets de rester tranquille".

Le petit con :

"Oui, maman".

Il a eu son jouet. Il est devenu tranquille, juste un petit sourire en coin.

Personnellement, j'aurais rapidement réglé le problème par une bonne claque sur les fesses et pas de jouet.

Mes gosses ont tenté ce jeu. Ils ont rapidement compris que c'était peine perdue.