Viol : préjugés et idées fausses ont la vie dure

Je crois qu'on commence à tourner un peu en rond. J'ai essayé d'expliquer ce que j'avais à dire, ce que je ressentais par rapport à cette histoire, je suis plus quoi trop ajouter. Bon je réponds encore ce que je peux.

certains reconnaissent leurs torts après l’acte

Ça ça fait parti des trucs qui me gênent avec les mots d'ordre en cours : il y a sûrement des types qui prennent un max alors qu'après coup, ils sont certainement parfaitement conscients d'avoir completement déconné.

Que ces types paient leur faute, c'est le sens de la Justice ; qu'ils prennent la même chose que d'autres qui restent dangereux, c'est absurde. Ceux-là sont peut-être deja ravagés dévastés par leur propre connerie, traumatisés d'avoir bousille une vie. Ça doit exister.

Est-ce qu'il faut les enfermer dix ans ? Y'a pas mieux à faire ?

Comment les différencier, j'en ai aucune idée. Mais il faut deja chercher à le faire et pas tout jeter dans le même panier.

Je pense aussi qu’on parle de domination parce que l’agresseur prend le droit sans consentement de l’autre, il y a un abus de pouvoir

Et là encore une fois, non. Les types (professionnels) qui parlent de "domination", si j'en crois ce que j'ai lu ici, disent "sans rapport avec le désir sexuel"... c'est clair, non ?

Bon alors à force de dire que j'y crois pas, il y en a peut-être... j'en sais rien après tout. Moi j'y crois pas, voilà.

Ou alors je dis que ceux-la sont pathogiques, clairement : ils violeraient comme on tabasse, pour le plaisir ? Ils tabasseraient des femmes prises au hasard PARCE QUE ce sont des femmes ? Ben au fou !

Ou alors on va dire que ceux-là tabassent les femmes parce que ce sont des femmes comme les nazis gazaient les juifs parce que c'étaient des juifs ?

... alors dire que ces types sont normaux, non merci : ça si c'est pas les 10% alors j'y comprends plus rien ! (moi le curseur, j'ai tendance à le mettre par là)

Bref, c'est un autre débat : pour moi (c'est ça que je dis).

Tu veux dire que la personne perd ses repères dans le sens ou si fantasme de possession chez la femme et l’homme, que le violeur ne sait plus s’y retrouver dans ce qui est bien ou mal

La j'ai l'impression que tu vois pas bien ce que je veux dire avec ce fantasme de possession (sexuelle), pas grave.

(bon, disons qu'en gros, le problème est de savoir si c'est normal, jusqu'où ça l'est etc)

Bref.

De toutes façons, je crois qu'on est d'accord, en gros.

Et si les professionnels pouvaient s'accorder et deja discuter ensemble sur ce type de problème en allant jusque là, avec une réelle volonté de comprendre ce que dit l'autre, juste comme on vient de le faire tous les deux, on entendrait déjà moins de bêtises sur ces histoires. Et si on montrait pas à la télé les seins des femens à chaque fois qu'elle s'exhibent pour la bonne cause, on avancerait aussi un tout petit peu dans le débat à la con. M'enfin faut pas demander la lune non plus...

Bises

Je ne crois pas l'avoir dit plus tôt, si jamais je m'excuse de la redite, mais, on trouve dans l'étude : 95% des français ont conscience des graves conséquences des viols, des troubles qu'ils engendrent sur la santé des victimes.

Bon, à côté de ça on a : 21 % pensent que les femmes prennent du plaisir à être forcées

Un sur cinq, c'est beaucoup.

Oui c'est beaucoup, donc eux on pourrait dire qu'ils n'ont pas conscience des séquelles, c'est la logique, mais voilà... Ca ne marche pas dans les chiffres.

Ceci dit, ça depend comment est posée la question. Qu'une personne violée ressente du plaisir "mecaniquement" je dirais, des temoignages semblent en attester dans certains cas. Cela n'empêche pas, bien au contraire, les sequelles avec un rajout de culpabilité et de honte, et surtout ça ne légitime en rien le viol.

Je ne crois pas l'avoir dit plus tôt, si jamais je m'excuse de la redite, mais, on trouve dans l'étude : 95% des français ont conscience des graves conséquences des viols, des troubles qu'ils engendrent sur la santé des victimes.

Allons bon, des sondages maintenant. Après les professionnels les sondages en guise de savoir !

Elle est formulée comment, la question, juste pour voir ?

Je suggère :

- avez-vous conscience des graves conséquences des viols (cocher 1) ;

- êtes-vous totalement abruti ou un parfait salopard (cocher 2).

J'ai bon ?

Ping en fait on se demande comment les gens peuvent se faire comprendre à partir de trucs pareils, c'est ce que je relève oui.

Chapati tu es hors sujet ?

Chapati tu es hors sujet ?

Hein quoi ?

Je sais pas moi.

Je suis hors sujet ?

Je reprends un truc qui m'avait tilté dans l'article. Mais on dirait que tu n'as pas lu les liens ?

C'est le problème n° 1 morfou: Un prof ET un élève, dans cette situation je me demande comment un professionnel reste un jour de plus à rester son prof sur les lieux. Je profite de ce fil:

Fusco, le Cid, Agora, schimmhl,Sargel,nestor,fanette, dempsey, haume

agatha,verdangazert,papy33,agdal,plouc,chanou,kiss and go,zutesque,candide,

kanabae,ulysse,flopy, john citron,gégé, caneton,amadou,kronos,bounty67,mono,

alain20,mercantoni ....et si vous les croisez ramenez les a la maison

Message reçu!

en quoi ton exemple est-il pertinent? nous parlions de Gabrielle Russier et de son élève Christian Rossi, âgé de 17 ans et faisant physiquement un âge de 20 ans, il était grand, des épaules larges, un corps d'homme, une barbe très fournie, ... alors tes attaques me laissent totalement froides car tu ne fais que noyer des poissons par centaines de tonnes!

Vous qui êtes si carré sur les lois, celle-ci ne vous plait pas on dirait!

L'apparence physique n'a rien à voir à l'affaire, la loi dit qu'un prof ne peut coucher avec un élève!

La majorité en 1969 était à 21ans, entre parenthèse!

Donc, il était bien loin de sa majorité!

Et c'est moi qui noie le poisson? trop drôle!

Ce qui me semble grave, c'est la ringardisation de la bonne vieille morale. Lorsque l'on illustrait par une petite histoire appellée leçon de morale des concepts tels que " Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse" par exemple, on inculquait quelque part des valeurs qui ne coulent pas tant de source que ça. Tout se passe comme si des generations d'adultes, parents, educateurs, profs...etc.. ne remplissait plus leur devoir de transmettre la Loi aux plus jeunes.Il ne faut pas s'etonner du nombre croissant de gens incapable d'empathie et de reconaissance de l'autre en tant que semblable. C'est affigeant de voir des gens accusés et coupable de viol ne pas comprendre ce qu'ils ont fait de mal. Aucune conscience d'avoir transgressé. Ce n'est hélas pas rare.

La majorité sexuelle dans ce cas de figure n'a rien à voir!

Ce qui me semble grave, c'est la ringardisation de la bonne vieille morale. Lorsque l'on illustrait par une petite histoire appellée leçon de morale des concepts tels que " Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse" par exemple, on inculquait quelque part des valeurs qui ne coulent pas tant de source que ça. Tout se passe comme si des generations d'adultes, parents, educateurs, profs...etc.. ne remplissait plus leur devoir de transmettre la Loi aux plus jeunes.Il ne faut pas s'etonner du nombre croissant de gens incapable d'empathie et de reconaissance de l'autre en tant que semblable. C'est affigeant de voir des gens accusés et coupable de viol ne pas comprendre ce qu'ils ont fait de mal. Aucune conscience d'avoir transgressé. Ce n'est hélas pas rare.

C'est affigeant de voir des gens accusés et coupable de viol ne pas comprendre ce qu'ils ont fait de mal. Aucune conscience d'avoir transgressé. Ce n'est hélas pas rare.

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Et encore plus affligeant de lire des internautes les défendre....ça fait poser question....

Je reprends un truc qui m'avait tilté dans l'article. Mais on dirait que tu n'as pas lu les liens ?

Une fois dans ma vie, je me la suis joué Superman. Bon la fille aguichait ça oui !

Enfin oui oui plutôt.

Bref.

Donc au courant des usages et en bon citoyen censé connaître la loi et désireux de ne pas aller contre, je prends conscience à un moment que je n'ai pas droit à l'erreur : au "non" fatidique...

Ta da...

Oui je sais c'est affreux mais bref. Sur un coup de folie, je l'ai plaquée contre un mur et je lui ai fourré ma langue dans la bouche (afin d'être bien sûr qu'elle ne puisse dire "non").

Oui je sais c'est salaud, pardon pardon et pitié madame... m'enfin c'est logique aussi, rationnel quoi :blush:

Mon cœur tressaillit après coup : j'avais introduit un objet étranger à l'intérieur de la belle (ma langue dans l'intimité exclusive de sa bouche) : on n'était pas très loin des assises...

Effondré après cet acte, je rédigeais mon testament. Si les types me prenaient, je savais que je ne supporterais pas l'enfermement, des années loin de mon chat (qui sûrement dépérirait lui aussi de chagrin). Je jetais un coup d'œil las au dernier numéro de l'Express'qui traînait dans le coin : quinze ans au pire, voyons ça m'amenait à... aie aie, ah oui quand même !

Féministe ou nymphomane, pensais-je, tel Hamlet, en tenant dans la main le crâne reptilien qui orne mon bureau.

Dans le troisième tiroir de gauche, mon revolver m'attendait. Je le chargeais maladroitement au cas où la marée-chaussée cognerait à la porte. Tout étais prêt. J'étais prêt, seul face à mon destin.

Quelques nuits plus tard, la donzelle me parlait encore de ce moment qui l'avait mise dans un état second. Faut dire qu'elle était nymphomane, donc aussi malade que moi faut le préciser (sinon les lecteurs comprendraient pas). Deux pathologies qui se rencontrent, alléluia et dzim boum tagada.

N'empêche j'ai eu drôlement chaud. Maintenant je les bâillonne et leur fait signer une déposition comme quoi elles sont d'accord. Dans un sens c'est moins sexy mais avec l'âge on devient plus responsable.

Une fois dans ma vie, je me la suis joué Superman. Bon la fille aguichait ça oui !

Enfin oui oui plutôt.

Bref.

Donc au courant des usages et en bon citoyen censé connaître la loi et désireux de ne pas aller contre, je prends conscience à un moment que je n'ai pas droit à l'erreur : au "non" fatidique...

Ta da...

Oui je sais c'est affreux mais bref. Sur un coup de folie, je l'ai plaquée contre un mur et je lui ai fourré ma langue dans la bouche (afin d'être bien sûr qu'elle ne puisse dire "non").

Oui je sais c'est salaud, pardon pardon et pitié madame... m'enfin c'est logique aussi, rationnel quoi :blush:

Mon cœur tressaillit après coup : j'avais introduit un objet étranger à l'intérieur de la belle (ma langue dans l'intimité exclusive de sa bouche) : on n'était pas très loin des assises...

Effondré après cet acte, je rédigeais mon testament. Si les types me prenaient, je savais que je ne supporterais pas l'enfermement, des années loin de mon chat (qui sûrement dépérirait lui aussi de chagrin). Je jetais un coup d'œil las au dernier numéro de l'Express'qui traînait dans le coin : quinze ans au pire, voyons ça m'amenait à... aie aie, ah oui quand même !

Féministe ou nymphomane, pensais-je, tel Hamlet, en tenant dans la main le crâne reptilien qui orne mon bureau.

Dans le troisième tiroir de gauche, mon revolver m'attendait. Je le chargeais maladroitement au cas où la marée-chaussée cognerait à la porte. Tout étais prêt. J'étais prêt, seul face à mon destin.

Quelques nuits plus tard, la donzelle me parlait encore de ce moment qui l'avait mise dans un état second. Faut dire qu'elle était nymphomane, donc aussi malade que moi faut le préciser (sinon les lecteurs comprendraient pas). Deux pathologies qui se rencontrent, alléluia et dzim boum tagada.

N'empêche j'ai eu drôlement chaud. Maintenant je les bâillonne et leur fait signer une déposition comme quoi elles sont d'accord. Dans un sens c'est moins sexy mais avec l'âge on devient plus responsable.

Faites plus simple, enregistrez....

La majorité sexuelle dans ce cas de figure n'a rien à voir!

C'est affigeant de voir des gens accusés et coupable de viol ne pas comprendre ce qu'ils ont fait de mal. Aucune conscience d'avoir transgressé. Ce n'est hélas pas rare.

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Et encore plus affligeant de lire des internautes les défendre....ça fait poser question....

Décadente et malsaine la gauchaillerie comme toujours, Libération en tête:

Il y a de quoi rester pantois devant l’impunité d’une certaine caste d’intouchables, celle des intellectuels de gauche.

Libération publiait, mardi, un article au vitriol dénonçant, à juste titre, les actes pédophiles ô combien honteux d’une minorité de prêtres catholiques et la non moins honteuse couverture qui leur aurait été offerte – la justice n’a pas statué – par le cardinal Barbarin.

À la lecture de cet article, on est néanmoins en droit de se demander si les journalistes, et en particulier ceux de la presse subventionnée aux ordres du Parti socialiste, souffrent d’amnésie ou se moquent ostensiblement de leurs lecteurs toujours moins nombreux.

En effet, il y a de quoi rester pantois devant l’impunité d’une certaine caste d’intouchables, celle des intellectuels de gauche. Spécifiquement face au crime terrible qu’est la pédophilie, peut-être le pire d’entre tous. Nombre d’entre eux ont, par le passé, franchi la ligne rouge en assouvissant et en assumant ouvertement leurs plus abjectes pulsions sans jamais être inquiétés par la justice ni freinés dans leurs carrières respectives.

Revenons sur les faits, au hasard de ma connaissance, qui bien entendu est loin, très loin d’être exhaustive.

En 1977, trois inculpés pour attentat à la pudeur sur mineur de moins de 15 ans (excusez du peu) croupissent à la place qui est la leur, à savoir en prison, et ce depuis trois ans. Un certain nombre de personnages, parmi lesquels Guy Hocquenghem, Patrice Chéreau, Philippe Sollers et Gabriel Matzneff, de grands penseurs français, mais aussi Jack Lang, Bernard Kouchner, ex-ministres de la République, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre, deux philosophes portés au pinacle pour leurs combats ainsi que leurs écrits, signent une tribune de soutien dans Le Monde, parue le 26 janvier 1977 sous le titre « Trois ans de prison pour des caresses et un baiser, ça suffit ! »

Quelques temps plus tard, Libération publie un long papier titré « Apprenons l’amour à nos enfants », à l’illustration tristement non équivoque. Je me garderai bien de la publier ici, mais grâce à notre ami Google, elle demeure assez simple à retrouver pour ceux qui auraient la curiosité et le courage de chercher.

On verra aussi, au début des années 80, le même journal Libération donner la parole à un certain Jacques Dugué, pédophile notoire arrêté un peu plus tard dans le cadre d’une affaire de viol et de pornographie enfantine (là encore, excusez du peu), et militer ouvertement pour la sexualisation des enfants à travers des articles de son fondateur Serge July, qui défendait l’idée que l’on puisse aimer des enfants physiquement. Bien entendu, quiconque se permettra d’émettre la moindre critique quant à la morale douteuse de telles pratiques sera aussitôt accusé d’être réactionnaire. Déjà, à l’époque, les vieilles méthodes de terrorisme intellectuel étaient utilisées.

Évidemment, il ne faudrait pas omettre l’inénarrable Daniel Cohn-Bendit, dit Dany le rouge, chef de file des Verts et député européen, qui se vante à travers son livre Le Grand Bazar se faire ouvrir la braguette et chatouiller par des enfants, et d’en être tout excité.

Tout cela est passé de mode vers la seconde moitié des années 80. Probablement le monde n’était-il pas prêt, que voulez-vous : les « réacs » et les « bourgeois » avaient triomphé pour cette fois. Néanmoins, le mal était fait. Et comme je le disais plus haut, aucun de ces individus n’a été inquiété. Pire encore : tous ont été érigés en « grands » de leur époque et ont occupé, voire occupent encore, les plus hautes fonctions politico-médiatiques et dispensent à tout va leurs vérités absolues et autres leçons de morale comme si de rien n’était.

Ça ça fait parti des trucs qui me gênent avec les mots d'ordre en cours : il y a sûrement des types qui prennent un max alors qu'après coup, ils sont certainement parfaitement conscients d'avoir completement déconné.

Que ces types paient leur faute, c'est le sens de la Justice ; qu'ils prennent la même chose que d'autres qui restent dangereux, c'est absurde. Ceux-là sont peut-être deja ravagés dévastés par leur propre connerie, traumatisés d'avoir bousille une vie. Ça doit exister.

Est-ce qu'il faut les enfermer dix ans ? Y'a pas mieux à faire ?

Comment les différencier, j'en ai aucune idée. Mais il faut deja chercher à le faire et pas tout jeter dans le même panier.

J'aurais pensé que tu aurais pu dire "pourquoi la sanction qui est prise n'est jamais la même.

Je crois qu'on commence à tourner un peu en rond. J'ai essayé d'expliquer ce que j'avais à dire, ce que je ressentais par rapport à cette histoire, je suis plus quoi trop ajouter. Bon je réponds encore ce que je peux. La j'ai l'impression que tu vois pas bien ce que je veux dire avec ce fantasme de possession (sexuelle), pas grave. (bon, disons qu'en gros, le problème est de savoir si c'est normal, jusqu'où ça l'est etc)

Tout à fait, c’est ce que j’ai pensé en écrivant mais je ne pouvais pas faire mieux dans mes écrits et exact, une partie doit rester incompréhensible pour moi sur ce que tu évoques sur le fantasme de possession et c’est ce qui fait que le dialogue tourne en rond malgré tes explications et qu’il est d’ailleurs inutile d’aller plus loin à ce niveau.

Ça ça fait parti des trucs qui me gênent avec les mots d'ordre en cours : il y a sûrement des types qui prennent un max alors qu'après coup, ils sont certainement parfaitement conscients d'avoir completement déconné.

Que ces types paient leur faute, c'est le sens de la Justice ; qu'ils prennent la même chose que d'autres qui restent dangereux, c'est absurde. Ceux-là sont peut-être deja ravagés dévastés par leur propre connerie, traumatisés d'avoir bousille une vie. Ça doit exister.

Est-ce qu'il faut les enfermer dix ans ? Y'a pas mieux à faire ?

Comment les différencier, j'en ai aucune idée. Mais il faut deja chercher à le faire et pas tout jeter dans le même panier.

Comme tu le dis, c’est le sens de la justice de faire payer la faute même si je trouve aussi qu’une personne qui va être traumatisée d’avoir gâché une vie ne mérite pas une peine aussi sévère que l’autre qui reste dangereux après je pense que les médecins, professionnels doivent bien savoir les différencier. Et encore une fois, je ne sais pas comment cela se passe dans les procès sur les violeurs mais il y en a qui ont des sanctions différentes, qu’est ce qui est pris en compte pour que tous n’ont pas les mêmes condamnations à part, celles qui sont évoquées couramment.

Et là encore une fois, non. Les types (professionnels) qui parlent de "domination", si j'en crois ce que j'ai lu ici, disent "sans rapport avec le désir sexuel"... c'est clair, non ?

Bon alors à force de dire que j'y crois pas, il y en a peut-être... j'en sais rien après tout. Moi j'y crois pas, voilà.

Ou alors je dis que ceux-la sont pathogiques, clairement : ils violeraient comme on tabasse, pour le plaisir ? Ils tabasseraient des femmes prises au hasard PARCE QUE ce sont des femmes ? Ben au fou !

Ou alors on va dire que ceux-là tabassent les femmes parce que ce sont des femmes comme les nazis gazaient les juifs parce que c'étaient des juifs ?

... alors dire que ces types sont normaux, non merci : ça si c'est pas les 10% alors j'y comprends plus rien ! (moi le curseur, j'ai tendance à le mettre par là)

Bref, c'est un autre débat : pour moi (c'est ça que je dis).

Par rapport à cela, je l’ai compris dans le sens où pour les professionnels, l’acte sexuel du violeur n’est pas normal donc pas de désir sexuel comme une personne qui aurait une relation saine et pourrait avoir du désir. Sans rapport avec le désir, c’est-à-dire sans rapport avec la normalité enfin il me semble mais cela ne veut pas dire que le « désir sexuel » du violeur ne peut pas être l’une des raisons qui fait que le violeur va passer à l’acte, c’est pour cela que pour moi, il y a les deux, (désir et domination) mais en même temps quand on lit des articles sur les violeurs, on a l’impression qu’ils ne parlent que des dix pour cent ou des personnes qui ont une très grande violence. Alors qu’il y a par exemple des violeurs qui vont violer sans l’intention de nuire mais parce qu’ils ont un désir sexuel, le problème c’est que ceux-ci ont quand même une image dégradante d’eux ou des femmes pour commettre l’acte sans leur consentement quand on sait en plus, les traumatismes que cela cause chez la victime.

Bref.

De toutes façons, je crois qu'on est d'accord, en gros.

Et si les professionnels pouvaient s'accorder et deja discuter ensemble sur ce type de problème en allant jusque là, avec une réelle volonté de comprendre ce que dit l'autre, juste comme on vient de le faire tous les deux, on entendrait déjà moins de bêtises sur ces histoires. Et si on montrait pas à la télé les seins des femens à chaque fois qu'elle s'exhibent pour la bonne cause, on avancerait aussi un tout petit peu dans le débat à la con. M'enfin faut pas demander la lune non plus...

Bises

Tout à fait d’accord, je suis assez contre les femens et d’autres féministes mais pas tous, celles qui tiennent compte de ce que veut la femme et va combattre pour l’aider oui, mais les féministes qui cherchent à imposer leurs idées, c’est un peu dans un rapport de force et elles agissent plus ou moins pareil que les hommes qu’elles critiquent alors qu’il faut avant tout pouvoir installer un climat d’égalité pour arriver à l’obtenir si c’est ce que certaines prétendent vouloir défendre.

Je rêve...

Parce que le type "aurait" pris conscience de ce qu'il a fait, détruit une vie, il faudrait qu'il soit puni MOINS sévèrement?

Pourquoi? pour pouvoir récidivez et redire la même chose?

http://www.institutpourlajustice.org/wp-content/uploads/2012/10/Les-ve%CC%81ritables-chiffres-de-la-re%CC%81cidive-sexuelle.pdf

6 ou 24%?

Je rêve...

Parce que le type "aurait" pris conscience de ce qu'il a fait, détruit une vie, il faudrait qu'il soit puni MOINS sévèrement?

Pourquoi? pour pouvoir récidivez et redire la même chose?

http://www.institutpourlajustice.org/wp-content/uploads/2012/10/Les-ve%CC%81ritables-chiffres-de-la-re%CC%81cidive-sexuelle.pdf

6 ou 24%?

De toute façon, celui qui récidive est puni plus sévèrement et entre une personne qui a du remord et qui ne recommencera par prise de conscience importante, il est clair que je trouve que celui-ci mérite une peine moins élevée que celui qui n'en prend pas conscience et va de toute évidence souvent récidiver.

Message reçu!

Vous qui êtes si carré sur les lois, celle-ci ne vous plait pas on dirait!

L'apparence physique n'a rien à voir à l'affaire, la loi dit qu'un prof ne peut coucher avec un élève!

La majorité en 1969 était à 21ans, entre parenthèse!

Donc, il était bien loin de sa majorité!

Et c'est moi qui noie le poisson? trop drôle!

oui, la loi l'interdisait mais uniquement si il y avait plainte... or au début, il n'y en avait pas... je suis "carré", cette plainte n'aurait jamais du aboutir car il n'y a pas eu viol, ni agression... il y avait le fait que deux personnes matures sexuellement soient tombées amoureuses l'une de l'autre et ceci sous le regard étonné mais au début bienveillant des parents. et le fait que l'une soit prof et l'autre, élève, n'entre pas en ligne de compte, la plainte étant établie sur "détournement de mineur"... si tu veux être "carré", morfou, prend le tout en considération. tu parles de majorité civile, morfou, tu as oublié la majorité sexuelle de l'époque, 18 ans pour un garçon et 16 ans pour une fille si mes souvenirs sont bons. je te rappelle le topic: "viol: préjugés et idées fausses ont la vie dure", bonne journée, et je ne noie aucun poisson! je trouve affreux que cette jeune femme se soit tuée pour échapper à un lynchage populaire et juridique... tout cela parce qu'elle a osé aimer... tu veux tellement la démolir que tu en oublies ses propres enfants devenus orphelins de mère. jacky.