Aller au contenu

Lineole

Messages recommandés

Membre, Posté(e)
Lineole Membre 715 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je n'ai pas parlé de métier d'ailleurs... Voileux !

J'ai parlé de coopération, de partage, d'éducation, de continuité de l'apprentissage !

Un adulte qui croit n'avoir plus à apprendre des autres est un vieil enfant, dangereux, surtout pour les siens...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 44
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, 44ans Posté(e)
carnifex Membre 5 710 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)

La natalité produit une consommation, voulue pour absorber la surproduction structurelle de la recherche du profit...

La natalité produit des besoins, pas forcément de la consommation. Entre les besoins et la consommation, il y a en général une variable : la solvabilité, au niveau individuel, la répartition des revenus, à l’échelle de la société.

Le chômage (la main d'oeuvre en trop) est son résidu, il n'est pas absorbable, s'accumule, comme des déchets du système.

Le chômage était pourtant bien plus faible dans les années 60, alors que la natalité était plus forte.

Les pays d’europe avec un accroissement naturel nul ou négatif connaissent aujourd’hui un chômage souvent supérieur au nôtre.

Le chômage est le résultat d’une série de facteurs, parmi lesquels la natalité n’est pas un facteur déterminant.

Le facteur le plus décisif est à mon sens le fait que les gains de productivité soient convertis en profit supplémentaire et en suppression d’emplois plutôt qu’en réduction du temps de travail. Ce fait constitue un facteur de chômage immédiat évident, mais aussi indirect en ce qu’il s’accompagne d’une réduction de la part des salaires dans la valeur ajoutée, laquelle réduit la demande.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Qui dans ce cas fournira de l'agriculture, qui construira , voitures et maisons, qui donnera l'éducation (quand on voit les carences dans ce domaine) La différence entre la bête sauvage et l'homme réside dans le fait que la bête chasse pour manger , l'homme en théorie s'avère complémentaire , le boulanger fait le pain pour le maçon qui lui fait sa maison et son four et ainsi de suite...Cela c'est la grande théorie ,car en 2016 , beaucoup attendent la gueule ouverte, quelques uns travaillent , nous sommes à la fin d'un cycle tout bonnement...

Effectivement nous sommes à la fin d'un cycle, l'industrie débauche, l'agriculture occupe de moins en moins de paysans et le tertiaire se robotise.

Résultat, il n'y a que quelques uns qui ont accès à l'emploi et ils seront de moins en moins nombreux.

Conséquence: il faudra réfléchir comment répartir les richesse produites autrement.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Lineole Membre 715 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La natalité produit des besoins, pas forcément de la consommation. Entre les besoins et la consommation, il y a en général une variable : la solvabilité, au niveau individuel, la répartition des revenus, à l’échelle de la société.

Oui, et ? En quoi cela diffèrent-il de ce que je disais bien plus haut ?

Le chômage était pourtant bien plus faible dans les années 60, alors que la natalité était plus forte.

Les pays d’europe avec un accroissement naturel nul ou négatif connaissent aujourd’hui un chômage souvent supérieur au nôtre.

Lesquels ?

Le chômage est le résultat d’une série de facteurs, parmi lesquels la natalité n’est pas un facteur déterminant.

Le facteur le plus décisif est à mon sens le fait que les gains de productivité soient convertis en profit supplémentaire et en suppression d’emplois plutôt qu’en réduction du temps de travail. Ce fait constitue un facteur de chômage immédiat évident, mais aussi indirect en ce qu’il s’accompagne d’une réduction de la part des salaires dans la valeur ajoutée, laquelle réduit la demande.

Réduction jusqu'à quel point et de combien pour les salaires ?

Ou quelle forme de redistribution ?

Effectivement nous sommes à la fin d'un cycle, l'industrie débauche, l'agriculture occupe de moins en moins de paysans et le tertiaire se robotise.

Résultat, il n'y a que quelques uns qui ont accès à l'emploi et ils seront de moins en moins nombreux.

Conséquence: il faudra réfléchir comment répartir les richesse produites autrement.

:plus:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
voileux Membre 7 613 messages
Mentor‚
Posté(e)

Effectivement nous sommes à la fin d'un cycle, l'industrie débauche, l'agriculture occupe de moins en moins de paysans et le tertiaire se robotise.

Résultat, il n'y a que quelques uns qui ont accès à l'emploi et ils seront de moins en moins nombreux.

Conséquence: il faudra réfléchir comment répartir les richesse produites autrement.

Je suis entièrement d'accord avec toi.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×