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Un amour d'enfance.


PASCOU

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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...je ne sens pas la pluie qui ruisselle dans mon cou.

Les nuages sombres et bas semblent accrochés au préau ou il manque quelques ardoises. Je me réfugie à l'abri , me retournant sur une cour déserte et sur mes souvenirs.

...

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PASCOU Membre 92 138 messages
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....dans mes souvenirs, la cour était rectangulaire, en fait elle formerait plus un triangle rectangle avec le sommet coupé par un petit appentis, ancienne remise à charbon du temps passé ou le poêle à charbon trônait au fond des classe, enfin il me semble.

La pluie ayant cessé, je me dirigeais vers le portail en fer forgé, lourd, me souvenant du jour ou je m'étais coincé le doigt en me balançant dessus avec mes petits camarades, du sang et des femmes qui accourent.

Curieux comme les souvenirs remontent , le porte bagage sur le vélo de ma mère qu'en elle était en retard. De son rire et de sa joie, puis de ses:

tiens toi bien Pascou!

Comment aurais je pu la lâcher ,ma tête contre son dos!.

Mais c'est elle qui me lâcha, enfin le destin, quelques années plus tard.

Laissant derrière moi la cour et mes souvenirs, je traversais la place à grande enjambées, me retrouvant devant une bâtisse ancienne ou une petite cour dessinée par des murs en pierres surmontés de grilles rouillées, était commune. La porte était ouverte, étroite, donnant un escalier tout autant montant de façon très raide en deux quarts de tours, Un porte sale au rez de chaussée donnait sur ce qui se prétendait un appartenant, une odeur de mauvaise cuisine et de crasse .

De la musique , Brassens il me semble.

Je cognais à la porte du premier et dernier étage, coté droit.....

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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...aucune réponse je poussais la porte suur une seule pièce, sur la gauche une cheminée ou quelques planches se consumaient en fumant. Dans le prolongement une fenêtre masquée en partie par une sorte de couverture épaisse accrochée à deux clous.

Plus loin un évier en grès blanc à deux bacs, sur l'égouttoir un verre sale, une fourchette et un saladier ou un reste de riz était couvert de moisi .La musique s'était tue et seul le bruit sur les vitres troublait les lieux. Dehors la pluie tombait.

Sur la droite un matelas posé à même le plancher de bois ou des moutons trainaient entre les lattes disjointes. De part et d'autre des sortes de tabourets ou petits bancs mais haut, comme ceux de l'église ou on pose les cercueils, noirs, avec des objets divers posés dessus dont un poste radio, un paquet de cigarette ouvert sur une cartouche de Dunhil .

Une lampe au bout de de deux fils électriques pendait de travers , couverte de merde de mouche.

Un fauteuil voltaire je pense, seul mobilier potable, je remuais le bois dans la cheminée, m'enfonçait dans le fauteuil et commençait à attendre patiemment.....

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Un courant d'air entra sitôt la porte ouverte !

Se tenant sur le pas de la porte, l'air hagard , Joe Cocker,enfin c'est le surnom de celui qui me fixe.

Faut dire que la taille, la corpulence et la tignasse faisait penser à celui ci qu'il écoutait en boucle.

Et lui: « mais putain, comment t'es entré »

- « par la porte Joe, par la porte elle était ouverte »

- « merde, je perds les pédales ! »

Curieux le contraste entre sa corpulence et son coté parano !

Un jour qu'il fumait un joint , j'avais crié ; « putain, les flics »

Pas eut le temps de faire ouf ,qu' il était déjà passé par la fenêtre comme un type qui n'a rien à se reprocher!Il s'était cassé le bras, faut éviter de sauter dans le vide quand on ne sait pas ou on atterri !

Les jours suivants,même peut être bien les mois, il racontait son agression par une bande de voyous qu'il avait tabassé.

- « Joe,il n' y a rien à voler chez toi ,Je cherche la Mouche ,tu l'as vu ? »

- « je ne lui parle plus »

- « je ne te demande pas si tu couches avec lui, juste si tu l'as vu » !

- « il traîne le soir dans un petit bar , dans la ruelle près des bains douches »

- « Je suppose que toi tu traînes aux bains douches »

- « Ta gueule »

- « Et ton bras? »

- « Ta gueule »

Je me levais et décampais, Joe, c'était tout un poème.

Je l'ai revu il y a quelques temps, je prenais un café à une terrasse, en lisant lejournal, quand sortant du bus, en jupe, un sac en bandoulière ,mon Joe !

Et lui, tout heureux de me voir qui me saute dessus, avec sa dégaine de travelo sur le retour !

Avec sa voix de ténor, génial pour passer incognito.

Bonjour la dégaine !

- « t'es en string la dessous Joe »

- « ta gueule, toujours aussi con, tu payes un coup, je suis fauché »

- « Ah !Le tapin ça eu payé ? »........

Un courant d'air entra sitôt la porte ouverte !

Se tenant sur le pas de la porte, l'air hagard , Joe Cocker,enfin c'est le surnom de celui qui me fixe.

Faut dire que la taille, la corpulence et la tignasse faisait penser à celui ci qu'il écoutait en boucle.

Et lui: « mais putain, comment t'es entré »

- « par la porte Joe, par la porte elle était ouverte »

- « merde, je perds les pédales ! »

Curieux le contraste entre sa corpulence et son coté parano !

Un jour qu'il fumait un joint , j'avais crié ; « putain, les flics »

Pas eut le temps de faire ouf ,qu' il était déjà passé par la fenêtre comme un type qui n'a rien à se reprocher!Il s'était cassé le bras, faut éviter de sauter dans le vide quand on ne sait pas ou on atterri !

Les jours suivants,même peut être bien les mois, il racontait son agression par une bande de voyous qu'il avait tabassé.

- « Joe,il n' y a rien à voler chez toi ,Je cherche la Mouche ,tu l'as vu ? »

- « je ne lui parle plus »

- « je ne te demande pas si tu couches avec lui, juste si tu l'as vu » !

- « il traîne le soir dans un petit bar , dans la ruelle près des bains douches »

- « Je suppose que toi tu traînes aux bains douches »

- « Ta gueule »

- « Et ton bras? »

- « Ta gueule »

Je me levais et décampais, Joe, c'était tout un poème.

Je l'ai revu il y a quelques temps, je prenais un café à une terrasse, en lisant lejournal, quand sortant du bus, en jupe, un sac en bandoulière ,mon Joe !

Et lui, tout heureux de me voir qui me saute dessus, avec sa dégaine de travelo sur le retour !

Avec sa voix de ténor, génial pour passer incognito.

Bonjour la dégaine !

- « t'es en string la dessous Joe »

- « ta gueule, toujours aussi con, tu payes un coup, je suis fauché »

- « Ah !Le tapin ça eu payé ? »........

La nuit commençait à tomber et l'éclairage public de s'allumer, les rues étaient désertes avec ce vent même si la pluie n'était plus, ça n'incitait pas à flâner.

Le café des voyageurs était ouvert, la terrasse en demi cercle vide ;

Je poussais la porte, au bar, les habitués!

La patronne me faisait toujours la bise comme si j'avais encore vingt ans !

Son mari lui m'évitait soigneusement, m'ignorant !

Couilles molles, c'était son surnom !

Tout ça remontait il y a une dizaine d'années, il était toujours au Pastis ce fainéant ..

Puis un jour qu'il avait picolé plus que de coutume il s'était embrouillé avec sa femme et s'était mis à lui taper sur la figure, là au bout du bar sous les yeux des clients !

Et surtout sous mon nez, je lui avais dit calmement :

- « Couilles molles ».

Il s'était retourné vers moi, laissant sa femme Fanfan.

- « tu disais ? »

je restais silencieux , il se mis à me brailler dessus, son visage rouge s'approchant du mien.

Le café était devenu silencieux, les derniers mots entendu étaient , belote et ….restés en suspend des joueurs de cartes derrière moi.

Sur mon tabouret haut perché mon visage se trouvait maintenant à hauteur de celui du patron de bistrot.

Je n'ai jamais aimé entendre crier, à la maison mes parents expliquaient sans le faire.

Je me souviens du jour ou j'avais voulu taper le chien m'ayant complètement détruit un modèle réduit de voiture, une Renault quatre chevaux offerte par mon oncle.

Papa m'avait attrapé le bras au vol et crié - « Non Pascou ! »

On ne frappe pas le chien,et puis il m'avait expliqué que le chien ne faisait pas mal, pour lui ce n'était qu'un objet sans importance.

Il m'avait aussi expliqué comment le reprendre d'une voix ferme mais sans violence !

Je voyais se balancer devant moi comme une grosse pivoine rouge de colère .

Je n'entendais plus rien,juste les mouvement de sa bouche à l'odeur fétide qui devait hurler, puis sa main esquissa un geste contre moi, j'esquivais le coup, détendis le bras avec force et précision, au centre de la pivoine sur sa grosse truffe de connard, je vis presque les pétales s'éparpiller comme les feuilles mortes en automne.

Sa bouche s'ouvrit si grand qu'on aurait pu voir le fond de son slip.

Il tituba en reculant et s'affala dans les caisses de bouteilles vides derrière le comptoir et disparu un moment.

Un courant d'air entra sitôt la porte ouverte !

Se tenant sur le pas de la porte, l'air hagard , Joe Cocker,enfin c'est le surnom de celui qui me fixe.

Faut dire que la taille, la corpulence et la tignasse faisait penser à celui ci qu'il écoutait en boucle.

Et lui: « mais putain, comment t'es entré »

- « par la porte Joe, par la porte elle était ouverte »

- « merde, je perds les pédales ! »

Curieux le contraste entre sa corpulence et son coté parano !

Un jour qu'il fumait un joint , j'avais crié ; « putain, les flics »

Pas eut le temps de faire ouf ,qu' il était déjà passé par la fenêtre comme un type qui n'a rien à se reprocher!Il s'était cassé le bras, faut éviter de sauter dans le vide quand on ne sait pas ou on atterri !

Les jours suivants,même peut être bien les mois, il racontait son agression par une bande de voyous qu'il avait tabassé.

- « Joe,il n' y a rien à voler chez toi ,Je cherche la Mouche ,tu l'as vu ? »

- « je ne lui parle plus »

- « je ne te demande pas si tu couches avec lui, juste si tu l'as vu » !

- « il traîne le soir dans un petit bar , dans la ruelle près des bains douches »

- « Je suppose que toi tu traînes aux bains douches »

- « Ta gueule »

- « Et ton bras? »

- « Ta gueule »

Je me levais et décampais, Joe, c'était tout un poème.

Je l'ai revu il y a quelques temps, je prenais un café à une terrasse, en lisant lejournal, quand sortant du bus, en jupe, un sac en bandoulière ,mon Joe !

Et lui, tout heureux de me voir qui me saute dessus, avec sa dégaine de travelo sur le retour !

Avec sa voix de ténor, génial pour passer incognito.

Bonjour la dégaine !

- « t'es en string la dessous Joe »

- « ta gueule, toujours aussi con, tu payes un coup, je suis fauché »

- « Ah !Le tapin ça eu payé ? »........

La nuit commençait à tomber et l'éclairage public de s'allumer, les rues étaient désertes avec ce vent même si la pluie n'était plus, ça n'incitait pas à flâner.

Le café des voyageurs était ouvert, la terrasse en demi cercle vide ;

Je poussais la porte, au bar, les habitués!

La patronne me faisait toujours la bise comme si j'avais encore vingt ans !

Son mari lui m'évitait soigneusement, m'ignorant !

Couilles molles, c'était son surnom !

Tout ça remontait il y a une dizaine d'années, il était toujours au Pastis ce fainéant ..

Puis un jour qu'il avait picolé plus que de coutume il s'était embrouillé avec sa femme et s'était mis à lui taper sur la figure, là au bout du bar sous les yeux des clients !

Et surtout sous mon nez, je lui avais dit calmement :

- « Couilles molles ».

Il s'était retourné vers moi, laissant sa femme Fanfan.

- « tu disais ? »

je restais silencieux , il se mis à me brailler dessus, son visage rouge s'approchant du mien.

Le café était devenu silencieux, les derniers mots entendu étaient , belote et ….restés en suspend des joueurs de cartes derrière moi.

Sur mon tabouret haut perché mon visage se trouvait maintenant à hauteur de celui du patron de bistrot.

Je n'ai jamais aimé entendre crier, à la maison mes parents expliquaient sans le faire.

Je me souviens du jour ou j'avais voulu taper le chien m'ayant complètement détruit un modèle réduit de voiture, une Renault quatre chevaux offerte par mon oncle.

Papa m'avait attrapé le bras au vol et crié - « Non Pascou ! »

On ne frappe pas le chien,et puis il m'avait expliqué que le chien ne faisait pas mal, pour lui ce n'était qu'un objet sans importance.

Il m'avait aussi expliqué comment le reprendre d'une voix ferme mais sans violence !

Je voyais se balancer devant moi comme une grosse pivoine rouge de colère .

Je n'entendais plus rien,juste les mouvement de sa bouche à l'odeur fétide qui devait hurler, puis sa main esquissa un geste contre moi, j'esquivais le coup, détendis le bras avec force et précision, au centre de la pivoine sur sa grosse truffe de connard, je vis presque les pétales s'éparpiller comme les feuilles mortes en automne.

Sa bouche s'ouvrit si grand qu'on aurait pu voir le fond de son slip.

Il tituba en reculant et s'affala dans les caisses de bouteilles vides derrière le comptoir et disparu un moment.

Le sang coulait un peu de son gros blair quand il se releva aidé par Fanfan pour la forme !

D'un doigt vengeur et menaçant, il me cria: « t'es tricard ici, dégage »

Je finissais tranquillement mon verre sans bouger, sa femme lui dit d'aller là haut se nettoyer , il obtempéra profitant de l’échappatoire et je ne le revis plus, il devait cuver.

Au bar, ça jasait un peu.

Je serrais la main de la Fouine qui venait d'arriver !

- « ça va fit il ? »

- « oui,toi ? »

- « oui bien ,tu es revenu dans le coin ?»

- « je cherche la mouche »

- « ah !Pas vu, il te doit du blé ? »

- « non, comme ça , on va se faire un billard, c'est ouvert je crois ?»

- « ok !Je vais te mettre la raclée, billard français ? »

- « oui »

Puis on sortait, la nuit était tombée cette fois.

La Fouine, c'était un ami de toujours....

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Deux trois rues à pied et un autre bar.

La salle de billard était à l'étage, on payait à l'heure et d'avance ;

Le patron prit la commande et nous laissa monter.Il n' y avait personne, les trois billards étaient libres, un billard américain, mais je n'aime pas trop, un billard Russe je crois mais pas certain et le billard français, ou billard carambole du fait qu'il se joue à trois boules ou billes, une blanche et deux rouges.

Le but jouer avec la blanche et caramboler les deux rouges, ça fait un point.

On peut aussi compliquer le jeu en jouant sur la bande.

La fouine était excellent à ce jeu , faut dire aussi qu'il passait du temps.

On carambolait en silence, pour l'instant c'était son tour.

Puis, c'est lui qui parla en premier :

- « tu te souviens Pascou quand les week ends on pariait au billard, c'étai tle bon temps, non ? »

- « oui, on se marrait bien à rouler tous ces types »

En fait on squattait le billard le vendredi soir en attendant que le bar se remplisse et que ça monte pour jouer.

Il y avait toujours des pigeons pour venir se mesurer, moi je jouais normalement, mais la Fouine, lui il savait retenir ses coups et donner l'impression de les rater mais de peu.

Les types pensaient nous battre et pariaient souvent peu au début , puis de plus en plus.

Alors quand on sentait que le moment était venu, on misait une somme plus importante, que souvent les autres doublaient.

Puis la partie commençait et c'est là que la Fouine entrait en jeu, il les laissait nous distancer un peu puis remontait doucement d'une main assurer en disant, je suis meilleur quand j'ai un peu picolé.

Et il finissait toujours par gagner de justesse.

Les types souvent en plus nous remerciaient pour la partie et nous payaient un verre .

- « J'imagine la tête de ta mère si elle avait su »

- « Oui, déjà caramboler, mais en plus tricher, la honte »

- « Finalement moi je suis clean dans ces coups là »

- « Complice ,non ? »

- « De toute façon il y a prescription ! »

Et il me mit la raclée au billard,

on prenait un verre au bar quand il me dit :

-« tu sais que la grande Véro est revenue ? »

- « je n'en savais rien, elle crèche ou ? »

- « Ah !oui ,je te vois venir, mais honnêtement je n'en sais rien»

Puis on se quitta sur le trottoir .

La nuit allait être froide, quelques voitures roulaient encore, une bande de jeunes sortant d'un café, parlaient bruyamment en se bousculant, onze heures sonnaient à l'église Notre Dame quand je descendais la rue du centre.

Je ne sais pas si je devenais parano, mais une voiture était en stationnement pas loin de l'endroit ou j'allais, deux ombres à l'intérieur, mais je ne distinguais rien avec cette nuit sombre.

Je me dis que je verrais bien demain.

Le petit immeuble était ancien, je poussais la porte cochère donnant sur la rue, une cour intérieure donnait sur plusieurs petits bâtiments dont un ancien atelier.

La lumière de celui ci éclairait la cour en dessinant des figures contrastées !

Je m'approchais des vitres, et le nez au carreau, je regardais l'intérieur.

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Membre, nyctalope, 40ans Posté(e)
Criterium Membre 2 873 messages
40ans‚ nyctalope,
Posté(e)

J'aime bien beaucoup de ce que tu écris. :)

Il faut toujours que je le lise dans ma tête (c'est-à-dire comme à voix haute mais silencieuse) pour m'en apercevoir, cependant. Je pense que c'est à cause de la forme particulière que tu donnes à tes textes, assez courts à chaque fois, et en quelques phrases souvent inégales et solitaires. Je crois qu'en agençant tes écrits en paragraphes — plutôt que de revenir à la ligne deux fois après chaque phrase — bref avec juste un peu de cette structure en plus, ça serait tellement plus lisible..! Est-ce que c'est parce que tu prépares tes textes sur une autre plate-forme puis les copie ici? - Sinon, j'aime moins les dialogues et les passages au phrasé plus oral, mais là c'est une question de préférence personnelle.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Tu as raison. .

En fait je suis entrain de tout reprendre sur un forum d écriture. .

Mais tu as raison je le répète.

C est pourquoi j ai arrêté ici.

Mais merci pour ta réponse.

On peut continuer en mp si tu veux.

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Membre, 63ans Posté(e)
PapesseJeanne Membre 2 167 messages
Baby Forumeur‚ 63ans‚
Posté(e)

J'aime beaucoup, et le personnage central me fait un peu penser à San Antonio...

J'aimerai bien connaître la suite, en fait j'aimerai bien être le second (la) jubilatoire du personnage ...

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Membre, Ite missa est..., 77ans Posté(e)
l'abbe resina Membre 7 730 messages
77ans‚ Ite missa est...,
Posté(e)

Ah, ma chère et tendre cousine, te souviens tu quand nous avons joué à la dinette par terre dans la cour pendant que nos parents devisaient sereinement, te souviens tu que tu étais à cette époque bénie où les filles étaient encore en petite jupette, et que tu m'as laissé entrevoir ta petite culotte de coton blanc qui m'a fait rêver le temps de te prendre par la main pour t'emmener dans les champs proches de la maison. Te souviens tu lorsque nous nous sommes allongés dans une allée d'herbes folles et qu' au moment où ma main allait folâtrer dans ton intimité, un gros con d'agriculteur est arrivé avec son tracteur, et que nous nous nous sommes relevés tout piteux et frustrés de n'avoir pas eu le temps de jouer au docteur toi et moi. Ireneeeeeeeeeeee, reviens..bave.png

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

J'aime beaucoup, et le personnage central me fait un peu penser à San Antonio...

J'aimerai bien connaître la suite, en fait j'aimerai bien être le second (la) jubilatoire du personnage ...

Merci!

Ah! je la mettrais alors, mais pour l'instant je remets de l'ordre et corrige les fautes!!

Pas facile quand on est pas doué en français!!:smile2:

J'y songerais :smile2:

Ah, ma chère et tendre cousine, te souviens tu quand nous avons joué à la dinette par terre dans la cour pendant que nos parents devisaient sereinement, te souviens tu que tu étais à cette époque bénie où les filles étaient encore en petite jupette, et que tu m'as laissé entrevoir ta petite culotte de coton blanc qui m'a fait rêver le temps de te prendre par la main pour t'emmener dans les champs proches de la maison. Te souviens tu lorsque nous nous sommes allongés dans une allée d'herbes folles et qu' au moment où ma main allait folâtrer dans ton intimité, un gros con d'agriculteur est arrivé avec son tracteur, et que nous nous nous sommes relevés tout piteux et frustrés de n'avoir pas eu le temps de jouer au docteur toi et moi. Ireneeeeeeeeeeee, reviens..bave.png

Moi je n'ai pas eu un gros paysan.....:smile2:

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

J'aime beaucoup, et le personnage central me fait un peu penser à San Antonio...

J'aimerai bien connaître la suite, en fait j'aimerai bien être le second (la) jubilatoire du personnage ...

Je recommence là, c'est plus pratique pour moi.....:smile2:

http://www.forumfr.com/blogs/b1306e6612-11-novembre-reprise.html

Puis je corrige mes fautes, et rien que ça c'est un boulot à plein temps!!

Je suis nul...

:smile2:

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  • 3 semaines après...
Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Je recommence là, c'est plus pratique pour moi.....:smile2:

Puis je corrige mes fautes, et rien que ça c'est un boulot à plein temps!!

Je suis nul...

:smile2:

http://www.forumfr.c...ascou-blog.html

Petite erreur je remets le bon lien!!:smile2:

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