Quel est le dernier film que vous venez de voir

Le cercle des poètes disparus... 

hie soir j'ai regardé  " né un 4 juillet "  d' Oliver Stone !!

il raconte ce qu'il a vu et vécu dans la guerre du Viet Nam !!

mais pour moi , le film n'apporte rien de nouveau sur le sujet !!

Un bon film, de très bonnes interprétations. Le 7eme art, son merveilleux et l'envers du décor, la dépravation, la violence, la déshumanisation pour le profit. Ça fait froid dans le dos et brise la magie. 

C'est du jamais vu en France pour moi ou plutôt, je ne connaissais pas ce principe de justice restaurative.

Quand la Justice condamne, elle le fait au nom des lois de la République, au nom de la Société, pas vraiment au nom des victimes. Et là, il y a un système où elles ont le droit de dire leurs peurs, leurs colères, même des années après,  face à des détenus condamnés pour les mêmes faits que leurs agresseurs.

Et puis les acteurs, excellents !

Il y a 6 heures, Beebee a dit :

C'est du jamais vu en France pour moi ou plutôt, je ne connaissais pas ce principe de justice restaurative.

Quand la Justice condamne, elle le fait au nom des lois de la République, au nom de la Société, pas vraiment au nom des victimes. Et là, il y a un système où elles ont le droit de dire leurs peurs, leurs colères, même des années après,  face à des détenus condamnés pour les mêmes faits que leurs agresseurs.

Et puis les acteurs, excellents !

Casting de fou !

il y a 25 minutes, Paul hochon a dit :

Casting de fou !

Exact. Mais contrairement à un Astérix ou chacun doit avoir son moment de gloire, ils sont tous ici au service de la même histoire.

La réalisatrice avait fait un peu pareil sur Pupille, son film précédent, que j'avais bcp aimé aussi.

il y a 9 minutes, Beebee a dit :

 

La réalisatrice avait fait un peu pareil sur Pupille, son film précédent, que j'avais bcp aimé aussi.

Ah oui Pupille excellent film je l'ai découvert à travers un post de @January  vu deux fois et à chaque fois aussi bouleversant.

J'allais confondre avec " Nos batailles " qui m'avait marqué aussi à la même époque.

La nuit du 12                  excellent 

J'ai vu que Pupille était sur Netflix,  et que j'en ai eu et lu de bons échos ici et là,  j'ai regardé hier soir.

J'ai vraiment bcp aimé,  des acteurs tops, et puis une histoire très émouvante. 

“De grandes espérances”

En politique comme en amour, Madeleine est promise à un bel avenir. Un drame enraye son ascension. Rebecca Marder étincelle dans ce thriller.

Madeleine et Antoine ont un bel avenir devant eux. Sans nuages comme le ciel de Corse où le père d’Antoine possède une somptueuse villa, dans laquelle la boursière et son fiancé sont venus réviser l’oral de l’ENA. Lors d’un dîner sur place, la volonté politique de Madeleine de faire « bouger les choses » dans le domaine entrepreneurial plaît bien à une députée de gauche. Mais, le lendemain, une altercation sur une route déserte entre le jeune couple et un automobiliste violent tourne au drame. Désormais, un cadavre se dresse entre Madeleine et Antoine, et même si la jeune femme accepte un poste auprès de la députée, elle va apprendre qu’une transfuge de classe ne fait jamais vraiment partie de la famille…

Après l’excellent Vendeur en 2016, déjà sur les rouages intimes de la réussite, Sylvain Desclous nous passionne avec ce thriller sur l’ambition féminine en terrain de plus en plus ennemi. De grandes espérances se déploie à la fois comme une chronique sur les débuts en politique d’une idéaliste et un drame policier où un amour tourne au combat social et à la haine, à cause de la lâcheté d’un homme — Benjamin Lavernhe, impressionnant en fils à papa sans envergure. Comme en miroir, Marc Barbé donne au père de Madeleine le visage buriné et le regard clair d’un milieu modeste sur lequel on peut toujours compter.

Dans le rôle de l’héroïne, jeune femme poussée au crime qui ne parvient pas à croire que le ciel lui tombe sur la tête et qui, bon petit soldat, continue à écrire un texte de réforme alors que sa propre liberté est en jeu, Rebecca Marder apporte une présence formidable, délicatement fiévreuse, aussi solide dans les scènes de représentation politique que fragile dans les moments d’intimité. Enfin, Emmanuelle Bercot s’impose en militante qui ne craint pas l’adversité. La scène où elle reprend un chef d’entreprise qui l’appelle « Madame » et pas « Madame la députée » devrait être projetée à l'assemblée.

revu chez moi "Babylon"

excellent, mais comme au cinéma, gagnera à être moins long

Avec le fiston, nous sommes allés voir les 3 mousquetaires au cinéma.

J'avais pas trop d'attente par rapport à cette énième adaptation. Au final j'ai passé un bon moment de divertissement.  Un beau casting.

Par contre,  je sais pas c'est quoi cette manie de faire de suites, en tout cas il y en aura une.

Il y a 2 heures, Globure a dit :

“De grandes espérances”

 

En politique comme en amour, Madeleine est promise à un bel avenir. Un drame enraye son ascension. Rebecca Marder étincelle dans ce thriller.

Madeleine et Antoine ont un bel avenir devant eux. Sans nuages comme le ciel de Corse où le père d’Antoine possède une somptueuse villa, dans laquelle la boursière et son fiancé sont venus réviser l’oral de l’ENA. Lors d’un dîner sur place, la volonté politique de Madeleine de faire « bouger les choses » dans le domaine entrepreneurial plaît bien à une députée de gauche. Mais, le lendemain, une altercation sur une route déserte entre le jeune couple et un automobiliste violent tourne au drame. Désormais, un cadavre se dresse entre Madeleine et Antoine, et même si la jeune femme accepte un poste auprès de la députée, elle va apprendre qu’une transfuge de classe ne fait jamais vraiment partie de la famille…

Après l’excellent Vendeur en 2016, déjà sur les rouages intimes de la réussite, Sylvain Desclous nous passionne avec ce thriller sur l’ambition féminine en terrain de plus en plus ennemi. De grandes espérances se déploie à la fois comme une chronique sur les débuts en politique d’une idéaliste et un drame policier où un amour tourne au combat social et à la haine, à cause de la lâcheté d’un homme — Benjamin Lavernhe, impressionnant en fils à papa sans envergure. Comme en miroir, Marc Barbé donne au père de Madeleine le visage buriné et le regard clair d’un milieu modeste sur lequel on peut toujours compter.

Dans le rôle de l’héroïne, jeune femme poussée au crime qui ne parvient pas à croire que le ciel lui tombe sur la tête et qui, bon petit soldat, continue à écrire un texte de réforme alors que sa propre liberté est en jeu, Rebecca Marder apporte une présence formidable, délicatement fiévreuse, aussi solide dans les scènes de représentation politique que fragile dans les moments d’intimité. Enfin, Emmanuelle Bercot s’impose en militante qui ne craint pas l’adversité. La scène où elle reprend un chef d’entreprise qui l’appelle « Madame » et pas « Madame la députée » devrait être projetée à l'assemblée.

 

Je l'ai vu également. Très bon film, excellents acteurs.

Un bon film de et avec Edward Norton. Une interpretation sans faute. 

J'ai vu Babylone, chef doeuvre, Comme beaucoup sans doute , je me suis demandé si je tiendrai les 3 heures et j'étais triste que ça fibnisse, on vit Holliwood , on ressent les diverses phases dans son coeur , jusqu'à la fin si nostalgique...

il y a 21 minutes, aadin a dit :

J'ai vu Babylone, chef doeuvre, Comme beaucoup sans doute , je me suis demandé si je tiendrai les 3 heures et j'étais triste que ça fibnisse, on vit Holliwood , on ressent les diverses phases dans son coeur , jusqu'à la fin si nostalgique...

 

 

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et la musique....

 M  le MAUDIT

 C'est de la socio mais intéressant.

 Un gobelin paladin ? Ca part à vau l'eau 

Le 13/04/2023 à 14:21, .iO a dit :

C'est de la socio mais intéressant.

C'est à dire?

Taxi Driver est le film qui m'a fait comprendre, il y a presque 25 ans, à moi qui n'avait aucune culture cinématographique, qu'un film n'était pas seulement le divertissement du samedi soir avec les potes. Souvenir, souvenir...