Vendez tout !

La Bourse de Paris en en bonne hausse.

L'Humanité ne s'est pas construite avec du papier mais avec des hommes solidaires pour aller chasser le mammouth et d'ingénieux bipèdes qui ont "inventé" l'agriculture.

Ça peut vite changer :un vent de panique,quelques-uns qui vendent leurs actions et pouf c'est la descente vu que tout ça repose sur la confiance

On s'y attendait, mais on voulait peut être sortir de la crise précédente avant. Là on a un tout gratuit alors qu'on n'a pas fini le premier.

Nos amis gouvernants vont nous expliquer, comme aux grecs, que la fête est finie. Vous me direz, quelle fête ? Celle qui a produit quelques milliardaires, il parait qu'ils sont plein. Le système les a gâté. Récompensé plutôt.

On commence à comprendre que la richesse n'est pas un truc exponentiel.

De quoi te plains tu? ... Tu milites pour un monde sans frontière, sans drapeau, sans dieu et sans identité ... Voila tu l'as ton monde cosmopolite et mutualisé. La Chine éternue, la Grèce suffoque, la Micronésie s'emballe ... c'est la révolution permanente par l'angine pour tous!

De quoi te plains tu? ... Tu milites pour un monde sans frontière, sans drapeau, sans dieu et sans identité ... Voila tu l'as ton monde cosmopolite et mutualisé. La Chine éternue, la Grèce suffoque, la Micronésie s'emballe ... c'est la révolution permanente par l'angine pour tous!

Crétin.

Je milite pour un monde égalitaire, où les gens évolueront selon leurs compétences et non leur naissance. Sur l'identité, chacun se forge la sienne au sein d'un groupe, qui sera tributaire de son environnement. On ne vis pas de la même façon à La Réunion qu'à Paris, tout en gardant ses principes intactes.

Ce que je récuse c'est une identité formatée, qu'elle le soit par le capital ou la religion, la nation, la doctrine. C'est aux gens de choisir leur chemin. On n'a jamais fait dans le pr^t à penser chez nous. Tu dois confondre avec les communisses.

Crétin.

Je milite pour un monde égalitaire, où les gens évolueront selon leurs compétences et non leur naissance. Sur l'identité, chacun se forge la sienne au sein d'un groupe, qui sera tributaire de son environnement. On ne vis pas de la même façon à La Réunion qu'à Paris, tout en gardant ses principes intactes.

Ce que je récuse c'est une identité formatée, qu'elle le soit par le capital ou la religion, la nation, la doctrine. C'est aux gens de choisir leur chemin. On n'a jamais fait dans le pr^t à penser chez nous. Tu dois confondre avec les communisses.

Très bien! tu es bien parti dans la globalisation.

Mais de quoi tu parles ?

Moi je parle de fédérations autonomes, pas de globalisation sous les ordre d'élites autoproclamées.

Une fédération pourrait créer sa banque, investissement et dépôt, sur des projets qui nous sont chers, utiles et respectueux.

Si tu crois que les frontières créent une idéologie, t'as rien compris. La frontière c'est pour empêcher les travailleurs d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte. Travailleurs pauvres j'entends. Les riches n'ont pas ce genre de problème.

Dans ce sens une certaine globalisation est souhaitable, sur le plan sociale, pour qu'un homme, où qu'il se trouve, ait les mêmes droits. Aujourd'hui la globalisation financière surf à plein tube sur les disparités entre frontières.

On nous explique que le chinois travaille moins cher donc faut baisser nos coûts. Moi je dis augmente le chinois. Au détriment des revenus financiers. Je vois pas ce que l'identité vient foutre ici. Personne ne dit qu'il faut parler la même langue, manger pareil.

Mais si les prolos ne s'unissent pas, les financiers le font. Donc, très chère, critiquer l’internationale sociale, c'est laisser les autres nous massacrer. Mais souvent les capitalistes font ça. Opposer les travailleur d'ici et là bas.

Tu procèdes de la même façon que le financier que tu dénonces. Tu en es la symétrie inversée. Ton univers "social" à la même allure et le même attrait qu'une barre d'immeubles d'une ville chinoise.

Le CAC40 remonte de 4%.

Tu procèdes de la même façon que le financier que tu dénonces. Tu en es la symétrie inversée. Ton univers "social" à la même allure et le même attrait qu'une barre d'immeubles d'une ville chinoise.

Ok, salut.

La première fortune chinoise Wang Jianlin, a virtuellement perdu 3,2 milliards d'euros en une seule journée de cotation de ses actifs ce lundi, après l'écroulement des bourses mondiales. Le Français Bernard Arnault est quant à lui allégé de 1,2 milliard.

Wang Jianlin est ce mardi un homme malheureux. La veille, le président et fondateur du groupe Dalian Wanda, un conglomérat chinois spécialisé dans l'immobilier et le divertissement, a vu sa fortune fondre de quelque 3,2 milliards d'euros, la faute à la panique boursière qui s'est emparée des marchés mondiaux dans le sillage de la déblâcle de la Bourse de Shanghai. C'est ce qu'indique aujourd'hui l'indice des milliardaires établi par Bloomberg, qui suit la fortune des personnes les plus riches de la planète.

Un revers de fortune... seulement virtuel

Sur un plan personnel, Wang Jianlin devrait s'en remettre toutefois plus rapidement que l'économie mondiale, qui a elle aussi souffert durant ce lundi noir. Ces 3,2 milliards d'euro ne représentent d'abord "que" 10% de la colossale fortune du chinois estimée par Bloomberg à un peu moins de 32 milliards de dollars. Ensuite, en Bourse, "tant qu'on n'a pas vendu, on n'a pas perdu" et rien ne dit que les semaines suivantes ne viendront pas effacer cette perte, aussi énorme qu'elle est virtuelle.

Et puis Wang Jianlin a beau avoir été le plus gros perdant ce lundi, selon l'indice de Bloomberg qui est actualisé à la fin de chaque journée, sur l'année 2015, sa fortune a encore augmenté de près de 6 milliards de dollars (5,3 milliards d'euros).

Bill Gates délesté de près de 3 milliards d'euros

A titre de comparaison, Jack Ma, la deuxième fortune de Chine, fondateur du géant du commerce électronique Alibaba, a quant à lui perdu lundi "seulement" 545 millions de dollars (soit 479 millions d'euros). Côté occidental, le plus gros perdant du jour est un certain Bill Gates. L'ex patron de Microsoft s'est vu délesté de quelque 3 milliards d'euros. Jeff Bezos le fondateur d'Amazon et le milliardaire Warren Buffet complètent le podium avec respectivement une perte de 2,3 et 1,8 milliards d'euros de pertes virtuelles sur leurs portefeuilles boursiers respectifs.

Enfin côté français, la palme de la plus mauvaise affaire revient à Bernard Arnault. Le patron de LVMH est plus léger de 1,2 milliard d'euros. La femme la plus riche du monde, Liliane Bettencourt, a été délestée de quelque 850 millions d'euros.

Read more at http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/bourse-bill-gates-bernard-arnault-liliane-bettencourt-voient-les-milliards-s-envoler_1709485.html#8Ezqzxzw1ltO43b0.99

Dans mon système utopique, cet argent, déjà, ne va pas dans les poches d'un type, mais de tous les salariés.

Les salariés, ils ne jouent pas en bourse, ils consomme, et épargne un peu si possible. Cette épargne doit servir des projets utiles, des entreprises propres, soucieuses de leurs employés.

Qu'est ce qu'un homme fait avec ces milliards ? Rien il consomme un peu, du luxe, qui va aller dans les poches d'autres actionnaires, voir les siennes. Evidemment ces gens ne payent pas ou peu d'impôts.

Les plus grandes fortunes mondiales ont perdu des milliards... attendez, faut que je retrouve mon mouchoir. Snif! Non en fait, je m'en fous complètement. Et même, une nouvelle journée de panique boursière ça me déplairait pas (juste une, c'est peu demander!)

Et y'en a qui veulent se faire passer pour des champions de l'investissement après ça ! :D

La compagnie nationale du pétrole au Libéria vient de couler une bielle, aux dernières infos. Allez les hyènes, au boulot !

Putain, il va falloir oublier toutes les marques dans 5 ans.

La bourse connait des cycles de hausse et de baisse, là après des mois de hausse, les investisseurs inquiets prennent leur bénéfices. Rien de bien nouveau sous le soleil n'en déplaise aux cocos forcenés.

Dans le cas présent, ils prennent plutôt des milliards de pertes.

N'en déplaise aux libéraux forcenés !

On s'y attendait, mais on voulait peut être sortir de la crise précédente avant. Là on a un tout gratuit alors qu'on n'a pas fini le premier.

Nos amis gouvernants vont nous expliquer, comme aux grecs, que la fête est finie. Vous me direz, quelle fête ? Celle qui a produit quelques milliardaires, il parait qu'ils sont plein. Le système les a gâté. Récompensé plutôt.

On commence à comprendre que la richesse n'est pas un truc exponentiel.

Que c'est beau de cracher sur la finance, c'est dans l'air du temps. Mais alors, pourquoi donc les Grecques réclament le fric de la finance ? Bon sang, mais c'est bien sûr, c'est pour que leur ancien ministre des finances roule en moto et qu'il puisse vivre dans sa maison cossue. Rassure toi quand même, c'est comme en Russie à la belle époque, il vaut mieux être dans la classe dirigeante, ou élue, pas de soucis pour eux, çà va bien côté fric et patrimoine. Mais autre bon sang, mais c'est bien sûr, plusieurs membres de ce gouvernement, non élu, mais nommés par le Roi paient l'ISF. Normal, ils sont pour le partage et la justice sociale...

On ne crache pas sur la finance mais son usurpation. Ce que je regrette ici, c'est la captation de l'effort de tous par une minorité, et surtout l'instrumentalisation de cette crise afin de pressurer toujours plus les gens.

Si on crache sur la finance il y a de bonnes raisons à cela. La finance est devenue une caricature d'elle-même, une sorte de tumeur cancéreuse qui grossit démesurément et met en danger l'économie réelle. Pour ce qui est du peuple grec, il avait dit très précisément ce dont ils ne voulait pas, et c'est justement l'"aide" de la finance - qui n'aide qu'elle-même, en fait. Ce n'est pas la faute des Grecs s'ils ont été trahis par leurs dirigeants.

On pourrait facilement résoudre les problèmes que pose la toute-puissance des marchés financiers, en taxant - modérément - les mouvements financiers. En plus cela permettrait de résoudre du même coup le problème de l'endettement des États. Mais c'est impensable, voyons, cela va à l'encontre du dogme ultralibéral. Et les ultralibéraux qui gouvernement le monde aujourd'hui sont des doctrinaires fanatiques auprès de qui les gens de Daesh font figure d'enfants de chœur. C'est à cela qu'on se rend compte que l'économie mondiale est passée de l'autre côté du miroir, et qu'il ne faut plus espérer trouver de logique ni de bon sens là-dedans.

Que c'est beau de cracher sur la finance, c'est dans l'air du temps.

Ce n'est plus de la finance, c'est une usine à papier qui crée sa monnaie pour spéculer.

Il faut souligner dans cette affaire le rôle particulièrement nocif des grandes banques centrales, en particulier la banque centrale américaine (la Réserve fédérale) et la BCE, véritables pompiers pyromanes. Après la crise de 2008, sous prétexte de renflouer les banques, ces organismes ont injecté des sommes colossales dans le secteur financier. Pour quelle utilité? Cet argent ne profite qu'à une petite clique, qui s'en sert en premier lieu pour spéculer; l'économie réelle n'en bénéficie que d'une façon marginale. En plus le secteur financier ne crée pas d'emplois, mais au contraire en détruit, d'abord dans toutes les activités qui ont le malheur de tomber sous sa coupe, et puis à présent en son sein même, puisqu'on remplace autant que possible les traders humains par des ordinateurs.

On reste songeur à tout ce qu'on pourrait faire d'utile avec les sommes gigantesques englouties pour le seul profit des spéculateurs, surtout dans un pays comme les USA où les infrastructures sont en voie de délabrement et où la misère gagne du terrain au point de faire ressembler les rues des grandes villes à des visions du tiers-monde.

Pendant ce temps les crétins qui nous gouvernement nous promettent que la reprise est au coin de la rue, alors qu'en fait nous vivons une crise structurelle, qui ne peut se traduire que par une augmentation continuelle du nombre de chômeurs, à mesure que le secteur financier continue à se développer. Et cela continuera jusqu'à ce qu'une guerre ou une révolution (ou une guerre suivie d'une révolution) rebatte les cartes, car l'ultralibéralisme est l'idéologie aujourd'hui dominante à l'échelle mondiale, rejetant ses adversaires dans une opposition sans crédibilité. Cette idéologie est d'autant plus puissante que, contrairement au nazisme ou au communisme, elle avance masquée, se présentant comme le visage actuel du capitalisme, alors qu'elle en est une perversion.

A propos des banques centrales, il faut noter qu'elle sont maintenant fauchées, ayant jeté leur argent par les fenêtres en enrichissant les plus riches; elles n'auraient donc plus les moyens de réagir à une crise mondiale comme celle de 2008. Les États non plus, qui se sont endettés au delà de toute mesure en 2008 pour tenter de réparer les dégâts causés par les banksters. Si donc la crise actuelle des bourses chinoises se poursuit... eh bien ce sera la cata. En fait on s'en foutrait totalement, si les banques spéculatrices n'étaient pas aussi les mêmes établissements dans lesquels vous et moi nous avons nos comptes. Espérons donc que la crise chinoise soit assez grave pour faire perdre des fortunes à tous les spéculateurs de la terre, mais pas assez pour foutre l'économie par terre. Quand tout va bien, l'économie financière méprise cordialement l'économie réelle, mais quand ça va mal, bizarrement elles se cassent la gueule ensemble. Etonnant, non?

Je me demande si la Chine ne fait pas exprès ^^

Histoire de détruire (attaquer) les puissances financières… propriétaires des usines qui sont… en chine.

Et qu'ils pourront récupérer pour une bouchée de pain. Alors qu'aujourd'hui, ils sont juste bon à fournir la main d'œuvre, pendant que les bénéfices se barrent.

Je dis ça, je dis rien…