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La France d'antan qui existe encore un peu...

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 980 messages
scientifique,
Posté(e)

Parce que tu crois que aujourd'hui ce n'est pas bourré de pesticides ?

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Oui et même de beaucoup ! plus de 4 fois moins qu'autrefois (pour les produits français !)

La dose des pesticides dans nos aliments n'est pas proportionnelle au battage médiatique contre ces substances.

Les tonnages de pesticides vendus aux agriculteurs a été divisé par 2,5 en 20 ans mais les nouveaux coûtant beaucoup plus cher que les anciens, la dépense agricole est la même ou presque.

C'est d'ailleurs cette augmentation des prix qui est la première cause de la diminution des quantités utilisées.

un exemple : le Decis, insecticide polyvalent et très efficace. Chaque année pendant 10 ans il s'en est vendu 4 fois ce qui était nécessaire à traiter les récoltes. Ces doses massives ont "vacciné" les insectes et il a fallu augmenter les doses ou utiliser un autre produit.

Oui il faut le répéter de 1970 à 2000 on a utilisé massivement les pesticides en tous genres sans respecter les doses maxima, nécessaires et suffisantes.

L'atrazine qui est présente dans nos eaux souterraines date des années 1995-2005.

Le DDT des baleines de l'Antarctique date des années 1950-1970. C'est une molécule quasiment indestructible tout comme la dioxine industrielle et comme le sont toutes les molécules symétriques.

La montée des coûts, le meilleur usage dans le temps, la pression médiatique font que l'on utilise beaucoup moins de pesticides qu'il y a 10 ou 20 ans !

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Membre, 118ans Posté(e)
nerelucia Membre 12 886 messages
Baby Forumeur‚ 118ans‚
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La France des années 50, ou 60 c'est autre chose que récolter des patates. Vous le faites exprès ou quoi? La France des années 50 et 60 est profondément réactionnaire, et stagne, voire régresse. si vous comprenez ce que ça veut dire. Dans les années 60 il y a un essor économique mais les structures sclérosées ne se défont que très lentement. Ce n'est que dans les année 70 qu'il y a en fait un changement de société vers plus de démocratie et d'émancipation même s'il y a des rechutes et des blocages.

Stop. Il est né en 1945. Il parle de la vie en 1965.

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
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Lausanne récompensée pour sa vision des potagers urbains

JardinsLe prix Schulthess des jardins 2015 a été décerné aux plantages communautaires de la capitale vaudoise.

h7vd.png

«Avec ses plantages, la ville de Lausanne fait office de pionnière en la matière au niveau suisse car elle a initié ce projet il y a presque vingt ans, explique Patrick Schoeck de Patrimoine suisse. D’autres projets existent au Tessin ou en Suisse allemande, mais ne sont qu’à leurs débuts. La diversité des plantages présents sur le territoire lausannois ainsi que leur qualité et leur biodiversité nous ont séduits.»

Doté de 25'000 francs, ce prix permettra à la ville d’investir dans des nouveaux projets du même type. A savoir des parcelles divisées en lopins de surfaces variables et mis à la disposition de particuliers afin qu’ils y cultivent fruits et légumes biologiques. «Depuis le début de la législature, nous en avons inauguré un par année, se réjouit Florence Germond, directrice des finances et du patrimoine vert. Le dernier en date, celui de l’avenue de Cour vient de sortir de terre et un plantage est à l’étude à l’avenue de la Borde. Il devrait voir le jour en 2016.»

suite > http://www.24heures.ch/vaud-regions/lausanne-region/ville-lausanne-recompensee-vision-pionniere-potagers-urbains/story/11888680

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 980 messages
scientifique,
Posté(e)

... je n'ai pas trop d'argent, je fais comment pour bien manger ? je ne veux pas, ou le moins possible, avaler des OGM, alors, je me débrouille (même si j'ai pas moi-même un jardin)

-------------------------------------

Les ogm ne sont pas cultivés en France.

mange français et tu n'auras pas d'ogm.

Ensuite de deux maux il faut toujours choisir le moindre.

Il vaut mieux choisir de manger des ogm que de manger des produits trop traités avec des pesticides.

Il faut le répéter aucun végétal ogm n'est toxique.

La prévention contre-eux relève de la méfiance sans preuve.

Se méfier oui, mais tomber dans la paranoïa est infondé !

Le battage médiatique contre les ogm est d'abord une manifestation contre Monsanto

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Invité The Black Cat
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Invité The Black Cat
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Posté(e)

A un détail près que Paris, ça n'est pas la France.

Tu ne peux partir d'un exemple particulier, le tiens, celui de Paris et du 93 pour ensuite faire une déduction (symbolisée ici par le "donc") à une échelle hexagonale.

Détail près que Paris n'est peut-être pas la France, certes. Mais une large partie de la population vit en ville et n'a ni potager, ni bois à couper, etc.

Passons.

Bref, la France d'antan semble-t-il, c'est la campagne quand on lit le sujet. A croire que la première grande ville apparue dans ce pays date des années 70 (je caricature à peine). Peut-être serait-il louable de la part des "nostalgiques" de se rappeler que Paris était à une époque bien plus peuplée qu'aujourd'hui intramuros (presque 3 millions dans les années 50). Idem pour d'autres villes comme Lyon par exemple dans les années 60.

La France d'antan c'était pas que la France rurale, loin de là, contrairement à l'image d’Épinal quelque peu mythique qu'ont certains (du moins, c'est ce que laisse suspecter ce sujet). C'était aussi :

- une France urbaine (exode rural massif), industrielle (la métallurgie en Lorraine, l'industrie de la chaussure en Vallée du Rhône près de Valence, les mines, etc.),

- avec de nombreux bidonvilles (bien plus nombreux qu'aujourd'hui pour les petits malins qui croient que non) et des inégalités sociales bien plus énormes qu'aujourd'hui,

- l'ORTF et son Enfer (quand la télévision servait la propagande gaullienne de l'époque par exemple, ben on jetait les bobines qui n'étaient pas profitables au bonhomme dans une cave),

- l'agriculture c'était mécanisée à plein régime dès la sortie de la guerre, associée à grand coup d'engrais et de pesticides... Le paysan est devenu agriculteur, un mec armé d'une batterie de machines et bossant dans d'immenses champs.

- c'est aussi à cette époque qu'on goûte aux supermarchés, à la voiture individuelle, etc. Bref aux joies de la société de consommation... Qu'on aime tant dénoncer !

Aaah... Le bon vieux temps. Qui n'est pas si vieux et pas si bon que ça. J'vois mal pourquoi on est nostalgique d'une époque qui a largement préparé le terrain à celle qu'on connaît. :hum:

Modifié par The Black Cat
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Invité O)))
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Invité O)))
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Ils doivent pas être très loin de la ferme de la Chasseloire alors, vu les indications qu'ils donnent.

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Invité sfc
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Invité sfc
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Il retrouve et cultive des variétés anciennes de blé pour éviter la chimie

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Contrairement aux gros céréaliers, Jean-Jacques Mathieu ne mise pas sur les pesticides et les engrais pour faire pousser du blé, mais sur le riche potentiel génétique de ses deux cents variétés.

En 1997, Jean-Jacques Mathieu et sa femme se sont installés comme céréaliers sur une vingtaine d’hectares à Tréziers dans l’Aude. Au début, les rendements étaient très faibles. « Je n’y connaissais rien, j’utilisais du blé dur commercial en bio mais ça ne poussait pas, car ils étaient sélectionnés par et pour la chimie ». Les blés inscrits au catalogue « sont testés avec deux cents unités d’azote », ajoute-t-il. Ils ne sont donc pas du tout adaptés à l’agriculture biologique.

Comme tous les blés commercialisés, ils sont issus de lignées pures, obtenues par autofécondations successives. Ce moyen de sélection rend tous les épis homogènes sur le plan génétique. Si on les compare à l’espèce humaine, on pourrait parler de consanguinité. Cette caractéristique ne leur donne pas beaucoup de chance de résister aux mauvaises conditions climatiques et aux maladies. Quand un épi est menacé, c’est tout le champ qui l’est.

Aidées par la chimie, ces variétés sont en revanche capables de s’affranchir des contraintes spécifiques liées aux milieux naturels où elles sont plantées. Pour obtenir un rendement optimisé, il suffit à l’agriculteur de mettre la bonne dose d’engrais et de passer les bons traitements. Mais ces variétés conçues dans les laboratoires ne s’adapteront jamais aux différents terroirs.

Pour revenir à ce principe fondamental de l’agriculture, qui consiste à sélectionner des plantes pour les adapter à un environnement particulier, les paysans comme Jean-Jacques Mathieu misent sur l’importante diversité génétique des variétés anciennes, dites « populations ».

À l’intérieur d’une même variété, tous les épis sont différents. La probabilité d’adaptation est donc plus forte. Un champ de blé « population » réagira mieux aux agressions extérieures qu’un champ de clones. Et quand plusieurs variétés de blé sont cultivées en mélange, leur résistance est encore multipliée.

« Qu’il y ait une sécheresse ou trop d’humidité, on a toujours une récolte », constate Jean-Jacques Mathieu qui travaille avec 200 blés différents. Un document de l’INRA consacré aux associations de variétés mentionne que pour les céréales, la culture en mélanges apporte « un bénéfice à la fois pour la productivité et la qualité de la récolte ».

Un résultat jugé d’ailleurs « particulièrement intéressant sachant que, dans les cultures monovariétales, il existe souvent une relation inverse entre qualité et productivité ». En effet, « plus on augmente le rendement, plus on augmente les macroglutens », explique Jean-Jacques Mathieu. Même s’ils sont synonymes d’une baisse de la qualité nutritionnelle et de l’augmentation des allergies, les macroglutens sont appréciés par l’industrie. Car plus la farine contient de gluten, plus la pâte lève vite. Dommage pour la santé des consommateurs.

En raison de l’obligation d’acheter des variétés commerciales, il était devenu très difficile de trouver des blés offrant à la fois une bonne production et une résistance naturelle aux insectes et aux maladies.

suite > http://www.reporterre.net/Il-retrouve-et-cultive-des

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Invité sfc
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Invité sfc
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Troc de graines : des espaces autogérés pour faire vivre les semences libres

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75 % du marché mondial de semences est contrôlé par dix multinationales. Face à cette mainmise sur le premier maillon de la chaine alimentaire, des citoyens organisent des trocs de graines et de plants partout en France. Dans ces espaces autogérés, les jardiniers amateurs échangent semences et conseils afin de contribuer à préserver la biodiversité cultivée. Une biodiversité libre de tout droit de propriété intellectuelle. Reportage sur un troc de graines, à Pélussin, dans la Loire.

« Il y a une fortune sur cette table ! », s’enthousiasme une jeune femme. Plants de persil géant d’Italie, origan, mélisse pour tisanes et sirops, consoude pour de futurs purins... A quelques pas de ces plantes aromatiques et médicinales, d’autres tables regorgent de semences de fleurs et de potagères (fruits et légumes). « Ici, c’est un lieu où l’on troque », explique Marie-Claude Courbon qui accueille cet échange dans la cour de sa maison, près de Pélussin (Loire). « Le principe : échanger des graines et des plants que l’on a en trop dans son jardin. Cela permet de découvrir gratuitement de nouvelles variétés, auxquelles on n’aurait jamais pensé ! »

Sur le modèle des « zones de gratuité » (voir notre article), chacun amène ce qu’il veut et prend ce qu’il souhaite. « On a fait des petites graines, on les met où ? », interroge Christelle, accompagnée de ses deux petites filles. Dans son panier, des graines de courges, de lin et des œillets d’inde. Elle repartira un peu plus tard avec des plants de framboisiers. « Je suis content car j’ai donné quelque chose cette année », lâche un généreux donateur, qui participe pour la deuxième fois. « Le troc de graines, c’est un truc génial, j’adore ça !, renchérit Brigitte. L’échange est formidable. Ces semences et ces plants, ce sont des cadeaux de la nature. Nous sommes juste là pour en refaire cadeau à d’autres. »

Réapprendre les savoirs et savoirs-faire

Sur les tables, les graines sont stockées dans toutes sortes de récipients : boites de bonbons « Tic-tac » ou de pellicules photos, bocaux de confitures, enveloppes miniatures faites main... Ici, on recycle, et on échange conseils et idées de bouquins. Des discussions sur les dates de semis, sur la manière dont on peut multiplier ses graines, ou sur les petits soucis rencontrés avec les rongeurs. « Quelqu’un sait quelle plante peut repousser les rats taupiers ? », demande une voix. La réponse fuse à l’autre bout de la cour : « Oui, le tourteau de ricin ». « Attention, c’est toxique pour les chats et les chiens », prévient une dame. « C’est pour cela qu’il faut enterrer le tourteau », entonne un voisin.

troc_graines_echanges_cc_sophie_chapelle-54bbc.jpg

suite > http://www.bastamag.net/Des-trocs-de-graines-pour-reprendre-le-pouvoir-face-a-l-industrie-semenciere

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Invité O)))
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Détail près que Paris n'est peut-être pas la France, certes. Mais une large partie de la population vit en ville et n'a ni potager, ni bois à couper, etc.

Passons.

Ou pas. En ville, quel a été "avant" et est désormais "maintenant" la part de logements collectifs et de logements individuels ainsi que la surface des jardins attenants à ces derniers?

La population qui vit en ville, c'est une notion vague et très hétérogène. Par exemple, certains qui disposent malgré tout d'espace vert individuel choisissent de semer de la pelouse et des fleurs, plutôt que d'avoir un potager, cf. le témoignage de PDP.

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Invité The Black Cat
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Invité The Black Cat
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Ou pas. En ville, quel a été "avant" et est désormais "maintenant" la part de logements collectifs et de logements individuels ainsi que la surface des jardins attenants à ces derniers?

La population qui vit en ville, c'est une notion vague et très hétérogène. Par exemple, certains qui disposent malgré tout d'espace vert individuel choisissent de semer de la pelouse et des fleurs, plutôt que d'avoir un potager, cf. le témoignage de PDP.

Si on prend disons... Le palier des villes de 100 000 habitants minimum (ça représente 40 communes en France), la part de logement collectif tourne autour des 61% en moyenne. L'agglomération parisienne est comptée à part par l'INSEE, avec presque 80% de logements collectifs. Au total, on cumule 9,9 millions de logements collectifs (villes de + de 100 000 habitants et agglomération parisienne) pour 4,8 millions en individuels.

Donc, je me cite :

une large partie de la population vit en ville et n'a ni potager, ni bois à couper, etc.

Fondamentalement, il est évident que les principaux espaces urbains français ont moins de possibilités à avoir ces "avantages" comme un potager, etc.

Après, et ça j'suis d'accord, disposer d'un jardin dans le cas d'un logement individuel n'implique pas potager et compagnie obligatoirement. C'est pour ça que j'ai pas mentionné les jardins qui peuvent être uniquement destinés à accueillir des plantes à des fins décoratives, histoire de prendre un p'tit rosé par temps ensoleillé avec un joli cadre.

Modifié par The Black Cat
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Invité dominette999
Invités, Posté(e)
Invité dominette999
Invité dominette999 Invités 0 message
Posté(e)

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Les ogm ne sont pas cultivés en France.

mange français et tu n'auras pas d'ogm.

Ensuite de deux maux il faut toujours choisir le moindre.

Il vaut mieux choisir de manger des ogm que de manger des produits trop traités avec des pesticides.

Il faut le répéter aucun végétal ogm n'est toxique.

La prévention contre-eux relève de la méfiance sans preuve.

Se méfier oui, mais tomber dans la paranoïa est infondé !

Le battage médiatique contre les ogm est d'abord une manifestation contre Monsanto

  • Nous pouvons consommer des OGM indirectement :

http://www.infogm.or...ai-importation-

Les OGM qui finissent dans les plats destinés aux êtres humains doivent être étiquetés (cf. Que dit l’étiquetage "avec ou sans OGM" en France et en Europe ?) dès lors qu’ils représentent plus de 0,9% par ingrédient. Seules une vingtaine de produits sont effectivement concernés par cet étiquetage, principalement des produits d’importation. Toutefois, les produits alimentaires issus d’animaux nourris aux OGM (viande, lait, œuf...) ne sont pas étiquetés.

De nombreux acteurs dénoncent un double discours du gouvernent français qui interdit la culture des plantes génétiquement modifiées (PGM) sur son territoire mais ne fait rien pour limiter les importations de soja transgénique.

  • J'évite le plus possible les aliments avec pesticides et autres joyeusetés :

https://fr.wikipedia...ulture_paysanne

http://www.reseau-amap.org/

En résumé, je m'arrange avec peu de moyens, pour manger et nourrir ma famille, le mieux possible :)

Modifié par dominette999
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Membre, X-Banni-X, 43ans Posté(e)
nonobonobo Membre 9 387 messages
43ans‚ X-Banni-X,
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Bonjour,

par bien des endroits les patates sont encore cultivées pour la famille... Nous c'est une tonne de récolte annuelle, si les sangliers ne s'invitent pas avant la récolte. :D

2 potagers, des conserves, des fruits et légumes surgelés, des confitures, sirops et gelées. Récolte des champignons et chasse en automne, soin des bêtes toute l'année, le bois dès que possible, histoire de pas se geler à le faire en hiver.

Sinon pour des myrtilles mûres au printemps, faudrait que tu précises la région, parce que je les ai toujours récoltées mi août chez moi, un peu plus tôt dans les Vosges, mais jamais au printemps. :D

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Membre, X-Banni-X, 43ans Posté(e)
nonobonobo Membre 9 387 messages
43ans‚ X-Banni-X,
Posté(e)

Je devrais préciser qu'on récolte aussi au printemps, morilles (pas cette année) et chanterelles.

Automne c'est bolets (ou cèpes) plutôt rares chez nous, écailleux (ou éperviers), chanterelles d'automne...

Au printemps, on ramasse aussi les bourgeons de sapin, pour en faire un sirop anti tussif (avec juste du sucre et de l'eau).

En fait c'est pas "la vie d'avant", c'est juste ma vie, en 2015, en campagne montagneuse, avec 5 gosses et une ferme. :D

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 23 980 messages
scientifique,
Posté(e)

Cultiver des pommes de terre pour fournir l'année entière est une erreur pour 2 raisons :

- la pomme de terre n'est pas le légume le plus cher.

- la conservation de la pmt pose problème. En effet elle se met à germer dès qu'elle est dans les bonnes condition de température.

Il n'y a pas de place dans le frigo familial pour en stocker une grande quantité. on ne trouve plus sur le marché l'hormone anti-germe que l'on a utilisé pendant des décennies : les écolos l'ont fait supprimer il y a déjà 5 ans.

Quand on n'a qu'un balcon ou un appartement, il vaut mieux cultiver tomate, concombre, laitues, persil, ciboulette,...dans des pots de fleurs à la place des plantes d'appartement.

il y a quelques années, j'avais un plant de tomates cerises dans un pot de fleur qui était à la maison. À l'heure de l'apéro avec des amis, le pot était placé sur une petite table roulante et passait parmi les amis qui cueuillaient sur l'arbuste leurs petites tomate !

On ne peut pas faire circuit de distribution plus court !

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Membre, 46ans Posté(e)
bcbg Membre 10 855 messages
Mentor‚ 46ans‚
Posté(e)

Ah... la France des années 50....! Patriarcale, coincée, autoritaire, sous-développée.... Comme c'est attendrissant!

Pour s 'empresser de parler de ces années ?

La France d'antan c'est cette France connnue par beaucoup , par nos parents . Une France où les français n'étaient pas préoccupés par tous ces problemes : chômage , délinquance , migrants , cambrologes , racisme , intolerance , violence , délation , vous pouvez en rajouter .

Je comprends que beaucoup aient la nostalie de ces douces années !

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)
Cultiver des pommes de terre pour fournir l'année entière est une erreur pour 2 raisons :

sa dépend pour qui , bien sur si t'est en appartement je te voie mal cultiver des patates sur ton balcon :smile2:

moi je les fous a la cave y a pas de problème

Modifié par sfc
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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 746 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Pour s 'empresser de parler de ces années ?

La France d'antan c'est cette France connnue par beaucoup , par nos parents . Une France où les français n'étaient pas préoccupés par tous ces problemes : chômage , délinquance , migrants , cambrologes , racisme , intolerance , violence , délation , vous pouvez en rajouter .

Je comprends que beaucoup aient la nostalie de ces douces années !

Sérieux ?

Non mais là j'ai bien rigolé... C'est fou cette propension à toujours dire "c'était mieux avant". C'est pas vrai, comment faut le dire.

Ah, oui, mes parents par exemple bah.. Pour ma mère la deuxième guerre c'était top hein ? Et puis mon père a fait l'Algérie ahlalaaa c'était d'la balle ça.

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

Ah, oui, mes parents par exemple bah.. Pour ma mère la deuxième guerre c'était top hein ? Et puis mon père a fait l'Algérie ahlalaaa c'était d'la balle ça.

a je savais pas que cultiver ces légumes comme d’antan ou aller au champignons dans les bois menais a la guerre , je vais y réfléchir ;)

vas savoir , les "paysans" dans le fond sont peu être tous des néo fasciste . Zig!

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