Les femmes ont beaucoup trop de choix

Le fait qu'on est plus de choix tient aussi beaucoup des représentations de la société sur le sexe.

Même si les choses évoluent, le schéma reste globalement:

Pour les hommes : baiser 3 fois par jours est capital, tu dois être fort et prolifique, si possible avec un nombre variées de femmes, c'est la compèt' de ta vie : un fion éclaté, c'est des point en plus pour ta virilité.

Pour les femmes: faire l'amour c'est un sacrifice qu'il faut faire par amour, idéalement avec le futur père de tes enfants, parce que les coups pour rien, ça veut dire que t'es une putain. Evite de dire que t'aime le sexe ou de cèder facilement : tu dois lutter contre le déshonneur qu'est le coÏt.

Par voie de conséquence, le désir féminin est (semble ?) plus rare que le désir masculin (qui semble omniprésent et ultra commun). Donc on fait notre tambouille, avec la même mine dégoutée depuis toujours, parce qu'on veille à pas trop devenir des bitch.

C'est la théorie de mon père, sur les machos qui se tirent une balle dans la pied parce que a) ils veulent niquer b) ils méprisent la fille qui accepte donc c) elles acceptent de moins en moins.

:smile2:

Bonjour Ninouschkaya,

C'est instructif d'avoir l'avis d'une jeune fille de 20 ans sur les rapports hommes-femmes, ça m'a fait bien sourire

Mais bon cet avis a encore bien le temps d'évoluer

L'avis de Ninousch bien qu'un peu caricaturé n'est pas si loin de la réalité je trouve moi

"C'est la théorie de mon père, sur les machos qui se tirent une balle dans la pied parce que a) ils veulent niquer b) ils méprisent la fille qui accepte donc c) elles acceptent de moins en moins. Ah ?

Bonsoir Léna Postrof , souffrez que je vous fasse un bisous sur le front.

Bon ce que je veux dire là ou vous avez pas compris c'est un peu ce que je dis au troisième. Les femmes n'ont le choix de ce qu'elles trouvent dans la société dans laquelle elles sont. J'ai pas utiliser le bons exemple. Mais est ce vraiment un choix ? le choix est par défaut, par ce qu'il n'y en a pas ou si faible.

Bonjour Prométhée_Hadès,

C'est bien gentil tout cela, j'ai néanmoins passé l'âge du bisou sur le front...et papy hélas n'est plus.

Mm, dans ce cas, ce n'est pas de boucherie qu'il faut parler, mais carrément d'abattoir. Les pauvres !

Bien contente d'être née dans un pays de droits.

La je suis moins d'accord, parmi les hommes sportifs, qui travaillent leur musculature, il y a beaucoup d'insatisfaits, de timides, de perfectionnistes, ce n'est pas trop compatible avec l'égocentrisme, certes aujourd'hui il y a des moyens faciles pour prendre du muscle avec les produits dopants

Un esprit sain dans un corps sain, c'était la devise des athlètes de l'antiquité

Je dirais plutot que l'effort apprend l'humilité

Cela ne signifiait pas que les "bad boys" étaient les seuls à se muscler, mais que c'est une des raisons de leur succès.

Car quand on dit "bad boys", ça n'inclue pas tous les criminels et délinquants, mais une certaine catégorie de ceux-là, qui sont souvent jeunes et séduisants.

Cela ne signifiait pas que les "bad boys" étaient les seuls à se muscler, mais que c'est une des raisons de leur succès.

Car quand on dit "bad boys", ça n'inclue pas tous les criminels et délinquants, mais une certaine catégorie de ceux-là, qui sont souvent jeunes et séduisants.

Oui bon, Mike Jagger, Bowie, Elvis, Johnny, Gainsbourg, Renault, Prince, Eminem, je crois qu'on peut les ranger dans la catégorie des bad boys et ils n'etaient pas particulierement musclés

Par conte les BD aiment bien les tatouages

Oui bon, Mike Jagger, Bowie, Elvis, Johnny, Gainsbourg, Renault, Prince, Eminem, je crois qu'on peut les ranger dans la catégorie des bad boys et ils n'etaient pas particulierement musclés

Par conte les BD aiment bien les tatouages

C'est plutôt la catégorie "chanteurs à succès", sauf Eminem, qui fait sans doute aussi partie de la catégorie "BB" avec aussi auparavant Tupac et 50 cent par exemple.

D'ailleurs le terme "boy" souligne la jeunesse et garder l'expression américaine, la mode des jeunes hommes armés parfois en gang de ghettos américains.

Parmi les chanteurs français, on pourrait par exemple citer Booba ou Joey Starr, bien qu'ils ne peuvent plus être qualifiés de "bad boys" à l'heure actuelle mais leur style provient de cette catégorie.

Le fait qu'on est plus de choix tient aussi beaucoup des représentations de la société sur le sexe.

Même si les choses évoluent, le schéma reste globalement:

Pour les hommes : baiser 3 fois par jours est capital, tu dois être fort et prolifique, si possible avec un nombre variées de femmes, c'est la compèt' de ta vie : un fion éclaté, c'est des point en plus pour ta virilité.

Pour les femmes: faire l'amour c'est un sacrifice qu'il faut faire par amour, idéalement avec le futur père de tes enfants, parce que les coups pour rien, ça veut dire que t'es une putain. Evite de dire que t'aime le sexe ou de cèder facilement : tu dois lutter contre le déshonneur qu'est le coÏt.

Par voie de conséquence, le désir féminin est (semble ?) plus rare que le désir masculin (qui semble omniprésent et ultra commun). Donc on fait notre tambouille, avec la même mine dégoutée depuis toujours, parce qu'on veille à pas trop devenir des bitch.

C'est la théorie de mon père, sur les machos qui se tirent une balle dans la pied parce que a) ils veulent niquer b) ils méprisent la fille qui accepte donc c) elles acceptent de moins en moins.

Il y a une grosse part de vérité dans ce propos, je trouve ça un constat bien triste.

Triste par ce qu'au lieu d'être soit, on veut coller à une image de société, ou il faut être comme ça pour être valorisé. Alors que si on y réfléchi bien la société est bien dévoreuse de personnalité, elle vous dévore à ne plus être sois.