Démocratie ?

je ne suis pas prêt à payer deux fois plus d’impôts pour faire des cadeaux à la Grèce ,et je ne crois pas non plus que les plus faibles acceptent de ne pas toucher leurs APL pendant un an pour effacer définitivement la dette grecque.

en tout cas, un chiffre reste a connaitre, mais bon ça bien sur personne n'en a rien a branler

Le nombre de suicides en Grèce

Et connais-tu le programme du gouvernement grec ?

Tsipras ne propose pas de sortir de l'Europe (UE) !

Il soumet à son peuple les propositions d'austérité de la Troïka !

C'est différent !

Voter NON à ce référendum, ce n'est pas dire NON à l'UE !

C'est juste dire NON aux exhortations du FMI, de la BCE et

de Merkel !

.........................

les promesses des politiques n'engagent que ceux qui les écoutent ....

après le NON ce sera la course aux financements ...et ceux qui sont biens plaçés sont les Russes et les Chinois ....

les Russes pour agrandir leur sphère d'influence ,et les Chinois leurs ressources financières ...Bon courage ....

Le FMI ,la BCE ,Merkel ,sont des agneaux ,....Si tu crois que lorsqu'on doit de l'argent aux chinois ,ils se contenteront d'en effacer une partie ,tu te trompes ,ils se rembourseront sur la bête ...

après le NON ce sera la course aux financements ...et ceux qui sont biens plaçés sont les Russes et les Chinois ...

penses tu, un état qui s'auto finance ? Sans le concours bienveillant et altruiste des gentils banquiers internationaux ?

ça serait du ....

je ne suis pas prêt à payer deux fois plus d’impôts pour faire des cadeaux à la Grèce ,et je ne crois pas non plus que les plus faibles acceptent de ne pas toucher leurs APL pendant un an pour effacer définitivement la dette grecque

Mais en est il seulement question ?

Peux-tu me rappeler la dette de la France ? En quoi ces 40 milliards changeraient quoi que ce soit ?

En quoi devrions nous davantage rembourser de suite, par nos impôts, une somme qui deviendrait un surplus de notre dette bien plus conséquente de toutes façons.

Bon, je remet là ce que j'ai posté sur l'autre sujet sur la Grèce.

À ceux qui pensent que les Grecs sont responsables de la situation qu'ils vivent, qu'ils récoltent ce qu'ils ont semés.

Qui est responsable de l'intégration de la Grèce, qui n'y était évidemment pas prête, à la zone euro ? Ce n'est pas Syriza.

Qui, alors que le gouvernement grec (et en l'occurrence ce n'était pas Syriza) truquait allègrement les comtes avec la complicité de la Banque américaine Goldman Sachs, a préféré pudiquement fermer les yeux ?

Qui en 2010, a lancé le plan de sauvetage de la Grèce (concocté par N. Sarkozy et A. Merkel) qui revenait, pour l'essentiel, à mobiliser les fonds publics pour sauver la mise des banques privées ?

Qui a imposé à la Grèce une politique si brutalement récessive que la dette, qui représentait 100% du PIB en 2008, a presque doublé en conséquence d'un recul de 25% de la production de richesse et de 24% des investissements, ce qui a provoqué plus de réduction de recettes que la politique d'austérité n'avait permis de faire des économies ? Ce n'est pas Syriza qui en est responsable. On l'a oublié, mais les responsables économiques du FMI ont reconnu, il y a trois ans, qu'ils s'étaient totalement trompés dans leurs calculs.

On dit, aujourd'hui, avec une infinie condescendance, que les Grecs n'ont pas fait les efforts qui s'imposaient. Mais, alors, pourquoi, à la veille des élections qui se sont soldées par la victoire de Syriza, la plupart des dirigeants européens ont-ils tenus à féliciter le gouvernement sortant pour l'importance des efforts qu'il avait consentis ?

Pourquoi l'ardeur que l'on met à exiger une réduction des retraites (les Grecs ont effectivement abusé des mises en préretraite) ne l'a-t-on pas dépensée pour imposer également une réduction des dépenses militaires (il est vrai que nous étions bénéficiaires des commandes) et une taxation des armateurs ainsi que de l'Église orthodoxe ?

Les Grecs avaient fini par accepter de faire payer les riches. Or, c'est la patronne du FMI Christine Lagarde, qui s'y est opposée : baisser les salaires, oui, mais ne pas augmenter la fiscalité sur les plus hauts bénéfices, a-t-elle précisé.

Aujourd'hui, on est au bord de la catastrophe et de l'expulsion de la Grèce de la zone euro.

Il est possible que la crainte d'une sortie de l'Euro aidant, le oui l'emporte. et qu'Alexis Tsipras soit contraint de démissionner pour laisser place à un gouvernent de coalition. Depuis le début, c'est en fait ce que les institutions créancières souhaitent. Mais qu'on y prenne garde : au-delà des invectives, ce que l'opinion risque de retenir, c'est qu'un peuple au sein de l'Union (de la zone euro au moins) n'a pas le droit de voter d'une façon qui s'écarte un tant soit peu de la norme instituée au sommet. Et, en l'occurrence, d'élaborer lui-même son mode de sortie de crise. Une sorte de " néodoctrine Brejnev " en somme.

Et alors, l'image de l'Europe, l'idée européenne, n'y résisteront pas.

Extrait de l'article : Qui assassine l'Europe? Marianne n°950.

Ce message a été modifié par Tar Baby - Aujourd'hui, 17:35.

Il faut croire, que les peuples n'ont pas le droit de donner leur avis sur les questions de souveraineté, se rappeler que les Irlandais ayant voté non en 2001 (traité de Nice), on les fit revoter en 2008 et en 2009 (traité de Lisbonne).

En France, en 2005 les français ont voté non au projet de traité constitutionnel européen, en 2008 c'est le Parlement qui ratifie le traité de Lisbonne.

Et depuis que le gouvernement grec a décidé d'organiser un référendum, pour que les Grecs donnent leur avis sur des questions les concernant, c'est le tollé général à Bruxelles et les dirigeants européens essaient de faire croire que l'enjeu de ce référendum est la sortie de la Grèce de l'euro au lieu de l'approbation ou pas des mesures réclamées par Bruxelles.

Bonjour la démocratie.

Les grecs ont dit " Non à la politique d'austérité "

Il s'agit maintenant de faire savoir au monde, à l'UE,

que cette austérité sociale, cette austérité pour

le monde du travail, cette dérèglementation qui s'en prend

à plus d'un siècle de luttes sociales qui a

permis d'arracher la sécurité sociale, la retraite,

l'éducation, en un mot, les services publics, le bien commun

ou socialisation des produits du travail ...

ce sont les "profits privatisés" qu'il faut dénoncer.

Cette partie n'est pas gagnée !

Le pouvoir financier développe sa propagande ignoble.

Ca ne lui fait pas peur de dresser les peuples les uns

contre les autres pour détourner l'attention !

Le pouvoir financier a cet atout entre ses mains crochues:

Le fascisme cette idéologie dite populiste pour mieux brouiller

les cartes et les enjeux !

Le fascisme a toujours été l'atout de la finance !

Et on sait où cela conduit ! Malheureusement !

Surtout, n'attaquez pas les privilèges, n'attaquez pas

les profits, n'attaquez pas l'injustice et les inégalités,

n'attaquez pas l'exploitation du monde du travail...

Surtout ne regardez pas la cause du problème et des crises !

Il n'y a pas d'alternative, l'économie doit servir la finance

seule en mesure de créer de l'emploi et de la croissance !

Acceptez ce modèle, il n'y en a pas d'autre !

La liberté c'est ça ! La liberté, vous dis-je !

Si vous attaquez " la finance" vous vous dirigez vers

le COMMUNISME. Attention, vous vous dirigerez vers la

mise en commun des moyens de production, vers la mutualisation

de l'effort et du travail. Oseriez-vous dire que les ressources

naturelles sont un bien commun et que ce bien commun

doit être géré démocratiquement pour le bien commun et

l'intérêt général !

Attention, si vous vous mettez à penser ainsi,

vous vous laissez contaminer par le COMMUNISME !

Surtout, méfiez vous de ces idées ! Préférez à cette idée

le racisme ! Dressez-vous contre les 'profiteurs pauvres'

ces fainéants, ces inadaptés, ces chômeurs , ces réfugiés

barbares à nos frontières... regardez-les et voyez qu'ils

sont la menace ! Ils ne sont même pas 'civilisés', ce sont

des 'sauvages' des sauvageons, des attardés ...des profiteurs !

Les profiteurs ce sont eux !

Le fascisme c'est le combat des pauvres contre les pauvres,

ou le combat des travailleurs entre eux !

Et pendant ce temps, la Finance fait grossir sa bulle !

99% des richesses mondiales appartient à 1% de l'humanité !

Hé oui, la démocratie est un outil, outil que les gros pleins de fric ont complètement détourné a leur seul et unique profit

Les grecs ont dit " Non à la politique d'austérité "

Il s'agit maintenant de faire savoir au monde, à l'UE,

que cette austérité sociale, cette austérité pour

le monde du travail, cette dérèglementation qui s'en prend

à plus d'un siècle de luttes sociales qui a

permis d'arracher la sécurité sociale, la retraite,

l'éducation, en un mot, les services publics, le bien commun

ou socialisation des produits du travail ...

ce sont les "profits privatisés" qu'il faut dénoncer.

Cette partie n'est pas gagnée !

Le pouvoir financier développe sa propagande ignoble.

Ca ne lui fait pas peur de dresser les peuples les uns

contre les autres pour détourner l'attention !

Le pouvoir financier a cet atout entre ses mains crochues:

Le fascisme cette idéologie dite populiste pour mieux brouiller

les cartes et les enjeux !

Le fascisme a toujours été l'atout de la finance !

Et on sait où cela conduit ! Malheureusement !

Surtout, n'attaquez pas les privilèges, n'attaquez pas

les profits, n'attaquez pas l'injustice et les inégalités,

n'attaquez pas l'exploitation du monde du travail...

Surtout ne regardez pas la cause du problème et des crises !

Il n'y a pas d'alternative, l'économie doit servir la finance

seule en mesure de créer de l'emploi et de la croissance !

Acceptez ce modèle, il n'y en a pas d'autre !

La liberté c'est ça ! La liberté, vous dis-je !

Si vous attaquez " la finance" vous vous dirigez vers

le COMMUNISME. Attention, vous vous dirigerez vers la

mise en commun des moyens de production, vers la mutualisation

de l'effort et du travail. Oseriez-vous dire que les ressources

naturelles sont un bien commun et que ce bien commun

doit être géré démocratiquement pour le bien commun et

l'intérêt général !

Attention, si vous vous mettez à penser ainsi,

vous vous laissez contaminer par le COMMUNISME !

Surtout, méfiez vous de ces idées ! Préférez à cette idée

le racisme ! Dressez-vous contre les 'profiteurs pauvres'

ces fainéants, ces inadaptés, ces chômeurs , ces réfugiés

barbares à nos frontières... regardez-les et voyez qu'ils

sont la menace ! Ils ne sont même pas 'civilisés', ce sont

des 'sauvages' des sauvageons, des attardés ...des profiteurs !

Les profiteurs ce sont eux !

Le fascisme c'est le combat des pauvres contre les pauvres,

ou le combat des travailleurs entre eux !

Et pendant ce temps, la Finance fait grossir sa bulle !

99% des richesses mondiales appartient à 1% de l'humanité !

J'ai l'impression que j'ai été contaminée. :gurp:

« Les Grecs n’avaient qu’à payer leurs impôts »…

Mais les Grecs les payent les impôts… les Grecs comme vous

et uniquement ceux qui travaillent, puisque l’impôt est

directement prélevé à la source en Grèce…

Il n’y a que les très riches qui ne payent pas d’impôt…

Un peu comme chez nous d’ailleurs, où l’artisan est taxé

à 33 % sur les bénéfices mais les entreprises du CAC 40 à

8 % en moyenne…

Pourquoi ne pas prendre aux riches plutôt que de prendre aux pauvres ?

« Avec tous les milliards que l’on a refilé aux Grecs… moi j’en ai assez

de payer pour les Grecs, en plus ils ne respectent pas le Rêêêêglement de copropriété… »

Mais il faudra vous le dire combien de fois mes chers amis ?

Les Grecs n’ont pas reçu un euro de votre argent ni de celui des Européens…

Ce sont les BANQUES commerciales qui avaient pour 300 milliards de dettes

grecques dans leurs comptes, ce qui était suffisant pour « consommer »

tous leur fonds propres ou presque et donc faire faire faillite au système bancaire européen.

Y'a 6 ans Louise, donc avant les attaques spéculatives de 2010, la Grèce était à 140 % de dettes/PIB.

Ca fait un moment que les mouvements dits à la marge étudient la situation grecque.

Le seul cas de figure ou l'état, l'ersatz d'état grec, pourrait rembourser, en 2009 (essaie d'intégrer que ça fait 6 ans), c'est une croissance de 10 %

Le problème c'est aussi que les grecs investissent très peu chez eux, l'oligarchie grecque c'est de grands épargnants, en Suisse notamment, mais pas seulement l'oligarchie.

Dans les autres pays européens c'est 1/3 monétaires 2/3 investis.

En Grèce c'est le contraire.

le patrimoine des ménages c'est ça en Grèce.

Ils n'investissent que très peu chez eux, et assez peu à l'étranger.

ALORS QUAND TU ME PARLES DE PRENDRE SON DESTIN EN MAIN...

Ils l'ont planqué l'argent pour l'oligarchie. Ils l'ont épargné pour les ménages.

Varoufakis dit qu'il veut dézinguer l'oligarchie grecque y'a 6 mois... 6 mois plus tard t'as l'air con.

Donc la faute au FMI oui, la faute à la BCE oui, aux marchés oui, etc...mais pas que.

On ne peut pas dire que toutes les fautes viennent de la finance de marché.

La Grèce à un moment donné est prise à la gorge par les marchés.

Les taux auxquels on acceptait de prêter à la Grèce : jusque 29 % !

Ben oui...

ca a commencé doucement en 2009.

Les américains nous ont tapé dans le bas ventre, et notre bas ventre c'est la Grèce.

T'arrives pas à un taux de 29 % comme ça.

nan parce qu'on a toujours l'impression avec toi que ça vient de tomber, là.

Démocratie ? Mais tu n'es pas souverain tu ne peux pas dévaluer ta monnaie là.

Mais tu m'étonnes que les grecs, dans le fond, passent pour des immatures !

Arrête de dire que Pipras prend des décisions courageuses, t'es à côtés de tes pompes.

Tu dévalues et tu continueras à dévaluer ton investissement, ta consommation, tes dépenses.

Pipras n'y changera rien. A terme.... ??...dis moi.

C'est quoi 1929, c'est des pays qui se sont accroché comme ça, qui ont continué à s'accrocher

Ils ont fait du Piperas...

Je suis d'accord avec toi, quelle que soit la maladie du patient la Troïka lui donne le même remède (Espagne, Portugal, Chypre, Irlande...).

Tu parles des impôts. Demain on dit au 92 : "prenez vos impôts et faites en ce que vous voulez, on territorialise", ça va bien pour les Hauts de Seine.

Par contre le 93 ou le 62...un peu moins quoi.

Par contre mêmes règles pour tous !!

Tu vois bien que dès le départ Tu sais qui est le 92 en Europe, et le 62...

Tu vois bien que d'entrée, la Grèce n'est pas faite pour être dans cette zone.

Idem pour les investissements.

Tu vas dire à l'Allemagne qui doit sauver sa peau (pas bon la démographie pour les années à venir) de donner 5 à 7 % de son PIB pour sauver la Grèce ?

Bref, tu dis démocratie démocratie démocratie, mais est-ce que les grecs comprennent qu'on pourra pas les emmener sur l'autre rive ?

Essaie de te projeter, entre les allemands et leurs futurs problèmes démographiques, la France qui n'a pas encore intégrer la dette des retraites notre génération-boulet (baby-boomers)... ca va faire mal quand ce sera inclus.

Qui ?

Est-ce que Piperas dit "reconnaissez que vous vous êtes trompé avec l'Euro ?".

Non ? Alors pourquoi je devrais le considérer comme un révolutionnaire un combattant ou je ne sais quoi encore ?

C'est juste un immature pour l'instant. Un naïf, un couillon.

Et les grecs sont participes.

d'ailleurs l'oligarchie grecque a proposé ses services à Syriza.

C'est quoi Syriza d'ailleurs ?

S'ils étaient vraiment gênants ils ne seraient pas là.

Ils sont cooptés au moins partiellement avec l'oligarchie.

" Le dimanche 5 juillet, le peuple grec a voté contre encore plus d'austérité, mais pas contre l'euro ou l'Union européenne. Les seules options disponibles pour la Grèce ne peuvent être la simple austérité, qui pénalise ceux qui ont le plus besoin de soutien, ou qu'elle soit contrainte de quitter la zone euro. J'ai lancé cette pétition pour appeler les dirigeants européens à trouver une autre solution, par des réformes et des mesures pour la croissance, et à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer que la Grèce reste dans la famille européenne et conserve l'euro comme monnaie.

Toute rupture avec l'Europe va avoir des conséquences tragiques. Cela entraînera une pauvreté indicible et une forte baisse du niveau de vie et touchera principalement les segments les plus faibles de la population, à savoir les enfants, les personnes âgées, les chômeurs, les familles monoparentales et les malades chroniques. La récession deviendra plus profonde et réduira les recettes fiscales, ce qui aura un impact direct sur les services de santé, l'éducation, la protection sociale et la Défense nationale. Cela entraînera une augmentation spectaculaire de la criminalité et de l'insécurité. La nouvelle monnaie sera faible, beaucoup d'entreprises devront fermer, provoquant une augmentation du chômage, les cadres compétents et les jeunes vont migrer à l'étranger et cela affaiblira encore plus les capacités de reprise de notre économie. Enfin, les riches deviendront plus riches et les pauvres plus pauvres.

S'il vous plaît, signez ma pétition et demandez aux dirigeants de l'Union européenne de maintenir la Grèce dans l'UE et la zone euro.

L'Europe devra également faire face à des conséquences importantes: l'impact financier ne sera peut être pas important, mais on prouvera que le projet de l'unification de l'Europe est réversible. Les marchés vont essayer de prédire qui sera le prochain pays "faible" de la zone euro. L'austérité prévaudra dans d'autres pays européens, en particulier en Europe du sud, en faisant de la Grèce un exemple négatif. La Grèce est l'un des pays aux frontières de l'Union, qui protège l'Europe de l'immigration illégale excessive, et si elle est dans un état de chaos, elle ne pourra pas plus jouer ce rôle. Il y a aussi des symboles importants: l'Europe doit son nom à la langue grecque et la Grèce est le berceau de la démocratie. Comment peut-elle être laissée en dehors de l'UE?

Signez et partagez ma pétition maintenant. Disons aux dirigeants de l'Union européenne que la Grèce doit rester dans l'Union et dans la zone euro.

Nous ne demandons pas de ne pas payer nos dettes. Mais afin d'être en mesure de le faire, nous devons nous concentrer sur les réformes et les mesures qui vont entraîner la croissance et pas la récession. En Grèce, nous demandons à notre gouvernement de faire pression pour un meilleur système dans notre pays en ce qui concerne la fiscalité, la justice, la méritocratie, la transparence et l'égalité de tous les citoyens.

Il est temps de travailler ensemble. Si chaque nation de l'Union européenne fait pression sur ses dirigeants pour trouver une nouvelle solution, nous pourrions faire quelque chose d'incroyable, plein de compassion et historique. Nous pouvons aider à faire de l'Europe une terre de paix, de démocratie, d'humanité, de justice et de protection sociale. A quoi sert notre Union, si ce n'est pas à se soutenir pendant les périodes difficiles, autant que célébrer les bonnes ?

S'il vous plaît, joignez-vous à nous pour aider à créer une Union européenne qui écoute vraiment son peuple. S'il vous plaît, aidez à garder mon pays dans la famille européenne. Signez et partagez cette pétition. "

Pour signer la pétition, c'est par ici :

https://www.change.org/p/gardez-la-gr%C3%A8ce-dans-l-union-europ%C3%A9enne-et-dans-la-zone-euro-greecein?recruiter=324316676&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink

"Sans production, pas de consommation; mais, sans consommation,

pas de production non plus, car la production serait alors sans but.

La consommation produit la production doublement.

1º C'est dans la consommation seulement que le produit devient

réellement produit. Par exemple, un vêtement ne devient

véritablement vêtement que par le fait qu'il est porté;

une maison qui n'est pas habitée n'est pas, en fait,

une véritable maison;

le produit donc, à la différence du simple objet naturel, ne s'affirme

comme produit, ne devient produit que dans la consommation.

C'est la consommation seulement qui, en absor­bant le produit,

lui donne la dernière touche (finishing stroke);

car la production n'est pas produit en tant qu'activité objectivée,

mais seulement en tant qu'objet pour le sujet agissant

[la consommation produit la production]

2º La consommation crée le besoin d'une nouvelle production,

par conséquent la raison idéale, le mobile interne de la production,

qui en est la condition préalable.

La consommation crée le mobile de la production;

elle crée aussi l'objet qui agit dans la production en déterminant sa fin. S'il est clair que la production offre, sous sa forme matérielle,

l'objet de la consommation, il est donc tout aussi clair que la

consommation pose idéalement l'objet de la production,

sous forme d'image intérieure, de besoin, de mobile et de fin.

Elle crée les objets de la production sous une forme encore subjective.

Sans besoin, pas de production.

Mais la consommation reproduit le besoin."

Ecouter 4 minutes de vidéo :

http://www.philomag.com/les-videos/charles-melman-la-seule-norme-aujourdhui-cest-detre-vendable-5754

Ce qui est étrange, c'est que cette idée là te soit ancrée dans la tête, celle qu'un système de partage et de redistribution serai taux antipodes de la démocratie ...

Ce qui est étrange, c'est que cette idée-là vous soit toujours ancrée dans la tête, celle que le communisme -régime totalitaire immonde s'il en est- soit "juste" un système de partage et de redistribution.

tiens, un autre "jo la science" c'est marrant mais on se passait bien de ta suffisance avant, le communisme est intrinsèquement mauvais selon toi ? Pas d'accord, le communisme est un outil, c'est ce qu'on en fait qui le rend mauvais, mais bon j'imagine que tu vas nous repomper les pavés pompeux de petits papes pusillanimes pour pérorer tes pathétiques pensées copiées collées

Le monde occidental veut prendre l'energie de la grece

ils pretendent l'aider mais veulent en réalité piller ses richesses

On se demande de quelles richesse tu parles, celles que les grecques eux mêmes n'avaient pas remarquées :smile2:

Ce qui est étrange, c'est que cette idée-là vous soit toujours ancrée dans la tête, celle que le communisme -régime totalitaire immonde s'il en est- soit "juste" un système de partage et de redistribution.

"un système de partage et de redistribution", qui peut croire ça ?

Toutes les expériences du communisme ont démontré le contraire, pas de communisme sans dictature et cela veut tout dire !

On se demande de quelles richesse tu parles, celles que les grecques eux mêmes n'avaient pas remarquées :smile2:

le pétrole au sud de la crête , sans prendre en compte le gazoduc qui passe la bas ...

donc ruiner la Grèce pour ainsi la privatiser au profit des géants pétro-gazier américain...

le pétrole au sud de la crête , sans prendre en compte le gazoduc qui passe la bas ...

donc ruiner la Grèce pour ainsi la privatiser au profit des géants pétro-gazier américain...

Ah bon, le pétrole...

Explique moi pourquoi ce fameux pétrole n'est pas exploité par les grecs puisqu'il est la parait-il et qu'ils ont si besoin d'ragent ?

C'est du n'importe quoi !