Les grecs appelés à choisir leur avenir

Au non de quoi des organisation non étatiques reconnues d'utilité publique ne pourraient-elles recevoir de subventions ?

T'es gentil Rantanplan tu évites de mélanger les questions des uns, les réponses des autres et tes neurones de fête foraine.

Je ne m'étonne guère que tu te réfugies dans la grasse invective, après avoir prouvé ta méconnaissance et des règles de la fiscalité et de la situation grecque. On reconnaît le trollage continu de ton personnage qui, depuis des années, pollue ce forum. Ta participation es à l'aune de ta culture : proche du néant.

On va donc faire des emprunts pour rembourser les emprunts non remboursés de dame Grèce.

Tsipras, l'ennemi des banques qui les engraisse.

La commune de Saint-Cast-le-Guildo, dans les Côtes-d’Armor,

qui a vu son taux d’intérêt bondir de 3,99 % à 24 % à la suite

d’un prêt toxique, est parvenue à faire condamner

la banque responsable : Dexia.

On peut payer sans sourciller ou bien

faire un audit de la dette comme le suggère

le gouvernement grec !

Pourquoi refuser cet audit qui intéresse

tous les peuples européens ?

Les gouvernements cachent-ils la vérité ?

Quand on voit le lobbying,tout les efforts des politiques et la propagande pour forcer le oui y a de quoi se poser des questions sur l'europe et sa vision de la démocratie

C'est terminé la démocratie en Europe; c'est juste un théâtre de marionnettes. De toute façon il n'y a qu'une seule politique possible à suivre (celle qui fait le bonheur de la sphère financière), comme on passe son temps à nous le répéter. Bon d'accord il existe encore des oppositions, mais on les qualifie avec mépris de "populistes" et on prétend qu'elles sont justement en dehors du jeu démocratique...

C'est en cela que le cas de la Grèce est passionnant. Les Grecs veulent reprendre leur destin en main - ce que nos chers eurocrates de Bruxelles n'ont pas prévu dans leurs calculs, et c'est bien pour ça que ça les met en rage.

Mais est-il même question de la Grèce dans cette affaire? La vérité est qu'on a spéculé sur la dette grecque comme on a spéculé sur les subprimes avant la crise de 2008. Alors maintenant qu'il existe une (large) possibilité que la Grèce ne rembourse pas, c'est la panique. Mais ça c'est pas de la faute des Grecs, c'est de la faute des connards de spéculateurs, soutenus et encouragés par les gouvernements et les organisations internationales comme le FMI. Est-il nécessaire de le préciser, Wall Street ou la City de Londres s'en foutent bien, du sort des Grecs. Et Bruxelles aussi. Alors j'espère bien que, pour son propre intérêt, la Grèce va lâcher cette Europe qui ne lui veut que du mal.

Et je ne suis pas fier de la façon dont se comporte le gouvernement français (moins en pointe cela dit que Berlin dans cette affaire, les Allemands considérant manifestement les dogmes économiques avec autant de fanatisme que les gens de DAESH les principes de l'Islam) et aussi une partie de la presse, qui alterne injures et menaces à l'égard de la population grecque.

C'est terminé la démocratie en Europe; c'est juste un théâtre de marionnettes. De toute façon il n'y a qu'une seule politique possible à suivre (celle qui fait le bonheur de la sphère financière), comme on passe son temps à nous le répéter. Bon d'accord il existe encore des oppositions, mais on les qualifie avec mépris de "populistes" et on prétend qu'elles sont justement en dehors du jeu démocratique...

C'est en cela que le cas de la Grèce est passionnant. Les Grecs veulent reprendre leur destin en main - ce que nos chers eurocrates de Bruxelles n'ont pas prévu dans leurs calculs, et c'est bien pour ça que ça les met en rage.

Mais est-il même question de la Grèce dans cette affaire? La vérité est qu'on a spéculé sur la dette grecque comme on a spéculé sur les subprimes avant la crise de 2008. Alors maintenant qu'il existe une (large) possibilité que la Grèce ne rembourse pas, c'est la panique. Mais ça c'est pas de la faute des Grecs, c'est de la faute des connards de spéculateurs, soutenus et encouragés par les gouvernements et les organisations internationales comme le FMI. Est-il nécessaire de le préciser, Wall Street ou la City de Londres s'en foutent bien, du sort des Grecs. Et Bruxelles aussi. Alors j'espère bien que, pour son propre intérêt, la Grèce va lâcher cette Europe qui ne lui veut que du mal.

Et je ne suis pas fier de la façon dont se comporte le gouvernement français (moins en pointe cela dit que Berlin dans cette affaire, les Allemands considérant manifestement les dogmes économiques avec autant de fanatisme que les gens de DAESH les principes de l'Islam) et aussi une partie de la presse, qui alterne injures et menaces à l'égard de la population grecque.

La commune de Saint-Cast-le-Guildo, dans les Côtes-d’Armor,

qui a vu son taux d’intérêt bondir de 3,99 % à 24 % à la suite

d’un prêt toxique, est parvenue à faire condamner

la banque responsable : Dexia.

On peut payer sans sourciller ou bien

faire un audit de la dette comme le suggère

le gouvernement grec !

Pourquoi refuser cet audit qui intéresse

tous les peuples européens ?

Les gouvernements cachent-ils la vérité ?

Quand on voit le lobbying,tout les efforts des politiques et la propagande pour forcer le oui y a de quoi se poser des questions sur l'europe et sa vision de la démocratie

C'est terminé la démocratie en Europe; c'est juste un théâtre de marionnettes. De toute façon il n'y a qu'une seule politique possible à suivre (celle qui fait le bonheur de la sphère financière), comme on passe son temps à nous le répéter. Bon d'accord il existe encore des oppositions, mais on les qualifie avec mépris de "populistes" et on prétend qu'elles sont justement en dehors du jeu démocratique...

C'est en cela que le cas de la Grèce est passionnant. Les Grecs veulent reprendre leur destin en main - ce que nos chers eurocrates de Bruxelles n'ont pas prévu dans leurs calculs, et c'est bien pour ça que ça les met en rage.

Mais est-il même question de la Grèce dans cette affaire? La vérité est qu'on a spéculé sur la dette grecque comme on a spéculé sur les subprimes avant la crise de 2008. Alors maintenant qu'il existe une (large) possibilité que la Grèce ne rembourse pas, c'est la panique. Mais ça c'est pas de la faute des Grecs, c'est de la faute des connards de spéculateurs, soutenus et encouragés par les gouvernements et les organisations internationales comme le FMI. Est-il nécessaire de le préciser, Wall Street ou la City de Londres s'en foutent bien, du sort des Grecs. Et Bruxelles aussi. Alors j'espère bien que, pour son propre intérêt, la Grèce va lâcher cette Europe qui ne lui veut que du mal.

Et je ne suis pas fier de la façon dont se comporte le gouvernement français (moins en pointe cela dit que Berlin dans cette affaire, les Allemands considérant manifestement les dogmes économiques avec autant de fanatisme que les gens de DAESH les principes de l'Islam) et aussi une partie de la presse, qui alterne injures et menaces à l'égard de la population grecque.

Jusqu’à quand les économistes de la BCE continueront-ils à

cacher sous le tapis l’état pas franchement rassurant de

la Deutsche Bank ?

La situation délicate de ce géant aux pieds d’argile,

embourbé dans une série de scandales et soupçonné de blanchiment

d’argent, représente un danger considérable non seulement

pour l’Europe mais pour l’économie mondiale.

La Deutsche Bank vient d’écoper d’une amende de 2 milliards pour falsification du Libor, et est actuellement

« aux prises avec quelque 6 000 litiges » juridiques !

À la mi-mars, ses filiales américaines ont été les seules,

avec celles de Stantander, à ne pas passer les Stress Tests de la Fed.

Mais le plus inquiétant est que le géant allemand, poursuivi

outre-Atlantique pour évasion fiscale, détiendrait dans son

portefeuille une bombe de plusieurs gigatonnes.

Rien de moins que quelques trillions de produits à très

haut risque, voire toxiques.

Sur leur montant exact, les chiffres les plus fous circulent.

Il y en a qui parlent de 3 à 4 trillions, d’autres de quelques

dizaines. Peut-être que le très pointilleux M. Draghi

daignerait nous informer de ce qu’il en est au juste.

Car lorsque cette bulle-là éclatera, le krach qui suivra,

fera paraître celui de 1929 comme une partie de plaisir.

Les grecs sont-ils seuls responsables de la corruption

du personnel politique et de la malhonnêteté des banques ?

Vite sortez moi le portrait de Staline !

Les grecs sont-ils seuls responsables de la corruption du personnel politique et de la malhonnêteté des banques ?

Excellente question mais la poser c'est y répondre.

On a effectivement plus à redouter des banquiers allemands (ou autres) que des retraités grecs.

Jusqu’à quand les économistes de la BCE continueront-ils à

cacher sous le tapis l’état pas franchement rassurant de

la Deutsche Bank ?

La situation délicate de ce géant aux pieds d’argile,

embourbé dans une série de scandales et soupçonné de blanchiment

d’argent, représente un danger considérable non seulement

pour l’Europe mais pour l’économie mondiale.

La Deutsche Bank vient d’écoper d’une amende de 2 milliards pour falsification du Libor, et est actuellement

« aux prises avec quelque 6 000 litiges » juridiques !

À la mi-mars, ses filiales américaines ont été les seules,

avec celles de Stantander, à ne pas passer les Stress Tests de la Fed.

Mais le plus inquiétant est que le géant allemand, poursuivi

outre-Atlantique pour évasion fiscale, détiendrait dans son

portefeuille une bombe de plusieurs gigatonnes.

Rien de moins que quelques trillions de produits à très

haut risque, voire toxiques.

Sur leur montant exact, les chiffres les plus fous circulent.

Il y en a qui parlent de 3 à 4 trillions, d’autres de quelques

dizaines. Peut-être que le très pointilleux M. Draghi

daignerait nous informer de ce qu’il en est au juste.

Car lorsque cette bulle-là éclatera, le krach qui suivra,

fera paraître celui de 1929 comme une partie de plaisir.

Les grecs sont-ils seuls responsables de la corruption

du personnel politique et de la malhonnêteté des banques ?

Vite sortez moi le portrait de Staline !

"Les grecs sont-ils seuls responsables de la corruption

du personnel politique et de la malhonnêteté des banques ?"

Tu veux rire là !!!

Il n'y a pas que le personnel politique ou les fonctionnaires grecs qui étaient corrompus, le peuple l'était aussi, tous fraudaient un maximum, du coup, tout le monde s'y retrouvait !!!

Cette corruption était bien connue et était surtout le fait de la classe dirigeante grecque. Ca fait 10 ans qu'on sait tout ça... et on insiste pour que la Grèce reste dans la zone euro. Il faut croire que ça profite à certains, non?

J'ai retrouvé un jour un numéro de "Libération" datant de l'été 2005, avec un long article sur la crise grecque (déjà!). A l'époque on savait très bien que le gouvernement grec avait truqué ses chiffres pour entrer dans la zone euro, avec la complicité des grandes banques américaines... et de Bruxelles. Il fallait virer la Grèce dès cette époque. Une des raisons pour lesquelles ça n'a pas été fait, c'est qu'en fait on n'avait prévu aucune sortie possible de la zone euro. Une autre raison c'est que la dette grecque, comme je l'ai déjà dit, est un objet de spéculation.

Espérons maintenant que le peuple grec ait du bon sens à la place des dirigeants européens, qui eux n'en ont aucun. Ce n'est pas être antieuropéen que de déplorer que l'Europe soit dirigée par des imbéciles cupides.

Il existe deux fêtes nationales grecques, dont le "Jour du Non", qui se fête le 28 octobre, jour anniversaire du rejet de l'ultimatum de Mussolini, en 1940. A cette époque sombre, la Grèce avait donné un exemple magnifique au monde, non seulement en refusant la menace fasciste, mais en plus en battant à plate couture les armées italiennes qui avaient envahi son territoire. J'espère de tout cœur que ce dimanche verra un nouveau "Jour du Non", cette fois dirigé contre l'ultra-libéralisme, une doctrine totalitaire qui me paraît au moins aussi dangereuse que le fascisme.

(Pour les gens qui - naturellement - ne connaissent pas cet épisode de l'Histoire, et qui imaginent que la Grèce a toujours été un petit pays de m..., on peut consulter avec profit les articles de la Wikipédia consacrés au général Metaxás, au "Jour du Non" et à la guerre italo-grecque. On peut aussi lire le roman passionnant de Louis de Bernières, "La mandoline du capitaine Corelli" - dont a été tiré un film avec Nicolas Cage et Pénélope Cruz -, qui se penche aussi sur ces événements et sur l'invasion nazie qui a suivi, et permet de comprendre pourquoi les Grecs n'ont pas gardé un très bon souvenir de l'occupation allemande - c'est le moins qu'on puisse dire. Enfin, la lecture ou relecture de l'"Eté grec" de Jacques Lacarrière permet de mieux appréhender la mentalité de ce pays bien plus compliqué qu'il n'y paraît.)

L’ANNONCE DU DÉFAUT DE PAIEMENT DE LA GRÈCE

AU FMI PAR CHRISTINE LAGARDE

POURRAIT NE PAS ÊTRE VALIDÉE.

Pour l’instant, la Grèce est classé en incident de paiement, mais Christine Lagarde a clairement annoncé que très bientôt serait officielle sa validation par l’institution en défaut technique, sans la moindre carence : "il n’y a pas de délai de grâce" a-t-elle répété.

Cependant, depuis mardi matin, Yanis Varoufakis insiste pour que soit appliquée une clause de la charte fondatrice du FMI (la provision G, section 7, article 5) qui autorise un pays emprunteur à demander le report d’un remboursement pour faire face à "une épreuve exceptionnelle". Cette clause n’a été utilisée qu’à deux reprises dans l’histoire du FMI, simultanément par le Nicaragua et le Guyana en 1982.

Mieux encore, Yanis Varoufakis s’appuie sur la Charte des Nations-Unies qui, d’une part, rappelle à ses états membres leur devoir de préserver les droits humains fondamentaux et, d’autre part, stipule qu’en cas de conflit entre ce devoir et des engagements pris à travers un autre accord international, c’est la préservation des droits humains fondamentaux qui prime.

Voici l’article qui stipule précisément ce deuxième point :

"Article 103

En cas de conflit entre les obligations des Membres des Nations Unies en vertu de la présente Charte et leurs obligations en vertu de tout autre accord international, les premières prévaudront."

http://www.un.org/fr/documents/charter/pdf/charter.pdf

Actuellement, ni Christine Lagarde ni un autre représentant du FMI n’a officiellement répondu à cette demande doublement justifiée de Yanis Varoufakis. Sans doute attendent-ils une livraison massive de cachets d’aspirine et de nouvelles lunettes pour examiner leurs propres textes et la charte de l’ONU.

Encore un cheval de Troie qui patiente, cette fois, sur le parking du FMI à Washington.

Attention ! Les Grecs pro-Troïka ont reçu un soutien de poids !

Nikos Aliagas monte sur la tribune pour le Oui

:D

Christine Lagarde à Washington, Pierre Moscovici à Bruxelles... Faudrait quand même arrêter de s'imaginer qu'en envoyant nos malfaisants à l'étranger, ils deviennent d'un coup inoffensifs!

Christine Lagarde à Washington, Pierre Moscovici à Bruxelles... Faudrait quand même arrêter de s'imaginer qu'en envoyant nos malfaisants à l'étranger, ils deviennent d'un coup inoffensifs!

:D