Elections législatives en Grande Bretagne

Dans moins d'une semaine les Anglais éliront leur 56° parlement

"Des élections générales britanniques auront lieu le 7 mai 2015 pour élire le 56^e Parlement du Royaume-Uni.

Les élections précédentes avaient débouché sur un parlement minoritaire et la formation d'un gouvernement de coalition entre les conservateurs du Premier ministre David Cameron et les libéraux-démocrates du Vice-Premier ministre Nick Clegg.

Le travailliste Ed Miliband est le leader de l'opposition depuis 2010."

avec une fausse croissance de 2,6% et un chômage limité entre 5 et 7% totalement déconnecté de la réalité le Royaume uni est championne de la triche ....

"On trouve ainsi des « autoentrepreneurs » qui sont chargés de relever les compteurs de gaz ou d’électricité, alors qu’ils n’ont pas le choix de leurs horaires de travail ni de l’endroit où ils doivent se rendre.

Les livreurs de colis, qui se multiplient en cette ère de commandes sur internet, sont dans la même catégorie. En clair, le chômage n’a pas trop progressé parce que le nombre de travailleurs pauvres augmentait.

Lire aussi : Grande-Bretagne : plutôt travailleur précaire que chômeur

Dans le même temps, les salaires ont été gelés, tandis que l’inflation flambait. Sur les sept dernières années, les Britanniques ont connu la plus forte baisse de leur pouvoir d’achat depuis la crise des années 1930."

La croissance de 2,6% l'an dernier s'est fait au dépend de l'Euro fort .Maintenant que l'Euro est à un taux un peu plus réel les résultats ne se sont pas fait attendre et la croissance est en net ralentissement à 0,3% pour ce premier trimestre ...

Alors qu'il n'y avait que 14% de pauvres dans les années 80 ils sont maintenant près du tiers de la population à ne pas atteindre les critères de vie jugés minimum ....

" Concrètement, 18 millions de Britanniques ne sont pas bien logés, 4 millions d’entre eux ne se nourrissent pas suffisamment, 20 millions ne sont pas chauffés suffisamment pendant l’hiver et 5,5 millions de Britanniques ne possèdent pas les vêtements les plus basiques. Enfin, un adulte sur cinq a dû emprunter pour pouvoir faire face à ses dépenses quotidiennes et 21 % des foyers possèdent des factures impayées contre moitié moins en 1999."

les résultats économiques du pays qui suivent ceux des pays Européens équivalent ,ont donc été artificiellement enjolivés en vue de ces élections législatives tout en jetant un voile pudique sur les inégalités et la pauvreté ...Seuls 19% des britanniques estiment avoir profité d'une augmentation hypothétique d'un pouvoir d'achat .....

Les Britanniques se laisseront ils enfumer par ces résultats économiques en trompe l’œil ?

Eh bien, je vois que ce qui se passe au RU n'intéresse pas grand monde ( pour ne pas dire personne ).

La crise de 2008 est arrivée alors que les travaillistes étaient au gouvernement. Pour y faire face ils ont laissé filer la dette publique tout en ayant une politique via la banque centrale pour faire baisser les taux d'intérêts à long terme et ainsi avoir des taux proches de zéro pour le remboursement des intérêts de la dette. Le commerce extérieur a été favorisé par la dépréciation de la livre sterling de moins 25% en 2008-2009. La reprise de l'économie britannique était amorcée.

Mais stoppée net en 2010 par la crise de la zone euro et par la politique d'austérité du nouveau gouvernement élu ( conservateurs et libéraux démocrates ). Une politique d'austérité comme le RU n'en avait pas connu depuis la seconde guerre mondiale.

- entre 2010 et 2014 les dépenses publiques ont diminué de 6% malgré une augmentation du PIB de 3%.

- baisse des allocations logement.

- prestations familiales placées sous conditions de ressources (elles étaient universelles depuis 1946) et désormais indexées sur un indice des prix moins favorable.

- instauration d'un plafond d'aides sociales afin d'éviter un supposé risque de désincitation au travail créé par les minimas sociaux.

- remplacement de l'allocation aux familles pauvres dont les enfants de 16 à 18 ans sont scolarisés par des bons d'achats. Économie 380 millions de livres.

- entre 2010 et 2015 le montant des prestations sociales diminue de 1,4%. Renforcement des contrôles sur les bénéficiaires dans tous les domaines.

- en 2012 le plafond des frais d'inscription à l'université passent à 9000 livres. Du fait de la baisse de près de 40% du financement public de l'enseignement supérieur les deux tiers des universités ont déjà pour barême ce plafond. Avec pour conséquence un endettement des étudiants en forte augmentation, avec le risque selon une commission d'enquête parlementaire qu'en 2044, la dette publique associée aux prêts étudiants pourrait atteindre 415 milliards d'euros du fait du risque de non remboursement comme aux EU.

- une réforme de 2007 prévoyait de passer l'âge de la retraite de 65 à 68 ans entre 2024 et 2046. Le passage à 66 ans a été avancé et devrait se faire en 2020 ( soit six ans plus tôt que prévu ). Les générations qui arrivent aujourd'hui sur le marché devraient partir à la retraite à 70 ans.

- entre juin 2009 et juin 2014, 743 000 emplois supprimés dans le secteur public. Si le NHS a été quasiment épargné, les autres services de santé ont quant à eux subi une baisse de 21% de leurs effectifs. Le budget de l'EN pour les collectivités locales étant passé de 55 milliards de livres en 2010 à 48 milliards en 2015, résultat

156 000 suppressions de postes entre 2010 et 2014 ( moins 9,3% des effectifs ).

- suite à privatisation 159 000 emplois sont passés dans le privé.

- les indemnités de licenciement des fonctionnaires ( dont la protection de l'emploi à été réduite ) ont été diminuées.

- les salaires du public ont été gelés de 2010 à 2012 puis leur hausse plafonnée à 1% depuis, soit, une perte de 10% du pouvoir d'achat entre 2010 et 2014.

- depuis 2011 une réforme a été lancée afin de décentraliser la fixation des salaires du public au niveau régional avec pour but de réduire l'écart des salaires entre le public et le privé qui était en moyenne de 8,3% en 2010 en faveur du public ( ou comment niveler par le bas ). De plus pour l'EN une réforme en vigueur depuis 2014 introduit des critères de performance scolaire dans la rémunération des enseignants et la progression de leur salaire est désormais largement déterminée par les Ets et par l'inspection.

- pour le NHS sa gestion est de plus en plus décentralisée et il subit une privatisation rampante. Son avenir est d'ailleurs au cœur de la campagne électorale.

Pour ce qui est de l'emploi, suppression de 750 000 emplois dans le public et la création de 2 millions d'emplois dans le privé.

- création massive d'emplois de faible niveau de qualification avec des bas salaires.

- contrats zéro heures, pas de volume horaire ni de salaire minimum.

- boom des auto-entrepreneurs, leur revenu moyen a chuté de 20 à 25% depuis la crise.

- pour certains chômeurs, obligation d'effectuer des activités bénévoles de 30h/sem pouvant aller jusqu'à six mois.

Résultat des opérations, baisse du chômage mais augmentation de la précarité et de la pauvreté.

Un encouragement au surendettement des ménages, 146% du revenu disponible en 2014, c'est la dette brute des ménages, l'une des plus élevées des pays développés.

Une faible productivité 30.20€ de l'heure pour les britanniques contre 45,60€ de l'heure pour les français.

David Cameron s'il est réélu entend maintenir sa politique d'austérité afin de faire baisser les dépenses publiques de 43,5% du PIB atteint en 2013-2014 à 37,8% en 2018-2019.

Au vu de tout cela et sachant que dans les sondages les deux principaux partis ne sont crédités chacun que d'un tiers des voix, 32% pour les conservateurs et 36% pour les travaillistes que le parti libéral démocrate crédité de 8% des voix, a perdu de son électorat du fait de leur participation à l'actuel gouvernement de coalition. Que Cameron promet un référendum d'ici 2017 pour décider si le RU doit quitter l'UE. Que le parti nationaliste écossais SNP, est crédité lui de 4% des voix, pourrait bien remporter la quasi totalité des sièges écossais au parlement national et qu'il souhaite faire sortir l'Ecosse de Grande Bretagne. Que le parti pour l'indépendance du Royaume Uni l'UKIP, crédité environ entre 10 et 13% des voix, veut faire sortir la Grande Bretagne de l'Europe. Et que les verts, crédités de 5 à 6% des voix, veulent faire sortir la Grande Bretagne et l'Europe du " capitalisme à outrance ".

Du fait du mode de scrutin uninominal à un tour, celui qui obtient le plus de voix gagne le siège. Avec une surreprésentation des candidats conservateurs et travaillistes, ils pourraient obtenir 90% des sièges même avec deux tiers des suffrages, alors que les Verts et l'Ukip réunis pourraient amasser un quart des voix mais ne décrocher que 6 ou 7 sièges du fait de soutiens trop éparpillés, et qu'à contrario le SNP ne devrait recueillir que 4% des voix mais pourrait rafler 55 à 57 sièges puisqu'il est concentré en Écosse.

Et bien, au vu de tout cela, à part Madame Irma, je ne vois pas qui pourrait faire des pronostics sur l'issue de ces élections.

Sources : Alternatives Économiques, Courrier International.

Royaume-Uni: David Cameron grand vainqueur des législatives

Royaume-Uni 2015. Ici, quand on perd une élection, on démissionne !

:smile2:

Ils sont passés où les cocos, les bienpensants et autres nanars.... :smile2: .

Franchement, aujourd'hui, je me marre bien. Ben oui... l'austérité ça marche... hein les cocos... Alors arrêtez avec vos conneries.

Les travaillistes sont HU-MI-LIÉS !

Chacun voit midi à sa porte.

La preuve, l'austérité à réussit à l'Allemagne et au RU. On en voit le résultat aujourd'hui au RU, et depuis 10 ans en Allemagne.

En Espagne ils galèrent mais ça ira bientôt mieux. L'Italie est en train dans sortir.

l'austérité n'a de résultat que pour les plus riches, pas pour ceux qui doivent la subir

Pour rebondir, il faut savoir faire des efforts, l'Allemagne comme la Grande-Bretagne le démontrent clairement !

Via des mesures fiscales appropriées ces pays ont relancé leurs économies, chez nous c'est taxes, impôts, à bas les patrons, morts aux entrepreneurs, les riches à la lanterne, du coup tous fichent le camps et l'économie croule et le chômage explose !

Pourquoi les français vont bosser à Londres, pourquoi l'Allemagne a un excédent commercial ?

l'austérité n'a de résultat que pour les plus riches, pas pour ceux qui doivent la subir

... Mais tout le monde en profite une fois la crise passée.

Quand on refuse l'austérité, ça donne l'Espagne et la Grèce.

Quand on accepte de se serrer la ceinture, ça donne l'Allemagne et le RU.

Pour rebondir, il faut savoir faire des efforts, l'Allemagne comme la Grande-Bretagne le démontrent clairement !

Via des mesures fiscales appropriées ces pays ont relancé leurs économies, chez nous c'est taxes, impôts, à bas les patrons, morts aux entrepreneurs, les riches à la lanterne, du coup tous fichent le camps et l'économie croule et le chômage explose !

Pourquoi les français vont bosser à Londres, pourquoi l'Allemagne a un excédent commercial ?

Je te souhaite de ne jamais te retrouver sans emploi.

... Mais tout le monde en profite une fois la crise passée.

Avec le creusement des inégalités en cours, et même bien installé dans les pays que vous prenez pour exemple, c'est courageux de lancer une telle phrase...

Une fois de plus, les médias et les journalistes français clairement orientés à gauche ont été incapables d'anticiper la nette victoire de D Cameron, laissant supposer que le scrutin serait très très serré alors que l'affaire était pliée depuis un moment déjà . Même scénario il y a quelques semaines avec l'élection sans appel de Netanyahou en Israël.

et oui! se faire réélire c'est possible... chez les conservateurs.

:smile2:

Ils sont passés où les cocos, les bienpensants et autres nanars.... :smile2: .

Franchement, aujourd'hui, je me marre bien. Ben oui... l'austérité ça marche... hein les cocos... Alors arrêtez avec vos conneries.

Les travaillistes sont HU-MI-LIÉS !

Quelle mentalité !

Vous avez quel âge ?

À Garlaban,

Encore une réflexion guidée uniquement par ton côté partisan, les médias britanniques eux-même étaient incapables de prévoir ce résultat.

La preuve, l'austérité à réussit à l'Allemagne et au RU. On en voit le résultat aujourd'hui au RU, et depuis 10 ans en Allemagne.

En Espagne ils galèrent mais ça ira bientôt mieux. L'Italie est en train dans sortir.

Pour rebondir, il faut savoir faire des efforts, l'Allemagne comme la Grande-Bretagne le démontrent clairement !

Via des mesures fiscales appropriées ces pays ont relancé leurs économies, chez nous c'est taxes, impôts, à bas les patrons, morts aux entrepreneurs, les riches à la lanterne, du coup tous fichent le camps et l'économie croule et le chômage explose !

Pourquoi les français vont bosser à Londres, pourquoi l'Allemagne a un excédent commercial ?

Une fois de plus, les médias et les journalistes français clairement orientés à gauche ont été incapables d'anticiper la nette victoire de D Cameron, laissant supposer que le scrutin serait très très serré alors que l'affaire était pliée depuis un moment déjà . Même scénario il y a quelques semaines avec l'élection sans appel de Netanyahou en Israël.

et oui! se faire réélire c'est possible... chez les conservateurs.

Si ces pays vous font tant envie, pourquoi n'y allez vous ?

Si ces pays vous font tant envie, pourquoi n'y allez vous ?

.... ce qui signifie que la France est définitivement ta propriété privée?

Quand j'entend que la Grande Bretagne est en pleine croissance et que sa politique économique avec sa cure d'austérité était la bonne méthode, ça me fait doucement rigoler.

Extrait :

Une croissance à crédit.

Pratiquement neutre du point de vue de l'économie, la politique budgétaire n'est pas restée inactive pour autant. lancés en juillet 2012 et septembre 2013 en coordination avec la Banque d'Angleterre les programmes Funding for Lending et Help to Buy, qui encouragent les banques à prêter aux ménages et subventionnent l'acquisition du premier logement, ont donné un coup de fouet au marché immobilier dont les prix ont dépassé les pics de 2007. Fin 2014 le rythme annuel de la hausse des prix immobiliers dépassait 10% à l'échelle nationale et 15% dans l'agglomération londonienne, où ils se situent désormais 32% au dessus de leur pic d'avant-crise.

Mesurée par rapport aux revenus ou aux loyers, la surévaluation des prix est d'ores et déjà évidente. Pour les 2/3 environ des ménages propriétaires de leur logement, la bulle en formation est synonyme de revalorisation du patrimoine, un effet de richesse qui joue positivement sur la confiance des consommateurs et leur propension à l'endettement. De fait avec une contribution négative des échanges extérieurs à la croissance et un investissement au point mort jusqu'à la fin 2013, la consommation des ménages a été le principal moteur de la reprise de l'activité au cours des deux dernières années.

Le problème est que sept après le début de la récession, les salaires réels sont toujours 6% en dessous de leur niveau de 2007. Et ils n'ont guère montré de signes de redressement sur les deux dernières années. Si la décrue du chômage, qui est revenu à 5,6% de la population active en janvier 2015, est significative, l'immense majorité des emplois créés depuis 2012 correspondent à des postes à temps partiel ou de travailleurs indépendants. Avec un pouvoir d'achat en berne, les ménages ont dû, pour augmenter leurs dépenses, recourir au crédit et tirer sur l'épargne.

Le taux d'épargne des ménages britanniques, qui s'était redressé de six points à l'issue de la crise, est retombé aux niveaux observés en 2006-2007. À 146% du revenu disponible en 2014, la dette brute des ménages est l'une des plus élevée des pays développés. Selon les projections de l'Office for Budget Responsibility, elle pourrait dépasser 170% à la fin de la décennie. Une trajectoire inquiétante pour un pays qui se remet à peine de l'une des plus graves crises financières de son histoire.

En mal de productivité

Le caractère bancal de la croissance britannique ne se résume pas à la flambée de l'immobilier et à l'insouciance financière qu'elle suscite, toutes deux encouragées par un gouvernement à la mémoire courte. Il n'apparaît pleinement que lorsque les déficiences structurelles de l'offre sont prisés en compte, à commencer par le net décrochage après 2007 de la productivité du travail : elle est revenue en 2013 à 76% du niveau américain, effaçant le fruit de quinze années de rattrapage. Peu soutenue par l'investissement productif, la productivité stagne en effet depuis le début de la reprise en 2009, une évolution observée seulement en Italie parmi les pays du G7.

Contrairement à la réthorique libérale du gouvernement, la réduction drastique des dépenses publiques et sociales n'a pas libérée l'offre privée. Tandis que les dépenses d'infrastructures se redressaient vigoureusement aux EU et se maintenaient en France, elles sont tombées en dessous de 1% du PIB au RU, un niveau trop bas pour répondre aux exigences de compétitivité d'une économie moderne. Résultat : un investissement productif qui commence seulement à se redresser et des parts de marché en chute libre, alors qu'elles se sont stabilisées aux EU et plus récemment en France, et ce, en dépit de l'avantage compétitif fourni par la dépréciation passée de la livre sterling.

Loin de favoriser le rééquilibrage de la croissance à long terme vers l'investissement et les exportations, la politique de Cameron a ramené l'économie britannique à ses vieux démons : une croissance tirée par la consommation et l'endettement, alors même que les capacités d'offres sont plombées par une productivité stagnante. Le déficit croissant de la balance des paiements, qui a atteint 5,5% du PIB en 2014, soit son plus haut niveau depuis la guerre, résume le déséquilibre fondamental de cette croissance. Une situation malsaine quand les ressources ainsi drainées de l'extérieur servent à financer la consommation plus que l'investissement. Et qui pourrait rapidement devenir source d'instabilité si l'éventualité d'une sortie de l'Union Européenne devait prendre corps avec la victoire des conservateurs. Ou si l'aversion au risque regagnait les marchés, comme la résurgence de la crise grecque pourrait le laisser envisager.

Source Alternatives Économiques

Jacques Adda.

.... ce qui signifie que la France est définitivement ta propriété privée?

Non mais moi quand je veux quelque chose, je fais tout pour l'obtenir, je n'attends pas 150 ans que ça me tombe dessus.

Une fois de plus, les médias et les journalistes français clairement orientés à gauche ont été incapables d'anticiper la nette victoire de D Cameron, laissant supposer que le scrutin serait très très serré alors que l'affaire était pliée depuis un moment déjà . Même scénario il y a quelques semaines avec l'élection sans appel de Netanyahou en Israël.

et oui! se faire réélire c'est possible... chez les conservateurs.

Vous êtes remarquablement grotesque à regarder votre nombril franchouillard.

Tout les journaux et instituts de sondage britanniques se sont trompés.

:smile2:

Ils sont passés où les cocos, les bienpensants et autres nanars.... :smile2: .

Franchement, aujourd'hui, je me marre bien. Ben oui... l'austérité ça marche... hein les cocos... Alors arrêtez avec vos conneries.

Les travaillistes sont HU-MI-LIÉS !

La pauvreté de ton commentaire égale ta méconnaissance du sujet. Sinon tu as des arguments, des sources ? C'est toi qui devrait arrêter avec tes conneries bêtement partisanes, et j'insiste sur le bêtement.