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Victor Silenreste

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Pardon mais c'est mon humeur :sleep:

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C'est de la pure polésie... :sleep:

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Elle est terrrrible :rofl:

"Prendre ta main ou bien un bain mais partirr..."

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Tequila Moor Membre 16 238 messages
`,
Posté(e)
il y a 1 minute, Gremlyne a dit :

Elle est terrrrible :rofl:

"Prendre ta main ou bien un bain mais partirr..."

Oui ça ressemble à un pastiche de Thiéfaine ou de Manset, je n'ai jamais su qui ils avaient imité. :crazy:

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Il y a 13 heures, goods a dit :

@Gremlyne, je n'arrive pas à visualiser votre humeur en chanson, pourriez-vous me donner le titre de la chanson?:)

Comment se fait il ? :hu:

"Ma vache à grossi" des VRP :smile2:

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Il y a 18 heures, Tequila Moor a dit :

Oui ça ressemble à un pastiche de Thiéfaine ou de Manset, je n'ai jamais su qui ils avaient imité. :crazy:

En parlant de thiefaine :

Les joyeux éboueurs des âmes délabrées
Se vautrent dans l'algèbre des mélancolies
Traînant leurs métastases de rêve karchérisé
Entre les draps poisseux des siècles d'insomnie
Ça sent la vieille guenille & l'épicier cafard
Dans ce chagrin des glandes qu'on appelle l'amour
Où les noirs funambules du vieux cirque barbare
Se pissent dans le froc en riant de leurs tours
J'ai volé mon âme à un clown
Un cloclo mécanique du rock&roll cartoon
J'ai volé mon âme à un clown
Un clone au coeur de cône du rêve baby baboon
J'ai volé mon âme à un clown
Je rêve d'être flambé au dessus du vésuve
& Me défonce au gaz échappé d'un diesel
À la manufacture métaphysique d'effluves
Où mes synapses explosent en millions d'étincelles
Reflets de flammes en fleurs dans les yeux du cheval
Que j'embrasse à Turin pour en faire un complice
Ivre de prolixine & d'acide cortical
Je dégaine mon walter ppk de service
J'ai volé mon âme à un clown
Un cloclo mécanique du rock&roll cartoon
J'ai volé mon âme à un clown
Un clone au coeur de cône du rêve baby baboon
J'ai volé mon âme à un clown
Bien vibré bien relax en un tempo laid back
Rasta lunaire baisant la main d'oméga queen
Je crache dans ma tête les vapeurs d'ammoniac
D'un sturm und drang sans fin au bout du never been
Fac-similé d'amour & de tranquillisants
Dans la clarté chimique de ma nuit carcérale
Je suis l'évêque étrusque, un lycanthrope errant
Qui patrouille dans le gel obscur de mon mental
J'ai volé mon âme à un clown
Un cloclo mécanique du rock&roll cartoon
J'ai volé mon âme à un clown
Un clone au coeur de cône du rêve baby baboon
J'ai volé mon âme à un clown
Source : Musixmatch
Paroliers : Hubert-felix Thiefaine / Jean-philippe Nataf / Jean-philippe Nataf / Hubert-félix Thiefaine
Paroles de Confessions d'un Never-Been © Lilith Erotica, Malifusic
 
Alligators 427
Aux ailes de cachemire safran,
Je grille ma dernière cigarette.
Je vous attends.
Sur cette autoroute hystérique
Qui nous conduit chez les mutants,
J'ai troqué mon cœur contre une trique.
Je vous attends.
Je sais que vous avez la beauté destructive
Et le sourire vainqueur jusqu'au dernier soupir.
Je sais que vos mâchoires distillent l'agonie.
Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427
À la queue de zinc et de sang,
Je m'tape une petite reniflette.
Je vous attends.
Dans cet étrange carnaval
On a vendu l'homo sapiens
Pour racheter du Neandertal.
Je vous attends.
Et les manufactures ont beau se recycler,
Y aura jamais assez de morphine pour tout le monde,
Surtout qu'à ce qu'on dit, vous aimez faire durer.
Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427
Aux longs regards phosphorescents,
Je mouche mon nez, remonte mes chaussettes.
Je vous attends.
Et je bloque mes lendemains.
Je sais que les mouches s'apprêtent,
Autour des tables du festin.
Je vous attends.
Et j'attends que se dressent vos prochains charniers.
J'ai raté l'autre guerre pour la photographie.
J'espère que vos macchabées seront bien faisandés.
Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427
Aux crocs venimeux et gluants,
Je donne un coup de brosse à mon squelette.
Je vous attends.
L'idiot du village fait la queue
Et tend sa carte d'adhérent
Pour prendre place dans le grand feu.
Je vous attends.
J'entends siffler le vent au-dessus des calvaires
Et je vois les vampires sortir de leurs cercueils
Pour venir saluer les anges nucléaires.
Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427
Aux griffes d'or et de diamant,
Je sais que la ciguë est prête.
Je vous attends.
Je sais que dans votre alchimie,
L'atome ça vaut des travellers chèques
Et ça suffit comme alibi.
Je vous attends.
A l'ombre de vos centrales, je crache mon cancer.
Je cherche un nouveau nom pour ma métamorphose.
Je sais que mes enfants s'appelleront vers de terre.
Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Alligators 427
Au cerveau de jaspe et d'argent,
Il est temps de sonner la fête.
Je vous attends.
Vous avez le goût du grand art
Et sur mon compteur électrique,
J'ai le portrait du prince-ringard.
Je vous attends.
Je sais que, désormais, vivre est un calembour.
La mort est devenue un état permanent.
Le monde est aux fantômes, aux hyènes et aux vautours.
Moi, je vous dis : " bravo " et " vive la mort ! "
Je vous attends.
Je vous attends.
Je vous attends.
Je vous attends.
Source : LyricFind
Paroliers : Hubert-Félix THIEFAINE / Antoine CARBONARE
Paroles de Alligators 427 © SM Publishing France, Sony/ATV Music Publishing LLC
 
Cimetière de Charleville, cimetière d'Auvers-sur-Oise
Mon âme funérailleuse me fusille le cerveau
Il est fini le temps des laudanums-framboise
& le temps des visites au corbeau d'Allan Poe
Voici la voile noire du navire de Thésée
Qui me déchire les yeux au large de Sounion
Où un stupide anglais prétentieux a gravé
Comme un vulgaire touriste le nom de Lord Byron
Le jeu de la folie est un sport de l'extrême
Qui se pratique souvent au bord des précipices
Où dans les yeux des filles au bout des couloirs blêmes
Des labyrinthes obscurs aux fumeux artifices
Ne m'attends pas ce soir car la nuit sera noire
& blanche, illuminée, rue de la Vieille Lanterne
Où Nerval a pendu son linge & sa mémoire
Sous le regard des dieux, au bout d'un drap en berne
Je rêve de transparence & d'épouvantes mystiques
Le long de la frontière qui jouxte l'inconnu
En traînant mon cadavre & mon vide pathétique
& ma douleur femelle sur mon dos de bossu
Le jeu de la folie est un sport de l'extrême
Qui se pratique souvent au bord des précipices
où dans les yeux des filles au bout des couloirs blêmes
Des labyrinthes obscurs aux fumeux artifices
Baudelaire est mort hier, à onze heures du matin,
En zoomant d'apaisantes nuées crépusculaires,
Fatigué d'un été qui le rongeait sans fin
& de l'hargneuse odeur des furies sanitaires
Moi, je pars pour Dublin sur un nuiteux cargo
Qui traverse le temps perdu de la sagesse
& rejoins le bateau ivre d'Arthur Rimbaud
Dans le flux des bateaux tankers d'Arthur Guiness
Le jeu de la folie est un sport de l'extrême
Qui se pratique souvent au bord des précipices
Où dans les yeux des filles au bout des couloirs blêmes
Des labyrinthes obscurs aux fumeux artifices
Source : LyricFind
Paroliers : Philippe PARADIS / Hubert-Félix THIEFAINE
Paroles de Le Jeu de la folie © Lilith Erotica

 

Il arrache bien quand même :smile2:

 

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