Condamné à 1000 coups de fouet

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20150115_00587020

Bravo les Saouds ! Une mentalité obscurantiste, des pratiques de barbares inhumains et en plus, ça s'autorise à soutenir des poseurs de bombes et des fondamentalistes un peu partout dans le monde !

Pour le respect de la dignité humaine et des droits fondamentaux de la personne humaine, j'en appelle aux manifestations les plus larges pour défendre Raïf Badawi et envoyer un message clair au régime criminel des Saouds: STOP à votre barbarie ! Halte à votre intolérance religieuse et vos crimes contre la dignité humaine !

Et quand on pense que l’Arabie saoudite est un allié des USA..... C'est délirant!

Si la population française avait encore un peu de dignité et de respect pour ses propres valeurs républicaines, elle boycotterait les produits d'origine saoudienne, et surtout son pétrole. Mais on peut toujours rêver !

Quand on voit son attitude pousse-au-crime face aux atrocités criminelles du régime Bachar El Assad, force est de constater que, dans les FAITS, la France des droits de l'Homme et de la dignité humaine est belle et bien morte !

Personnellement, et mis à part la banderole déployée en Corse pour dénoncer le soutien qatari au terrorisme international, force est de constater que composer avec des régimes criminels ne dérange pas plus que cela notre bon peuple de France !

Malheureusement, il n'y a guère plus que la Belgique pour sauver l'honneur de l'Europe en matière de dénonciation des crimes contre l'humanité.

Si la population française avait encore un peu de dignité et de respect pour ses propres valeurs républicaines, elle boycotterait les produits d'origine saoudienne, et surtout son pétrole. Mais on peut toujours rêver !

si on respecterait nos valeurs républicaines, on ne consommerait plus aucun produits ou matières premières venant d'états africains corrompus, de russie, de la chine, des etats unis, de l'opep etc..

Malheureusement, il n'y a guère plus que la Belgique pour sauver l'honneur de l'Europe en matière de dénonciation des crimes contre l'humanité.

la Belgique ne consomment et ne commerce plus avec les états unis, la chine , la Russie , L’OPEP ?

Le pauvre, affligeant et absurde comme souvent la maltraitance physique s'est vantée de représenter et de servir la justice. Les pères fouettards (c'est d'autant plus le cas d'y penser ici) déchaînent leur sadisme et leur terrorisme dans le monde entier mais quand la politique est corrompue à ce point tous ceux qui le peuvent doivent en effet réagir pour un respect de la population digne de ce nom.

Je propose que le condamné prenne ne gélule par jour, on dit que ça donne un coup de fouet, donc en même pas 3 ans il aura purgé sa peine. :D

Quand je pense que sur ce forum des individus dépensent beaucoup d'énergie pour nous persuader que l'islam est une religion comme les autres.

Je leur donnerais seulement 10 coups de fouets chacun pour les aider à réfléchir à la religion du fouet !

Et ça se dit démocratique et ça revendique le droit à la critique de la France !

L'Islam est effectivement une religion comme les autres.

C'est à dire que des dictateurs l'instrumentalisent pour se maintenir au pouvoir comme le christianisme l'a été en Occident en gros jusqu'en 1945.

Quand je pense que sur ce forum des individus dépensent beaucoup d'énergie pour nous persuader que l'islam est une religion comme les autres.

Je leur donnerais seulement 10 coups de fouets chacun pour les aider à réfléchir à la religion du fouet !

Et ça se dit démocratique et ça revendique le droit à la critique de la France !

La différence entre l'islam et la plupart des autres religions est qu'elle compte beaucoup de pratiquants donc aussi parmi les malades mentaux. Concernant le catholicisme par exemple la plupart des "pratiquants" se contentent d'aller à la messe une fois par semaine en y croyant à moitié.

Mais en réalité, la religion, un peu comme la philosophie nécessite certaines facultés pour être bien comprise, or certains se croient fidèles à elle alors qu'en réalité ils s'opposent à ses idées. Ainsi, avec ton intolérance au droit à la religion et ton apologie de la violence, tes idées sont en effet incompatibles avec la sagesse que recherchent les pratiquants en fin de compte comme certains des leurs qui, au lieu d'un idéal collectif, veulent surtout imposer leurs idées par n'importe quel procédé.

L'utilisation barbare de bourreaux n'a jamais appartenu qu'à la religiosité qui, s'y on si intéresse avec attention idéalise en réalité, comme la politique, la cohésion sociale et la sécurité individuelle.

http://oumma.com/219552/mossad-assassinait-a-londres-un-grand-caricaturiste-p

Qui se souvient de Naji al-Ali, caricaturiste palestinien tué par le Mossad ?

Né en 1937 en Galilée, Naji al-Ali était un caricaturiste palestinien. En 1979, il fut le président de la Ligue des Caricaturites Arabes. En 1979 et 1980, il reçut le premier prix lors de l'exposition des caricaturistes arabes à Damas. Pour l'Association mondiale des journaux, il était l'un des plus grands caricaturistes du XXe siècle.

je vois que cet homme n'est pas connu comme les autres ! c'est grave de parlé avec des gens qui voit juste avec leur yeux pas avec leur coeur

Et il a été tué par le Mossad pourquoi ? Pour ses caricatures ?

Selon un porte-parole du journal koweïtien Al Qabas, où Al-Ali travailla près de trois ans, le caricaturiste a reçu plus de 100 menaces de mort durant sa carrière. Ses collègues au journal ont rapporté qu'une bande koweïtienne avait essayé de le tuer avant qu'il ne soit parti du pays. Par la suite, il n'a pas voulu vivre dans un autre pays du Moyen-Orient parce qu'il craignait pour sa vie. Un collègue de Naji Al-Ali a révélé qu'un haut responsable de l'OLP, organisation de Yasser Arafat, a téléphoné au caricaturiste au milieu du mois de juin et lui a dit : « Vous devez corriger votre attitude. » « Ne dites rien contre les personnes honnêtes, autrement nous aurons des raisons pour vous régler votre compte »¹, alors que Naji al-Ali appartenait lui-même au FPLP. Le 24 juin, malgré les avertissements, il publie un dessin se moquant d'Arafat et ses acolytes.

Halte à la manipulation !

si on respecterait nos valeurs républicaines, on ne consommerait plus aucun produits ou matières premières venant d'états africains corrompus, de russie, de la chine, des etats unis, de l'opep etc..

la Belgique ne consomment et ne commerce plus avec les états unis, la chine , la Russie , L’OPEP ?

"si on respecterait nos valeurs républicaines, on ne consommerait plus aucun produits ou matières premières venant d'états africains corrompus, de russie, de la chine, des etats unis, de l'opep etc.. "

Super, et eux n’achèteraient plus nos produits et nous fourniraient plus de pétrole et vive la faillite du pays !

Bravo !

Crayons 100% Halal voir ci-dessous, pour le fouet je n'ai pas encore trouvé ! :smile2:

http://hasnacosmetics.fr/boutique/crayons-yeux/crayon-pour-les-yeux-2/

Super, et eux n’achèteraient plus nos produits et nous fourniraient plus de pétrole et vive la faillite du pays !

Bravo !

c'est pas a moi qu'il faut dire cela, justement je répondait de façon ironique a cette argumentaire

Et il a été tué par le Mossad pourquoi ? Pour ses caricatures ?

Selon un porte-parole du journal koweïtien Al Qabas, où Al-Ali travailla près de trois ans, le caricaturiste a reçu plus de 100 menaces de mort durant sa carrière. Ses collègues au journal ont rapporté qu'une bande koweïtienne avait essayé de le tuer avant qu'il ne soit parti du pays. Par la suite, il n'a pas voulu vivre dans un autre pays du Moyen-Orient parce qu'il craignait pour sa vie. Un collègue de Naji Al-Ali a révélé qu'un haut responsable de l'OLP, organisation de Yasser Arafat, a téléphoné au caricaturiste au milieu du mois de juin et lui a dit : « Vous devez corriger votre attitude. » « Ne dites rien contre les personnes honnêtes, autrement nous aurons des raisons pour vous régler votre compte »¹, alors que Naji al-Ali appartenait lui-même au FPLP. Le 24 juin, malgré les avertissements, il publie un dessin se moquant d'Arafat et ses acolytes.

Halte à la manipulation !

Israël est le deuxième pays le plus dangereux au monde pour les journalistes, juste après la Syrie, selon Reporters Sans Frontières, qui a récemment publié un compte-rendu des violences faites contre les journalistes en 2014.

En tout et pour tout, « 66 journalistes ont été tués cette année, et 720 sur les dix dernières années », selon l’association.

Cette dernière remarque que « 19 journalistes-citoyens et 11 employés des médias ont été tués ».

Ces chiffres sont quelque peu inférieurs aux chiffres de l’année passée : l’an dernier, 71 journalistes ont perdu la vie en exerçant leur métier. Mais Reporters Sans Frontières affirme que « les meurtres sont de plus en plus barbares et le nombre d’enlèvements augmente fortement, tandis que d’autres sont exfiltrés du lieu des événements afin de les empêcher de rapporter au monde une information indépendante, et de les dissuader de fournir un examen minutieux de la situation ».

Au sommet de ce sinistre tableau, on retrouve la Syrie, où 15 journalistes ont été tués. Parmi ces meurtres, on retrouve bien évidemment la décapitation hyper médiatisée du journaliste et photographe étasunien James Foley, tué par un membre du soi-disant « État Islamique ».

En second lieu, on retrouve la Palestine où, selon Reporters Sans Frontières, 7 journalistes ont été tués. Mais il s’agit évidemment d’un abus de langage dans ce cas-là : s’ils sont bel et bien morts en Palestine, ils ont été tués par l’armée israélienne durant son offensive meurtrière à Gaza.

Le 5 août dernier, RSF rapportait que « 12 journalistes palestiniens et un journaliste étranger avaient été tués depuis le début de l’opération Bordure Protectrice [l’opération militaire meurtrière de l’été dernier à Gaza], dont 7 en lien direct avec la nature de leur travail ».

Le Comité pour la Protection des Journalistes estime pour sa part que le nombre de journalistes palestiniens et internationaux tués durant l’offensive israélienne à Gaza s’élève à au moins 15 morts.

Parmi ces victimes, Khaled Hamad, un caméraman de 25 ans originaire du camp de réfugiés de Jabaliya. Hamad était en train de filmer pour un documentaire lorsqu’il a été tué par des bombardements israéliens qui ont frappé l’ambulance qu’il conduisait dans le district de Shujaiya, à Gaza, le 20 juillet. Il figure parmi les dizaines de personnes massacrées sans distinction par les bombardements israéliens dans cette zone. Le 9 juillet, Israël a pris pour cible une voiture civile sur laquelle de grands autocollants rouges indiquant l’acronyme « TV » étaient parfaitement lisibles, indiquant qu’il s’agissait d’un véhicule utilisé par les médias. Cette attaque a tué Hamed Shehab, âgé de 30 ans, qui travaillait pour Media 24, un site Internet d’information locale de Gaza.

Rami Rayan, du Palestinian Network for Journalism and Media, a été tué durant le bombardement de la place du marché par Israël le 30 juillet, au cours de ce qui était censé être une « trêve humanitaire ». Sameh al-Aryan, d’Al-Aqsa TV, a succombé à ses blessures peu après, ayant également été victime de cette même attaque.

Le 13 août, le journaliste italien Simone Camilli et son confrère Ali Shehda Abu Afash, journaliste et caméraman d’Associated Press et traducteur freelance palestinien, ont été tués lors de l’explosion d’une bombe israélienne que des experts palestiniens étaient en train de désarmer dans le nord de Gaza.

Israël a également pris pour cible, de façon délibérée et sans procès, des journalistes palestiniens lors de l’offensive sur Gaza en novembre 2012.

À l’époque, Human Rights Watch avait déclaré que ces attaques délibérées d’Israël contre des journalistes étaient à tous les effets des « crimes de guerres ».

Durant l’offensive de cet été, Israël a de nouveau pris délibérément pour cible des bureaux de journalistes. Le 29 juillet, par exemple, Israël a bombardé le bureau d’Al-Aqsa TV, dans le nord-est de Gaza. Cette même journée, ils bombardèrent les locaux d’une radio d’Al-Aqsa. Personne n’a été tué au cours de ces attaques, mais les bureaux ont souffert d’énormes dégâts, notamment sur le matériel de tournage et d’enregistrement.

Il convient de remarquer que, dans son compte rendu, RSF souligne cinq cas spécifiques qui ont « marqué 2014″, dont l’affaire Foley et le caméraman irakien Raad Azaoui, tous deux tués par l’État Islamique. Par ailleurs, ce rapport mentionne le cas de trois journalistes persécutés dans leurs pays respectifs : l’Arabie saoudite, la Chine et l’Azerbaïdjan.

RSF ne mentionne à aucun moment le nom du moindre journaliste palestinien dans son rapport annuel, et ce en dépit du record prolifique d’Israël dans le domaine de l’assassinat de journalistes.

Comme les journalistes palestiniens Mohammed Omer et Dalia Hatiqa l’ont rapporté, eux et leurs collègues veulent qu’Israël soit reconnu responsable de l’assassinat d’employés de la presse.

Mais à en juger par l’impunité internationale dont Israël jouit encore, les journalistes palestiniens ne peuvent pas davantage compter sur une quelconque protection contre la violence israélienne que le reste de la population palestinienne.

En chiffres, USA et OTAN sont les plus grands tueurs de journalistes au monde

L’Irak était le pays le plus meurtrier pour les professionnels des médias en 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011 et 2013 (Adriaensens, op. cit.)

Presque 400 journalistes irakiens morts et pourtant nos compatissants professionnels des médias n’ont jamais affiché leur solidarité.

Et quand on pense que l’Arabie saoudite est un allié des USA..... C'est délirant!

Quand on pense que le gouvernement saoudien condamnait sans rire l’attentat contre Charlie Hebdo, le qualifiant de "lâche attentat contraire à l’islam " et le dimanche suivant, un important diplomate saoudien s’est joint à Paris à la grande marche de solidarité " Je suis Charlie " visant à défendre la liberté d’expression. C'te mascarade!

c'est pas a moi qu'il faut dire cela, justement je répondait de façon ironique a cette argumentaire

Ok

Israël est le deuxième pays le plus dangereux au monde pour les journalistes, juste après la Syrie, selon Reporters Sans Frontières, qui a récemment publié un compte-rendu des violences faites contre les journalistes en 2014.

En tout et pour tout, « 66 journalistes ont été tués cette année, et 720 sur les dix dernières années », selon l’association.

Cette dernière remarque que « 19 journalistes-citoyens et 11 employés des médias ont été tués ».

Ces chiffres sont quelque peu inférieurs aux chiffres de l’année passée : l’an dernier, 71 journalistes ont perdu la vie en exerçant leur métier. Mais Reporters Sans Frontières affirme que « les meurtres sont de plus en plus barbares et le nombre d’enlèvements augmente fortement, tandis que d’autres sont exfiltrés du lieu des événements afin de les empêcher de rapporter au monde une information indépendante, et de les dissuader de fournir un examen minutieux de la situation ».

Au sommet de ce sinistre tableau, on retrouve la Syrie, où 15 journalistes ont été tués. Parmi ces meurtres, on retrouve bien évidemment la décapitation hyper médiatisée du journaliste et photographe étasunien James Foley, tué par un membre du soi-disant « État Islamique ».

En second lieu, on retrouve la Palestine où, selon Reporters Sans Frontières, 7 journalistes ont été tués. Mais il s’agit évidemment d’un abus de langage dans ce cas-là : s’ils sont bel et bien morts en Palestine, ils ont été tués par l’armée israélienne durant son offensive meurtrière à Gaza.

Le 5 août dernier, RSF rapportait que « 12 journalistes palestiniens et un journaliste étranger avaient été tués depuis le début de l’opération Bordure Protectrice [l’opération militaire meurtrière de l’été dernier à Gaza], dont 7 en lien direct avec la nature de leur travail ».

Le Comité pour la Protection des Journalistes estime pour sa part que le nombre de journalistes palestiniens et internationaux tués durant l’offensive israélienne à Gaza s’élève à au moins 15 morts.

Parmi ces victimes, Khaled Hamad, un caméraman de 25 ans originaire du camp de réfugiés de Jabaliya. Hamad était en train de filmer pour un documentaire lorsqu’il a été tué par des bombardements israéliens qui ont frappé l’ambulance qu’il conduisait dans le district de Shujaiya, à Gaza, le 20 juillet. Il figure parmi les dizaines de personnes massacrées sans distinction par les bombardements israéliens dans cette zone. Le 9 juillet, Israël a pris pour cible une voiture civile sur laquelle de grands autocollants rouges indiquant l’acronyme « TV » étaient parfaitement lisibles, indiquant qu’il s’agissait d’un véhicule utilisé par les médias. Cette attaque a tué Hamed Shehab, âgé de 30 ans, qui travaillait pour Media 24, un site Internet d’information locale de Gaza.

Rami Rayan, du Palestinian Network for Journalism and Media, a été tué durant le bombardement de la place du marché par Israël le 30 juillet, au cours de ce qui était censé être une « trêve humanitaire ». Sameh al-Aryan, d’Al-Aqsa TV, a succombé à ses blessures peu après, ayant également été victime de cette même attaque.

Le 13 août, le journaliste italien Simone Camilli et son confrère Ali Shehda Abu Afash, journaliste et caméraman d’Associated Press et traducteur freelance palestinien, ont été tués lors de l’explosion d’une bombe israélienne que des experts palestiniens étaient en train de désarmer dans le nord de Gaza.

Israël a également pris pour cible, de façon délibérée et sans procès, des journalistes palestiniens lors de l’offensive sur Gaza en novembre 2012.

À l’époque, Human Rights Watch avait déclaré que ces attaques délibérées d’Israël contre des journalistes étaient à tous les effets des « crimes de guerres ».

Durant l’offensive de cet été, Israël a de nouveau pris délibérément pour cible des bureaux de journalistes. Le 29 juillet, par exemple, Israël a bombardé le bureau d’Al-Aqsa TV, dans le nord-est de Gaza. Cette même journée, ils bombardèrent les locaux d’une radio d’Al-Aqsa. Personne n’a été tué au cours de ces attaques, mais les bureaux ont souffert d’énormes dégâts, notamment sur le matériel de tournage et d’enregistrement.

Il convient de remarquer que, dans son compte rendu, RSF souligne cinq cas spécifiques qui ont « marqué 2014″, dont l’affaire Foley et le caméraman irakien Raad Azaoui, tous deux tués par l’État Islamique. Par ailleurs, ce rapport mentionne le cas de trois journalistes persécutés dans leurs pays respectifs : l’Arabie saoudite, la Chine et l’Azerbaïdjan.

RSF ne mentionne à aucun moment le nom du moindre journaliste palestinien dans son rapport annuel, et ce en dépit du record prolifique d’Israël dans le domaine de l’assassinat de journalistes.

Comme les journalistes palestiniens Mohammed Omer et Dalia Hatiqa l’ont rapporté, eux et leurs collègues veulent qu’Israël soit reconnu responsable de l’assassinat d’employés de la presse.

Mais à en juger par l’impunité internationale dont Israël jouit encore, les journalistes palestiniens ne peuvent pas davantage compter sur une quelconque protection contre la violence israélienne que le reste de la population palestinienne.

En chiffres, USA et OTAN sont les plus grands tueurs de journalistes au monde

L’Irak était le pays le plus meurtrier pour les professionnels des médias en 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2010, 2011 et 2013 (Adriaensens, op. cit.)

Presque 400 journalistes irakiens morts et pourtant nos compatissants professionnels des médias n’ont jamais affiché leur solidarité.

DÉGAGE AVEC TA PROPAGANDE PRO HAMAS ET ISLAMISTE, ce n'est pas le sujet

Quand on pense que le gouvernement saoudien condamnait sans rire l’attentat contre Charlie Hebdo, le qualifiant de "lâche attentat contraire à l’islam " et le dimanche suivant, un important diplomate saoudien s’est joint à Paris à la grande marche de solidarité " Je suis Charlie " visant à défendre la liberté d’expression. C'te mascarade!

je crois tu as bien raison chere lUCY ! je ne sais pas si le canada suit le meme exemple ?