Aller au contenu

Peut-on se passer d'autorité ?

Noter ce sujet


Invité

Messages recommandés

Membre, 143ans Posté(e)
takamine Membre 800 messages
Baby Forumeur‚ 143ans‚
Posté(e)

Je crois que s'il s'agit de rechercher le fondement de l'autorité légitime, il faut aller chercher dans le début de la vie et son maintien: dans une règle en effet naturelle, qui ensuite se structure et devient sociétale.

Si l'on s'appuie sur les théories darwinistes, nous sommes dominés par notre instinct de survie de l'espèce: c'est pourquoi dès la naissance de l'enfant nous lui prodiguons les soins nécéssaires à sa survie, c'est un comportement majoritaire, pas unanime, mais les cas de déviance à ce principe sont très minoritaires. Ils servent à confirmer la règle au final.

Les vaches sacrées de l'indhouisme, l'interdiction de manger du porc pour le judaïsme et l'islamisme sont dès règles issues d'un raisonnement pragmatique de survie de l'espèce ( une vache vivante donne du lait contrairement à une vache morte, le cochon est porteur de maladies qui fut un temps n'étaient pas curables,...) derrière ce bon sens évoqué par NJ, il y a en filigranne la survie de l'espèce.

pour moi L’autorité n’est pas naturelle : elle est culturelle, tout comme l’amour , ces relation chez nous prennent leur source dans notre vécue personnel et se construisent sur la base de trace sûrement très anciennes fourré notre inconscient mais la transmission de notre spécificité humaine n est pas fourni avec un Génome ou un chromosome X du biologique . , tout comme il n y a pas un sens de l humour male et un sens de l humour femelle mais une culture qui témoigne de notre appartenance à un ordre symbolique et tout ces processus psychiques inconscients dans nos tête sont capable du pire comme du meilleurs … ils est clair qu ils participent a produire nos aliénations ... mais aussi notre libération

'qu est ce qui fonde la constitution d un pouvoir dans une pluralité humaine ,cette constitution pré-contractuelle qui fait surgir le consentement de vivre ensemble dans le débat publique ...La démocratie disait claudius est un régime conscient du vide .... du vide de sa fondation et donc

condamné par ce vide au risque de la Délibération , au traitement négocié du conflit

l autorité est complémentaire du pouvoir .. en quelque sorte l autorité est le masque du pouvoir ..et le but de l autorité c est de légitimer donc faire durer un pouvoir .

il faut tuer le père pour faite naître la loi

, l innovation c est ca le propre de l être humain . … si il n y a pas innovation il y a répétition .. et donc la notion même de politique n existerai pas' ( je m auto cite chui très narcissique aussi , en plus d etre paradoxal et délirante) )

Modifié par nietzsche.junior
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Voilà. Pour résumer, l'autorité, au sens politique, c'est l'outil pour s'accrocher au pouvoir.

Faites en sorte de ne pas vouloir ce pouvoir, et vous pourrez vous passer d'autorité. D'ailleurs il suffit de voir nos politiques l'invoquer sans cesse sauf pour eux.

Ils se maintiennent là, malgré des condamnations, des constats d'incompétences. Ils veulent le pouvoir.

Alors pour moi c'est simple, les tenants de l'autorité sont soit des fous, soit des gens de pouvoir voulant y rester.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Heven Membre 1 045 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Un monde sans autorité serait un monde sans barrières, sans repères et avec beaucoup de violences. L'autorité n'est pas qu'une sévérité c'est aussi une éducation, un respect à faire partager aux autres et à soi même. Si on aime donner des claques, on aime pas en recevoir. L'autorité sert à comprendre ceci.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

On peut être respectueux sans être autoritaire, heureusement. Les barrières, la société se le met seule, avec intelligence. Vous n'avez pas un flic derrière votre dos pour vous rappelez à l'ordre toute la journée que je sache, vous faites donc preuve de respect sans y être forcé.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Heven Membre 1 045 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Une personne qui est respectueuse sans être autoritaire ? Vous voulez sans doute parler de celui qui est trop bon trop con ? On ne peut pas se faire respecter en étant bon, tôt au tard l'homme abusera de cette bonté. Vaut mieux être plus con que plus bon.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Madmartigan
Invités, Posté(e)
Invité Madmartigan
Invité Madmartigan Invités 0 message
Posté(e)

Non. Tu as la choix de participer un peu ou beaucoup. Si la décision s'impose, c'est aussi qu'on la discuté avant. Ce n'est pas de l'ordre du dogme. Les règles sont là, pour faire fonctionner la machine, mais dans la réalité il y a une très grande largesse. Le but n'est pas d'exclure des gens en imposant des vues.

Mais de faire adhérer un maximum de personnes qui partagent cet idéal. Dans la pratique, on n'exclu personne, on constate une absence prolongée, on rappel, et si il n'y a pas de suite on radie le membre. On ne fonctionne que parce que tout le monde participe. Intégrer des membres absents alourdi la machine, ne respecte plus le principe des mandats tournants.

Et pour revenir au vote, sur des décisions importantes, si une partie l'emporte d'une faible majorité, on est en droit de penser qu'il faille affiner le projet, donc on remet le vote à une autre cession de façon à avoir 2/3 minimum. Et c'est toujours sur des détails technique, pas sur le fond.

Je pense que vous n'arrivez pas véritablement à conceptualiser ce que sont une dynamique de groupe et les différentes interactions qui ont lieu au sein de ce dernier entre les différents agents sociaux que le composent, et cela même dans le cadre d'une discussion... apaisée.

L'axe central du débat qui nous concerne n'a aucun dessein idéologique ou même dogmatique, et encore moins de promotion de la moindre "vitrine" politique. Il s'agit juste de déterminer en confrontant nos arguments si "nous pouvons nous passer d'autorité".

Hors, j'ai la nette impression qu'il échappe à votre conscience que l'ensemble des arguments que vous avez déployé, malgré vos tergiversations, nous démontre que "le fonctionnement" de votre modèle social est conditionné par un règlement de fonctionnement, qui lui-même reste, en substance, le produit d'une concertation et donc fatalement d'une confrontation entre agent(s) dominant(s) et agent(s) dominé(s) qui, finalement, s'imposera à l'ensemble du groupe. Il existe donc bien une dynamique de domination/subordination, une autorité reconnue par tous... même si vous tendez à nous garantir que l'ambiance de votre ensemble reste "fusionnelle" et "harmonieuse"...

Modifié par Madmartigan
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Madmartigan
Invités, Posté(e)
Invité Madmartigan
Invité Madmartigan Invités 0 message
Posté(e)

On peut être respectueux sans être autoritaire, heureusement. Les barrières, la société se le met seule, avec intelligence. Vous n'avez pas un flic derrière votre dos pour vous rappelez à l'ordre toute la journée que je sache, vous faites donc preuve de respect sans y être forcé.

Non, vous n'avez pas un flic dans votre dos pour vous rappeler à l'ordre parce que votre morale est conditionnée par vos caractéristiques innées et votre acquis (éducation, vécu...etc). Ce qui tend à prouver que vous segmentez et donc que vous-même et inexorablement, êtes conditionné par une autorité en terme d' éthique.

Modifié par Madmartigan
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Les notions de bien et de mal sont externent à l'autorité.

Qu'un poids social hérité de millénaires de croyances et de soumission subsiste, évidemment.

Le plus difficile dans un groupe autogéré, c'est l'intégration des nouveaux qui justement sont confrontés à l'exercice d'une liberté sans contrainte. Pour reprendre l'image de l'ordre naturel, ces gens auront tendance à rester là avant de trouver une place, et encore il faut aider.

Il peut même arrivé que devant le manque de motivation l'action cesse naturellement. Personne ne va te prendre par le bras et dire ce que tu as à faire, t'obliger à le faire. Et quand tu organises des événement et que tu vois le même gars qui à chaque fois se branle, tu lui fais comprendre que t'es pas son patron ni son salarié, qu'ici ça marche avec tous. Généralement ça suffit, sinon, ben on ne compte pas dessus la prochaine fois, et lui ne s’étonnera de se retrouver sans aide pour ce qui l'intéresse.

Et établir des règles, c'est pas de l'autorité, c'est juste un mode d'emploi.

L'autorité je m'en sers, mais pas là bas, plus dans des assemblées genre syndic de copro ou professionnelle, et encore j'y répugne. C'est uniquement pour me protéger, jamais pour nuire.

L’absence d'autorité fonctionne, mais j'ai pas dit que c'était simple. Je suis tout à fait conscient des problématique de groupe, a tel point qu'on a fait venir un sociologue pour nous observer et nous dire où ça merdait. Nous avons pris conscience de certaines choses que nous essayons de corriger.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 111ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)

On peut être respectueux sans être autoritaire, heureusement.

La question est peut-t-on être respectueux sans autorité.

Les barrières, la société se le met seule, avec intelligence. Vous n'avez pas un flic derrière votre dos pour vous rappelez à l'ordre toute la journée que je sache, vous faites donc preuve de respect sans y être forcé.

Les flics c'est justement ce que la société à trouver pour faire respecter ses barrières avec intelligence. Vous n'avez pas un flic derrière vous toute la journée mais vous savez très bien qu'en commettant certaine exaction vous allez les avoir sur le dos.

Comme le dit l'adage il y a un monstre en chacun de nous, il suffit de voir qu'à chaque fois que dans un endroit un manque de règle et d'autorité ce fait ressentir la violence resurgit.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Les notions de bien et de mal sont externent à l'autorité.

Justement je ne crois pas.

Autrefois l'autorité émanait d'une instance supérieure au pouvoir lui-même (le Divin, le Cosmos chez les Grecs, etc) , la légitimité de celui qui détenait le pouvoir tenait à sa fonction de représentant de cette instance supérieure, et donc de la morale qui en découlait.

Le "bien" et le "mal" ne sont pas externes à l'autorité, ils SONT l'autorité.

Aujourd'hui, c'est la source de l'autorité qui a disparu. L'ordre établi par Dieu n'étant plus le modèle de notre morale, la société occidentale doit reconstruire un modèle éthique de référence, auquel les hommes adhéreront pour vivre ensemble. Le problème aujourd'hui je pense, c'est que "l'autorité est en crise" parce que ce modèle n'existe pas (pas encore ?). Ce qui fait autorité dans notre société est un mélange de la morale héritée du passé (d'où est issue le modèle patriarcal) mais aussi d'une éthique humaniste teintée d'universalisme, d'égalité et de liberté, où les notions de "bien" et de "mal" souffrent d'une relativité inhérente à l'évolution même de la société. ==> "Il n'y a plus de repères"

C'est un mélange incohérent qui se cherche encore, une société de multi-modèles qui se heurtent, s'opposent, se contestent une légitimité, et qui pour l'heure est incapable de proposer un seul modèle éthique convaincant.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 59ans Posté(e)
essayeur Membre 3 422 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

Totalement d'accord avec pasdeparanoïa, je n'ai pas eu besoin qu'on m'apprenne le bien et le mal, c'était déjà en moi. C'est écrit dans les gènes.

C'est aussi de la logique, je vois cela comme des mathématiques.

Madame de Maintenon disait :

Il y a dans la droiture, autant d'habileté que de vertu.

Ce qui sous entend, que le bien s'impose à nous par la seule expérience, voire le calcul.

Cependant il est sans doute nécessaire, jeune, d'avoir un guide.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Vilaine
Invités, Posté(e)
Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)

Justement je ne crois pas.

Autrefois l'autorité émanait d'une instance supérieure au pouvoir lui-même (le Divin, le Cosmos chez les Grecs, etc) , la légitimité de celui qui détenait le pouvoir tenait à sa fonction de représentant de cette instance supérieure, et donc de la morale qui en découlait.

Le "bien" et le "mal" ne sont pas externes à l'autorité, ils SONT l'autorité.

Aujourd'hui, c'est la source de l'autorité qui a disparu. L'ordre établi par Dieu n'étant plus le modèle de notre morale, la société occidentale doit reconstruire un modèle éthique de référence, auquel les hommes adhéreront pour vivre ensemble. Le problème aujourd'hui je pense, c'est que "l'autorité est en crise" parce que ce modèle n'existe pas (pas encore ?). Ce qui fait autorité dans notre société est un mélange de la morale héritée du passé (d'où est issue le modèle patriarcal) mais aussi d'une éthique humaniste teintée d'universalisme, d'égalité et de liberté, où les notions de "bien" et de "mal" souffrent d'une relativité inhérente à l'évolution même de la société. ==> "Il n'y a plus de repères"

C'est un mélange incohérent qui se cherche encore, une société de multi-modèles qui se heurtent, s'opposent, se contestent une légitimité, et qui pour l'heure est incapable de proposer un seul modèle éthique convaincant.

Rares sont ceux qui ont compris qu'on ne pouvait pas s'extraire de l'autorité de Dieu.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Et établir des règles, c'est pas de l'autorité, c'est juste un mode d'emploi. (...)

Ces règles sont indispensables à l'ordre nécessaire pour vivre et grandir ensemble. Ce qui fait la légitimité des règles c'est cet ordre nécessaire, car un système sans règles implose. Le groupe que tu décris fonctionne parce que l'autorité qui régit les règles est, - soit déjà intégrée par les membres de votre groupe (puisque leur adhésion au groupe est volontaire, personne ne les y a contraints), - soit indirectement et intelligemment rappelées par un certain nombre d'entre vous pour qu'une large majorité y trouve sa place et continue à faire fonctionner le groupe.

C'est une autorité bien présente, mais qui n'a pas besoin de s'imposer parce qu'elle est déjà en grande partie intégrée. Mais il y a fort à parier que dans votre groupe quelques éléments se distinguent par leur charisme ou leur pouvoir de persuasion, et fassent "figure d'autorité".

L'autorité je m'en sers, mais pas là bas, plus dans des assemblées genre syndic de copro ou professionnelle, et encore j'y répugne. C'est uniquement pour me protéger, jamais pour nuire.

Je crois que tu réduis à tort "l'autorité" à la "grande gueule qui impose". Je me trompe ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Rares sont ceux qui ont compris qu'on ne pouvait pas s'extraire de l'autorité de Dieu.

On ne peut pas vivre ensemble sans règles ni autorité, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas s'extraire de l'autorité de Dieu.. Ca veut surtout dire qu'en l'absence de ce modèle divin, il nous faut en construire un autre qui réunisse des valeurs humanistes réalistes, sans sombrer dans la philanthropie naïve utopiste (et chaotique).

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, A ghost in the shell, 50ans Posté(e)
Nephalion Modérateur 32 669 messages
50ans‚ A ghost in the shell,
Posté(e)

Je n'ai pas souvenir d'une période où les croyances en un dieu quelconque ait empêché l'Humanité de se taper dessus...

L'autorité se doit d'être présente beaucoup plus près de l'individu pour qu'elle soit "utile".

Se passer d'autorité, c'est possible sur une période de temps courte ou sur un espace réduit.

Regardez ce topic, si demain 3 spammeurs arrivent et noient la discussion sous des centaines de liens pubicitaires ou de commentaires abjects, qui continuera alors à venir participer ?

Au quotidien, une vie sans autorité aucune c'est rigolo sur le papier, mais une fois confronté à des individus peu scrupuleux, combien supporteraient de voir leur maison pillée, leur quotidien perturbé ... ?

En fait, l'autorité, on pourra s'en passer quand les hommes se respecterons mutuellement, quand ils cesseront de se battre pour tout et rien ...

  • Like 3
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Vilaine
Invités, Posté(e)
Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)

On ne peut pas vivre ensemble sans règles ni autorité, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas s'extraire de l'autorité de Dieu.. Ca veut surtout dire qu'en l'absence de ce modèle divin, il nous faut en construire un autre qui réunisse des valeurs humanistes réalistes, sans sombrer dans la philanthropie naïve utopiste (et chaotique).

Non, je maintiens, on ne peut pas s'extraire de l'autorité de Dieu. La bible est claire à ce sujet (encore faut-il croire bien sûr). Mais cette notion d'autorité se juxtapose à la notion de liberté, et là c'est un autre débat.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Je n'ai pas souvenir d'une période où les croyances en un dieu quelconque ait empêché l'Humanité de se taper dessus...

Non bien-sûr puisqu'ils se battaient même au nom de de leur(s) dieu(x) et de sa morale.

En fait, l'autorité, on pourra s'en passer quand les hommes se respecterons mutuellement, quand ils cesseront de se battre pour tout et rien ...

Et comme "le respect", notion éminemment morale et subjective, présuppose des règles... retour à la case zéro.

C'est le serpent qui se mord la queue.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 17 094 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Une société sans autorité est tout simplement impossible. Ne fut-ce que parce que la raison du plus fort, loi fondamentale de l'état de nature sera toujours présente pour réguler nos comportements sociaux.

Ce qui m'amène à dire que l'Anarchie est en soit un concept idéologique complètement débile !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×