Derriere Rome il y a ....

"Troie , figuré par Enée portant sur son dos Anchise

et sous Troie .. combien de fondation enterré ? "

qu est ce qui fonde la constitution d un pouvoir dans une pluralité humaine ,cette constitution pré-contractuelle qui fait surgir le consentement de vivre ensemble dans le débat publique ...La démocratie disait claudius est un régime conscient du vide .... du vide de sa fondation et donc

condamné par ce vide au risque de la Délibération , au traitement négocié du conflit

l autorité est complémentaire du pouvoir .. en quelque sorte l autorité est le masque du pouvoir ..et le but de l autorité c est de légitimer donc faire durer un pouvoir .alors que penser de cette pensée radical

qu il faut tuer le père pour faite naître la loi

, l innovation c est ca le propre de l être humain . … si il n y a pas innovation il y a répétition .. et donc la notion même de politique n existerai pas .il ne faut pas imiter les geste des anciens mais saisir leur esprit de liberté ... une ouvrière peut accepter la hiérarchie dans son entreprise sans pour autant renoncer a sa volonté dans la sphère publique .. dans le fond refuser l égalité c est faire le jeu de la hiérarchie et du capitalisme de la tyrannie du fascisme du totalitarisme qui ont poser politiquement un ordre et on laisser le soin a certain philosophe de transformer ces idées en mesure .. naturelle .. tel des catégorie .. …ainsi Platon et Heidegger ont tout les deux servi des Despotes !!!

innover plutot que fonder

...humain

voila votre destiné !!

« C’est un work in progress, Rome,

un bric-à-brac somptueux de matériaux urbains dépareillés en instance d’assemblage

ou de réemploi ;

seulement ce chantier en rumeur, c’est surtout celui du travail négateur du Temps.

Ou, plutôt, le mouvement de marée bâtir-détruire,

qui est le pouls intime de toute ville, mais qu’on ne saisit jamais sur le vif,

on l’a ici sous les yeux et sous les doigts jusqu’au vertige,

parce qu’on dirait qu’auprès de chaque monument sorti du sol

on a laissé subsister un témoin de celui qu’il remplaçait :

c’est comme un magasin encombré

qui n’évacuerait jamais de ses rayons les laissés-pour-compte,

les pousserait seulement un peu de côté pour faire place aux arrivages. »(Gracq)

... il ne te reste plus maintenant qu'à te balancer avec un kangoo dans un marché de Noël!

essaye de te soucier plus des victimes que de l auteur ça te rendra moins bête con

..

"Grâce au consentement, je ne suis plus une volonté folle qui se débat contre l’inévitable,

je deviens une volonté sage qui acquiesce ses propres limites"

laisse moi deviner crise existentielle ?

Je sais pas si cela à avoir avec Rome mais : Je suis un esprit qui vagabondent entre ce flot émotions. Puis je me prétendre libre certainement mais est ce certain, c'est une certitude que je ne serais répondre. Il est clair que sans un modèle je n'aurais pas d'existence donc je suis esclave. Esclave d'un monde qui ne me ressemble pas mais pourquoi je me sens si libre ? La foi, cette foi qui me pousse à suivre un idéal dont je ne saurais donner de définition juste, alors à ce compte on pourrait parler de fanatisme, probablement mais je l'aime et j'ai beau y mettre toute la volonté du monde je ne pourrais cesser de l'aimer. Libre de croire, esclave de ce monde, la foi d'un idéal. Pourquoi donc je devrais renier ma vrai nature, impossible je suis français

...

effondrés dans la nuit

sous le bruit sourd des obus et des tanks

tu verra des guerriers évanouis

sur des plaines gelées

murmurants aux fées

leur derniers volontés

des armées indifférent aux mondes

décrire d étrange trajectoire

et des république s effondrer

sous un éclat de vers

Me crois tu incapable de verser des larmes

Pourtant je peut t'assurer qu'à chaque fois je me sens déchirée

Chaque jour je verse des larme qui me font mal

Comme si on arrachait une partie de moi

Tout ceci n'est que folie mais, pourtant dois je abandonner ?

Bien sot celui qui crois que je vais baisser les armes

La vie n'a de sens qui si tu lui en donne

J'ai trouvé une façon de penser

Est ce la meilleur, qu'importe je vie

Suis-je prêt à mourir pour cet idéal ?

Bien sot celui qui voudra m'en empêcher

La France restera la France, mon amour éternelle

Et si j'avais une dernière volonté à soumettre

Que je repose avec ce peuple que j'aime tant

A coté de celui qui me pousse à me réveiller chaque matin

Me crois tu incapable de verser des larmes

sur ces saines cruautés gravées dans le marbre

Pourtant je peut t'assurer qu'à chaque fois je me sens déchirée

je parle aux nuages et disperse mes ténèbres sur cet être aimé

Chaque jour je verse des larme qui me font mal

sur ces eaux amères ou s'endort ma Patrie

Comme si on arrachait une partie de moi

pour en faire cet être décharné sans terre ni rêve

Tout ceci n'est que folie mais, pourtant dois je abandonner ?

Et changer ces cris hostiles en autant de blasphèmes

Bien sot celui qui crois que je vais baisser les armes

et prendre le temps de réfléchir en ouvrant mes yeux

La vie n'a de sens qui si tu lui en donne

tel un Joueur solitaire qui n a pour seul partenaire que son ego ..

J'ai trouvé une façon de penser

en alternant le réel et mes fantasmes

Est ce la meilleur, qu'importe je vie

étendu sur cette surface silencieuse ou je trempe mon regard

Suis-je prêt à mourir pour cet idéal ?

Alors que j ai déjà du mal a vivre sans …

Bien sot celui qui voudra m'en empêcher

car le sage sait que l âne têtue

recul mais n avance jamais

La France restera la France, mon amour éternelle

et le reste une foret sauvage rempli d ombre et de murmure

Et si j'avais une dernière volonté à soumettre

je voudrais vivre sur ces îles fragiles

ou les elfes écrivent d’étrange poème habiller en soleils

Que je repose avec ce peuple que j'aime tant

A coté de celui qui me pousse à me réveiller chaque matin

ce reflet inlassable

incarné dans cette nation

devenu mon seul refuge

..ma dernière utopie

cette terre qui bat au rythme de mon cœur

voilà donc .. .voila donc ma vie ,

une expérience faite de couleur et de son

un fantasme urbain aux milles saveurs

ou Jeanne d arc joui dans un parc avec des sans papiers

pendant que les charognard dessine sur des cadavres encore chaud

leur rêve d une France enfermé dans une névrose collective