Existe-il des sous métiers ?

Autant y prendre plaisir tout en étant bien payé non?

Et si on peut exercer un métier qui n'est pas méprisé, c'est mieux, tu ne trouves pas?

Bonsoir,

Oui la réalité ce serait de dire: "regarde ce métier de sous homme! Le pauvre. Jetons lui des cacahuètes." C'est ce que je dirais à mes enfants en tout cas.

bsr Vilaine,

ceux qui font des efforts physiques et répétitifs sont de bon travailleurs, et vous glissez sur la situation plus agréable de ceux qui prennent plaisir a leur travail et sont aussi les mieux payés, ou de certain qui ne travail pas du tout, autrement dit une certaine manière d'agrémenter son oisiveté, les splendides demeures, la vie ostentatoire, qu'ils menent, l'espace mondain ou ils évoluent

méprisé par qui le métier??, j'aimerais bien savoir, , je pratique un métier méprisant dans le BTP, et je ne vois aucun mépris dans le regard de mes clients quand ils règlent la note, mais une reconnaissance, la raison en est simple, quand un particulier commande des travaux, c'est ses économies qu'il investit, l'argent ne lui tombe pas du ciel, donc le taff doit être nickel, quand on pratique un "véritable" métier, on est au contact des gens, oups des clients, qui attendent un résultat

bref, dans la réalité, ce serait de dire; c'est le cas du travail, et du mensonge qui lui est associé.

ce que l'on débusque ici avec un sentiment de découverte a travers ses deux exemples, est en fait massivement encouragé et accepté

a+

Tous ceux qui vilipendent certains travaux me dégoûte , pour une raison simple , comment perçoivent ils ceux qui ne fichent rien et touchent du fric à ne rien foutre, à moins évidemment qu'ils ne fassent partie de ces derniers , cela expliquerait tout. Il n'y a aucun sot métier, j'ai connu un ami qui a fait les mêmes études que moi, il a intégré le CNRS ,au bout de 20 ans de recherche , cela a débouché sur une erreur, les japonais avaient inventé un matériaux résistant 3 fois mieux et 10 fois moins cher...On en rit encore...

Il n'y a pas de sots "métiers". Mais toutes les activités rémunérées sont loin d'être des métiers...

Balayeur n'est pas un métier, pas plus que buraliste ou vendeur de burger.

Ce sont des travaux qui s'apprennent de "très" à "assez" vite et sont plus ou moins utiles socialement, en fonction du nombre et du besoin.

Vendeuse en boulangerie n'est pas un "métier". Il faut cesser d'inventer des "compétences" ou il y a que des "habitudes". Sourire, être poli, faire une petite plaisanterie ou demander des nouvelles du petit dernier, n'est pas une "compétence" professionnelle, mais une prise d'habitude, "humaine". La boulangère, elle, avec son estimation de la qualité de levée de la pâte, le temps de cuisson, le coup de main pour grainer, etc. possède une "compétence", complexe, qui demande 100 fois plus de temps d'apprentissage, pour TOUT LE MONDE (je dis cela parce que connais les relativistes experts qui n'ont aucun savoir-faire pratique). Même si on peut ensuite voir une habitude dans les deux cas, il y a un "métier" dans un cas, une "fonction" dans l'autre.

Et les écarts se creuse entre un balayeur et un chirurgien.

Parler de sous-métiers est donc malaisé, sauf à considérer l'échelle de temps d'apprentissage. Mais qui n'est pas une échelle égale d'utilité sociale, humaine.

Or "sous" métier implique l'idée non seulement de moindre compétence, mais surtout celle de moindre utilité. Ce qui est l'un des reports de la notion de racisme (ontologique, innée) vers la notion de racisme social (méritocratique, acquise). En gros certain-e-s (pas les mêmes) restent ainsi supérieurs à d'autres (pas les mêmes non plus), mais l'idée de supériorité et de hiérarchie qui naturalise et justifie les inégalités, le désir d'être "plus", "supérieur", "meilleur", est sauf... tout va donc bien dans la psyché humaine. Le malade mental c'est rassuré. Il ne l'est pas, tout est normal. Il y a bien des supérieurs et des inférieurs, l'ordre du monde n'est pas inepte... Ouf ! Sauvé !

La fonction, le métier, ne dit rien de l'individu, de l'être. D'où le besoin d'un revenu d'existence qui reconnaît l'égalité d'existence. Après, chacun s'emploiera où il pourra et/ou voudra, acquerra ou non telle compétence.

Il faut découpler l'être, éduqué, pour lui-même dans sa relation à l'être, et l'agissant, les rôles multiples pouvant être choisis, pouvant changer, faisant parti de la formation de l'être à lui-même, tout au long de son existence.

Je pense que les Français sont plus ambitieux que ça. Etre routier ou cuisinier, ça ne passionne pas les foules.

Les cuisiniers explosent, routier pour vous emmener la bouffe, il en faut.

Des sous-métiers, des sous-hommes c'est ça ?

Sous eux, il y a les chômeurs ?

Sous les chômeurs, les clodos ?

Et vous étiez à table avec ces glandeurs ? Vous faites quoi au juste à part nous dénigrer ?

Il n'y a pas de sots "métiers". Mais toutes les activités rémunérées sont loin d'être des métiers...

Balayeur n'est pas un métier, pas plus que buraliste ou vendeur de burger.

Ce sont des travaux qui s'apprennent de "très" à "assez" vite et sont plus ou moins utiles socialement, en fonction du nombre et du besoin.

Vendeuse en boulangerie n'est pas un "métier". Il faut cesser d'inventer des "compétences" ou il y a que des "habitudes". Sourire, être poli, faire une petite plaisanterie ou demander des nouvelles du petit dernier, n'est pas une "compétence" professionnelle, mais une prise d'habitude, "humaine". La boulangère, elle, avec son estimation de la qualité de levée de la pâte, le temps de cuisson, le coup de main pour grainer, etc. possède une "compétence", complexe, qui demande 100 fois plus de temps d'apprentissage, pour TOUT LE MONDE (je dis cela parce que connais les relativistes experts qui n'ont aucun savoir-faire pratique). Même si on peut ensuite voir une habitude dans les deux cas, il y a un "métier" dans un cas, une "fonction" dans l'autre.

Et les écarts se creuse entre un balayeur et un chirurgien.

Parler de sous-métiers est donc malaisé, sauf à considérer l'échelle de temps d'apprentissage. Mais qui n'est pas une échelle égale d'utilité sociale, humaine.

Or "sous" métier implique l'idée non seulement de moindre compétence, mais surtout celle de moindre utilité. Ce qui est l'un des reports de la notion de racisme (ontologique, innée) vers la notion de racisme social (méritocratique, acquise). En gros certain-e-s (pas les mêmes) restent ainsi supérieurs à d'autres (pas les mêmes non plus), mais l'idée de supériorité et de hiérarchie qui naturalise et justifie les inégalités, le désir d'être "plus", "supérieur", "meilleur", est sauf... tout va donc bien dans la psyché humaine. Le malade mental c'est rassuré. Il ne l'est pas, tout est normal. Il y a bien des supérieurs et des inférieurs, l'ordre du monde n'est pas inepte... Ouf ! Sauvé !

La fonction, le métier, ne dit rien de l'individu, de l'être. D'où le besoin d'un revenu d'existence qui reconnaît l'égalité d'existence. Après, chacun s'emploiera où il pourra et/ou voudra, acquerra ou non telle compétence.

Il faut découpler l'être, éduqué, pour lui-même dans sa relation à l'être, et l'agissant, les rôles multiples pouvant être choisis, pouvant changer, faisant parti de la formation de l'être à lui-même, tout au long de son existence.

J'ai fait les arts et métiers et il m'a fallu 10 ans pour devenir performant...Un exemple après mon BTS , j'étais moins doué qu'un simple CAP me faisant fiche de moi en coupant un cable de 175m de long trop court....

Ceux qui gagnent le plus sont les politiques aujourd'hui, quand on voit où cela nous a amené , inutile de faire 7 ans d'études sups....Certains arrivent il est vrai à être député et ministre alors qu'ils ne sont que de vraies brêles sans aucun diplôme dixit Douillet et Estrosi...

J'ai rencontré une femme routier, passionnée par son boulot.

Des cuisiniers, en connais aussi, des passionnés.

Il y a 45 ans, quand mon père a cessé son travail d'inspecteur d'assurance ( qui l'ennuyait mortellement ) pour devenir apiculteur ( une passion ) il a souvent entendu cette phrase, il n'y a pas de sot métier.

Je dirais, il y a les gens qui ont la chance d'aimer leur métier, et les autres...

Rien à voir avec l'activité en elle même, en fait.

Il parait même qu'il y a des banquiers, passionnés par la finance !

Je ne suis pas certain que la hiérarchie des métiers en terme de renommée ou de rémunération soit très intéressant à débattre.

Bien sur une mère verra avec plus plaisir des études de médecine pour son fils plutôt que l'obtention d'un entretien d'embauche pour faire caissier. Cependant il n'y a pas de débat concernant l'utilités des balayeurs ou des chauffeurs routiers et les tentatives de hiérarchisation sont plutôt ennuyeuses voir parfois nauséabondes.

On est sur un forum, et la proportion de crétins expliquant avec force conviction que le plus intéressant à dire sur ce sujet est que les hommes politiques gagnent trop et sont incompétents est toujours la même.

Non, ce qui m'interpelle, c'est le nombre de métiers qui vont disparaître ou se voir d'autant plus dévalorisés du fait du numérique, de l'intelligence artificielle, de la multiplication des robots.

Quels métiers à la con faut il s'empresser de fuir à toute force, de déconseiller à des jeunes en mal d'orientation, qui vont bientôt être remplacés par des machines ?

On pense bien sûr à des tâches simples et répétitives, fastidieuses ou encore nécessitant peu de savoir faire. Une mesure intéressante est par exemple le fait de se demander à partir de quel âge pourrait se réaliser le métier en question. Chirurgien à 14 ans impossible, à 18 ans non plus. Conduire un taxi, à partir de 13 ans je dirais. Passer le balais à partir de 8 ans peut être. Dame pipi à partir de 6 ans, cependant il ne faut pas fondre en pleurs si le monsieur ne laisse pas une pièce (à moins de sortir d'une école de marketing, là oui).

Moins évident, je me demande si à l'aide du numérique, des effets spéciaux et des miracles renouvelés des images de synthèse et des jeux vidéos, peut être que John Wayne ou Humphrey Bogart vont tourner à nouveaux. De façon quasiment indécelable, est-ce sous dix ans ou vingt ans ? Dans ce cas, le métier d'acteur va t'il prendre une grosse raclée ?

Or "sous" métier implique l'idée non seulement de moindre compétence, mais surtout celle de moindre utilité!

--------------------

Donc, on vire toute la classe politique et les fonctionnaires, ors les utiles, pompiers, flics, militaires, et tous les métiers de la médecine!

Un simple balayeur est plus utile qu'eux, il maintient propre l'environnement de tous! :cool:

Qu'est-ce que je disais ! :smile2:

Un chercheur est-il utile ?

Un musicien (classique trad ou de rap, ça, c'est une affaire de goût ) est-il utile ?

Si nous ne nous projetons pas dans le futur et nous limitons au matérialisme, la vie va devenir bien morne.

Décidément, je préfère des utopies et des projets même avec peu de moyens...

J'ai fait les arts et métiers et il m'a fallu 10 ans pour devenir performant...Un exemple après mon BTS , j'étais moins doué qu'un simple CAP me faisant fiche de moi en coupant un cable de 175m de long trop court....

Ceux qui gagnent le plus sont les politiques aujourd'hui, quand on voit où cela nous a amené , inutile de faire 7 ans d'études sups....Certains arrivent il est vrai à être député et ministre alors qu'ils ne sont que de vraies brêles sans aucun diplôme dixit Douillet et Estrosi...

Mais prendre l'argent comme étalon de la valeur des personnes et sens de la vie, objectif, c'est réduire l'être humain à un animal jouisseur, sans histoire, sans culture, avec une valeur d'échange immédiate.

On peut réduire l'Homme à ça, mais ce n'est pas mon monde, ma réalité.

Je ne suis pas certain que la hiérarchie des métiers en terme de renommée ou de rémunération soit très intéressant à débattre.

Bien sur une mère verra avec plus plaisir des études de médecine pour son fils plutôt que l'obtention d'un entretien d'embauche pour faire caissier. Cependant il n'y a pas de débat concernant l'utilités des balayeurs ou des chauffeurs routiers et les tentatives de hiérarchisation sont plutôt ennuyeuses voir parfois nauséabondes.

On est sur un forum, et la proportion de crétins expliquant avec force conviction que le plus intéressant à dire sur ce sujet est que les hommes politiques gagnent trop et sont incompétents est toujours la même.

Non, ce qui m'interpelle, c'est le nombre de métiers qui vont disparaître ou se voir d'autant plus dévalorisés du fait du numérique, de l'intelligence artificielle, de la multiplication des robots.

Quels métiers à la con faut il s'empresser de fuir à toute force, de déconseiller à des jeunes en mal d'orientation, qui vont bientôt être remplacés par des machines ?

On pense bien sûr à des tâches simples et répétitives, fastidieuses ou encore nécessitant peu de savoir faire. Une mesure intéressante est par exemple le fait de se demander à partir de quel âge pourrait se réaliser le métier en question. Chirurgien à 14 ans impossible, à 18 ans non plus. Conduire un taxi, à partir de 13 ans je dirais. Passer le balais à partir de 8 ans peut être. Dame pipi à partir de 6 ans, cependant il ne faut pas fondre en pleurs si le monsieur ne laisse pas une pièce (à moins de sortir d'une école de marketing, là oui).

Moins évident, je me demande si à l'aide du numérique, des effets spéciaux et des miracles renouvelés des images de synthèse et des jeux vidéos, peut être que John Wayne ou Humphrey Bogart vont tourner à nouveaux. De façon quasiment indécelable, est-ce sous dix ans ou vingt ans ? Dans ce cas, le métier d'acteur va t'il prendre une grosse raclée ?

Je ne vous lis pas dans l'échange avec ce que j'ai dit. Bon, c'est peut-être que vous avez raté mon post, ça m'arrive aussi avec d'autres .

Par contre je ne saisis pas votre position par rapport aux métiers "anciens", ou "déclassées", et aux "nouveaux" ?

Et vous ne trouvez pas utile de faire la distinction entre métiers et fonction ?

Or "sous" métier implique l'idée non seulement de moindre compétence, mais surtout celle de moindre utilité!

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Donc, on vire toute la classe politique et les fonctionnaires, ors les utiles, pompiers, flics, militaires, et tous les métiers de la médecine!

Un simple balayeur est plus utile qu'eux, il maintient propre l'environnement de tous! :cool:

Ah, oui !

Et là vous retournez le principe. Ce qui est assez juste. Sous-métier pour qualifier non pas des emploi peu qualifiés, mais des emplois hautement qualifiés à ne rien faire par un système de diplôme fabriqué pour faire illusion et mettre en métier et en compétence du vent.

Là, le terme de sous-métier prend un sens, mais très différent, ironique.

Un chercheur est-il utile ? oui, au plus haut point

Un musicien (classique trad ou de rap, ça, c'est une affaire de goût ) est-il utile ? oui, mais il n'a pas besoin d'être rémunéré. Les meilleurs ne le sont pas de mon point de vue

Si nous ne nous projetons pas dans le futur et nous limitons au matérialisme, la vie va devenir bien morne.

Décidément, je préfère des utopies et des projets même avec peu de moyens...

L'utilité sociale se mesure aussi bien dans le plaisir que dans l’allègement de la douleur...

Je pense que les Français sont plus ambitieux que ça. Etre routier ou cuisinier, ça ne passionne pas les foules.

J'ai connu des cuisinier millionnaire, peut être même milliardaire mais chuuuuuuuuuuuut ils mettent leur pognon à gauche.

Il y a un savant chimiste qui lui est créateur de la cuisine nouvelle.

J'ai un ami de 60 ans,vivant en Champagne, qui a deux doctorats trois agrégations ,qui vit du RSA , qui n'a jamais rien voulu faire sous le prétexte que tout les métiers sont des métiers de cons.

Puis les métiers c'est un peu comme l'argent papier ça se dévalorise vite fait, et ça n'a pour valeur illusoire que celle dont on veut bien leur attribuer.

Il n'y a pas de sous métier, par contre les cons ça pullule de plus en plus.

"Ah, oui !

Et là vous retournez le principe. Ce qui est assez juste. Sous-métier pour qualifier non pas des emploi peu qualifiés, mais des emplois hautement qualifiés à ne rien faire par un système de diplôme fabriqué pour faire illusion et mettre en métier et en compétence du vent.

Là, le terme de sous-métier prend un sens, mais très différent, ironique."

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Z'avez tout compris! :smile2:

Les cuisiniers explosent, routier pour vous emmener la bouffe, il en faut.

Des sous-métiers, des sous-hommes c'est ça ?

Sous eux, il y a les chômeurs ?

Sous les chômeurs, les clodos ?

Et vous étiez à table avec ces glandeurs ? Vous faites quoi au juste à part nous dénigrer ?

Il n'y a que Momo qui occupait un sous métier lors de ce repas de mariage. Je crois qu'il a rejoint une table de petites mains pour le reste de la soirée car entendre parler grosse maison et belle voiture a dû le mettre mal à l'aise. Ou peut-être a-t-il rejoint la table des enfants pour les dissuader d'exercer un sous metier...

Il n'y a que Momo qui occupait un sous métier lors de ce repas de mariage. Je crois qu'il a rejoint une table de petites mains pour le reste de la soirée car entendre parler grosse maison et belle voiture a dû le mettre mal à l'aise. Ou peut-être a-t-il rejoint la table des enfants pour les dissuader d'exercer un sous metier...

Un jour Diogène fut invité comme très souvent à un repas organisé par les notables d'Athène, mais on lui demanda, de ne pas céder à son habitude de cracher par terre, on lui demanda impérieusement. Diogène acquiesça.

Le repas commença, les libations allaient bon train, les discours de toutes sortes étaient animé, lorsque brutalement Diogène cracha sur à la figure d'un convive qui était à coté de lui. On lui demanda pourquoi avait il fait ça, il répondit , je n'ai pas trouvé de lieu plus sale.

Pour ton repas c'est un peu ça, le pauvre homme , a simplement quitté un lieu d'aisance malodorant, qui n'a pour beauté que celle des immondices.

mais elle provoque ! Tout ce qu'elle dit est faux, c'est une paumée qui passe son temps ici, sans doute sans travail.

Un jour Diogène fut invité comme très souvent à un repas organisé par les notables d'Athène, mais on lui demanda, de ne pas céder à son habitude de cracher par terre, on lui demanda impérieusement. Diogène acquiesça.

Le repas commença, les libations allaient bon train, les discours de toutes sortes étaient animé, lorsque brutalement Diogène cracha sur à la figure d'un convive qui était à coté de lui. On lui demanda pourquoi avait il fait ça, il répondit , je n'ai pas trouvé de lieu plus sale.

Pour ton repas c'est un peu ça, le pauvre homme , a simplement quitté un lieu d'aisance malodorant, qui n'a pour beauté que celle des immondices.

Si seulement....il a simplement compris qu'il avait malheureusement été orienté dans une mauvaise direction professionnelle, alors qu'il avait les moyens d'accéder à un métier prestigieux. Et heureusement, il n'a pas la bêtise de prétendre que les métiers prestigieux ne sont occupés que par des hommes sans coeur. Lui, au moins, sait faire la part des choses.

mais elle provoque ! Tout ce qu'elle dit est faux, c'est une paumée qui passe son temps ici, sans doute sans travail.

Mais non elle provoque pas, elle n'est pas et voudrait exister, elle se vautre dans son illusion obscène qu'elle voudrait vraie mais qui n'est qu'un leurre pour dément.

J'ai connu des cuisinier millionnaire, peut être même milliardaire mais chuuuuuuuuuuuut ils mettent leur pognon à gauche.

Il y a un savant chimiste qui lui est créateur de la cuisine nouvelle.

J'ai un ami de 60 ans,vivant en Champagne, qui a deux doctorats trois agrégations ,qui vit du RSA , qui n'a jamais rien voulu faire sous le prétexte que tout les métiers sont des métiers de cons.

Puis les métiers c'est un peu comme l'argent papier ça se dévalorise vite fait, et ça n'a pour valeur illusoire que celle dont on veut bien leur attribuer.

Il n'y a pas de sous métier, par contre les cons ça pullule de plus en plus.

Les cuisiniers qui excellent dans leur branche sont rares. C'est bien dommage car ils auraient pu davantage mettre à l'honneur leur profession.

Mais non elle provoque pas, elle n'est pas et voudrait exister, elle se vautre dans son illusion obscène qu'elle voudrait vraie mais qui n'est qu'un leurre pour dément.

Quelle illusion?

Si seulement....il a simplement compris qu'il avait malheureusement été orienté dans une mauvaise direction professionnelle, alors qu'il avait les moyens d'accéder à un métier prestigieux. Et heureusement, il n'a pas la bêtise de prétendre que les métiers prestigieux ne sont occupés que par des hommes sans coeur. Lui, au moins, sait faire la part des choses.

A le prestige, on le cherche quand on en est complètement dépourvu, mais il ne sera qu'un masque. Le prestige ne s'acquiert pas il est naturel et quoi qu'on fasse dans la vie, il sera toujours là présent s'imposant à tous. Le vrai prestige est paradoxalement modeste, le vrai prestige éléve pour mettre à son niveaux, seul les gueux qui n'en n' auront jamais abaissent.

A mépriser ceux qui partage pas ta vésanie te place dans la race des gueux !!!