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Le bonheur n'est il que l'absence de malheur ?


Naelli.

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Invité Tarid
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Invité Tarid
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Donc la mort.

Je crois que le bonheur, la joie et la paix sont intérieurs, et qu'elles peuvent être partagées. Par contre le malheur est extérieur. Pour ma part

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Membre, 51ans Posté(e)
jean ghislain Membre 1 084 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
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Donc la mort.

Sauf que la vie se passe et se fait avant la mort. Tout se joue durant la vie. La mort n'est que l'instant du bilan de la vie.

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Invité Tarid
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Invité s
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Oui, ( qui n'est pas aussi temporaire que le plaisir ), les amoureux, les passionnés, ceux qui font ce qu'ils veulent sans entrave handicapante sont épanouis, ceux qui ont tout mieux que les autres, les gens simples/naifs sans problème.

Le passionné même s’il peut avoir de grands moments de bonheur va aussi connaître des moments de douleur, l’un ne va pas sans l’autre d’ailleurs même chez les amoureux.

L’épanouissement, c’est un état du bonheur, c’est l’accomplissement final de celui-ci peu importe événements heureux ou malheureux mais si on parle dans le sens de l’événement, on ne peut pas parler de l’état de la personne qui en est que le résultat. Par exemple, une personne qui a faim et qui ensuite trouve à manger, de souffrance elle passe à bonheur, cela ne veut pas dire que la personne sera épanouie même si elle va vers un mieux. Certains peuvent tout avoir et ne sont pas pourtant épanouis.

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Invité s
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J'ai peur que ce découpage ne soit pas aussi simple, les peuples opprimés, ont souvent cherché à compenser, par les fêtes entre membres, les chants, les danses et autres festivités, le fait d'avoir une famille soudée est une conséquence de la dureté de la vie, qui permet non pas de neutralisé les souffrances, mais de les rendre plus supportables, permettant de se rapprocher d'un état neutre, ni heureux, ni malheureux, le tout entrecoupé de moments de joie.

J’ai mal employé le mot, ce n’est pas soudé que j’aurais du dire mais une famille unie ou aimante. Si par exemple, un enfant vit dans la misère mais qu’il est bien avec sa famille peut souffrir plus si on le met dans une famille aisée sans avoir ses parents à ses côtés. On ne peut pas parler de compensation dans ce cas mais plus parce que l’enfant qui a le malheur de vivre dans la misère a le bonheur d’être entourée auprès des siens.

Il est notoire que l'aisance ne procure pas le bonheur, il suffit de voir le nombre de célébrités, ayant des comportements déviants, avec des personnalités en souffrance, ballotés entre une image publique glorieuse/enviable et une vie privée déchirée/instable.

Pas forcément, je connais des personnes qui ont connu l’aisance même si certaines pouvaient être malheureuses pour d’autres raisons, elles l’ont été plus quand elles se sont retrouvées sans cette aisance. Si ces célébrités se retrouvent sans cette aisance, ce succès…Certains seront encore plus malheureux. Si on parle du bonheur et du malheur en tant qu’événement et ce qui se rapporte à la personne, celle-ci vivra mieux en tant qu’artiste car cela sera son choix du bonheur. Après j’ai bien compris que tu veux dire que le moyen d’être heureux, ce n’est pas d’être artiste mais pour ce dernier, si. Le plus important n’est pas de trouver le bonheur parfait, très peu y arrive et avec du temps mais surtout de trouver un mieux être pour soi-même.

Le bonheur est très subjectif, comme j'ai essayé de le montrer, d'ailleurs aux seins de ses familles prises en exemple, il n'est pas certain que la situation soit homogène pour chacun de ses membres, par exemple un des enfants de la famille miséreuse peut ardemment désirer partir vers de meilleurs auspices, de même dans la famille aisée, un frère et une soeur, ou l'homme et la femme peuvent être très heureux de leur sort.

Tout à fait d’accord là-dessus.

Non, justement mon exemple avec l'employé, était là pour montrer qu'il y a une comparaison qui s'insinue dans la reconnaissance du bonheur, et pas uniquement la suppression d'un trouble. Autre exemple, le deuxième finaliste d'une compétition mondiale, sera déçu, triste, malheureux, quand bien même il est le numéro 2 mondial, c'est à dira devant tout le monde sauf un seul!

Malheur et bonheur s'excluent mutuellement, c'est comme d'avoir mal et prendre plaisir conjointement, disons se faire piquer en même temps que de recevoir une caresse, l'un prendra le pas sur l'autre suivant les intensités perçues. Soit on est globalement heureux, même si quelque troubles viennent ponctuer cet état, ou bien on est globalement malheureux, même si quelques éléments agréables s'immiscent dans la vie.

Concernant l’exemple de ton employé, cela dépend, il peut très bien être satisfait tout dépend pourquoi l’autre a reçu plus que lui, s’il y a réellement une injustice à son égard, oui il n’en sera pas satisfait. Je ne suis pas sûr que l’on peut parler de reconnaissance du bonheur par rapport aux autres du moins par pour tout le monde car la notion du bonheur est différente pour chacun. Ce n’est pas la suppression d’un trouble mais suppression d’un événement, malheur entre autre dans l’exemple cité par Talon, si ce n’est plus malheur, c’est forcément le contraire bonheur, là encore tu parles d’un état du bonheur ou du malheur alors que je parle d’événements comme je l’ai d’ailleurs cité plus haut, cette personne va vers un mieux, cela ne veut pas dire épanouissement.

Oui, mais décalés dans le temps, alternance des phases, car au même instant, c'est soit l'un soit l'autre.

Décalé dans le temps par rapport à ce qu’on ressent, oui c’est sûr mais pas décalé dans le temps par rapport à ce qu’on vit.

Sinon je trouve très juste la citation de Tarid, "Il faut beaucoup de raisons pour être malheureux, il en faut aucune pour être heureux" parce que l’être humain est un insatisfait et qu’il aura tendance à plus voir les mauvais côtés que d’apprécier ce qui peut le rendre heureux.

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Invité _Films_
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Posté(e)

Le passionné même s’il peut avoir de grands moments de bonheur va aussi connaître des moments de douleur, l’un ne va pas sans l’autre d’ailleurs même chez les amoureux.

L’épanouissement, c’est un état du bonheur, c’est l’accomplissement final de celui-ci peu importe événements heureux ou malheureux mais si on parle dans le sens de l’événement, on ne peut pas parler de l’état de la personne qui en est que le résultat. Par exemple, une personne qui a faim et qui ensuite trouve à manger, de souffrance elle passe à bonheur, cela ne veut pas dire que la personne sera épanouie même si elle va vers un mieux. Certains peuvent tout avoir et ne sont pas pourtant épanouis.

:plus:

J’ai mal employé le mot, ce n’est pas soudé que j’aurais du dire mais une famille unie ou aimante. Si par exemple, un enfant vit dans la misère mais qu’il est bien avec sa famille peut souffrir plus si on le met dans une famille aisée sans avoir ses parents à ses côtés. On ne peut pas parler de compensation dans ce cas mais plus parce que l’enfant qui a le malheur de vivre dans la misère a le bonheur d’être entourée auprès des siens.

Pas forcément, je connais des personnes qui ont connu l’aisance même si certaines pouvaient être malheureuses pour d’autres raisons, elles l’ont été plus quand elles se sont retrouvées sans cette aisance. Si ces célébrités se retrouvent sans cette aisance, ce succès…Certains seront encore plus malheureux. Si on parle du bonheur et du malheur en tant qu’événement et ce qui se rapporte à la personne, celle-ci vivra mieux en tant qu’artiste car cela sera son choix du bonheur. Après j’ai bien compris que tu veux dire que le moyen d’être heureux, ce n’est pas d’être artiste mais pour ce dernier, si. Le plus important n’est pas de trouver le bonheur parfait, très peu y arrive et avec du temps mais surtout de trouver un mieux être pour soi-même.

Tout à fait d’accord là-dessus.

Concernant l’exemple de ton employé, cela dépend, il peut très bien être satisfait tout dépend pourquoi l’autre a reçu plus que lui, s’il y a réellement une injustice à son égard, oui il n’en sera pas satisfait. Je ne suis pas sûr que l’on peut parler de reconnaissance du bonheur par rapport aux autres du moins par pour tout le monde car la notion du bonheur est différente pour chacun. Ce n’est pas la suppression d’un trouble mais suppression d’un événement, malheur entre autre dans l’exemple cité par Talon, si ce n’est plus malheur, c’est forcément le contraire bonheur, là encore tu parles d’un état du bonheur ou du malheur alors que je parle d’événements comme je l’ai d’ailleurs cité plus haut, cette personne va vers un mieux, cela ne veut pas dire épanouissement.

Décalé dans le temps par rapport à ce qu’on ressent, oui c’est sûr mais pas décalé dans le temps par rapport à ce qu’on vit.

Sinon je trouve très juste la citation de Tarid, "Il faut beaucoup de raisons pour être malheureux, il en faut aucune pour être heureux" parce que l’être humain est un insatisfait et qu’il aura tendance à plus voir les mauvais côtés que d’apprécier ce qui peut le rendre heureux.

:plus:

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Invité s
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Je crois que le bonheur, la joie et la paix sont intérieurs, et qu'elles peuvent être partagées. Par contre le malheur est extérieur. Pour ma part

Possible, je suis d'ailleurs assez étonnée dans certaines définitions qu'on parle du malheur comme d'un événement alors que du bonheur, on en parle plus comme un état alors c'est vrai que les gens ont plus tendance à évoquer leur malheur que le bonheur.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 001 messages
If you don't want, you Kant...,
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Le passionné même s’il peut avoir de grands moments de bonheur va aussi connaître des moments de douleur, l’un ne va pas sans l’autre d’ailleurs même chez les amoureux.

L’épanouissement, c’est un état du bonheur, c’est l’accomplissement final de celui-ci peu importe événements heureux ou malheureux mais si on parle dans le sens de l’événement, on ne peut pas parler de l’état de la personne qui en est que le résultat. Par exemple, une personne qui a faim et qui ensuite trouve à manger, de souffrance elle passe à bonheur, cela ne veut pas dire que la personne sera épanouie même si elle va vers un mieux. Certains peuvent tout avoir et ne sont pas pourtant épanouis.

Un sportif passionné qui traverse des moments de douleurs intenses ne l'empêche pas d'être heureux, dans la mesure où il fait ce qui correspond à ses attentes. Dans ce cas souffrances subies ne sont pas synonymes de malheur, sauf si cela le condamne à abandonner définitivement sa passion.

Je suis d'accord avec toi lorsque tu cites Tarid, le bonheur est comme un château de cartes, un rien peut tout anéantir, mais il faut des conditions favorables difficiles pour sa réussite, et rarement bien déterminées/définies.

***********

Je pense que nous sommes à peu près en phase Samira, ce ne sont que des détails qui nous séparent.

Concernant l’exemple de ton employé, cela dépend, il peut très bien être satisfait tout dépend pourquoi l’autre a reçu plus que lui, s’il y a réellement une injustice à son égard, oui il n’en sera pas satisfait. Je ne suis pas sûr que l’on peut parler de reconnaissance du bonheur par rapport aux autres du moins par pour tout le monde car la notion du bonheur est différente pour chacun. Ce n’est pas la suppression d’un trouble mais suppression d’un événement, malheur entre autre dans l’exemple cité par Talon, si ce n’est plus malheur, c’est forcément le contraire bonheur, là encore tu parles d’un état du bonheur ou du malheur alors que je parle d’événements comme je l’ai d’ailleurs cité plus haut, cette personne va vers un mieux, cela ne veut pas dire épanouissement.

Non Samira, quand l'un n'existe pas, l'autre n'est pas nécessairement présent, il y a un état intermédiaire neutre. Par exemple, si je touche l'eau du bain, elle est trop chaude, je rajoute de l'eau froide, puis je la trouve trop froide maintenant, arrive un moment où je vais la trouver neutre, ni l'une, ni l'autre. Le bonheur ou le malheur possèdent eux aussi un état intermédiaire, où je ne suis ni malheureux, ni heureux, même si on traverse des moments de plaisir ou de douleur, c'est pourquoi la suppression du malheur n'est pas un gage de bonheur. Tu vois?

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Un sportif passionné qui traverse des moments de douleurs intenses ne l'empêche pas d'être heureux, dans la mesure où il fait ce qui correspond à ses attentes. Dans ce cas souffrances subies ne sont pas synonymes de malheur, sauf si cela le condamne à abandonner définitivement sa passion.

Je suis d'accord avec toi lorsque tu cites Tarid, le bonheur est comme un château de cartes, un rien peut tout anéantir, mais il faut des conditions favorables difficiles pour sa réussite, et rarement bien déterminées/définies.

***********

Je pense que nous sommes à peu près en phase Samira, ce ne sont que des détails qui nous séparent.

Non Samira, quand l'un n'existe pas, l'autre n'est pas nécessairement présent, il y a un état intermédiaire neutre. Par exemple, si je touche l'eau du bain, elle est trop chaude, je rajoute de l'eau froide, puis je la trouve trop froide maintenant, arrive un moment où je vais la trouver neutre, ni l'une, ni l'autre. Le bonheur ou le malheur possèdent eux aussi un état intermédiaire, où je ne suis ni malheureux, ni heureux, même si on traverse des moments de plaisir ou de douleur, c'est pourquoi la suppression du malheur n'est pas un gage de bonheur. Tu vois?

Ce que tu en dis sur les passionnés, ça rejoint en fait ce que je disais sur les célébrités, sinon oui je vois et en effet, tu as raison, la suppression d'un malheur n'est pas le gage de bonheur et pourtant les gens seraient plus heureux s'ils arrivaient à considérer la suppression d'un malheur comme d'un bonheur.

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 480 messages
forumeuse acharnée,
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Le bonheur c'est trouver ce que l'on cherche quand on en a besoin .

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Membre, Biscotte, 39ans Posté(e)
zera Membre 6 819 messages
39ans‚ Biscotte,
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J'ai juste envie de prendre la question à l'envers.

Pour moi le malheur est l'absence de bonheur.

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Invité Tarid
Invités, Posté(e)
Invité Tarid
Invité Tarid Invités 0 message
Posté(e)

Pour moi le malheur est l'absence de bonheur.

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 480 messages
forumeuse acharnée,
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Non parce que tu peux considérer aussi qu une situation neutre n'est pas le bonheur .

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Invité Tarid
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