Débat dans l'arène

On appelle ça l'altérité. Pour quelqu'un qui défend le religieux, ça devrait être évident... puisque l'autre c'est le prochain, non ?

Encore un gourou illuminé que voilà ! Genre buvez mes paroles. Ce qui ne dit rien de ta vie, en fait. Je serais curieux de savoir si celui qui se prend pour la bouche de Dieu, agit en conséquence dans sa vie, pour lui même, avant que de propager pareils dires ?

Je lui ai demandé et il a dit qu'il va demander au curé dimanche.

Je n'ai pas besoin d'être persuadé pour tester ou confronter mes hypothèses. Si j'en suis sur, pourquoi les remettre en question ?

Pour tester la solidité de tes arguments, de tes idées, autrement que de ton point de vue nécessairement fini, ou également transmettre tes idées, voire faire de la propagande, ou encore de la mésinformation pour contrer quelque chose qui te révulse, enfin parce que tu aurais un "moi" particulièrement exacerbé et qui a besoin de se montrer publiquement même dans un jeu de dupes!

Si tu as besoin de te faire remarquer, alors prends un guide du mythomane en sept leçons. Mais cela ne te rendra pas pour autant plus convaincant. :)

Il y a mal donne, je ne faisais que répondre des exemples à ta question par ta "voix" et non pas que je te répondais ce que tu fais!

En clair, tu posais une question, je tentais d'y répondre par des hypothèses probables/réalistes, et je crois que tu l'as pris comme une liste de critiques à ton égard, ce qui n'est absolument pas le cas!

Cordialement,

Pas du tout, j'ai bien écrit que l'acceptation d'une vérité sans preuve est juste une pathologie. Cordialemeeeeeeent.

Je n'ai pas besoin d'être persuadé pour tester ou confronter mes hypothèses. Si j'en suis sur, pourquoi les remettre en question ?

J'ai du mal à envisager le test ou la confrontation d'une hypothèse de laquelle je ne serais pas persuadée.

Aurais-tu un exemple ?

Et lorsque tu es "sûr" de ton hypothèse, la proposer afin qu'elle soit validée par l'expérience à laquelle elle se réfère entraînera une validation ou pas, par débat ou pas. Mais, quoi qu'il en soit, si elle n'est pas partagée, elle ne sera qu'une intime conviction, pas plus, pas moins.

On appelle ça l'altérité. Pour quelqu'un qui défend le religieux, ça devrait être évident... puisque l'autre c'est le prochain, non ?

Encore un gourou illuminé que voilà ! Genre buvez mes paroles. Ce qui ne dit rien de ta vie, en fait. Je serais curieux de savoir si celui qui se prend pour la bouche de Dieu, agit en conséquence dans sa vie, pour lui même, avant que de propager pareils dires ?

Rhooo ! Mais qu'est-ce donc que ces attaques personnelles en plein débat sur le débat ?!

Me fait repenser à ton propre topic, jean ghislain... le taureau, l'amour vache, tout ça, tout ça...

Sois mignon et remets-nous ta belle gueule en avatar plutôt que d'agresser celui de Frelser (que j'aime bien aussi avec son faux-air de métro sexuel averti... )

Mais sinon, oui, ce seul mot "altérité" répond bien mieux que moi.

Dans la reconnaissance de ce qui est autre (l'anti-thèse), viendra naturellement la reconnaissance de l'Autre et donc de soi.

Ceci essentiel à l'idée qui veut survivre à son créateur.

Pas du tout, j'ai bien écrit que l'acceptation d'une vérité sans preuve est juste une pathologie. Cordialemeeeeeeent.

Prouve-le !

J'ai du mal à envisager le test ou la confrontation d'une hypothèse de laquelle je ne serais pas persuadée.

Aurais-tu un exemple ?

Et lorsque tu es "sûr" de ton hypothèse, la proposer afin qu'elle soit validée par l'expérience à laquelle elle se réfère entraînera une validation ou pas, par débat ou pas. Mais, quoi qu'il en soit, si elle n'est pas partagée, elle ne sera qu'une intime conviction, pas plus, pas moins.

J'ai connu une amie qui était persuadée d'être une réincarnation de Marilyn Monroe. En plus elle n'était même pas une vraie blonde.

Il y avait donc débat entre ce qu'elle affirmait (réincarnation Monroesque) puisqu'elle en était persuadée et ce que le reste du monde constatait logiquement, non ?

Ou, si elle se fichait complètement d'être effectivement reconnue et validée comme réincarnation, elle vivait dans son intime conviction.

Si ça se trouve Monroe aussi était une fausse blonde. Qu'en sait-on ?

Oui, si ça se trouve, ma tante en avait et je réalise tout soudainement pourquoi elle voulait que je l'appelle "Tonton".

Savoir ou ne pas savoir, telle serait la question quant à la formulation d'une anti-thèse ? C'est ce que tu reprochais aux participants des débats en tout début de ce topic, oui. Ils ne tiennent pas compte de ce qu'avance l'interlocuteur, ne vérifient pas la véracité des arguments, pourvu qu'ils puissent balancer tout ce qu'ils ont à raconter sur le sujet qui les préoccupe.

Et c'est ce que je viens de faire, tout naturellement, d'ailleurs.

Du coup, nous revenons à ma première réponse :

le narcissisme qui découle du simple fait d'être chez soi ou "comme chez soi" lorsque nous participons à un quelconque forum (généraliste ou spécialiste) et plus simplement internet, nous entraîne inévitablement à déclencher notre imaginaire à outrance.

Il faut savoir que l'imaginaire est la composante essentielle et majoritairement constituante de la psychose.

Alors, dans ces circonstances, quoi de plus banal que d'avoir un grain et de l'y mettre un peu partout ?

Et ce grain dont je parle, est porteur d'une ambivalence. Il est a la fois représentatif de la folie (aliénation mentale) mais, également, le germe (la petite graine) de notre être qui cherche à se disséminer partout...

Pourvu que quelque chose de nous survive à notre trépas...

C'est le grand amour quoi en somme.

Oui, du verbe "S'aimer"

Je sème

Tu sèmes

Il/elle sème

Etc.

Premier groupe en ER.

Pourvu que quelque chose de nous survive à notre trépas...

Tout se perdra dans la froideur des éternités glacées, de la première neige à la plus géniale pensée.

Tous nous serons oublié, l'idée même de l'humanité.

Le temps est une illusion trop précieuse pour penser le marquer.

Pourvu que chaque instant de ma vie soit ponctué d'instants d'éternité finis, choisis, chéris, sanctifiés.

Je veux être intensément moi pour mes proches et disparaître aussitôt dès mon souffle coupé.

Donc, d'après toi l'information de notre passage s'effacera définitivement ? Je dirais que je pense que nous pouvons continuer à exister sous une autre forme pour une durée infinie, sans être éternels. Comme une asymptot tendant à l'infini, dont l'infini est la limite à zéro.

Si il se confirme que le cerveau à des propriétés quantiques, il est fort probable que nous possédions un moyen ultime de sortir de la dimension temps en simulant une projection sur le futur en une fraction de seconde instantanée au moment de la mort. Les témoignages indénombrables d'Expériences de Mort Imminente peuvent ainsi être une confirmation de cette faculté neuro-quantique, que nous expérimentons tous par la télépathie ou certains rêves prémonitoires.. La mort n'est qu'une transition, pas une fin.

Frelser, tu me fais tout soudainement penser au Schtroumpf à lunettes ! :blush:

Mais, je trouve très intéressant tout ce que tu as schtroumpfé ici.

Tout se perdra dans la froideur des éternités glacées, de la première neige à la plus géniale pensée.

Tous nous serons oublié, l'idée même de l'humanité.

Le temps est une illusion trop précieuse pour penser le marquer.

Pourvu que chaque instant de ma vie soit ponctué d'instants d'éternité finis, choisis, chéris, sanctifiés.

Je veux être intensément moi pour mes proches et disparaître aussitôt dès mon souffle coupé.

[...]

Nous aimons à penser qu’un jour, il ne restera rien de nous.

Car, nous nous évertuons à tout donner.

Il fait nuit depuis plusieurs heures et nous pensons à tout ce qui est nous.

Nous, c’est un peu vous, là, en cet instant, précisément.

Faut-il que nous soyons folles pour penser pareillement ?

Faut-il que nous n’ayons rien d’autre à foutre que de penser ?

Demain, nous aurons dormi et nous nous lèverons, le cœur battant, parce que c’est son rôle.

[...]

Extrait d'un texte qui s'appelle Envahissement par le vide.

Entre ce que nous voulons et ce qu'il advient, nous pouvons mesurer l'obsolescence de nos choix.

Nous sommes tous des poussières d'étoiles!

Entendu ainsi, nous ne mourrons jamais, poussières je suis né, poussières je retournerai.

Ce qu'il y avait avant ma conscience n'a strictement aucune importance pour moi, et il en va rigoureusement de même après sa perte, seul compte l'instant présent, seule réalité en connexion avec ma conscience, mon être.