Maintenant c'est Roumanoff qui est raciste

C'est pas faux, mais c'est une action théorisée. La théorie dit que la discrimination est à combattre car elle est mauvaise. On peut appeler ça "indiscriminationisme" si tu préfère.

Tu t'enfonce ! car partant de ce principe, toute action est théorisée : je mange parceque je pense qu'il est préférable de manger pour vivre.....Bienvenue dans l'idéologie de la bouffe !!!!!!!:smile2:

Et, quand bien même : peut tu me citer une bonne discrimination???

Je parie qu'on va avoir quelqu'un qui va arriver pour rappeler l'étymologie de discrimination, la sortir du sens dans lequel elle est utilisée, et répondre à ta question.

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Tu t'enfonce ! car partant de ce principe, toute action est théorisée : je mange parceque je pense qu'il est préférable de manger pour vivre.....Bienvenue dans l'idéologie de la bouffe !!!!!!!:smile2:

Non tu manges soit par habitude ou soit parce que tu as faim, tu ne manges pas "pour le bien de l'humanité".

Et, quand bien même : peut tu me citer une bonne discrimination???

La discrimination est la capacité à différencier une chose d'une autre en vue de les traiter différemment.

Lorsque je différencie une tasse à café de son contenu je pratique la discrimination.

L'endoctrinement commence au moment ou tu y accole une idée de bien et de mal, tu tord le sens du mot en lui ôtant sa neutralité intrinsèque. Et la discrimination devient un traitement inégalitaire sur la base de préjugés.

Tu veux une "bonne" discrimination ? Que dirais tu des catégories en sports de combat ? Des divisions en football ?

De la discrimination par entretien d'embauche ? De la capacité de reconnaitre une prise USB d'une HDMI ?

La discrimination n'est pas bonne ou mauvaise, pas plus que manger n'est "bien" ou "mal".

Je parie qu'on va avoir quelqu'un qui va arriver pour rappeler l'étymologie de discrimination, la sortir du sens dans lequel elle est utilisée, et répondre à ta question.

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C'est normal qu'on finisse par parler du fond du problème.

Alors c'est quoi le racisme ? Je pense qu'on va en arriver là, hein.

Je ne comprends pas l'intérêt de la question.

Est ce qu'il s'agit d'une interrogation écrite pour acter que j'ai compris les fondements de ce qu'est le racisme ?

Bon, laissons tomber Casdenor, tu n'es pas raciste c'est un fait, mais c'est plus que curieux et je dirai malsain dans ma perception la nature des échanges que tu orientes dès que quelqun aborde ce sujet avec toi.

Il sera toujours ignorant, manipulé, objet de schémas, raciste enfin il ne sera jamais normal, c'est dommage.

Tu penses que je n'ai aucun réflexe raciste, aucun schéma raciste encore actif dans ma psychée ?

Manqué.

Quand je dis "le racisme est omniprésent" c'est pas "le racisme est omniprésent chez vous bande de péons", c'est "le racisme est omniprésent et doit se déconstruire".

Et je n'ai pas l'orgueil de me proclamer déconstruit en la matière. Que ce soit niveau sexisme ou niveau racisme. Même en terme de psychophobie je ne suis pas déconstruit, alors...

Note: haha pour le coup, Vivolta qui tombe en plein dedans. C'est trop mignon à quel point ces gens sont prévisibles *_*

@Zenalpha: je ne t'amalgame pas avec Vivolta au cas où ça en donnerait l'impression, je te rassure.

Tu penses que je n'ai aucun réflexe raciste, aucun schéma raciste encore actif dans ma psychée ?

Manqué.

Tu en arrives à faire tes propres questions et tes propres réponses...

Ou à imaginer ce que je pense.

C'est terrible, vraiment, en toute amitié.

Tu penses que je n'ai aucun réflexe raciste, aucun schéma raciste encore actif dans ma psychée ?

Manqué.

Quand je dis "le racisme est omniprésent" c'est pas "le racisme est omniprésent chez vous bande de péons", c'est "le racisme est omniprésent et doit se déconstruire".

Et je n'ai pas l'orgueil de me proclamer déconstruit en la matière. Que ce soit niveau sexisme ou niveau racisme. Même en terme de psychophobie je ne suis pas déconstruit, alors...

Mon dieu.

Je réponds à la question dans le cas où ce soit ce que tu penses, si ça ne l'est pas, tu as toute latitude pour corriger :p

Non tu manges soit par habitude ou soit parce que tu as faim, tu ne manges pas "pour le bien de l'humanité".

La discrimination est la capacité à différencier une chose d'une autre en vue de les traiter différemment.

Lorsque je différencie une tasse à café de son contenu je pratique la discrimination.

L'endoctrinement commence au moment ou tu y accole une idée de bien et de mal, tu tord le sens du mot en lui ôtant sa neutralité intrinsèque. Et la discrimination devient un traitement inégalitaire sur la base de préjugés.

Tu veux une "bonne" discrimination ? Que dirais tu des catégories en sports de combat ? Des divisions en football ?

De la discrimination par entretien d'embauche ? De la capacité de reconnaitre une prise USB d'une HDMI ?

La discrimination n'est pas bonne ou mauvaise, pas plus que manger n'est "bien" ou "mal".

C'est normal qu'on finisse par parler du fond du problème.

j'observe que tu confonds pas mal de notions : d'abord discrimination et différenciation : la discrimination est une différenciation à laquelle s'ajoute une disctinction : je classifie en fonction d'un particularisme.

L’endoctrinement n'a rien à voir avec tout ça, et n'est pas forcément lié à la notion de morale (bien et mal).

En droit, la définition de la discrimination est basé, justement sur la notion de "restriction de droit" ; d'ou justement la différence avec le "classement" : Quand on classe, on sélectionne les gens en fonction de résultats à des concours, des évaluations, etc...

Quand on discrimine, on ne tiens pas compte de ce que "vaut " la personne, mais simplement de ce qu'elle est. Et ça, c'est condamnable de part la loi.

Tu as donc tord, car discriminer ne peut être mis sur le même rang qu'une action comme manger ou courir.

Ton raisonnement est faux.

Je réponds à la question dans le cas où ce soit ce que tu penses, si ça ne l'est pas, tu as toute latitude pour corriger :p

Ouf merci ^^

Oui je suis d'accord pour dire que des schémas racistes existent dans nos esprits et oui je suis d'accord pour dire que ça touche tout le monde à des degrés différents inconsciemment.

Non, je n'imagine pas ces schémas nocifs si on y prête attention et non tout ce qui se dit ne se rapporte pas à ces schémas.

Il ne s'agit pas non plus de les déconstruire si cela touche à gommer les différences où à être taxé de racisme inconscient chaque fois qu'un sujet est abordé.

C'est particulièrement le cas pour ce sketch ou tu forces l'application de ce schéma où il n'a rien à y faire.

Le sujet n'est pas de déconstruire des schémas de l'autre mais de construire des schémas de vie ensemble.

C'est une construction qu'il nous faut et pas des oppositions.

Pas lorsqu'elles ne sont pas nécessaires voire déplacées.

Tu penses que je n'ai aucun réflexe raciste, aucun schéma raciste encore actif dans ma psychée ?

Manqué.

Quand je dis "le racisme est omniprésent" c'est pas "le racisme est omniprésent chez vous bande de péons", c'est "le racisme est omniprésent et doit se déconstruire".

Et je n'ai pas l'orgueil de me proclamer déconstruit en la matière. Que ce soit niveau sexisme ou niveau racisme. Même en terme de psychophobie je ne suis pas déconstruit, alors...

Donc comme je le disais il y a bien ici un idéal idéologique à obtenir "l'homme déconstruit". La réforme de l'homme. L'homme nouveau. L'homme parfait. Dieu.

En l'occurrence Dieu est un homme qui s'abstient d'être et de percevoir. Dieu est le néant.

Note: haha pour le coup, Vivolta qui tombe en plein dedans. C'est trop mignon à quel point ces gens sont prévisibles *_*

Tu pensais que j'allais te prendre par surprise alors que le fond du problème est constant ? Mais on progresse, tu sais que c'est le fond du problème. Peut-être qu'un jour tu l'examinera.

@Zenalpha: je ne t'amalgame pas avec Vivolta au cas où ça en donnerait l'impression, je te rassure.

Tu amalgame tout le monde avec le raciste et le sexiste, y compris toi, tu viens de le dire.

Oui je suis d'accord pour dire que des schémas racistes existent dans nos esprits et oui je suis d'accord pour dire que ça touche tout le monde à des degrés différents inconsciemment.

Non, je n'imagine pas ces schémas nocifs si on y prête attention et non tout ce qui se dit ne se rapporte pas à ces schémas.

Il ne s'agit pas non plus de les déconstruire si cela touche à gommer les différences où à être taxé de racisme inconscient chaque fois qu'un sujet est abordé.

Si je résume, pour toi, les schémas racistes et les violences racistes sont deux choses qui ne sont pas liées ? Ce sont deux données différentes, sans rapport ?

Donc comme je le disais il y a bien ici un idéal idéologique à obtenir "l'homme déconstruit". La réforme de l'homme. L'homme nouveau. L'homme parfait. Dieu.

Mon dieu que d'emphase. Je préfère la simplicité. Combattre le racisme. Combattre le sexisme. Combattre les diverses formes de discriminations.

Tu pensais que j'allais te prendre par surprise alors que le fond du problème est constant ? Mais on progresse, tu sais que c'est le fond du problème. Peut-être qu'un jour tu l'examinera.

Ah, te concernant je n'en doute pas que c'est le fond du problème. Ce qui est inquiétant c'est que chez toi "le fond" se limite au fait d'ouvrir le dictionnaire et de prendre la définition étymologique d'un mot sans aucunement remarquer que le mot discrimination a une définition juridique désormais:

"La discrimination vise à défavoriser quelqu'un, en raison de certaines de ses caractéristiques ou de certains de ses choix personnels. La discrimination est illégale et sanctionnée. Les victimes de discrimination peuvent obtenir réparation du préjudice causé."

Pour être précis, la discrimination est, juridiquement, une distinction fondée sur

• l'origine géographique,
• l'appartenance ou non-appartenance, réelle ou supposée, à un ensemble de personnes défini comme ethnie ou comme race ,
• les caractéristiques génétiques,
• la religion, les convictions politiques ou activités syndicales,
• l'âge, le sexe ou l'identité sexuelle,
• la situation de famille, la grossesse ou la maternité,
• l'orientation sexuelle, les mœurs,
• le nom de famille,
• le lieu de résidence,
• l'apparence physique.

Donc bon, le "fond" du problème chez toi, c'est surtout que tu restes à la surface. Par malhonnêteté ou par lâcheté, je ne sais encore.

Tu amalgame tout le monde avec le raciste et le sexiste, y compris toi, tu viens de le dire.

Oh non, je n'amalgame pas tout le monde, c'est toi qui a créé des cases, qui refuse de les questionner et qui décide de comprimer les cases des autres ou les absences de cases dans tes propres cases.

Comme toujours, le "fond" du problème avec toi, c'est que tu ne t'occupes pas du fond.

j'observe que tu confonds pas mal de notions : d'abord discrimination et différenciation : la discrimination est une différenciation à laquelle s'ajoute une disctinction : je classifie en fonction d'un particularisme.

La discrimination est la différenciation en vue d'un traitement différent, je viens juste de l'écrire.

Dans ce sens je sais que je peux ingérer le café contenu dans ma tasse mais pas la tasse elle-même.

Il n'y a aucune confusion, c'est la définition du dictionnaire.

L’endoctrinement n'a rien à voir avec tout ça, et n'est pas forcément lié à la notion de morale (bien et mal).

OK, expliques ce qu'est l'endoctrinement.

En droit, la définition de la discrimination est basé, justement sur la notion de "restriction de droit" ; d'ou justement la différence avec le "classement" : Quand on classe, on sélectionne les gens en fonction de résultats à des concours, des évaluations, etc...

Mais en français non. C'est là le fondement du problème.

Je discrimine un homme d'une femme en vue de tout un tas de choses, savoir comme je m'adresse à elle, si je lui serre la main ou si je lui tiens la porte, si je le recrute pour un foot ou si je veux passer la nuit avec. Je ne fais pas de classement pour savoir qui j'ai envie d'embrasser. Et j'en ai parfaitement le droit, celui qui subit une restriction de droit ici, c'est moi, par le biais d'une ingérence permanente par tout le monde dans mes pensées pour savoir si elles sont licites ou pas.

Je n'ai pas à subir ton contrôle, ma conscience m'appartient elle n'est pas publique.

Quand on discrimine, on ne tiens pas compte de ce que "vaut " la personne, mais simplement de ce qu'elle est. Et ça, c'est condamnable de part la loi.

De quel droit tu juges ce que je pense ? Saint Office de la Doctrine de la Foi ? FBI ? Unité Pré-Crime ? Ministère de l'Amour ?

Tu as donc tord, car discriminer ne peut être mis sur le même rang qu'une action comme manger ou courir.

C'est vrai, manger ou courir sont des actes objectifs, eux.

J'ai mis ça dans mon profil, je le trouve tellement adapté à l'époque.

DES TARENTULES

Regarde, voici le repaire de la tarentule ! Veux-tu voir la tarentule ? Voici la toile qu’elle a tissée : touche-la, pour qu’elle se mette à s’agiter.

Elle vient sans se faire prier, la voici : sois la bienvenue, tarentule ! Le signe qui est sur ton dos est triangulaire et noir ; et je sais aussi ce qu’il y a dans ton âme.

Il y a de la vengeance dans ton âme : partout où tu mords il se forme une croûte noire ; c’est le poison de ta vengeance qui fait tourner l’âme !

C’est ainsi que je vous parle en parabole, vous qui faites tourner l’âme, prédicateurs de l’égalité ! vous êtes pour moi des tarentules avides de vengeances secrètes !

Mais je finirai par révéler vos cachettes : c’est pourquoi je vous ris au visage, avec mon rire de hauteurs !

C’est pourquoi je déchire votre toile pour que votre colère vous fasse sortir de votre caverne de mensonge, et que votre vengeance jaillisse derrière vos paroles de « justice ».

Car il faut que l’homme soit sauvé de la vengeance : ceci est pour moi le pont qui mène aux plus hauts espoirs. C’est un arc-en-ciel après de longs orages.

Cependant les tarentules veulent qu’il en soit autrement. « C’est précisément ce que nous appelons justice, quand le monde se remplit des orages de notre vengeance » — ainsi parlent entre elles les tarentules.

« Nous voulons exercer notre vengeance sur tous ceux qui ne sont pas à notre mesure et les couvrir de nos outrages » — c’est ce que jurent en leurs cœurs les tarentules.

Et encore : « Volonté d’égalité — c’est ainsi que nous nommerons dorénavant la vertu ; et nous voulons élever nos cris contre tout ce qui est puissant ! »

Prêtres de l’égalité, la tyrannique folie de votre impuissance réclame à grands cris l’« égalité » : votre plus secrète concupiscence de tyrans se cache derrière des paroles de vertu !

Vanité aigrie, jalousie contenue, peut-être est-ce la vanité et la jalousie de vos pères, c’est de vous que sortent ces flammes et ces folies de vengeance.

Ce que le père a tu, le fils le proclame ; et souvent j’ai trouvé révélé par le fils le secret du père.

Ils ressemblent aux enthousiastes ; pourtant ce n’est pas le cœur qui les enflamme, — mais la vengeance. Et s’ils deviennent froids et subtils, ce n’est pas l’esprit, mais l’envie, qui les rend froids et subtils.

Leur jalousie les conduit aussi sur le chemin des penseurs ; et ceci est le signe de leur jalousie — ils vont toujours trop loin : si bien que leur fatigue finit par s’endormir dans la neige.

Chacune de leurs plaintes a des accents de vengeance et chacune de leurs louanges à l’air de vouloir faire mal ; pouvoir s’ériger en juges leur apparaît comme le comble du bonheur.

Voici cependant le conseil que je vous donne, mes amis, méfiez-vous de tous ceux dont l’instinct de punir est puissant !

C’est une mauvaise engeance et une mauvaise race ; ils ont sur leur visage les traits du bourreau et du ratier.

Méfiez-vous de tous ceux qui parlent beaucoup de leur justice ! En vérité, ce n’est pas seulement le miel qui manque à leurs âmes.

Et s’ils s’appellent eux-mêmes « les bons et les justes », n’oubliez pas qu’il ne leur manque que la puissance pour être des pharisiens !

Mes amis, je ne veux pas que l’on me mêle à d’autres et que l’on me confonde avec eux.

Il en a qui prêchent ma doctrine de la vie : mais ce sont en même temps des prédicateurs de l’égalité et des tarentules.

Elles parlent en faveur de la vie, ces araignées venimeuses : quoiqu’elles soient accroupies dans leurs cavernes et détournées de la vie, car c’est ainsi qu’elles veulent faire mal.

Elles veulent faire mal à ceux qui ont maintenant la puissance : car c’est à ceux-là que la prédication de la mort est le plus familière.

S’il en était autrement, les tarentules enseigneraient autrement : car c’est elles qui autrefois surent le mieux calomnier le monde et allumer les bûchers.

C’est avec ces prédicateurs de l’égalité que je ne veux pas être mêlé et confondu. Car ainsi me parle la justice : « Les hommes ne sont pas égaux. »

Il ne faut pas non plus qu’ils le deviennent. Que serait donc mon amour du Surhumain si je parlais autrement ?

C’est sur mille ponts et sur mille chemins qu’ils doivent se hâter vers l’avenir, et il faudra mettre entre eux toujours plus de guerres et d’inégalités : c’est ainsi que me fait parler mon grand amour !

Il faut qu’ils deviennent des inventeurs de statues et de fantômes par leurs inimitiés, et, avec leurs statues et leurs fantômes, ils combattront entre eux le plus grand combat !

Bon et mauvais, riche et pauvre, haut et bas et tous les noms de valeurs : autant d’armes et de symboles cliquetants pour indiquer que la vie doit toujours à nouveau se surmonter elle-même !

La vie veut elle-même s’élever dans les hauteurs avec des piliers et des degrés : elle veut scruter les horizons lointains et regarder au delà des beautés bienheureuses, — c’est pourquoi il lui faut des hauteurs !

Et puisqu’il faut des hauteurs, il lui faut des degrés et de l’opposition à ces degrés, l’opposition de ceux qui s’élèvent ! La vie veut s’élever et, en s’élevant, elle veut se surmonter elle-même.

Et voyez donc, mes amis ! voici la caverne de la tarentule, c’est ici que s’élèvent les ruines d’un vieux temple, — regardez donc avec des yeux illuminés !

En vérité Celui qui assembla jadis ses pensées en un édifice de pierre, dressé vers les hauteurs, connaissait le secret de la vie, comme le plus sage d’entre tous !

Il faut que dans la beauté, il y ait encore de la lutte et de l’inégalité et une guerre de puissance et de suprématie, c’est ce qu’Il nous enseigne ici dans le symbole le plus lumineux.

Ici les voûtes et les arceaux se brisent divinement dans la lutte : la lumière et l’ombre se combattent en un divin effort. —

De même, avec notre certitude et notre beauté, soyons ennemis, nous aussi, mes amis ! Assemblons divinement nos efforts les uns contre les autres ! —

Malheur ! voilà que j’ai été moi-même mordu par la tarentule, ma vieille ennemie ! Avec sa certitude et sa beauté divine elle m’a mordu au doigt !

« Il faut que l’on punisse, il faut que justice soit faite — ainsi pense-t-elle : ce n’est pas en vain que tu chantes ici des hymnes en l’honneur de l’inimitié ! »

Oui, elle s’est vengée ! Malheur ! elle va me faire tourner l’âme avec de la vengeance !

Mais, afin que je ne me tourne point, mes amis, liez-moi fortement à cette colonne ! J’aime encore mieux être un stylite qu’un tourbillon de vengeance !

En vérité, Zarathoustra n’est pas un tourbillon et une trombe ; et s’il est danseur, ce n’est pas un danseur de tarentelle ! —

Bah étant donné que tu prêtes aux autres des paroles qu'ils n'ont pas eu, le terme "perception" ici, signifie ignorance, désolé. Personne n'a dit qu'elle fait du racisme, personne n'a dit qu'elle a fait exprès pour faire le buzz et personne n'a dit qu'elle a fait la promotion d'un schéma raciste, ça fait quand même beaucoup de "perception"

tu plaisantes ? tu as écris qu'elle avait fait un "sketch raciste" ! tu n'arrêtes pas de nous en mettre des tartines à chaque page de ce topic avec ton "schéma raciste", et maintenant tu viens dire la gueule enfarinée que "Personne n'a dit qu'elle fait du racisme" ???

Tu t'ennuies dans ta vie c'est ça ?

Je ne m'ennuie pas, j'utilise les mots selon leur sens, ce qui n'est pas ton cas, rappelons-le, puisque tu utilises "détendre l'atmosphère" à la place de "provoquer les autres"

Faire n'est pas perpétuer. Faire n'est pas "avoir en son sein" etc...

Faire est un verbe fourre-tout, sans aucun doute, mais il a quand même un sens.

Je ne m'ennuie pas, j'utilise les mots selon leur sens

En fait non, tu l'utilises selon ton sens personnel à toi que tu as décidé tout seul et c'est bien ça que tout le monde te reproche.

Si je résume, pour toi, les schémas racistes et les violences racistes sont deux choses qui ne sont pas liées ? Ce sont deux données différentes, sans rapport ?

Tu résumes mal.

Nous avons tous en nous une part d'a piori racistes a des degrés divers et nous avons aussi une part de violence en nous à des degrés divers.

Evidemment que les violences racistes ont a voir avec le racisme puisque ce sont des violences racistes...

C'est une belle lapalissade ton écrit....

De même qu'une violence sexuelle a a voir avec le sexe...

Nous voila avancés...

En ce cas je ne saisis pas. En quoi les schémas racistes ne sont pas nocifs ?

Parce qu'établir une différence entre deux choses n'implique pas que la chose numéro 1 veut détruire la chose numéro 2 ou l'inverse.