Aller au contenu

besoin d'avis sur mon roman


gegedu425

Messages recommandés

Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

Voila c'est fait ! J'ai enfin posté mon premier roman en ligne

J'ai besoin de vos appréciation et laisser une note sur 20 en commentaire

PS je tient aussi une rubrique conte philosophique

Light

Prologue

Comment pourrait-on décrire Light ? Les grands esprits qui s'y sont essayés ont dû confesser leur échec, la difficulté venant principalement de son extrême intelligence. Face à lui, les génies de la psychiatrie se sont trouvés plongés dans une infinie perplexité et beaucoup sont retournés dans leur hôpitaux à titre de patient cette fois ci.

‘’Vouloir percer son esprit est comme chercher, les yeux bandés, la sortie d'un labyrinthe dont il changerait constamment la configuration. ’’ déclara le docteur J. O Bard lors d'une interview donnée suite à un entretien avec Light.

Light est sans doute un de ces génies précoces, de ceux que l'on ne rencontre qu'une fois par siècle. Quant à savoir pourquoi il est tombé dans le monde criminel, une seule personne détient la réponse, et Light met un point d'honneur à ne jamais parler de lui-même. La meilleure façon de vous donner un aperçu du personnage consiste à vous lire la reconstitution de sa première grande entreprise criminelle.

C’était à l'aube du XXIème siècle ; Light était âgé de quinze ans à cette époque et il était à la recherche d'un défi...

Rapport de Brian Mis,

Chef de la section psychologique

Chapitre 1

Tout avait commencé il y a deux mois, Light était alors à la recherche d’un défi. Il venait de finir son dernier gros coup. Après avoir attaqué le système informatique d’une banque réputé, il avait envoyé Johnson leur vendre un système de sa conception qui en plus de protégeais des attaques in-formatique, permettait un discret détournement de 20 000 livres par mois, afin de ‘’financer ses occupation ‘’.Il c’était alors mis à faire des recherches pour s’occuper et était tombé sur des infor-mations troublantes. Depuis Light cherchait à LE trouver et avait enfin réussi récemment.

-J’espère qu’il ne sait pas encore d’une fausse piste Johnson, dit-il, sur un ton cassant. Surtout après ce qui c’est passé au Caire.

En effet ils s‘étaient en Égypte sur les indications d’un informateur de Johnson.

-Non Monsieur, je suis sur de mon homme cette fois. Nuyen a trop à perdre pour nous mentir.

Les passants auraient été stupéfait d’entendre le jamaïcain à la carrure d’athlète donner du ‘’mon-sieur ‘’ à ce pâle adolescent qui l’accompagnait. Mais la relation qui existait entre eux n’avait rien d’ordinaire ; ils n’étaient d’ailleurs pas des touristes ordinaires.

Ils s’assirent alors à la terrasse du café de la rue Ling, en regardent les enfants du quartier guetter les objets de valeurs qui n’étaient pas suffisamment surveillés. Light observé leurs doigts habiles fau-cher les portefeuilles des touristes. Il sourit en s’imaginant l’imprudent qui essaierait de le voler.

Un guide local s’approcha de leur table d’un pas rapide, une liasse papier à la main.

-Voulez vous visiter les merveilles de notre ville? dit-il en tendant un prospectus à Johnson.

Light poussa un profond soupir :

-Cessez votre comédie et asseyez-vous, ordonna Light, sèchement.

L’homme se tourna vers Johnson qui, après tout, était l’adulte.

-Mais voyons je ne suis qu’un simple guid…

-Vous portez des chaussures italiennes ainsi qu’une chemise de marque, la décoloration à votre poi-gnet et à vos doigts indique que vous portier des bagues et une montre jusque à récemment. De plus votre accent est bien trop bon pour un simple guide local. Vous êtes Nuyen Xuan, notre contact, et vous portez ce costume ridicule dans la simple intention de vérifier que nous ne sommes pas armés.

L'homme s'assit, époustouflé.

-Pour votre information je ne suis pas armé et Johnson,... hum…Vous préféreriez sûrement ignorer ce que transporte Johnson. Mais ne vous inquiétez pas Mr Xuan, dit Light. Il n’y aucune raison que des arme soit utilisé contre vous.

Nuyen ne sembla guère rassuré.

Non, continua Light, Johnson put vous tuez de cent manière différentes sans utilisé son artillerie. Mais une seule suffira amplement.

Nuyen était terrorisé maintenant. C’était souvent l’effet produit par Light .Un ado doté du cynisme d’une crapule.

-Maintenant que les présentations sont finies. Pouvez vous nous menez a ce que cherche.

-Oui, heu…bien sur. Je sais ou le trouvé.

Xuan se leva et Johnson lui saisit la nuque.

-Veuillez excuser cette mesure de précaution mais bon nombre des gens que je rencontre on ten-dance à me fuir après m’avoir parlé.

Xuan essuya la sueur perlant de son font. Il les guida alors à la bordure de la ville, où fleurissait lotissements de luxe et villas. Ils s’arrêtèrent finalement devant une sorte de résidence classique entourée d'un jardin à l'anglaise avec ses formes si caractéristiques. Nuyen prit son inspiration et dé-clara :

-C'est ici que vit l'homme que vous cherchez, il ne sort jamais et il y a en permanence 12 personnes dans la propriété: le cuisinier, le jardinier, la dame d'entretien, 8 gardes et le propriétaire.

-Bien, dit Light, Johnson, donnez lui l'argent.

Johnson s'approcha, prit le guide dans ses bras et tout en glissant l’enveloppe dans la poche de l'homme, il lui murmura à l'oreille:

-Si vous dites un seul mot sur cette affaire, je m'assurerai personnellement pour que se soit le dernier.

Le guide fila le long de la ruelle puis disparu dans la foule, il sentait le poids réconfortant de l’enveloppe pleine de billets dans sa poche, mais il aurait fallut bien plus pour le rassurer. Il ne savait pas ce que préparaient les deux hommes et préférait l'ignorer.

Bonne, lecture

Chapitre 2

Light se prépara a déclencher le plan «Sommeil». Il enclencha son oreillette

-Vous êtes prêt Johnson?

-Oui, tout est en place, Monsieur

-Très bien, déclenchez la Phase Une Johnson.''

Light attendit ensuite que la porte nord du parc s'ouvre sur deux gardiens en colère,

le temps qu'ils fassent le tour du parc, jusqu'au gamin qui venait de se mettre a taguer

le mur, les deux binômes gardant l’extérieur du bâtiment se retrouverais du même

coté du parc ce qui permettrais à Light de traverser le jardin et d'arriver à la porte

principale. En y arrivant, il escalada le mur jusque au première étage et s’accroupit

sur le balcon.

-R.A.S, Monsieur, lancement de la phase 2

Très bien, se dit Light, déjà 4 gardes derrière lui. Johnson et lui avaient étudié les

déplacements des gardes. Ils savaient donc qu'il n'y avait qu'un garde devant la

porte de la chambre de l'homme qu'ils cherchaient, un autre qui patrouillait continuellement

dans les étages et deux derniers dont faisaient partie le chef dans la salle de repos.

-Johnson, dit Light, déclenchez le téléphone.

-C'est fait, dans 30s entrée en phase 3.

Light avait fait dérober préalablement le téléphone du chef des gardes par un petit

voleur des rues et avait ensuite équiper le téléphone d'un micro. Il l'avait ensuite fait remettre au garde sans que celui ci ne soupçonne quelque chose.

Grâce au micro, il avait récupéré diverses phrases et à l'aide d'un logiciel de manipulation de pistes sonores, il avait procédé à un montage. Après avoir récupéré les paroles qui l’intéressaient en les redisposant dans le bonne ordre et égalisé les niveaux sonores pour donner à l’ensemble un ton plus naturel.

Aussi quand Lee Ping, qui était à ce moment là en train de patrouiller dans les étages, reçu sur sa radio un ordre de son supérieur lui demandant de faire un tour dans le hall, il ne suspecta rien de plus qu'un nouvelle excès de paranoïa de la part de son patron. Il descendit alors, en grommelant, les marches de l'escalier afin de se rendre au rez de chaussé.

-Monsieur, la voie est libre.

Quand ce message retentit dans son oreillette, Light crocheta la serrure de la porte

fenêtre et s'introduit dans le salon du première étage, d’après les plans qu'il avait récupéré, la chambre se trouvait juste au dessus.

-Je suis à l’intérieur, murmura light

-Allez-y Monsieur ''

Light se déplaça prudemment dans l'obscurité en prenant garde à ne pas heurter un des nombreux meubles qui ornaient la pièce. Il passa â l'étage supérieur et s’arrêta devant l'antichambre qui était ouverte. il pouvait voir le garde sur sa chaise, profitant d'un courant d'air passant par la fenêtre qui apportait une agréable fraicheur à la pièce. Il était en train de regarder un film sur un petit poste télé. L'écran était la seule source de lumière de la pièce et éclairait par le dessous une magnifique broderie située derrière le bureau du gardien.

-Je suis dans l'antichambre Johnson, plus qu'un seul obstacle et j'y serait.

-Dois-je supprimer l'obstacle Monsieur?

-Vos chances de réussite ?

-Environ 75% Monsieur, j'ai un arbre dans ma ligne de mire

-Il y a t'il un autre point de tir ?

-J'ai peur que ce soit le seul, Monsieur, dois-je éliminer la cible ?

-Non Johnson, je me suis trop impliqué pour échouer maintenant. Notre mission repose entièrement sur la discrétion. Je m'en occupe moi même .

-J'ai peur que ce ne soit pas une très bonne id..''

Light arracha son oreillette, il avait besoin de silence. Il n'avait pris aucune arme, car il savait qu'il ne pouvait se permettre de laisser un macchabé derrière lui. Non, il devait venir à bout de cette obstacle avec la discrétion dont il avait fait preuve jusque là. Light recula et disparu dans l'ombre du couloir.

Jian san -le garde devant la chambre du maitre des lieux-n'ententit tout d'abord pas le bruit provenant du couloir. Mais lorsque ceux-ci se firent plus insistants, il quitta l’état second dans lequel il s’était plongé. Il détestais ces longues nuits de garde qu'il trouvait inutiles. Comment un homme aurait il put arriver ici sans se faire remarquer par un de ses collègues et si quelqu'un y arrivait il ne pourrait certainement pas l'arrêter lui même. Mais ce qu'il détestait encore plus, c’était cette foutue conscience professionnel qui l'obligea à se lever et à faire le tour de l'étage pour vérifier qu'il n'y avait rien d’anormal. En revanche il n'alluma pas la lumière afin de pouvoir retourné le plus vite a sa sieste , aussi ne remarqua t'il pas l'ombre

qui se glissa dans son dos lorsqu'il sortit de l'antichambre. Pas plus qu'il ne remarqua le léger tremblement de la tapisserie lorsqu’il se rassit devant son bureau. Tout ce qu’il ressentit fut un pincement au niveau de la nuque puis Jian-San tomba dans un profond sommeil.

Light prit le pouls de l'homme afin de vérifier qu'il l'avait bien endormi. Oui, il mettrait au moins deux heures à émerger du sommeil dans lequel il l'avait plongé. Il se tourna vers la porte de la chambre qu'il déverrouilla. Il allait enfin LE rencontrer et allait pouvoir éclaircir quelques points avec lui. Il poussa la porte et pénétra dans la chambre brillamment éclairée.

.

Chapitre 3 : tête à tête (corrigé et revu )

-Je vous attendais.

Voilà ce qu'entendit Light en pénétrant dans cette riche chambre de grand luxe. Il y avait ici la patte d'un grand styliste, à n'en pas douter. La pièce devait mesurer plus de 80 mètres carrés et occuper la plus grande partie du dernier étage. Les murs étaient ornés de tableaux de grands peintres ou de copies de très bon goût, mais seules deux fenêtres de la pièce la rendaient un peu sombre, même en pleine journée. Le centre de la pièce était occupé par une longue table en acajou encombrée par ce qui ressemblait une maquette du Louvre et de nombreux bibelots. Un imposant lit a baldaquin était au fond de la pièce posée sur un tapis.

La seule chose qui détonait avec cette sublime pièce était son occupant. En effet, l'homme qui se tenait dans l'ombre de la porte et le scrutait silencieusement du regard avait le visage ravagé par une macabre cicatrice qui partait de sa joue droite et disparaissait dans le col de sa chemise, lui traversant le visage, ce qui donnait l'impression qu'il avait en permanence un horrible rictus. Il avait dû être beau, avec ses yeux d'un bleu profond et ses cheveux couleur de blé. De plus, l'homme avait une carrure d'athlète, non pas celle imposante de l'homme bourré aux amphétamines et adepte du culturisme, plutôt celle d'un triathlète.

-Je vous ai vu traverser la propriété, reprit l'homme, à travers ma fenêtre.

-Ah, bien, vous comprenez donc que je n'ai pas le temps de m'attarder car il reste...

Light jeta un coup d'œil rapide sa montre.

-Moins de vingt minutes avant le roulement des gardes. Vous aurez donc l'obligeance de répondre rapidement à mes questions.

-Et pourquoi je t'aiderai, gamin ? Demanda l'homme en sortant une radio de sa poche, je n'ai qu'à siffler et mes gardes viendront s'occuper de toi.

Light tressaillit imperceptiblement, il détestait les remarques sur son âge. Elle revenait toujours et les gens ne le prenait pas au sérieux pour cela ,riant de lui. La plupart d’entre eux ne rigolerai plus jamais.

-J'ai des bonnes raisons de croire que vous êtes Arsène Dimgus ou plutôt le Prince de la nuit, l'élite parmi les voleurs.

-Tu dégages !!!

Light marcha jusqu'à la fenêtre, regarda dehors un court instant, puis l'ouvrit, en chassant ses cheveux derrière son oreille et en marmonnant dans sa barbe. Oui, pensa-t-il, L'angle était suffisant. Il se retourna alors et reprit :

-Vous n'appellerez pas vos chiens de garde.

-Ah oui, tu peux toujours crev ...''

L'homme se tut alors et laissa tomber la radio par terre en sursautant. Elle venait d'être percée de part en part par une balle tirée de la maison dans face. Arsène eut juste le temps d'apercevoir une silhouette armée d'un fusil de précision derrière une fenêtre avant que celle-ci recule.

-Parfait Johnson, comme d'habitude, dit Light en pressant son oreillette. Vous avez bien fait de prendre un silencieux.

-Mais... Mais comment. ...

-Veuillez ne pas hurler Mister Dimgus sinon j'ai bien peur que votre tête ne finissent comme cette bonne vieille radio. Ce serait malheureux, n'est-ce pas ?

Les commissures des lèvres de Light se levèrent légèrement, ce n'était pas sa blague qui le faisait rire -il en faisait si peu - c'était de s'imaginer le tourment de cet homme, dont la vie était entre ses mains; les mains d'un ''gamin". Il adorait jouer avec la peur des gens, leurs pensées secrètes et faire en sorte qu'elles deviennent une arme dont il poignarderait sa victime. 'Savoir, c'est pouvoir'' Etait sa devise.

-''Je sais qu'il y a six ans, vous êtes rentré en possession de ... Disons quelque chose qui vous a permis des actions improbables. Que pouvez-vous me dire dessus ?

Arsène tomba à genoux et murmura :

-Je ne vois pas de quoi vous parlez

-Vous ne voyez pas de quoi je parle, s'énerva Light, alors comment étiez-vous à Paris le jeudi 28 septembre 2008 à exactement 15h45 et le même jeudi 28 septembre à Sydney à 16h. Et depuis impossible de mettre la main sur vous comme si vous vous étiez caché, a l'apogée de votre gloire. Alors comment ?!! Parlez!!

Arsène, c'était recroquevillé sur le sol en se tenant la tête et répétait inlassablement :

-Je ne sais plus, laissez-moi tranquille. Je ne sais plus, je ne me souviens plus.

Light se dirigea alors vers Arsène qui avait l'air de se tordre de douleur sur le sol. Il était dégoûté de voir la légende qu'était cet homme aussi minable devant la peur que la mort lui inspiré ; qu'il lui inspiré.

-Rassurez-vous Dimgus, je veux juste être sûr que vous ne savez rien. Ensuite, je vous laisserai en paix.

-Je vous jure, je ne sais plus rien.

Light avança alors vers l'homme sans que celui-ci le remarque. Il ne pouvait se permettre de garder en vie un homme qui n'avait rien à leur apprendre, une rapide torsion et c'était fini. Mais il retient son geste, quelque chose le titillait. Il se tourna brusquement vers Dimgus

-''Que voulais vous dire par ''Je ne sais plus'' ? Vous saviez, avant ?

-C'est flou, geignit Arséne en se relevant

-vous souvenez-vous de vos 10 ans ?

-Euh ...

-de votre premier vol de grande envergure ?

-À vrai dire, non, répondit Arsène qui semblait encore souffrir en cherchant ce souvenir dans sa mémoire. Light déclencha son oreillette :

-Johnson quel produit utiliseriez-vous pour supprimer la mémoire à long terme ?

Après quelques secondes de réflexion Johnson répondit :

- du Liechtensteinium

-C'était aussi mon premier choix. Caractéristiques ?

-Ce produit a l'avantage de n'avoir aucun effet secondaire à l'exception de provoquer de fortes migraines quand on essaye de se rappeler son passé et Dimgus a déclenché de puissantes céphalées, ça correspond. De plus si ma mémoire est exacte, se produit, est inodore, incolore et ses propriétés ne sont pas altérées par l'eau, extrêmement facile à administrer ; le drogué ne se rend compte de rien. On en trouve n'importe où, souvenir de la guerre froide. Je ne suis pas un expert en la matière, mais je ne vois pas ce qui aurait un tel effet à part le Liechtensteinium. Une bonne saleté de produit.

-Ces effets disparaissent-ils avec le temps ?

-Il retrouvera certainement des fragments de sa mémoire s'il arrête d'en prendre, mais j'ai peur que ce ne soit long et seulement partiel après une consommation aussi longue et il n'y a rien à faire pour lutter contre cette drogue..

-Reçu, Johnson

Light réfléchit et dit calmement à Arsène :

-Écoutez-moi, je vous propose un marché :

Vous faites en sorte de ne plus prendre ce que l'on vous apporte, ce qui vous permettra de

vous rappeler de certaines choses, et vous me communiqueraient tout ce dont vous vous souviendriez grâce à ce numéro sécurisé. Light lui tendit alors un bout de papier sur lequel il avait griffonné un numéro.

- Sinon il reste la deuxième option, plus facile plus reposante et tellement plus définitive. Si jamais vous essayer de me mentir, de me doubler, de me dénoncer, ou même que vous êtes trop long à vous rappeler ce qui m'intéresse, je me tournerais vers la deuxième option.

Light entendit alors Johnson dire :

-il faut sortir Monsieur, maintenant.

Lorsque qu'il se retourna pour partir Dimgus le retient

-Je ne sais même pas où vous trouvez

-C'est exact, mais rappelez-vous que moi, je sais, répondit Light une étincelle d'ironie dans la voix. J'attends votre appel au plus vite, sinon. ... Oh, je préfère vous en laisser la surprise''

Light se fondit alors dans l'ombre de l'antichambre. Dimgus vit encore briller son sourire dans l’obscurité pendant quelques secondes puis ,plus rien.

chapitre 5

Light était en train de s 'entraîné dans le dojo de la résidence Haxe qui comportait tout les équipement sportif possible poussant même le luxe a avoir sa propre piste de karting (bien qu'aucun membre de la famille n'en est jamais fait ) ,cela faisait plus d'une heure qu'il s’escrimait a touché Johnson, lequel afin de rendre le combat plus équitable c’était accrocher des poids au poignets et aux chevilles. Depuis que Johnson entrainé Light était couvert de bleu et de ce coté la aucune clémence n’était a attendre. Les mots que Johnson avait prononcé après l'avoir violemment frappé pour la première fois , en lui explosant l'arcade sourcilière, résonnait encore dans son esprits :

-vous croyez que la racaille qui sera en face de vous retiendra ces coups ,elle ? Quelle feras semblant ? Le but d'un entraînement est de vous préparez a un affrontement réel pas a une pièce de théâtre ou les acteurs se relèvent en saluant le public a la fin. Ce n'est pas un stupide jeu.

Cette phrase l'avait blessé, non pas a cause de la dureté du ton sur lequel elle avait était prononcé, mais c’était la première fois qu'un de ses employé s'en prenait physiquement ET verbalement a lui sans peur d'une quelconque représailles,car Johnson savait qu'il avait raison. Et en cela Johnson lui était précieux ,dépassant le cadre d'homme de main pour prendre la place de naiso (le conseillé de l'empereur sous la chine impérial seul homme a pouvoir le contredire ; cela dit les naisos avait une fâcheuse tendance a mourir prématurément).

C'est alors que Light senti une vive douleur au niveau de la cage thoracique ,la main de Johnson venait de lui effleurer les cotes avec la force d'un bulldozer. Light bondit alors en arrière ,fouettant l'air de son pied tendu en une fuite désespéré. Johnson se contenta de se jeter sur Light en encaissant le coups,grimacent légèrement sous l'impact ,et le percuta d'un puissant coût d’épaule ,l'envoyant valdinguer contre le mur du dojo.

Ainsi prit fin la séance d’entraînement. Sur une énième défaite du jeune homme,qui en sortait toujours a moitié mort mais aussi plus fort,plus implacable.

C'est en sortant de la salle d’entraînement que les pensé de Light lui revinrent en mémoire, l'entrainement ne les avait refoulé que jusque a ce qu'il prenne fin. Cela faisait deux mois qu'il attendais et hier ,enfin, Arsène l'avait appelé. Il lui avait parlé de tout ce dont il se souvenait ,mais ça mémoire était loin d’être revenu et il n'avait pus lui donner beaucoup d'information. En revanche il se souvenait préparé une sécurité au cas ou il soit tué,il y a 6 ans ,afin que ces efforts ne soit pas vain et qu'un autre reprenne son projet. Light ne voyait pas véritablement le but;pourquoi aidé un inconnue alors que l'on est mort ? Mais enfin, cela devait faire partie de cette vanité humaine et en l’occurrence cela servait ces plans. Le sourire de Light s'effondra lorsque Dimgus lui annonça la ou il avait caché cette sécurité .Dans une toile de grand maître disparu, depuis 6 ans .Les indications était dans ''L'or du voleur'' .Et Dimgus ne se souvenait plus de ce qu'il avait fait de cette toile.

Chapitre 6

Lorsque Mikaël Ivanovitch se réveilla il fut surpris. Non pas de se retrouvé dans une

cave,qui était en réalité les sous sol de la résidence Haxe ,plus précisément le coin

spéciale pour ''invité particulier'' de Light,ni d’être ligoté a une chaise. Non ,il fut

simplement surpris de se réveillé . Ses ennemis, tout comme ses ''amis'', n’était pas du

genre sadique ,il venait ,il liquidait et il partait, c’était aussi simple que cela.

C'est alors que Light apparu accompagné de Johnson ,sa silhouette élance se

découpant dans le rectangle de lumière derrière lui,il pris une chaise et s'assit face a

lui. Johnson toujours debout s’exclama alors :

- Mikaël ,quelle plaisir de vous revoir,cela faisait bien longtemps !

-Pas assez ,marmonna celui ci.

Light toussota alors afin d'attiré l'attention.

-quelle charmante retrouvailles, persillade-il. Quelle dommage que ce soit en de telle circonstance.

-Je ne croit pas avoir l'honneur de connaître ton boss ; dit le mafieux en se tournant

vers Johnson

-Je suis Light Haxe. Génie criminel,prince des voleurs ,grand patron des cartel

-je n’ai pas a écouté un enfant divaguer en flattant son ego !

-Un''enfant'',répéta lentement Light la voie vibrante de colère contenue. Je crois que

le dernier qui ma appelé ainsi la amèrement regretté. Il me semble d'ailleurs que

nous avons toujours sa tête dans le frigo, Johnson.

-c'est bien possible monsieur ,répondit Johnson calmement.

En réalité Light mentait...Il détestais ce genre de trophée. Il avait fait disparaître le

corps depuis bien longtemps .

-Mais passons,repris Light en poussant un soupir .J'ai crus comprendre que vous étiez

rentré en possession d'un certain tableau et voyais vous j'ai une grande attirance pour l’art , alors j'aimerais que vous me la donniez.(reformulé si possible)

Le mafieux partit alors d'un grand éclat de rire.

-c'est tout ? Pas de demande de rançon,de menace … Rien d'autre. Questionna

Mikaël Ivanovitch sur un ton plein d'ironie. Vous voulez juste que je vous donne le tableau le

plus recherché au monde,et donc le plus cher. Mais c'est avec plaisir que je vous

l’offrirai .Sauf que … Tu peux toujours crever gamin. Tu crois vraiment que je vais

tout te dire.

-Je m'y attendais .Johnson vous voulez bien ...enfin vous voyer. La liste de question est sur le bureau.

-vous partez, monsieur ?

-Les cris m'insupporte.

Mikaël Ivanovitch comprit alors et il pâlit subitement. Johnson était connu pour ses techniques de torture . ( rajouter ou reformuler )

-Vous savez ce que peux faire Johnson,repris Light ,alors pourquoi résistais. Vous

savez que vous allez parlé. Vous parlez,vous partez et je ne vous fait rien c'est aussi simple

que cela .

-E comment je peux être sur que tu me laisse ?

-J'ai bien conscience d'avoir des défauts,s’insurgea Light ,mais la trahison n'en fait pas parti .Que serions nous donc sans la confiance.

Ivanovitch se mit alors a parler répondant aux questions. Lorsque un brin de courage le reprenait et qu’il se montré ‘’moins coopératif'’ Johnson sortait une arme quelconque et se rapprochait de la chaise sur la quel était assis le parrain. Qui instantanément n’avait plus qu’un seul désir: celui de répondre.

Lorsque tout fus fini Light se leva et sortie. Ivanovitch lui dit(autre mot plus fort) alors:

-Et notre accord ,c’était du vent c’est ça. Tu n’as jamais eu l’intention de me relâcher ?

-Eh bien si,mais comment puis je te faire confiance après .tu vas vite filé alerté des chefs

-Non, jamais

-Je suis donc censé croire un homme qui a trahi ces amis sans même résisté. Je ne m’abaisserais pas à t’insultai ,en revanche je tiendrai parole :Je ne te ferais aucun mal.

Ivanovitch poussa alors un profond soupir de soulagement et repris espoir quelques instants. Light eu alors un petit sourire ironique,espiègle et presque carnassier puis il repris:

-J’ai en revanche crue comprendre qu’entre vous et Johnson il y est eu... quelques contentieux et je me suis dit qu’il fallait que vous régliez ça, tranquillement. Je vous laisse j’ai quelque affaire d’importance.

Et Light sortit alors de la pièce en s’engouffrant dans la cage d’ascenseur qui remonta,sans un bruit. Johnson s’approcha alors du mafieux se pencha vers lui et lui murmura:

-Je n’ai rien oublié...

Ivanovitch poussa alors un long hurlement d’effroi. Il fallu bien longtemps avant que l’obscurité l’emporte ,enfin

Chapitre 7

La voiture s'arrêta doucement, sans un bruit. Ces phares perçaient l'obscurité, éclairent les arbres aux alentours, leurs donnant un aspect plus sinistre, ainsi qu'une petite portion du chemin forestier qui avait permis à Johnson de venir jusque ici. Il descendit et passa a l''arrière. Il sortit alors les 2 sacs de sports qui s'y trouvaient et commença a s'enfonçait dans les sous-bois en silence, telle une ombre.

La pluie se mit a tomber, mais Johnson continua comme si de rien n'étais. Au bout d'une heure, il s'arrêta et ouvrit le premier sac. Il en sortit la pelle qu'il y avait mise avant de partir de la résistance Haxe. Le manche était un peu taché de sang, mais ce n'était pas grave. Il se mit alors à creuser et rapidement, il obtient une fosse assez profonde, c'est qu'il commençait à avoir l'habitude. Il jeta alors le premier sac dans le trou, se pencha pris le deuxième et le jeta. En tombant la fermeture lâcha et quelque chose glissa du sac. Il était assez dur de discerner ce que c'était dans l'obscurité, mais il pencha pour la tête de Mikaël Ivanovitch. Son ancien patron se rappela-t-il en plongeant dans ces souvenirs.

Il était né à Kingston, la capitale de Jamaïque. Sa mère était morte quand il avait 5 ans, elle avait pris une balle perdue durant un affrontement entre deux bandes locales et était morte sur le coup. Il avait étais alors emmené dans un bidonville et on l'avait confié à son père celui-ci lui avait clairement fait comprendre qu'il lui faudrait payer son séjour ici pour que tout ce passe bien . Ces comme ça que Johnson se retrouva à 5 ans dans la rue a mendier -''Johnson'' n'était évidemment pas son vrai nom mais c'est celui qu'il c'était choisi bien des années plus tard pour rentré dans diverse ' organisation''. Bref, lorsque il était rentré le premier soir dans la cabane qui lui servait de maison avec 3 dollars américains son père l'avait passé à tabac en lui hurlant dessus. Lorsqu'il en eut fini, il regarda le visage tuméfié de Johnson est lui dit :

''Au moins comme ça, tu pourras sûrement me servir à quelque chose.''

Et les choses avaient continué ainsi, lui allant mendié et son père en train de boire dans un bistrot du coin ou de se faire plumer dans les maisons de jeu qui étaient aussi nombreuses que les âmes désespérées qui peuplaient le bidonville. Il n'était pas rare qu'il doive écumer les bars du coin afin de le retrouver et le porter jusque a sa chambre. Mais par la suite, les choses, c'était aggravé, son père avait accumulé de nombreuses dettes et buvais de plus en plus et, par voie de conséquence lui réclamait de ramener de plus en plus d'argent. Bientôt mendier ne suffit plus. Il se mit donc à voler les touristes avec un complice, l'un détournait l'attention pendant que l'autre faisait les poches du visiteur.

Un jour en rentrant dans sa chambre - 4 murs rongés par la moisissure et l'humidité avec un matelas jeté sur un sol en terre battu - il eut la surprise de voir un homme dissimulé par les ombres dans un coin de la pièce. Johnson avait alors saisi une bouteille que sont ivrogne de père avait laissé trainer et c'était rapproché prudemment de l'homme.

- Je me fous de savoir qui vous êtes, rugit-il ! Sortez !!

L'homme ne bougea pas

-Dégagé, continua-t-il

-Mon boss a repéré tes agissements. Il sait que t'es plutôt doué et il s'est dit que tu voulais peut-être ...hum ... Prendre une place qui vient de se libérer. Mon boss a quelque contact et il a cru comprendre que ton père devais un paquet a ses amis. Alors voilà ce qu'on te propose :tu bosse pour nous et il efface l'ardoise de ton père. Et puis si le boss t'aime bien, tu pourrais prendre du gallon.

Est, c'est ce qu'il se passa ; très vite, il rentra dans les bonnes grâce du boss et il fut intégré à son cercle rapproché. Il était devenu son bras armé au sein de l'organisation, le débarrassant de toute personne ''gênante'' . Le boss l'envoya alors à C.O.B.R.A,(COrporation pour Braquage, Racket et Assassinat) l'école des assassins et autres mafieux de haute volée d'où il eut la chance de sortir deux ans plus tard. L'école ne prenait qu'après une sélection très rude et malgré cela seul un élevé sur dix sortait en ayant officiellement réussi l'épreuve final, rejoignant ainsi les plus grands, les autres repartaient d'où il venait, toutefois l'épreuve final était si dure qu'il était bien rare qu'il y ait des ''autres'' . Le seul endroit qui s'enrichissait en pensionnaire sur l'ile où c'était installé C.O.B.R.A, c'était le cimetière. Il en revint avec le petit serpent d'argent tatoué sur l'épaule, reconnaissant ces capacités, et il ne tarda pas a brillez par ces exploits. Le Boss fut alors assailli de contrat. Il voyait la réussite de Johnson comme son œuvre personnel et il aimait lui dire :

''Il y a les moutons et les loups en ce bas monde. J'ai fait de toi un aigle ''

Et on ne paye pas un aigle pour tué un mouton.

C'est exactement ce que Johnson pensa avant de lui tirer une balle dans le cœur. On lui avait proposé plus, il avait accepté et il était parti en Russie rejoindre son nouveau patron ...Mikaël Ivanovitch. Pour Johnson, il fallait trouvé le pouvoir ; et l'argent en était la forme la plus simple, la plus palpable ; tout était aussi simple que cela. Il avait quitté Mikaël pour une broutille, quelques millions détournés sur un contrat, qui s'était fini par une lutte entre le second de Mikaël et lui. Un homme excellent et un assassin de premier ordre, se rappela Johnson, juste un peu moins bon que lui, c'est pour ça qu'il l'avait juste un peu tué. Il avait ensuite erré d'organisation en organisation avant de trouvez Light, quelqu'un qui, comme lui, était à la recherche du pouvoir, bien que Light avait une petite excuse humaine derrière laquelle se justifier. De plus, Light possédait une vision claire des choses(et des gens) qui étaient soit des obstacles soit des alliés(pas vraiment des alliés, plutôt des gens dont les intérêts concordaient) et les obstacles n'avaient qu'un seul destin : se faire supprimer.

Il jeta une dernière pelletée de terre, remit la veste de son costume et repartit en courant, pestant contre la pluie qui s'abattait de plus en plus fort.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 47ans Posté(e)
g_pu_rien Membre 5 344 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

À part la modification de la mise en page et la correction de certaine fautes, il en reste encore beaucoup trop. Notamment dans la concordance des temps, de faute de conjugaison et de grammaire.

* Le tiret pour le dialogue n'est pas celui du 6, le code c'est alt+0151.

* Dans un récit, les nombre sont généralement écrit en toute lettre.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Je n'ai pas le temps de lire tout pour l'instant mais rien que dans le prologue, il y a pas mal de fautes d'orthographe et surtout de syntaxe, de concordance des temps, des répétitions, des oublis. Je me permets de reprendre des choses :

Comment pourrait-on décrire Light ? Les grands esprits qui s'y sont essayés ont dû confesser leur échec, la difficulté venant principalement de (son)l’extrême intelligence de Light. Face à lui, les génies de la psychiatrie ont (se sont trouvés) plongés dans une infinie perplexité et beaucoup sont retournés dans leur hôpitaux à titre (, cette fois,) de patient cette fois ci.

’C’est comme chercher la sortie d'un labyrinthe dont Light changerait constamment la place des murs, les yeux bandés ’’ (syntaxe) déclare le docteur J. O Bard lors d'une interview donnée suite à un entretien avec Light.

Light est sans doute un de ces génies précoces, (de) ceux que l'on ne rencontre qu'une fois par siècle. Quant à savoir pourquoi il est tombé dans le monde criminel, une seule personne détient cette (la) réponse, mais il (Light) met un point d'honneur à ne jamais parler de lui-même. La meilleure façon de vous donner un aperçu du personnage consiste à vous lire la reconstitution de sa première grande entreprise criminelle.

C’était à l'aube du XXI (ème) siècle ; Light était âgé de 15 ans à cette époque et il était à la recherche d'un

défi...

Rapport de Brian Mis,

Chef de la section psychologique

Les génies se sont trouvés plongés = ils subissent. ont plongé = ils plongent activement et consciemment dans "la perplexité ", perplexité qui serait un objet (le personnage de Light) alors que ce n'est qu'un effet de leur confrontation avec cet esprit brillant. Le choix des verbes est capital !

Il y a une phrase dont je n'ai pas pu décider si c'était un suspense ou une maladresse :

Quant à savoir pourquoi il est tombé dans le monde criminel, une seule personne détient cette (la) réponse, mais il (Light) met un point d'honneur à ne jamais parler de lui-même.

Cette personne, c'est quelqu'un d'autre ou c'est Light lui-même ? Auquel cas, proposition :

Quant à savoir pourquoi il est tombé dans le crime, lui seul détient la réponse. Et Light met un point d'honneur à ne jamais parler de lui-même. (je préfère "Et " à "Mais" parce que ça donne l'impression que c'est Light qui mène clairement le jeu. Lui seul le sait "et en plus" il refuse d'en parler.)

Cette phrase est assez laborieuse :

’C’est comme chercher la sortie d'un labyrinthe dont Light changerait constamment la place des murs, les yeux bandés ’’

L'emploi de "dont " n'est pas judicieux avec "la place des murs ". Trop de répétition des possessifs directs et induits =, chevauchement = confusion possible (même si on comprend). "

Les yeux bandés", placé à la fin, on peut penser que ça se réfère à Light mais logiquement également à la personne qui cherche la sortie.

En plus, on peut estimer que le Docteur J.O. Bard est une sommité et s'exprime bien, avec peut-être même une austérité technique précise et concise.

De plus, on ne sait pas très bien à quoi la phrase fait référence. Faire une description de Light ? Explorer sa psyché ou ses raisonnements ? Un rappel ne serait pas de trop.

Proposition : Vouloir percer son esprit est comme chercher, les yeux bandés, la sortie d'un labyrinthe dont il changerait constamment la configuration.

Je ne sais pas sur quels temps est ton roman mais peu importe car le docteur J.O. Bard déclara cette phrase. Ou l'a déclarée. Ou même aurait déclaré. Il ne peut pas la dire au présent alors que c'est une interview relatée, donc déjà dite...Après, sur le temps, il faut faire un choix et s'y tenir. Petite fiche pratique et Wikipedia.

J'espère ne pas paraître trop dur ou prétentieux. Ecrire est un exercice exigeant, même en ne cherchant pas le style mais juste à raconter. La plupart des codes en place sur la forme du récit sont valables et évitent pas mal d'écueils. Ce ne sont pas que des conventions mais des conventions logiques et partagées.

A plus ! :bo:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 3 semaines après...
Membre, 55ans Posté(e)
fidel castor Membre 3 358 messages
Mentor‚ 55ans‚
Posté(e)

c'est bien que tu fais des up car sinon j'aurais pas vu ton fil (je gere mes messages et les messages d'actu que je vois car je passe souvent sur le forum)

je suis pas écrivain mais conteur (mes connaissance sont sur l'oral pas sur l'ecris)

si possible il vaut mieux écrire au présent car cela immerge plus le lecteur (ou l'auditeur)

il est important aussi de varier le rythme de tes propos (une succession de verbe accélère le rythme une description la ralenti...c'est intéressant dans ce domaine de s’inspirer des effets du cinéma style des zooms ou une description panoramique des ellipses etc)

je te conseil aussi une accroche par paragraphe...c'est a dire une phrase choc que tu vas développer dans ton paragraphe ou des figures de style des jeux de mots etc pour réveiller régulièrement l'attention de ton lecteur

il y a aussi des style de roman style le polar joue sur le cynisme par exemple

tu as aussi et cela est très bien un style court...être clair et concis c'est très bien après les descriptions plus complète doivent être la pour accentuer la base

voila des bases ...la j'ai pas le temps de continuer je dois partir mais je lirais plus en détail et te donnerai mon avis plus tard

tu ose écrire et ça c'est tout bon

tes erreurs ne sont que des étapes vers ton style et plus tu écriras et auras de retour plus tu t’amélioreras...continue a oser....c'est en forgeant que l'on deviens forgeron et a ton age tu peux très vite devenir un très bon...

bon continuation et bon courage

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines après...
Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

enfin le nouveau chapitre tant attendu

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines après...
Membre, 55ans Posté(e)
fidel castor Membre 3 358 messages
Mentor‚ 55ans‚
Posté(e)

bon j'ai lu tes trois chapitres

le heros est fort jeune intelligent et j'en passe...c'est pas genial du moins c'est du vu et revu...les polar utilise un mode cynique justement pour apporter une touche au roman et qu'importe l'enquete c'est la vision du monde du policier qui est le plus important...

au niveau du heros c'est sa personnalité qui a mon avis compte pas ces actes...il doit nous "parler" faire echo a nos perceptions nous faire rire ou reflechir sourire ou nous emerveiller....

au niveau histoire c'est sympa l'intrusion et le dialogue avec le "boss" mais cela manque de style...jason bourne par exemple a sa personnalité car il utilise des objet commun de façon original en opposition avec james bond qui utilise des gadget ultra sophistiquer...

il y a un couple de français qui ont un super style ils s'appelle "g e ranne" ou ange...ils font aussi dans la bd

ici leur lien

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ange_%28auteur%29

c'est bourré d'humour et super sympa a lire

si tu peux te procurer certain de leur livre au dela que tu decouvrira leur univers tres riche tu verra leur façon d'ecrire et cela devrais t'inspirer de sur

(tape le titre d'un de leur livre avec un peu de chance tu tombera sur une version pdf gratuite)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

merci d'avoir eu le courage de lire 3 chapitres. Pour mon héros je sais que j'ai pris un personnage bateau mais je trouvais ça plus facil pour commencé. Par contre mon livre ne porte pas du tout sur le pint de vue policier, Light va vite devenir un héros malfaisant. Je ne sais pas trop si je peux le faire parler au lecteur, ça detruirait le coté mystereux;je pense donc éviter de nous révéler toute ses pensés.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines après...
Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

voila le chapitre 5 et 6. Je sais que le 5 est trop court et mal ficelé mais je n'ais pas réussi a faire mieux comme transitions.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
lucianyse Membre 602 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

c'est correct , bien écrit ! :bo:

Bonne continuation, et fait nous découvrir d'autre merveille .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

au cas ou quelqu'un cherche le chapitre 4 il n'existe pas c'est juste une erreur de notations

merci a lucianyse et a g_pu_rien ; ça fait toujours plaisir d'avoir des commentaire (rêve de fantaisie ma entez particulièrement utile)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

voila encore un nouveau chapitre qui cette fois nous dévoile le passé de Johnson.

Je ne suis pas sur d'être très doué pour créé un passé a mes personnages mais je ne peut que m'améliorer.

Bonne lecture

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 7 mois après...
Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

up

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 5 semaines après...
Membre, Posté(e)
JeSuisPaix Membre 54 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne comprends pas...

J'ai lu Artemis Fowl et...hum... Le premier chapitre...

Je n'ose en dire plus...

Vous pouvez vous inspirer d'œuvres existantes, mais pas les recopier...

Vous seriez-vous...trompé, à un moment, confondant un texte avec un autre ?

Je sais : votre objectif est de partir du début d'un livre existant pour l'amener ailleurs ! J'ai bon ?

(j'édite ce message au fur et à mesure, en descendant).

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 28ans Posté(e)
gegedu425 Membre 62 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

Vous êtes dans le vrai. Le but était aussi d'attirer quelque lecteur grâce a un début de qualité pour qu'il lisent la suite et me disent ce qu'ils en pensent.

Je sais qu'il aurait fallu écrire le début par moi même mais ce texte est l'œuvre d'un débutant qui a cru que lire permettait d'écrire.

J'ai malheureusement plus de talents pour les contes philosophiques que pour les romans.

merci d'avoir pris le temps d'écrire.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×