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Référendum en Suisse... contre nous!

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Yoannbzh

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Mettre en place des contre mesures commerciales et éonomiques pour mettre de la pression, faire du mal économiquement clairement, sur un pays (comme la Suisse, on ne parle pas non plus du Kosovo) parce qu'une décision démocratique ne nous plait pas, c'est de l'impérialisme. La Russie qui modifie les prix de son gaz comme une menace en fonction des décisions politiques Ukrainiennes, c'est la même chose. Ou alors faudra m'explique la différence. On va voir si l'Europe déroge à sa tradition.

La Suisse, elle, se place dans une posture d'indépendance et d'une certaine forme d'isolationnisme, ou plutôt d'indépendance. Ça n'a rien avoir avec une quelconque forme d'impérialisme.

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
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Les seules mesures économiques impactées directement seront les projets Interreg : et se sera de la prime responsabilité suisse.

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
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La Suisse (Les Suisses) Auront un Jour « Besoin » de l’UE ....................A L’image de ce qui se Passe en Grande Bretagne David Cameron et son Peuple cri au Secours en ce moment que Rependront-ils lors du Referendum prévu d’ici 2017 ?

PS ; je suis moi-même Contre cette Europe « d’état Fédéralisé », mais plus pour une Europe des « Etats Nations Confederalisés»

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Les seules mesures économiques impactées directement seront les projets Interreg : et se sera de la prime responsabilité suisse.

Peut être, il est trop tôt pour le dire. Et encore que, encore une fois, le fait d'avoir dit non a une immigration massive laisse une grande interprétation quand à l'adaptation concrète du referendum : Cela signifie seulement que les flux des travailleurs seront régulés en fonction des besoins suisses.

Le vote suisse pose des "problèmes considérables", a indiqué lundi le porte-parole de la chancelière allemande, Angela Merkel. "Les relations étroites qui lient la Suisse à l'Union européenne apportent des deux côtés aux populations de grands avantages, et la liberté de circulation est au coeur de ces liens étroits", a-t-il ajouté. Le ministre suisse des Affaires étrangères, Didier Burkhalter, qui est aussi président en exercice de la Confédération, se rendra à Berlin le 18 février pour rencontrer la chancelière. De son côté, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, estime que le vote suisse est une mauvaise nouvelle pour l'Europe. L'UE, a-t-il ajouté, va devoir réviser ses relations avec la Suisse

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Les "besoins suisses" est une formule on ne peut plus subjective. Tout le monde a à l'esprit le terme "immigration", ici dans une position péjorative. Quant aux besoins, et tu as toi même d'abord et avant tout mis la focale dessus, ils ne sont pas qu'économiques comme j'ai pris soin de l'expliquer plus haut. Ce vote ne rend pas les choses impossibles, cela n'est pas mon propos, mais bien plus compliquées : d'où les inquiétudes tout à fait légitimes... Le programme Interreg a été, dans ses quatre phases, une vraie réussite : il faut bien le reconnaître objectivement. Et dans les débats sous-jacents, c'est bien, parmi d'autres, cette expérience de collaboration qui se trouve remise en cause et qui soulève des protestations.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

D'un autre coté, il serait difficile de nier l’emballement irrationnel de ceux qui y voient un terme résolument positif dés qu'on fait mine de discuter de son encadrement, et son impact...Je crois qu'on dramatise de beaucoup les question d'immigration, et que ce referendum fait réagir particulièrement dans nos contrées où on le sait, l'opinion est particulièrement sensible sur le sujet qui fait clivage idéologiquement.

Je ne commenterai pas l'économie suisse et ses projets en lien avec l'UE car je n'en sais tout simplement pas assez là dessus, mais la démocratie Suisse est très probablement une des plus stables, raisonnables, respectueuses des libertés de chacun de l'Europe occidentale, voire du monde. Le fait est qu'elle a une tradition de farouche indépendance, voire d'isolationnisme politique et je crois que c'est surtout cela qui s'exprime dans ce vote, et que c'est surtout cela qui est mal accepté dans les réactions politiques européennes :

Dans les faits, je vais pas me répéter, mais les conditions d’application de cette limitation de l'immigration massive", c'est à dire la libre circulation des personnes peut se faire avec un million de Nuance, et je ne pense pas les Suisses assez bêtes pour renoncer à des accords et projets si tel n'était pas de leur intérêt, mais bon, wait and see les champs d'applications, et surtout, les potentielles mesures de rétorsion de l'UE.

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

La Suisse, Les Suisses sont en effet des Indépendantistes oui mais des « Indépendantistes » Opportunistes qu’ils n’expriment que lorsque les Choses doivent être a leurs Seules Avantages....................Mercantilisme Oblige

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Membre, Posté(e)
caloli Membre 2 221 messages
Baby Forumeur‚
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Mettre en place des contre mesures commerciales et éonomiques pour mettre de la pression, faire du mal économiquement clairement, sur un pays (comme la Suisse, on ne parle pas non plus du Kosovo) parce qu'une décision démocratique ne nous plait pas, c'est de l'impérialisme. La Russie qui modifie les prix de son gaz comme une menace en fonction des décisions politiques Ukrainiennes, c'est la même chose. Ou alors faudra m'explique la différence. On va voir si l'Europe déroge à sa tradition.

La Suisse, elle, se place dans une posture d'indépendance et d'une certaine forme d'isolationnisme, ou plutôt d'indépendance. Ça n'a rien avoir avec une quelconque forme d'impérialisme.

En 1999, 7 accords bilatéraux ont été conclus entre la Suisse et l'UE, dont celui de libre circulation.

La remise en cause d'un seul de ces accords rend la totalité des accords caduques.

Supprimer la libre circulation, c'est mettre fin à tous les accords.

Ce n'est pas de l'impérialisme, c'est juste le traité qui est ainsi.

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Membre, 42ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 42ans‚
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Mais les traités peuvent être supprimés ou même comme le fait, la France, ne pas en tenir compte.

Elle n'est pas dans la Zone Euro et l'UE.

Bruxelles peut fermer sa grande gueule de vouloir tout contrôler même le monde.

Libre circulation ne veut pas dire accepter n'importe qui entrer sans avoir les moyens de les accueillir.

Mais c'est aussi que tous les marchandises passent sans problèmes (ah bin merde ce n'est pas le cas, il y a aussi des quotas, des vérifications,...).

Un quota est le plus évident dans n'importe quel pays.

Hé oui

Les Suisses veulent bien de ce qui les arrange mais se foutent bien des autres

Hé oui

Les français veulent bien de ce qui les arrange mais se foutent bien des autres.

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
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ah je n'ai jamais dit le contraire non plus ;)

Le fait est que la Suisse n'a pas vraiment l'image ou la tradition d'une terre d'accueil, ce pays n'a jamais vraiment été un modèle de générosté

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Mais les traités peuvent être supprimés ou même comme le fait, la France, ne pas en tenir compte.

Troll.

Elle n'est pas dans la Zone Euro et l'UE.

Bruxelles peut fermer sa grande gueule de vouloir tout contrôler même le monde.

Au-delà du troll et de la vulgarité, êtes-vous capable de comprendre ce qui signifie "accord bilatéral" ? Cela ne m'a pas l'air compliqué, pourtant.

Libre circulation ne veut pas dire accepter n'importe qui entrer sans avoir les moyens de les accueillir.

Certes, mais la Suisse a les moyens. Et le problème se pose sur les projets et contrats déjà en cour... Vous-même, vous cherchez bien du travail dans un autre pays :hehe:

Mais c'est aussi que tous les marchandises passent sans problèmes (ah bin merde ce n'est pas le cas, il y a aussi des quotas, des vérifications,...).

Mais vous n'êtes pas une marchandise inerte : si ? Quota : ce mot est vraiment sans aucun sens politique sinon purement consumériste. "Conditions" m'apparaît déjà dans une démarche plus citoyenne qui ne réduit pas l'individu à un statut de kleenex économique avec lequel on se mouche quand on en a besoin, et qu'on jette une fois inutile.

Et encore une fois, réduire le sujet à la seule immigration et l'économie, n'est que trop réducteur : pourtant ce n'est pas faute d'avoir fait un exposé plus haut. Vous devriez au moins le lire...

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Membre, Posté(e)
vesto Membre 1 578 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Rétorsion..! contre les suisses qui refusent d'être des petits toutous que l'on tient en laisse à l'image de beaucoup de peuples…? Ce que beaucoup de rétorsionnistes oublient de voir ,c'est que si on fait cela, la suisse à les moyens de riposter . Songer que des dizaines de milliers de Français vont tous les jours travailler dans la confédération. Si ces personnes subitement s'inscrivent au chômage en France et ne paient plus d'impôts cela vas faire des dégâts..En plus ,s'il décident de publier la liste de ceux qui ont un compte en banque dans leur pays les tensions vont augmenter ….

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Membre, Posté(e)
caloli Membre 2 221 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Troll.

Au-delà du troll et de la vulgarité, êtes-vous capable de comprendre ce qui signifie "accord bilatéral" ? Cela ne m'a pas l'air compliqué, pourtant.

Certes, mais la Suisse a les moyens. Et le problème se pose sur les projets et contrats déjà en cour... Vous-même, vous cherchez bien du travail dans un autre pays :hehe:

Mais vous n'êtes pas une marchandise inerte : si ? Quota : ce mot est vraiment sans aucun sens politique sinon purement consumériste. "Conditions" m'apparaît déjà dans une démarche plus citoyenne qui ne réduit pas l'individu à un statut de kleenex économique avec lequel on se mouche quand on en a besoin, et qu'on jette une fois inutile.

Et encore une fois, réduire le sujet à la seule immigration et l'économie, n'est que trop réducteur : pourtant ce n'est pas faute d'avoir fait un exposé plus haut. Vous devriez au moins le lire...

Ils sont dans un positionnement de principe. Ils vont pas s'amuser à lire ce qui est écrit, et essayer de comprendre comment est la Suisse au delà des clichés

Modifié par caloli
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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)
Libération ne s’est pas trompé en parlant de virus suisse. L’épidémie risque, ces prochaines années, de surprendre et de bousculer de nombreux gouvernements parmi nos voisins européens. La maison Bruxelles se fragilise un peu plus chaque jour tandis que l’aspiration souverainiste, un peu partout, se fait jour et tente de s’exprimer, dans les urnes lorsque c’est possible, sinon dans la rue. Comme le disait Victor Hugo, il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue, et cette idée-là pourrait bien être celle de la démocratie directe. Nous nous apercevrons peut-être alors qu’il ne s’agissait pas d’un virus mais bien d’un antidote.

Lorsqu’on lui montre la lune, l’imbécile regarde le doigt, dit l’adage populaire. Je dois faire partie de la catégorie des imbéciles parce que quand on me montre le problème migratoire tel qu’il a été mis en lumière par le scrutin du 9 février dernier, j’ai tendance à regarder la démocratie directe qui a permis de le désigner. Cette dernière, pourtant, ne semble pas peser bien lourd dans les considérations dont la presse nous abreuve depuis quelques jours, considérations marquées très majoritairement par le dépit, à l’image d’un milieu – les médias, l’intelligentsia, la classe politique – massivement opposé à cette initiative. « L’aveuglement anti-européen qui domine le pays l’a emporté » nous explique le socialiste Roger Nordmann, tandis que Pascal Couchepin, depuis l’autre face de la même pièce libérale, assombrit le tableau et parle d’ « économie de guerre ». Cette fracture entre électorat et “experts” est une constante dans l’histoire politique suisse de ces dernières années, mais elle prend aujourd’hui une autre dimension du fait, comme l’écrivait Le Temps du 10 février, que cette fois « le tremblement de terre est continental ». Les médias de notre pays ne sont plus les seuls à stigmatiser l’électeur suisse, ils sont rejoints dans ce travail de réprimande morale par de nombreux médias européens, à commencer par Libération qui titrait sa une d’il y a quelques jours « Le virus suisse ». A la condamnation des grands fait écho le soutien des petits : les peuples membres de l’UE sont nombreux ces jours-ci à envier la souveraineté populaire helvétique et à se demander ce qu’ils auraient fait à notre place si on leur avait donné la parole, ce que leurs gouvernants s’abstiennent bien de faire, et pour cause ! En France, deux sondages, effectués respectivement par Le Point et par Le Figaro, révèlent que les Français auraient été entre 88 et 92% à soutenir une initiative semblable à celle qui nous a été soumise.

M. Fabius se rend-il bien compte de cette fracture lorsqu’il appelle l’UE à pénaliser la Suisse ? Et M. Cohn-Bendit, qui, invité par l’émission Forum du 10 février, comparait la situation actuelle de notre pays à celle de 1933 ? Lors de cette même émission, la députée européenne Astrid Lulling se montrait encore plus explicite. Se réjouissant que son pays à elle ne soit pas perverti par l’infâme institution du référendum populaire, elle s’est écriée : « C’est à désespérer du droit de vote si les citoyens sont aussi bêtes ! »

Ces réactions à chaud ont le mérite de faire tomber quelques masques et de révéler que ce n’est pas uniquement la nouvelle politique migratoire de la Suisse qui est remise en cause par ce qu’il faut bien appeler les technocrates européens mais bien le principe même de la démocratie directe ! Un discours menaçant aux accents autocratiques qui se trouve soutenu et relayé par un certain nombre de nos politiciens, à la défaite amère, pour qui la souveraineté populaire n’a de valeur que lorsqu’elle valide leurs propositions. Le politologue Antoine Chollet l’explique bien dans son livre Défendre la démocratie directe (collection Le Savoir Suisse, 2011) : « Les élites suisses, dans leur grande majorité, nourrissent à l’égard de la démocratie des sentiments pour le moins mitigés et se font bien souvent les avocates de positions anti-démocratiques plus ou moins savamment camouflées. » Le camouflage a tendance ces derniers jours à s’effriter on découvre alors des figures franchement inquiétantes.

Alors que les “commissaires politiques” cités plus haut appellent ouvertement à des mesures de rétorsion de l’UE à notre encontre, quelques-uns parmi nos compatriotes semblent s’en réjouir. Lorsque des citoyens attendent d’un pouvoir étranger qu’il punisse leurs propres concitoyens, il n’est pas exagéré de parler de collaboration, au sens le plus méprisable que ce terme a pu prendre à travers l’histoire. Qu’importent qu’ils le fassent au nom d’une morale transcendante mais ô combien relative, la leur, qui leur donne l’assurance d’avoir raison contre tous ! Avoir raison contre la majorité est une prétention indéfendable dans un Etat démocratique puisque la démocratie est à elle-même sa propre mesure. Elle ne reconnaît pas les notions de tort ou de raison en soi, elle ne reconnaît que la légitimité d’une décision populaire, légitimité acquise par la majorité des votes.

Libération ne s’est pas trompé en parlant de virus suisse. L’épidémie risque, ces prochaines années, de surprendre et de bousculer de nombreux gouvernements parmi nos voisins européens. La maison Bruxelles se fragilise un peu plus chaque jour tandis que l’aspiration souverainiste, un peu partout, se fait jour et tente de s’exprimer, dans les urnes lorsque c’est possible, sinon dans la rue. Comme le disait Victor Hugo, il n’est rien au monde d’aussi puissant qu’une idée dont l’heure est venue, et cette idée-là pourrait bien être celle de la démocratie directe. Nous nous apercevrons peut-être alors qu’il ne s’agissait pas d’un virus mais bien d’un antidote.

> http://www.lesobservateurs.ch/2014/02/15/lepee/

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Membre, Soleil d'Hiver, 60ans Posté(e)
Cassandre 0101 Membre 9 857 messages
60ans‚ Soleil d'Hiver,
Posté(e)

Bienvenue troubadour60

Il faut peut être arrêté de psychoter ?

J’imagine que pour les frontaliers qui travail régulièrement, un pass ou une carte informatisée leur sera fournit par la Suisse, via leur employeur, la puissance du contrôle informatique ne nécessitant pas obligatoirement la réinstallation physique d’une frontière douanière.

Par exemple, en France, le problème se posait récemment avec la même acuité pour le contrôle des travailleurs détachés de l’Union Européenne (chantier de l’Atlantique ou bâtiment) et ce n’est que depuis début décembre 2013 que les 28 états ont signé des accords,pour renforcer les contrôles administratifs, sans pour autant reconstituer des frontières physiques.

oui je le suppose aussi enchantant, mais lors d'un reportage télévisé, un employeur suisse qui avait du personnel frontalier français semblait dire que ce oui dans la limitation de travailleurs français frontaliers allait lui poser problème au sein de sa propre entreprise vis à vis d'eux

que doit on alors en conclure?

je reste sceptique , un peu pessimiste aussi sur l'avenir professionnel de ces employés frontaliers en SUISSE :sleep:

ah bah dans ce cas, organisons la chasse a ces salauds de pauvres tant qu'on y est ?

La Suisse ne veut pas des étrangers chez elle, elle ne veut que leur pognon, ce pays ambitionne de devenir le coffre fort du monde.

la pauvreté c'est l'affaire de TOUS, merci la Suisse de nous donner une belle leçon d'égoïsme et d'intolérance subtilement mêlée de suffsance et d'élitisme malsain

remarque, ils s'en sortent très bien ainsi

pourquoi les blâmer?

commençons à regarder autour de nous, et on verra qu'il ne suffit pas d'être Suisse pour avoir un tel comportement vis à vis des autres (pour certains bien sûr):o°

Et alors ?

Ils resteront entre bons Suisses de souche et seront heureux puisque plus personne ne viendra les déranger ni faire leurs basses besognes, ni apporter de compétences, ni participer au brassage culturel, bref, ils pourront stagner autant qu'ils veulent

tu oublies juste une petite chose: le référendum portait sur LA LIMITATION DU FLUX MIGRATOIRE pas sur l'interdiction totale du flux migratoire :sleep:

:)

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)
je reste sceptique , un peu pessimiste aussi sur l'avenir professionnel de ces employés frontaliers en SUISSE :sleep:

sa posera pas de problème , ta un contrat , ta tes papier , ta pas te contrat tu dégage , comme c'étais avant , aucun des frontalier que je connaisse ici dans le Chablais est inquiété , au contraire , au niveau local sa ce passera mieux , et les pauvre gens qui s'installe au tour de Genève pour venir gratter , iront voir ailleurs , en même temps sa ferra un peu le ménage en haute Savoie , c'est pas les frontalier savoyard qui pose problème ..

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Membre, 60ans Posté(e)
alcina Membre 5 752 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Ne m'agressez pas c'est juste une question que je me pose.

On tape sur les Suisses par ce qu'ils veulent remettre le quota sur le nombre de visa accordés aux étrangers Européens, on nous explique qu'ils violent les accords avec l'UE, en attendant la Belgique expulse également des européens par ce qu'ils leur coutent trop chers par ce que manque de moyen de subsistance.

Je vois pas trop la différence la dedans mis à part qu'un met des quotas et que l'autre n'en met pas mais au final le résultat est le même ils ne veulent chez eux que des gens pour qui ils sont sur qu'ils auront ou ont un travail.

Alors pourquoi ne pas s'offusquer de la même façon en ce qui concerne le traitement fait aux E3uropéens en Belgique? N'y à t'il pas la aussi une forme de non respect des accords? Finalement ne pourrait on pas dire que les deux veulent contrôler et influencer sur le nombre des étrangers chez eux mais d'une façon différente?

Merci.

Modifié par alcina
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Invité sfc
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Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

la France expulse des Roms , mais la , pas de problème .

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