Je vous ai imprimé des bonbons...

Parce que les fleurs.....

Vous en rêviez ? 3D Systems l’a fait ! Sa nouvelle imprimante 3D baptisée ChefJet, qui remplace le plastique par du…sucre.

Oui, la ChefJet vous permet d’imprimer des sucreries en 3D. C’est une révolution.

http://www.journaldugeek.com/2014/01/08/ces-2014-3d-systems-imprime-des-bonbons-en-3d/

Et si vous n'aimez pas les bonbons, ils sont en train de bosser sur un modèle qui imprime en 3D...des steacks hachés !

Les imprimantes 3D sont une révolution comparable à celle de l'Internet. C'est étrange qu'on en parle finalement que comme des anecdotes, sans qu'il y ait des études globales.

Les imprimantes 3D, dès lors qu'elles commenceront à devenir achetable par le particulier (ce qui ne mettra pas longtemps, une décennie ou deux tout au plus), vont demander de modifier les lois.

La première sera la loi sur l'interdiction des armes qui devra être aménagée, car n'importe qui pourra créer son revolver depuis chez lui. À partir de là, les modèles sociaux, comme celui de la France, vont devoir s'adapter.

En sus de cela, elle va possiblement conduire à une révolution des industries, puisque de nombreux outils vont devenir productible de manière bien plus aisée, et sans grande difficulté. Les riches font des prothèses pour leurs enfants, bientôt, ce sera sans aucun doute la simple classe aisée, puis la classe moyenne.

Je suis toujours étonné qu'on n'ait pas d'étude approfondie de l'impact de cette technologie sur le monde de demain, parce qu'à mon sens, depuis Internet, il n'y a pas eu d'invention ayant une portée qui puisse être aussi majeure pour l'humanité.

Une révolution, absolument. Je suis restée complètement scotchée la première fois que j'en ai vu fonctionner une.

Un article sur les imprimantes 3D pour petits objets : http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2014/01/08/01007-20140108ARTFIG00378-de-nouvelles-imprimantes-3d-a-usage-personnel.php

Je vous plussoie, c'est vrai que d'ailleurs c'est frustrant de ne pas en entendre plus parler que cela, mis à pars pour des choses insolites...

Les Fab Lab commencent à s'installer progressivement. Bientôt, il y en aura dans toutes les villes. On arrête pas une telle révolution. C'est grisant de vivre une telle évolution.

Pour l'instant ça n'est qu'un gadget qui permet de faire des bibelots en plastic, des bonbons et éventuellement des steaks en forme de Mickey ou Pluto. C'est à dire uniquement capable de sculpter une matière molle. Tailler un morceau de métal, du verre, du bois ou du plastique rigide, c'est une autre paire de manche bien plus énergivore et "dangereuse". C'est pas demain la veille, ni même dans 10 ans qu'on fabriquera des objets du quotidien, tout au mieux des bibelots ou de la décoration.

Tu te trompes, on peut déjà faire beaucoup de petites pièces de transmission, d'étanchéité, poulies etc... L'investissement en tout cas est prévu chez nous (secteur mécanique), l'étude est en cours.

Les imprimantes 3D sont une révolution comparable à celle de l'Internet. C'est étrange qu'on en parle finalement que comme des anecdotes, sans qu'il y ait des études globales.

Les imprimantes 3D, dès lors qu'elles commenceront à devenir achetable par le particulier (ce qui ne mettra pas longtemps, une décennie ou deux tout au plus), vont demander de modifier les lois.

La première sera la loi sur l'interdiction des armes qui devra être aménagée, car n'importe qui pourra créer son revolver depuis chez lui. À partir de là, les modèles sociaux, comme celui de la France, vont devoir s'adapter.

En sus de cela, elle va possiblement conduire à une révolution des industries, puisque de nombreux outils vont devenir productible de manière bien plus aisée, et sans grande difficulté. Les riches font des prothèses pour leurs enfants, bientôt, ce sera sans aucun doute la simple classe aisée, puis la classe moyenne.

Je suis toujours étonné qu'on n'ait pas d'étude approfondie de l'impact de cette technologie sur le monde de demain, parce qu'à mon sens, depuis Internet, il n'y a pas eu d'invention ayant une portée qui puisse être aussi majeure pour l'humanité.

L’usage de la trois D pour la fabrication d’objet dans l’industrie ne date pas d’hier.

L'imprimante 3D aujourd'hui s'inscrit plus dans une diffusion accessible au grand public comme le fut la télévision autrefois.

Pour ce qui est du surgissement de la télévision, c’est l'Écossais John Baird qui réalisa la première diffusion d’image publique, en 1926. Alors que le français Maurice Leblanc indiquait déjà, en 1880, tous les principes pour y parvenir tels qu'on les connaît aujourd'hui.

Le grand public n’eut accès à cette télévision qu’à partir des année 1950 ou elle se répandit progressivement dans les foyers, appelant simultanément les pionniers du monde médiatique à créer des émissions. L’un ne se développant pas sans l’autre.

Le Belge René Magritt et son courant artistique d’hyperréalisme montrait la photo d’une pipe, en 1927, au-dessous de laquelle était écrit « ceci n’est pas une pipe ».

Mon propos pour conclure est que la recomposition d’une forme visuel (hologramme) ou physique d’un objet, n’est pas l’objet lui-même.

Il n'est donc pas si étonnant que cette application aujourd'hui soit plus valorisée par les fabriquants et les vendeurs d'imprimante 3D afin d'appâter le chaland.

L’invention c’est une chose, l’application est une déclinaison de l’invention, la diffusion grand publique est la suite logique de l’application.

Je confirme ce que dit January l'imprimante 3D a permis de créer

1- Une main (on parle bien ici de main que l'enfant peut utiliser)

2- Une main et un bras

3- Après un pistolet en plastique rapporté le 7 mai 2013 conçu avec une machine coûtant 2200$,un pistolet en métal, exacte réplique d'un véritable a été créé moins de 6mois plus tard (sur une machine, qui, elle, ne peut être achetée par un particulier)

4- Une prothèse trachéale qui a sauvé la vie d'un enfant.

5- Des os

Parallèlement à cela

- La société mère d'Airbus souhaite créer ses avions à partir d'imprimantes 3D qui fabriqueront les composants avant de les faire assembler. Via ordinateur, ils ont réussi à étudier une pièce afin de la modifier pour la rendre plus solide, et l'ont ensuite imprimé en 3D. ( Source )

- Ikea prévoit la cuisine de 2040 comme contenant des imprimantes 3D pour créer sa nourriture chez soi. (on espérera juste que la qualité de la nourriture ne sera pas proche de la solidité des produits ikea ndmoi)

Bref, l'impression 3D n'est plus un gadgets. C'est une véritable révolution. Nous sommes, à l'heure actuelle, 13ans après l'an 2000, à l'aube d'une révolution sans précédent, supérieure même à la révolution industrielle.

L'Oculus rift va révolutionner très probablement le monde du jeu vidéo. Tout ceux qui ont pu l'essayer l'année dernière ont été subjugué, et ses défauts (mal de mer notamment) sont en passe d'être résolus.

Le jeu vidéo ? Une distraction ? Peut-être. Pour autant, cela peut être utile en médecine, avec le jeu diplopia qui a levé une grande campagne de dons récemment afin d'être financés. Qu'est-ce que Diplopia ? Nous parlons ici de problèmes oculaires. Le strabisme et l'amblyopie, qui sont tout deux des troubles entraînant une perte de la vision en 3D. Troubles, et non dommages. Car avec de bons exercices, on peut retrouver partiellement ou totalement cette vision, en entraînant le cerveau. C'est là où l'oculus rift peut prendre tout son sens, en offrant un jeu réaliste permettant d'entraîner parfaitement l'oeil humain, et de faire progresser environ 4% de la population mondiale vers un mieux-vivre.

L'oculus rift a par ailleurs reçu des soutiens massifs (plus de 75 millions de dollars) et ce, de la part de nombreuses industries. Médecine. Armée. Architecture. Automobile. Tous pressentent que ceci fait parti également d'une révolution.

Parallèlement à cela, à Lausanne, le 23 avril 2013, les étudiants de l'école polytechnique ont présenté un robot qui a pu être bougé par la pensée d'un individu tétraplégique. Dans un futur proche, on peut tout à fait imaginer la possibilité pour des individus privés de membres de pouvoir en retrouver des synthétiques (via une imprimante 3D) et de pouvoir les bouger via cette technologie.

La technologie avance tant et si bien que l'on peut pratiquement, aujourd'hui, rendre la vue à ceux qui n'en ont jamais eu, ou l'ont perdu.

Bref, l'imprimante 3D fait parti d'une gigantesque révolution qui repousse littéralement les limites du réels et des capacités humaines. Si vous aviez du mal à suivre l'évolution scientifique il y a 5ans, j'ai bien peur que dans 5ans, vous soyez totalement paumés, car à l'heure actuelle, nous sommes bien dans une révolution scientifique, qui va nous heurter avec ses enjeux légaux, sociaux, intellectuels et philosophiques.

Ce n'est pas juste une évolution dans la marée que l'humanité fait chaque année.

Une révolution c'est vrai.

Mais il ne faut pas juste perdre de vue qu'un jour cette belle révolution puisse finir par être la cause de suppression de million d'emplois.

Il serait peut être judicieux que nos législateurs se penchent dessus et prennent des initiatives pour contrer le fait que des industriels soient tentés de s'équiper de ces belles machines qui feront le travail mais ne cotiseront pour aucune caisses et après que tout le monde s'affole en disant il y à plus d'argent dans les caisses pour pouvoir continuer à assurer et payer tant le social que les retraites.

Oui, oui, je sais je casse le trip :D

Merci.

Bonjour alcina,

Tout développement technologique fait disparaître des emplois anciens et en fait surgir de nouveau qui n’existait pas précédemment.

Le passage de l’un à l’autre est ce que l’on désigne comme une crise si on est pessimiste et comme un progrès si l’on est optimiste.

Un emploi productif, c’est la conjugaison d’une invention,puis d’une application, que développe des entreprises.

La libération de main d’œuvre dans l’industrie de production a permis de développer dans nos sociétés démocratiques des emplois de service.

Si l’entreprise produit cela ne lui suffit pas pour vivre économiquement, il faut parallèlement quelle vendent sa production, or pour écouler une marchandise, la notion d’acheteur et de son pouvoir d’achat est intimement imbriqué.

Les uns et les autres finissent toujours par convenir d’un agrément au bout du compte.

Pour l'aéro, les premiers tests ont été passés avec succès.

Bonjour alcina,

Tout développement technologique fait disparaître des emplois anciens et en fait surgir de nouveau qui n’existait pas précédemment.

Le passage de l’un à l’autre est ce que l’on désigne comme une crise si on est pessimiste et comme un progrès si l’on est optimiste.

Un emploi productif, c’est la conjugaison d’une invention,puis d’une application, que développe des entreprises.

La libération de main d’œuvre dans l’industrie de production a permis de développer dans nos sociétés démocratiques des emplois de service.

Si l’entreprise produit cela ne lui suffit pas pour vivre économiquement, il faut parallèlement quelle vendent sa production, or pour écouler une marchandise, la notion d’acheteur et de son pouvoir d’achat est intimement imbriqué.

Les uns et les autres finissent toujours par convenir d’un agrément au bout du compte.

Bonjour Enchantant

alors la question qu'il faut se poser est : Est ce que ces emplois de services ont suffi à compenser la perte des emplois anciens?

Et la question plus importante encore est : Est ce que cet emplois de services sont payés à hauteur des anciens perdus et est ce que ça compense au niveau des caisses?

en ce qui me concerne j'ai des doutes, puisque tout est de plus en plus robotisé, informatisé, tant au niveau des usines de fabrication que des entrepôts servant de garderie à la marchandise et ça n'est que deux exemples parmi tant d'autres.

attention que ce soit clair je ne suis pas contre le modernisme, je dis juste que il faut prévoir et trouver des solutions pour compenser ces pertes d'emplois et de revenus par ce que sinon nous verrons encore plus de misère pour les uns et de richesses pour les autres.

Toutes mes excuses par avance à January pour ce HS flagrant. :)

Merci.

Mes excuses aussi à January.

Alcina,

J’admets que ma description précédente est un peu brute de décoffrage et que vos interrogations sur le sujet sont aussi les miennes.

Ce que nous savons c’est que la robotisation dans l’industrie a permis de libérer les hommes et les femmes d’emplois pénibles et dangereux pour la santé (optimisme).

Ayant pour conséquence de détruire des emplois (pessimisme)et d’en générer d’autres(optimisme), mais permettant parallèlement de baisser le prix des produits réalisés ou vendus à un nombre toujours plus nombreux de personnes.

Ce que nous savons c’est que l’informatisation dans les emplois de service a également permis d’alléger les hommes et les femmes de taches administratives fastidieuses.

Dans les années 1950, j’admirais mon père qui avait exercé quelque temps l’emploi de comptable, la dextérité, la vitesse, avec laquelle il effectuait les additions comptable, mais de reconnaître que cet exercice n’était pas nécessairement la meilleure façon d’utiliser les capacités cognitive d’un cerveau.

A la question est ce que les emplois de service ont permis de se substituer en nombre à ceux de la production industrielle?

Sachant que le plein emploi se situe avec un nombre de chômeurs en France de l’ordre de 2,5% (1967/1973) de la population active, l’écart du moment avec ce nombre est sans doute une partie de la réponse.

Mais si l’on approfondit un peu, on peut s’interroger aussi sur les rigidités fiscales internes qui taxent l’emploi, le manque d’adaptation de certains individus, la compétition déloyale entre les entreprises, la contrefaçon, la fiscalisation inégale entre les états, les délocalisations qui en résultent.

Bref, tout cela pour conclure que les pertes d’emplois ne sont pas nécessairement en lien directe avec les évolutions techniques, mais aussi à la capacité des individus de migrer pour s’adapter à un nouvel environnement et un métier adapté lorsque l’on est jeune.

C’est l’accélération de ce phénomène qui est perçu comme une agression et une menace par les individus, plus que la diminution du nombre arithmétique d’emploi me semble t il ?

Impression 3D : le tout-plastique est-il fantastique ?

« Commençons par regarder le mécanisme. La plupart des imprimantes 3D construisent des objets en fixant de fines couches de plastiques extrudées. C’est très bien pour la création de jouets bon marché avec une résolution spatiale limitée. Mais la personnalisation de votre Mii ou de l’étui de votre iPhone, n’est pas la même chose que permettre la cuisson de la céramique dans un four, la fonte des métaux, ou le mélange de la chaux et du sable pour réaliser des produits en verre à très haute température – à moins que vous souhaitiez que tout ce qui est fabriqué avec ces matériaux soit demain remplacé par du plastique et il y a de nombreuses raisons environnementales, sanitaires ou de durabilité qui font que vous ne le souhaiteriez pas. Les partisans de l’impression 3D négligent également entièrement le fait que beaucoup de choses que nous utilisons continuent d’être réalisées à partir de substances naturelles, et ce, pour de bonnes raisons ».

Le bois sait être plus résistant que l’acier, et l’évolution vers l’utilisation de produits naturels pour l’emballage par exemple, nous rappellent que la force et le côté abordable du papier ou du bambou, signifie qu’à l’avenir nous risquons d’être plus à même de les utiliser que de nous en passer.

L'idéologie de la fabrication 3D

« Le rêve de l’impression 3D de prendre en charge la fabrication traditionnelle, doit être qualifiée pour ce qu’elle est : une idéologie », estime Christopher Mims. Il faut dire qu’obtenir tous nos produits d’une machine présente dans un coin de notre maison nous semble terriblement attractif et pas seulement parce qu’elle nous ferait passer de la personnalisation de masse à la fin du consumérisme.

Comme l’explique Carl Frankel dans un article, on peut dès à présent imprimer tout et n’importe quoi. Marcelo Coehlo pour le groupe des interfaces fluides du MIT a imaginé Cornucopia un assembleur d’aliment. Le ForgacsLab de l’université du Missouri a imprimé des cellules humaines couche après couche pour créer la première veine artificielle. La société allemande EOS a imprimé le corps d’un

à partir d’un polymère qui ressemble (pas seulement dans son aspect, mais surtout par le son qu’il produit) au bois. D’autres, comme le California Center for Rapide Automated Fabrication Technologies (Craft) projettent d’appliquer le prototypage rapide à la fabrication de maison, rêvant d’assembler une maison en moins d’une journée.

Selon Bre Pettis, président et cofondateur de Makerbot, « l’impression 3D est profondément subversive. Sa mission est de démocratiser la fabrication de produits. » Et par là-même de modifier l’écosystème qui aujourd’hui régit leur distribution. Si on en croit les thuriféraires de l’impression 3D, à terme, c’est l’économie telle que nous la connaissons qui est appelée à être entièrement bouleversée.

« Il faut reconnaître, qu’avec des enjeux comme ceux-ci, qui ne voudraient pas devenir croyant ? », ironise l’éditorialiste de la Technology Review. Pour Christopher Mims, l’impression 3D est en plein essor, mais, si nous restons plus mesurés, l’avenir de l’impression 3D risque avant tout de concerner les industries traditionnelles où le prototypage rapide a déjà un impact énorme, notamment dans l’industrie du plastique. En effet, expliquait déjà en 2006 Tom Mueller, plus de 18.000 imprimantes 3D avaient été vendues dans le monde. Un sondage assez empirique auprès de dirigeants de grandes compagnies (comme HP, Bose, Chrysler…) montrait que toutes utilisaient déjà très fortement le prototypage rapide pour concevoir leurs nouveaux objets plastiques.

http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/dossiers/d/technologie-impression-3d-fabrication-demain-1502/page/3/

On est très loin des utopies énoncées dans ce sujet. Il faut réaliser que l'impression 3D existe depuis déjà longtemps dans les industries et les services spécialisés. Ca n'a rien d'une nouveauté et de nombreuses pièces "impossible à réaliser autrement" sont déjà fabriquées de cette façon.

Ce qui est nouveau et qui buzz sur le net depuis quelques temps (années sur les site technophiles), ce sont les imprimantes basse qualité, vendue à pas cher à des gens qui ne s'en servent qu'un coup de temps en temps pour imprimer un buste, un décapsuleur ou des jetons de poker.

Dommage que tu n'ais pas lu le sujet black dog.

Fabriquer des bonbons, c'est ça ? Quelle révolution...

http://www.forumfr.com/sujet576707-je-vous-ai-imprime-des-bonbons.html?view,findpost,p,8727626

'tin, même quand c'est sur la première page les gens sont pas capables de lire un sujet de deux pages :/

En dehors du fait de ne pas s'émerveiller, il y a pas mal de gens qui croient à tort que nous utilisons chaque jour de supers technologies alors même que celles-ci n'existent pas, ou en tout cas n'existent pas comme dans les films de science fiction

Alors oui, imprimer de la nourriture, et bien c'est bluffant ! Tout aussi bluffant que d'imprimer des os, des prothèses : imprimer, on a dit. Pas fabriquer. Bah c'est bluffant !

Super invention mais un bémol pour moi: pas trop confiance en la qualité de la nourriture.