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Pensée obscures 2 : un monde meilleur ?


Titsta

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Membre, 107ans Posté(e)
eclipsepartielle Membre 4 565 messages
Baby Forumeur‚ 107ans‚
Posté(e)

Tu es en pleine période de domination ? :D

Parfois je me demande quel est mon but.

Plus je gagne en puissance, plus je comprend la nature humaine. À moins que ça ne soit l’inverse.

Et je me pose la question du monde meilleur que j’espérais amener par le passé. Que doit-il être ?

Doit-il tenter de changer la nature humaine ? Ou s’y adapter ?

N’est-ce pas une illusion que de vouloir un monde parfait, qui ne correspondrai pas à ce que l’humanité est ?

Une atrocité, bien supérieure en réalité à celle de notre noirceur, que de chercher à nous l'imposer ?

Quoi qu’on puisse dire, ce monde ci est adapté à la nature humaine. Il est humain. Aussi mauvais puisse t’il être.

Les puissants y règnent, les faibles leur cèdent de par leur propre volonté, leurs pouvoirs.

Ce monde est atroce, non par son injustice, mais par la complicité de chaque être humain que cette injustice implique.

Plus je deviens puissant, plus je comprends que ce monde est adapté à ce que l’humanité est profondément, intimement.

J’ai bien conscience en moi, de l’effet de cette perversion du pouvoir, que j’ai toujours cherché à fuir. Du changement de ma conscience.

Mais autrefois je pensais cette perversion égoïste, aveugle, perdue dans une quête sans fin. Aujourd’hui je comprend, au delà de mon égoïsme, que la nature humaine l’est profondément. Et que nous somme en réalité meilleurs quand nous le sommes.

Que les vrais perversions proviennent en réalité de ceux qui n’ont pas l’humilité d’accepter leur égoïsme.

Que le pouvoir peut ne pas être une quête sans fin, mais un plaisir, une nature, un être en harmonie… et quoi qu’on en dise, un besoin humain.

Les autres, mes proches, mes amis, mes amantes, m’ont fait comprendre petit à petit que le pouvoir est un cycle. Et non un flux tranché et rectiligne, du puissant sur le faible.

Qu’il s’agit en réalité d’un échange, d’un partage, aussi atroce puisse t’il être et sembler.

Un partage qui peut être imposé, mais un échange quand même. D’humain à humain. Il n’y a aucun plaisir et aucune recherche à dominer une chaise.

Le faible se soumet à la volonté du fort, oui mais il serait angélique de croire qu’il ne s’agit pas de sa volonté, de son choix. Et le fort est soumis à la puissance que le faible lui accorde. Il n’est rien d’autre que ce pouvoir qu’il lui transmet. Qu’il lui cède.

Il ne peut être autre chose que ce que le faible lui propose.

Si tu m’es utile, alors tu es important pour moi. Plus je t’utiliserai, plus je serai dépendant de toi. Aucune domination n’est possible sans dépendance.

L’esclave est le maître, celui qui dirige par sa propre volonté ce que le maître pourra et sera.

Et… la puissance par nature n’est pas. Est puissant celui qui le souhaite, celui qui se plie à ce que la puissance exige.

Je le sais, car j’ai été impuissant longtemps... par orgueil. être puissant se décide, se choisi.

Dans un tel univers, que peut-être un monde meilleur ?

Doit-on supprimer les rapports de pouvoirs, alors qu’ils provoquent tant de plaisir de part et d’autre ?

Alors qu’ils sont réclamés par la population, ou par les femmes de sexe ou de cœur en chacun de nous qui souhaitent être dominées à la puissance virile, des hommes ou des femmes qui nous dominent ? réclamé par ceux qui souhaitent vivre cette domination, ou cette lutte ?

Pas tous, pas toutes, certes. Clichés, généralisations… rien d’humain n’est général ni déterminé, bien sûr. Mais je parle par exception.

Qu’en est il de cette quête de plaisir de ceux qui souhaitent un maître, un modèle, un guide, un puissant, un père… un dieu ? Pour s’y soumettre et se laisser bercer ?

Qu’en est-il de ceux qui se plaignent ou se battent ?

Ne sont ils pas humains ? N’est-ce pas humain ?

Cette nature humaine, doit-on l’éradiquer ? Peut-on l’éradiquer ?

Comment faire un monde meilleur, en acceptant cette part servile et dominatrice de la nature humaine ?

Aussi malsaine pouvons nous la juger ? D’ailleurs de quel droit pouvons nous la juger ?

En réalité... Comment faire un monde meilleur, et différent, en acceptant la nature humaine ?

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Membre, Posté(e)
vesto Membre 1 578 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Peut être en compensant les "imperfections" individuelles, pour permettre d'en diminuer les impacts sur l'ensemble.

Mmmm

Vis à vis du pouvoir, ça consisterai à devenir en réalité complice de la manifestation du pouvoir et de la domination/soumission, lui permettre de s'exprimer.

Tout en en diminuant en réalité ses impacts sur chacun...

:hu:

Philosophiquement, ça n'est pas faux. "Si tu veux changer le monde, commence par te changer toi-même"...

Mais politiquement, ce genre de jolie idée presque pacifique est entretenu parce qu'elle fait perdre le sens de l'action politique aux individus.

Elle "pacifie" les esclaves, qui en réalité n'aurait pas vraiment à attendre de se sentir "libre intérieurement", avant de se révolter pour se libérer effectivement.

Un esclave "libre intérieurement" pourra t'il réellement remettre en cause le système ? C'est là où cette pensée "changeons nous d'abord nous même" devient dangereusement proche de "abandonnez la lutte", et donc de "soumettez-vous".

Le système serait remis en cause,car les personnes en changeant ne seraient plus dupes .En voyant, grâce à leur conscience modifié, une part de la vérité plus proche du réel qu'il n'est ,le piège des désirs perdrait de son pouvoir. On devient esclave des autres lorsqu'on est rongé par la peur....peur qui peut prendre différentes formes.

Les maîtres de ce monde en usent et en abusent : peur du chômage pour faire avaler leurs réformes,faire se battre les êtres les uns contre les autres lorsque cela favorise leurs intérêts...et j'en passe. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas disait le trois fois sage. vaincre sa peur intérieur et le prémisse pour vaincre sa peur physique.

J'aime bien ça. Revenir à des bases essentielles :

  • Se nourrir
  • Se loger / se déplacer
  • S'éduquer (je préfèrerai plutôt cultiver sa curiosité et son intelligence)
  • Se soigner
  • S'épanouir
    • Cultiver son jardin intérieur
    • Faire ce qui nous épanouit
    • Se Former
    • Vivre simplement : la sobriété heureuse

Peut être effectivement que me perds en pensant trop aux problèmes d'organisation relationnelle, et en relativisant trop les besoins humains primaires.

Ceci dis, je me demande à quel point ces éléments cité ne font pas seulement référence à une culture commune : Se déstresser, être stable, calme, individualiste et employable.

Et "s'épanouir" est tellement relatif. Je me demande à quel point ces choses semblent "attrayante" parce que nous pouvons y mettre des choses différentes. Des mots valises.

Si briser les crânes de mes ennemis me détends, et qu'après avoir violé quelques vierges je me sens épanouis ?

ça c'est vivre simplement, non ? ^^

Un peu quand même non ?

Et soigner un enfant demande d'avoir un taf (des contraintes) pour pouvoir assurer ces soins. Sans pouvoir compter sur personne d'autre pour nous aider, c'est bien à nous même qu'il faut imposer ces contraintes, et guider/cadrer nos comportements pour amener la société à "pouvoir soigner".

Et blesser quelqu'un, est-ce vraiment mal ? C'est aussi comme ça qu'il apprend, qu'il forme sa personnalité, qu'il découvre qu'on existe et qu'il nous étouffe aussi.

Si l'enfer est pavé de bonnes intentions, je pense que le paradis est pavé de mauvaises.

La malveillance apporte très certainement une multitude de choses bénéfiques, tant pour les individus que pour la société.

Je crois nécessaire de l'entretenir, sinon c'est donner plus de puissance encore à ceux qui le seront.

( bon j'ai croisé pas mal d'autres réponses intéressantes mais je manque de temps... je reprendrai plus tard. :/ )

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Tu es en pleine période de domination ? :D

:D :D

voué, je découvre ^^

Et c'est ce que je comprend sur moi même, et sur ce qui est humain à travers ça, qui m'amène à ce genre de réflexions.

Surtout en pleine redéfinition de mon ambition professionnelle, et des outils d'échanges et d'organisation humaine, que je cherchais à apporter à la société.=

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Parfois je me demande quel est mon but.

Plus je gagne en puissance, plus je comprend la nature humaine. À moins que ça ne soit l’inverse.

Et je me pose la question du monde meilleur que j’espérais amener par le passé. Que doit-il être ?

Doit-il tenter de changer la nature humaine ? Ou s’y adapter ?

N’est-ce pas une illusion que de vouloir un monde parfait, qui ne correspondrai pas à ce que l’humanité est ?

Une atrocité, bien supérieure en réalité à celle de notre noirceur, que de chercher à nous l'imposer ?

Une petite réaction à froid comme je suis de passage. J'avoue que j'ai du mal à cerner tes intentions, mais certaines questions soulevées m'interpellent. Il est notamment question dans ton titre de façonner un "monde meilleur".

Je pensai notamment que celui qui cueille le jour ne s'embarrasse pas de savoir si il pourra rendre notre monde meilleur ou non. Ces ambitions sont à mon sens à rapprocher de la réflexion du malade qui attend patiemment sous sa couverture de recouvrir la santé et s'interrogeant sur le(s) médicament(s) à avaler pour accélérer sa remise sur pieds. Tout le contraire en somme de l'idéal de domination ou en tous cas de ce qu'il devrait, à mon sens, comporter, c'est à dire celui de "jouir sans entraves".

Disons pour être bref qu'un dominant ne s'embarrasse pas de ces questions là : non pas par méchanceté ou par égoïsme, mais parce qu'il ne se sent pas concerné. Il ne peut il me semble dominer qu'au titre d'une cause fédératrice qui rassemblera ses adeptes, à l'image du gourou ou du rhéteur qui saura jouer sur la bonne fibre et ainsi, masquer la défense de ses intérêts personnels derrière des motifs officiels et d'apparence noble (p.ex. en caricaturant : donnez moi tout votre argent car le matérialisme nuit à l'élévation spirituelle de vos âmes, etc...)

Ainsi peut-être (c'est seulement une piste) faudrait-il distinguer le leader du dominateur, le premier étant de l'étoffe des sages, tandis que le second plutôt de celui des gourous.

Quoi qu’on puisse dire, ce monde ci est adapté à la nature humaine. Il est humain. Aussi mauvais puisse t’il être.

Les puissants y règnent, les faibles leur cèdent de par leur propre volonté, leurs pouvoirs.

Ce monde est atroce, non par son injustice, mais par la complicité de chaque être humain que cette injustice implique.

Plus je deviens puissant, plus je comprends que ce monde est adapté à ce que l’humanité est profondément, intimement.

J’ai bien conscience en moi, de l’effet de cette perversion du pouvoir, que j’ai toujours cherché à fuir. Du changement de ma conscience.

Mais autrefois je pensais cette perversion égoïste, aveugle, perdue dans une quête sans fin. Aujourd’hui je comprend, au delà de mon égoïsme, que la nature humaine l’est profondément. Et que nous somme en réalité meilleurs quand nous le sommes.

Que les vrais perversions proviennent en réalité de ceux qui n’ont pas l’humilité d’accepter leur égoïsme.

Que le pouvoir peut ne pas être une quête sans fin, mais un plaisir, une nature, un être en harmonie… et quoi qu’on en dise, un besoin humain.

Je ne comprends pas tellement l'idée sous-jacente du coup. C'est un discours plutôt culpabilisant que tu tiens avec l'emploi de mots comme "perversion", "aveuglement" ou "égoïsme". Mais tu ne m'empêcheras pas de penser que la générosité vaut mieux que l'avarice pour le coup. Je préfère tout de même l'attitude de celui qui partage son repas ou sa gourde avec un crève-la-faim/crève-la-soif que celui qui se le garde pour lui. L'attitude de l'un ne valant pas celle de l'autre (pour le moins à mes yeux), il me paraît coutumier de nommer celle du premier "générosité" ou encore "altruisme", et celle du second "égoïsme".

Mais peut-être ne plaçons nous pas nos distinctions conceptuelles au même endroit. J'avoue que si parfois la méfiance est de mise au sujet d'un discours, c'est principalement lorsqu'il s'agit dans celui-ci d'une réduction du réel à un seul aspect de sa réalité, surtout si aucune place n'est laissée à son concept contraire.

Dire par exemple que tout homme est égoïste (et donc nier qu'il puisse être altruiste, ce qui est sémantiquement le contraire) rentre dans cette catégorie là. En général dans ces cas là il suffit de répondre (ou de se dire tout au fond de soi-même) : "Ou pas."...

Et tout rentre alors dans l'ordre ... :blush: :)

Dans un tel univers, que peut-être un monde meilleur ?

Doit-on supprimer les rapports de pouvoirs, alors qu’ils provoquent tant de plaisir de part et d’autre ?

Alors qu’ils sont réclamés par la population, ou par les femmes de sexe ou de cœur en chacun de nous qui souhaitent être dominées à la puissance virile, des hommes ou des femmes qui nous dominent ? réclamé par ceux qui souhaitent vivre cette domination, ou cette lutte ?

Pas tous, pas toutes, certes. Clichés, généralisations… rien d’humain n’est général ni déterminé, bien sûr. Mais je parle par exception.

Le problème n'est peut-être alors pas la domination en elle-même, qui est parfois superflue, mais à un moment ou un autre toujours nécessaire. Par exemple la domination de l'adulte sur l'enfant est nécessaire si il doit lui transmettre un savoir que seule l'expérience aura permis d'obtenir. Ou encore la domination d'une équipe médicale sur un patient en pleine crise de démence, en situation d'irresponsabilité totale.

Le problème est plutôt dans l'utilisation de ce pouvoir à des fins contraires aux intérêts de celui qui est dominé par ce même pouvoir. Et la question à se poser devient : Comme il n'y a personne pour garder la gardien, qui freinera le pouvoir de celui qui abuse du sien? Qui décidera de ce qu'est un pouvoir juste ou un pouvoir légitime, alors que c'est le pouvoir lui-même qui, tout en étant absolument nécessaire à tous, vise notamment à atteindre la stabilité par la mise en place de lois, de règles et des coutumes (donc de justice et légitimité)?

Je pense que la question pour un monde meilleur est donc plutôt : Qu'est-ce qu'un pouvoir légitime? Comment le mettre en place et en assurer par la suite la stabilité?

Qu’en est il de cette quête de plaisir de ceux qui souhaitent un maître, un modèle, un guide, un puissant, un père… un dieu ? Pour s’y soumettre et se laisser bercer ?

Qu’en est-il de ceux qui se plaignent ou se battent ?

Ne sont ils pas humains ? N’est-ce pas humain ?

Cette nature humaine, doit-on l’éradiquer ? Peut-on l’éradiquer ?

Comment faire un monde meilleur, en acceptant cette part servile et dominatrice de la nature humaine ?

Aussi malsaine pouvons nous la juger ? D’ailleurs de quel droit pouvons nous la juger ?

En réalité... Comment faire un monde meilleur, et différent, en acceptant la nature humaine ?

Pour répondre à te question finale donc, il faudrait pour moi répondre aux deux questions que je soulève tantôt.

Ce que je me dis c'est aussi que de toutes façons, à un moment ou à un autre, si on veut rentrer dans la communauté humaine, ou dans toute forme de civilisation particulière d'ailleurs, il faut refuser la réduction de la réalité des rapports humains à l'opposition dominant/dominé, afin de permettre l'ouverture d'un espace mutuel où des règles de vies en commun s'exerceront au titre desquelles chacun, parfois, est sommé de restreindre sa liberté individuelle.

A ce titre, il sera nécessaire d'adopter un discours officiel par le biais d'une gouvernance, rhétorique qui usera d'un jeu de concepts où les notions de "respect" et de "réciprocité", déclinées à leur propre façon, permettront à chacun de disposer d'une sorte de mode d'emploi pour être en société, avec les autres, tout en se préservant soi-même.

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Membre, 36ans Posté(e)
Sony nedgy Membre 268 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Titsta

Parfois je me demande quel est mon but.

Ton but principal est comme tout le monde, et c'est vivre en paix et heureux en accomplissant les objectif suivant:

-Apprendre

-Aimer

-Aider

-Respecter

Et le plus important de tous

-Vivre avec sagesse et justice

voici les objectifs principaux.

Et je me pose la question du monde meilleur que j’espérais amener par le passé. Que doit-il être ?

Doit-il tenter de changer la nature humaine ? Ou s’y adapter ?

-Le monde meilleur doit être ce que tu veux pour tes enfants et tous les enfant du monde

proverbe indien: "Ce monde ne nous appartiens pas, ce sont nos enfants qui nous le prêtent."

-La nature humaine ne peut changer mais il est possible de la rendre meilleur qu'elle ne l'est.

-La question du monde meilleur ne peut s'adapter au monde actuel, il perdrait alors tous ce qui fait de lui ce qu'il est.

N’est-ce pas une illusion que de vouloir un monde parfait, qui ne correspondrai pas à ce que l’humanité est ?

Une atrocité, bien supérieure en réalité à celle de notre noirceur, que de chercher à nous l'imposer ?

-Tu dois de te demandé plutôt en ces termes, "Est-ce qu'une idée vaut-elle la peine de tout sacrifier pour elle ?"

Les personnes qui disent que le monde parfait ne peut exister, le disent car il n'arrive pas à imaginer la possibilité même de son existence.

Quoi qu’on puisse dire, ce monde ci est adapté à la nature humaine. Il est humain. Aussi mauvais puisse t’il être.

Les puissants y règnent, les faibles leur cèdent de par leur propre volonté, leurs pouvoirs.

Ce monde est atroce, non par son injustice, mais par la complicité de chaque être humain que cette injustice implique.

Tu fais preuve de sagesse.

Plus je deviens puissant, plus je comprends que ce monde est adapté à ce que l’humanité est profondément, intimement.

-Non, l'humanité n'est pas foncièrement mauvaise

citation d'Einstein : "...le froid n'existe pas, c'est juste l'absence de chaleur qui existe. Les ténèbres n'existent pas, c'est seulement l'absence de lumière qui existe."

J’ai bien conscience en moi, de l’effet de cette perversion du pouvoir, que j’ai toujours cherché à fuir. Du changement de ma conscience.

Mais autrefois je pensais cette perversion égoïste, aveugle, perdue dans une quête sans fin. Aujourd’hui je comprend, au delà de mon égoïsme, que la nature humaine l’est profondément. Et que nous somme en réalité meilleurs quand nous le sommes.

Que les vrais perversions proviennent en réalité de ceux qui n’ont pas l’humilité d’accepter leur égoïsme.

Que le pouvoir peut ne pas être une quête sans fin, mais un plaisir, une nature, un être en harmonie… et quoi qu’on en dise, un besoin humain.

-"Le pouvoir n'existe pas, Nous avons l'illusion du pouvoir."

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