Besancenot : "Les retraites, une réforme typiquement de droite"

http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/08/28/besancenot-les-retraites-une-reforme-typiquement-de-droite_3467492_823448.html

Ce type est à la fois ridicule et pathétique: un discours complètemen creux, de grandes expressions à la vacuité conceptuelle totale. Ce n'est pas comme ça qu'ils pourront proposer une alternative crédible à la droitisation, réelle, du gouvernement actuel ! :smile2:

Les processus de révolution en cours, en Syrie... :smile2:

Ca va être la déculottée du siècle pour la gauche aux municipales de 2014, cette fois-ci, c'est clair

Mais oui ...:)

S'en prendre au porte-feuille des Français, pas vraiment intelligent comme stratégie, mais bon ...

Il faut les excuser, ils sont inexpérimentés

Non, c'est encore plus grâve que ça: ils sont incompétents !

c'est sur, s'ils avaient la moindre compétence dans un domaine quelconque ils feraient un métier honnête

En même temps y a plus grand monde à la gauche de Besancenot... Marx? Pas sur...

On sait jamais, si Besancenot est gaucher, tu t'en ramasse une !

Tant qu'il n'est pas droitier contrarié ça va

Le facteur ne sait plus quoi faire , pour faire parler de lui

Une pelure, ce mec !!

En plus, ils veulent qu'on raque1 million d'euros !!! Pour leur permettre de se "présenter aux élections municipales" !

Z'ont bien filé 1 euro au Sarkhoton, j'veux bien leur faire crédit de la même somme ! Mais, franchement, pour des anti-capitalistes ....

"Les retraites, une réforme typiquement de droite"

L'allongement à 43 ans de la durée de cotisation est en effet une « réforme de droite ».

C'est d'abord objectivement une réforme qui prolonge les précédéntes réformes menées par la droite en 1993 et 2003, allongeant de 37,5 à 40, puis de 40 à 41,5 années la durée de cotisation nécessaire pour percevoir une pension complète.

Ensuite, c'est une réforme, qui comme ses grandes soeurs, aura pour effet réel de saper la confiance des citoyens dans le système par répartition en planifiant la baisse des pensions.

En effet, dans un contexte de déclin progressif de l'économie capitaliste et de chômage de masse, la durée moyenne réelle de cotisation est stable à 37 années.

Dans ces conditions, l'allongement de la durée légale de cotisation a pour effet que les travailleurs soit partent en retraite avec une décote de plus en plus importante, soit doivent repousser à 67 ans leur demande au bénéfice de la pension.

Cette difficulté à pouvoir toucher une pension convenable est une destruction concrète de ce pan de la sécurité sociale, honnie par la droite parce qu'elle constituerait « une charge insupportable pour les entreprises », qu'est le système de retraite par répartition.

Une réforme des retraites de gauche consisterait premièrement à aligner la durée légale de cotisation sur la durée réelle moyenne du travail : 37 ans aujourd'hui.

Deuxièmement, à restaurer le droit de partir à 60 ans, et 55 ans pour les métiers pénibles.

Troisièmement, à financer cela par le rétablissement du plein emploi, l'augmentation des salaires, et des taux de cotisations, les revenus de la classe possédante dussent-ils en souffrir.

L'allongement à 43 ans de la durée de cotisation est en effet une « réforme de droite ».

C'est d'abord objectivement une réforme qui prolonge les précédéntes réformes menées par la droite en 1993 et 2003, allongeant de 37,5 à 40, puis de 40 à 41,5 années la durée de cotisation nécessaire pour percevoir une pension complète.

Ensuite, c'est une réforme, qui comme ses grandes soeurs, aura pour effet réel de saper la confiance des citoyens dans le système par répartition en planifiant la baisse des pensions.

En effet, dans un contexte de déclin progressif de l'économie capitaliste et de chômage de masse, la durée moyenne réelle de cotisation est stable à 37 années.

Dans ces conditions, l'allongement de la durée légale de cotisation a pour effet que les travailleurs soit partent en retraite avec une décote de plus en plus importante, soit doivent repousser à 67 ans leur demande au bénéfice de la pension.

Cette difficulté à pouvoir toucher une pension convenable est une destruction concrète de ce pan de la sécurité sociale, honnie par la droite parce qu'elle constituerait « une charge insupportable pour les entreprises », qu'est le système de retraite par répartition.

Une réforme des retraites de gauche consisterait premièrement à aligner la durée légale de cotisation sur la durée réelle moyenne du travail : 37 ans aujourd'hui.

Deuxièmement, à restaurer le droit de partir à 60 ans, et 55 ans pour les métiers pénibles.

Troisièmement, à financer cela par le rétablissement du plein emploi, l'augmentation des salaires, et des taux de cotisations, les revenus de la classe possédante dussent-ils en souffrir.

Le rétablissement du plein emploi ne se décrète pas à moins de revenir au système communiste qui a montré ses limites en ex URRS.

Cette réforme est une supercherie le patronat a encore gagné cette fausse gauche a encore trahie son électorat.

Besancenot a raison.

Ah !! Ce patronat !! :bad: Si seulement je pouvais, je ......... :bad: Non, il faut que je me contrôle.

Mais la lutte continue, camaraaaaaaadeeeuuux !!!!

avant de beugler : prenez la parole et œuvrez pour une grevé générale, prenons nos responsabilités! vous voulez que ça change? n'attendez rien des urnes, établissons un véritable rapport de force!

Les entreprises sont tellement performantes et le porte-feuille du consommateur tellement rempli que 0,3% est une pécadille...Quelle plaisanterie ! Magnifique foutage de gueule ...après concertation...

Ca va être la déculottée du siècle pour la gauche aux municipales de 2014, cette fois-ci, c'est clair

Pas forcement parce que les enjeux locaux sont assez différents des enjeux nationaux en plus à l'échelle locale tu vote plus souvent pour une personne et son bilan que pour son étiquette politique .Il y a donc de forte chance pour qu'un grand nombre de ville situé à gauche restent à gauche.....malheureusement !

Le rétablissement du plein emploi ne se décrète pas à moins de revenir au système communiste qui a montré ses limites en ex URRS.

Certes cela ne se décrète pas, mais tant qu'on s'en remettra au patronat pour combattre le chômage on ne risque pas de parvenir au plein emploi. Les promesses de création d'emplois ne servent que de chantage pour obtenir subventions, réductions fiscales et lois avantageuses.

Pour le reste Besancenot a au moins deux qualités:

- de prendre fait et cause pour la classe salariale

- de ne pas être un politicien professionnel (contrairement aux notables ou apprentis bureaucrates du PS, UMP et FN)