Avoir le courage d'être ce que nous sommes

Intéressant sujet trouvé sur le site la cité d'Atlantis

Est ce donc une question de courage d'etre soi-même ?

----------------------------

AVOIR LE COURAGE D'ÊTRE CE QUE NOUS SOMMES

Car lorsque nous posons cette intention dans nos vies, il est clair que nous allons nous trouver face à face avec nous-mêmes.

Et aussi face à face avec le regard des autres.

Cette intention implique que nous choisissons de ne plus PARAITRE pour plaire mais bel et bien d'ÊTRE au risque de déplaire.

C'est prendre le risque de la solitude.

De la différence.

En même temps c'est aussi choisir de vivre en accord avec ce que nous sommes vraiment.

Et ceci est un choix joyeux.

Dans cette perception de nous-mêmes, il n'y a plus de jugement de valeur, car il est bien évident que si nous choisissons d'être ce que nous sommes, alors nous accueillons le fait que l'autre soit ce qu'il est.

Juste un autre être humain sur son chemin de vie et avec ses choix de vie.

Ni PLUS. Ni MOINS: ÉGAL.

Ici s'installe la véritable liberté d'être.

Lorsque nous accueillons cet état de fait.

C'est lorsque j'accepte que l'autre ait le courage d'être ce qu'il est que commence mon véritable chemin de conscience, et que je rentre dans l'amour vrai. Et aussi dans la joie et la légèreté.

Car vous en conviendrez: Qu'il est fatigant de vouloir que les autres soient autres que ce qu'ils sont !

Quel gaspillage d'énergie !

Au plaisir de VOUS, qui que vous soyez.

L'équipe de la Cité d'Atlantis

" Bien sûr qu'il m'arrive de me parler à moi-même...Car j'ai souvent besoin de l'avis d'un connaisseur " ( y a pas besoin d'être expert de soi même, juste se connaitre )

Avoir le courage d'être soi-même, en même temps que l'on accepte la même chose pour autrui, engendrera des conflits inextricables, car les règles de vies collectives, de bienséance nous obligent à ne pas agir en notre âme et conscience, mais....

On peut toujours trouver un point d'équilibre entre vie en société et vie individuelle, une harmonie que chacun doit définir et trouver sans excès, ni dans un sens ni dans l'autre, un équilibre dynamique qui demande des efforts permanents pour le maintenir.

Ce topic rejoint en grande partie le mien: http://www.forumfr.com/sujet545455-quelle-orientation-a-donner-a-nos-vies-a-defaut-d-un-but-predetermine.html#entry8362156

( y a pas besoin d'être expert de soi même, juste se connaitre )

J'aurais plutôt dit que "se connaître" était loin d'être une mince affaire, être "expert de soi même" est nécessaire, ce qui est loin d'être simple...

"Se connaître", c'est quoi pour toi?

Notre personnalité est la conjugaison unique de ce que nous avons appris ou imité des autres.

Elle ne tombe pas du ciel et ne provient pas du néant.

Hè ben je préfere la solitude . Raz le bol des conflits que génere d'être soit même ...

Notre personnalité est la conjugaison unique de ce que nous avons appris ou imité des autres.

Elle ne tombe pas du ciel et ne provient pas du néant.

C'est juste. L'humain en société cherche à se distinguer : comment être un individu si personne ne le reconnait ? Imaginez que vous marchez dans la rue, personne ne vous salue, ne s'adresse à vous, ne vous voie, et même on vous bouscule. Vous allez vite douter de votre existence. Pour faire partie d'une communauté, il faut s'en distinguer par quelque chose; les autres vous reconnaissent et vous vous efforcez de correspondre à ce que les autres voient en vous. Ce sont les autres qui participent à la formation de ma personnalité. Un solitaire vit comme une bête, il ne connait que ses instincts, ses besoins à satisfaire. En société, on se compare toujours et chacun cherche à être meilleur en quelque chose. Comment savoir que je suis grand ou petit sinon en me comparant aux autres ? "Qui voit l'habit d'un homme voit le fond de son âme." Montesquieu. Si l'apparence, l'habit, n'avait pas de relation directe avec l'être, les escrocs ne s'efforceraient pas de paraitre à leur avantage. Et un gendarme en baskets perd beaucoup de son autorité.

"Ni plus ni moins égal" est bon pour les fourmis, pas pour les humains. Toute société implique une hiérarchie.

En fin de compte quand on meurt, ce sont les autres qui se recueillent sur la tombe qui pleurent sur eux-mêmes !

Puisque se sont une partie d'eux-mêmes qui sont en nous.