Mélenchon ne veut pas de L'Express

Moi aussi je déplore des patrons sans scrupules, mais j'arrive à faire la part des choses et je respecte ceux qui réussissent et qui permettent à d'autre personnes d'avoir un emploi !

Déplorer, c'est beau.

Agir c'est mieux.

Les "patrons" ne sont pas le problème, et tout le monde (ou presque) est d'accord avec ça. Les enfoirés dans une majorité des multinationales, en revanche...

Bien sur que cela me choque !

Mais est-ce que cette affaire contredit ce que j'ai dis et que tu as cité ?

Déplorer, c'est beau.

Agir c'est mieux.

Les "patrons" ne sont pas le problème, et tout le monde (ou presque) est d'accord avec ça.

Apparemment pas tout le monde !

Agir oui, en votant Mélenchon ? Tu parles d'une action dis donc !

Déplorer, c'est beau.

Agir c'est mieux.

Les "patrons" ne sont pas le problème, et tout le monde (ou presque) est d'accord avec ça. Les enfoirés dans une majorité des multinationales, en revanche...

Seulement ces mecs là ont acquis plus de pouvoir que les chefs d'Etats eux-mêmes...

Bon alors soit. Mais quel politique est assez crédible pour réellement défendre les populations contre le capitalisme sans morale tout en ne prônant pas des idées extrêmistes ou xénophobes ?

Dupont Aignan :)

Et lui il peut quelque chose contre Goldman and Sachs ?

Bof, l'un attise la haine contre les immigrés, l'autre attise la haine contre les patrons.

Chacun son défouloir et son idée des "responsables" d'une misère généralisée

:)

Bof, l'un attise la haine contre les immigrés, l'autre attise la haine contre les patrons.

Chacun son défouloir et son idée des "responsables" d'une misère généralisée

Non.

L'un cherche des boucs émissaires en exprimant de fort relents de xénophobie.

L'autre remet en cause et dénonce un système, qui est directement responsable de notre état économique et social, et dont les patrons ne sont qu'une composante.

C'est sûr, c'est facile de ne pas réfléchir et de renvoyer des deux idéologies dos à dos, par simple posture en poussant des "bouh, j'aime pas les extrêmes" ...

Mais il n'en reste pas moins que ces deux démarches sont radicalement différentes, intellectuellement et humainement.

Non.

L'un cherche des boucs émissaires en exprimant de fort relents de xénophobie.

L'autre remet en cause et dénonce un système, qui est directement responsable de notre état économique et social, et dont les patrons ne sont qu'une composante.

C'est sûr, c'est facile de ne pas réfléchir et de renvoyer des deux idéologies dos à dos, par simple posture en poussant des "bouh, j'aime pas les extrêmes" ...

Mais il n'en reste pas moins que ces deux démarches sont radicalement différentes, intellectuellement et humainement.

L'extrêmisme c'est l'extrêmisme, point. Si on était intelligents, il n'y aurait pas besoin d'en arriver là. Je conchie les extrêmes quels qu'ils soient et pour le coup, l'Histoire nous démontre ce que ça a pu donner d'un côté comme de l'autre.

L'extrêmisme c'est l'extrêmisme, point.

C'est assez radical, voire extrême comme position.

il suffit de coller l'étiquette "extrêmiste" à une idéologie, un parti ou un courant, pour qu'il soit soit de suite écarté du champ des possibles. C'est un peu court.

Surtout, c'est au final assez subjectif.

D'ailleurs, l' "extrême-gauche" en France, c'est Lutte Ouvrière ou la LCR (et encore, ils sont loin d'êtres extrêmistes), pas le Front de Gauche, qui se définit davantage comme la gauche de la gauche (et selon moi, qui représente véritablement la gauche dans l'échiquier politique).

Bon, bref, on va présenter les choses autrement : qu'est-ce qui permet de désigner Mélenchon ou le Front de Gauche comme étant "extrêmes", mis à part que 2-3 clampins l'ont décidé (essentiellement à droite histoire de donner un "extrême" au PS pour se donner bonne conscience vis à vis du FN, ou les journalistes friands de simplification et de termes chocs).

Non.

L'un cherche des boucs émissaires en exprimant de fort relents de xénophobie.

L'autre remet en cause et dénonce un système, qui est directement responsable de notre état économique et social, et dont les patrons ne sont qu'une composante.

C'est sûr, c'est facile de ne pas réfléchir et de renvoyer des deux idéologies dos à dos, par simple posture en poussant des "bouh, j'aime pas les extrêmes" ...

Mais il n'en reste pas moins que ces deux démarches sont radicalement différentes, intellectuellement et humainement.

En effet, pendant que les uns réfléchissent, les autres se préparent à défoncer la porte :cool:

Le créateur d'entreprise c'est lui qui crée de l'emploi.

Voilà le genre d'assertion qui sans que j'ai à vous connaître intimement me renseigne de manière éloquente sur l'étendue de votre réflexion.

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Bon, bref, on va présenter les choses autrement : qu'est-ce qui permet de désigner Mélenchon ou le Front de Gauche comme étant "extrêmes", mis à part que 2-3 clampins l'ont décidé (essentiellement à droite histoire de donner un "extrême" au PS pour se donner bonne conscience vis à vis du FN, ou les journalistes friands de simplification et de termes chocs).

Encore une fois, on peut retourner ton argument contre toi. Qu'est-ce qui permet de désigner Marine comme extrême dans ce cas là? C'est du pareil au même...

C'est quand même dingue, devant le fait accomplit, les mecs nient. "Non l'extrême gauche n'est pas extrême, il n'y a qu'une sorte de fascistes!"

Bref.

Voilà le genre d'assertion qui sans que j'ai à vous connaître intimement me renseigne de manière éloquente sur l'étendue de votre réflexion.

En fait je vois pas bien ce que vus pouvez bien contredire au fait que c'est les créateurs d'entreprise qui créées de l'emploie.

Voilà le genre d'assertion qui sans que j'ai à vous connaître intimement me renseigne de manière éloquente sur l'étendue de votre réflexion.

En quoi considérez-vous cette réflexion fausse ?

Encore une fois, on peut retourner ton argument contre toi. Qu'est-ce qui permet de désigner Marine comme extrême dans ce cas là? C'est du pareil au même...

C'est quand même dingue, devant le fait accomplit, les mecs nient. "Non l'extrême gauche n'est pas extrême, il n'y a qu'une sorte de fascistes!"

Bref.

Peut être le fait que des mecs fasse le salut Nazi ou qu'elle fréquente de type comme Srege Ayoub et flirte avec des types comme Sidrov ou valse a Vienne dans un bal Néo Nazi.

Peut être le fait que des mecs fasse le salut Nazi ou qu'elle fréquente de type comme Srege Ayoub et flirte avec des types comme Sidrov ou valse a Vienne dans un bal Néo Nazi.

Mais c'est toujours pareil, dire que "l'extrême gauche est qualifiée comme telle par je ne sais qui que ça arrange", c'est déja aussi un discours fascisant...

Voilà le genre d'assertion qui sans que j'ai à vous connaître intimement me renseigne de manière éloquente sur l'étendue de votre réflexion.

Au moins tu as l'art de tourner joliment les phrases. Dommage que tu mises tout sur la forme et qu'il ne reste plus rien pour le fond

En fait je vois pas bien ce que vus pouvez bien contredire au fait que c'est les créateurs d'entreprise qui créées de l'emploie.

En quoi considérez-vous cette réflexion fausse ?

(bis)

Merci d'étayer un peu Jimmy.

En fait je vois pas bien ce que vus pouvez bien contredire au fait que c'est les créateurs d'entreprise qui créées de l'emploie.

Tout simplement que votre manière de présenter les choses laisse supposer que c'est juste leur bon vouloir, qu'ils n'en tirent rien, que ce serait à sens unique. Ou que sans chef d'entreprise, personne n'aurait l'idée de travailler, par exemple.

Si l'on va dans cette logique, on pourrait même dire que ce sont les banques qui créent de l'emploi, car un créateur d'entreprise sans banque derrière ...

Et que ferait un chef d'entreprise sans salariés ? Et ces salariés, que feraient-il sans formation ?

Et cette entreprise, existerait-elle sans clients ?

Bref, si quelque chose crée de l'emploi, c'est avant tout la société dans son ensemble, avec tous ses acteurs.

Ce n'est que partiellement vrai.

Je vais prendre un exemple avec une société pour laquelle j'effectue des CDD à répétitions.

Cette société fonctionne sur un principe simple: dès qu'une société a besoin d'intérimaires, elle les appelle, et ils leur en envoie dans leur possibilité.

Voici un exemple de ce qui s'est passé récemment: Un magasin, le premier jour des soldes, a vu son ascenseur interne tomber en panne. Catastrophe pour l'équipe. Il contacte cette société. Dix minutes plus tard, je suis appelé. Trente minute après l'appel à ma société, je suis sur place avec deux collègues, et on est parti.

Il y a, ici, une génération d'emploi. Car cette société répond à une demande, mais pas une demande impérative, simplement une demande de confort. Ce que j'entends par là, c'est que si cette société n'existait pas, le magasin en question aurait poursuivi sa journée en suant sang et eau, en faisant faire des heures supp à son personnel potentiellement, mais surtout, avec un épuisement important. Cette société a donc bien créé des emplois.

D'ailleurs, les créateurs d'entreprises, à mon sens, devraient être singulièrement aidés parce que le poids fiscal qui pèse sur eux est ahurissant. Il faut bien distinguer les requins de la finance et leurs entreprises gigantesques, de tout ceux qui crééent des PME, et qui sont un apport très clair à l'économie. Il le font dans leur intérêt ? Évidemment. Mais il n'empêche qu'il y a création, il y a apport. Sans ces individus qui tentent, il y aurait, très clairement, moins d'emplois.