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Le libéralisme, seul vrai chemin pour aider les pauvres dans le monde

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latin-boy30

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Membre+, Jeteur de pavés dans les mares, Posté(e)
latin-boy30 Membre+ 9 575 messages
Jeteur de pavés dans les mares,
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Le libéralisme, seul vrai chemin pour aider les pauvres dans le monde

http://www.contrepoints.org/2013/06/16/127922-le-liberalisme-seul-vrai-chemin-pour-lutter-contre-la-pauvrete-dans-le-monde

En France, ceux qui comprennent l'économie ne s'occupent pas des pauvres et ceux qui s'occupent des pauvres ne comprennent pas l'économie.

Un jour viendra, peut-être, où l’Occident prendra le temps de s’intéresser vraiment à ces pays que nous, les White Anglo-Saxons Protestants (bien que je sois plutôt catholique pour ma part), avons coutume – pas toujours en toute modestie – d’appeler « pauvres ». S’intéresser à eux, ce serait s’intéresser aux deux tiers de la population mondiale ; au bas mot, étant donné que ce chiffre comprend les pays en développement (les « émergents ») ainsi que la cohorte des ex-pays communistes, mais qu’il exclut les « pays les moins avancés », doux euphémisme pour désigner les pays les plus pauvres du monde, ces parias de l’économie de marché, qui n’attirent l’attention des mass media qu’au rythme de leurs guerres civiles ou ethniques, de leurs coups d’État militaires ou de leurs épisodes de famine les plus atroces (comme au Bangladesh en 1974) – mais suffisamment atroces toutefois pour qu’on décide d’acheminer jusqu’à eux des sacs de riz avant de les oublier aussitôt.

Un jour viendra, peut-être, où l’Occident saura se souvenir qu’il en est lui aussi passé par là, dans sa phase pré-capitaliste qui aboutit au déclin – relatif – de l’État, il y a toute juste deux siècles, Angleterre et France en tête et révolutions industrielles à l’appui.

Un jour viendra, peut-être, où l’Occident portera son attention à ces pays que je préfère qualifier de « sous-capitalisés », comme il le fut aussi avant de commencer à connaître une croissance économique régulière et plus soutenue, expression qui a le mérite, selon moi, de rappeler qu’il existe en leur sein d’immenses économies ainsi qu’un grand nombre de biens. L’économiste péruvien Hernando De Soto a tenté de les estimer : plus de 40 fois le total des aides au développement allouées à ces pays depuis la fin de la Seconde guerre mondiale ; plus de 20 fois leurs flux entrants d’IDE ; plus encore que leurs avoirs publics, leur capitalisation boursière respective ou les prêts que leur a consentis la Banque Mondiale. Si on risque un chiffre : plus de 10 000 Mds $, rien qu’en patrimoine immobilier, milieux urbains et ruraux confondus, soit les deux tiers du PIB annuel de la Zone Euro !

D’où vient le problème alors, me direz-vous ?

Il vient de ce qu’en Occident ceux qui comprennent l'économie ne s'occupent généralement pas des pauvres (il y a des exceptions, c’est vrai, comme Bill Gates ou Warren Buffet) et ceux qui s'occupent des pauvres (à qui ceux qui comprennent l’économie se font un plaisir de laisser cette tâche) ne comprennent pas (toujours) l'économie.

Il vient de ce que l’Occident, faisant le constat de l’existence dans les pays pauvres d’un immense « capital mort » (j’emprunte l’expression au même De Soto) car extralégal, rechigne trop à lui montrer comment en extraire du « capital vif », en lui rappelant la caractère fondamental des structures institutionnelles, préalables indispensables à la constitution de tout capital, pré-requis formels sans lesquels nul capitalisme ni capitaliste authentique ne peut voir le jour. Historiquement, l’artisan ou le petit commerçant hypothéquait sa maison pour souscrire un emprunt bancaire et ainsi financer son activité. Mais l’hypothèque, et même l’accès au crédit, suppose la reconnaissance de droits de propriété officiels et intégraux (usus, fructus et surtout abusus) ; ce qui n’est pas le cas des capitaux morts amassés par deux tiers de la planète, pas le cas de 50% du PIB russe fondé sur l’extralégalité, pas le cas de 85% des nouveaux emplois créés en Amérique Latine, pas le cas des 3 millions de Chinois travaillant dans les ateliers de Pékin… Comprenons-nous : ces chiffres ne font pas état de pratiques « hors-la-loi », mais « sans-loi », c’est-à-dire en dehors de tout effort de contractualisation au sens où nous l’entendons en Occident.

Il vient de ce que les Occidentaux savent que pour qu’une économie croisse, on ne peut s’en remettre aux seuls aboiements de chiens de garde ou au seul témoignage des voisins pour borner une propriété privée, mais qu’il ne s’en trouve pas un pour leur dire comment lever ce mystère du capital !

Au beau milieu de leurs quartiers les plus pauvres et leurs bidonvilles, se trouvent, à défaut d’hectares de diamants, des milliers de milliards de dollars, tout prêts à servir, si seulement le mystère du capital de la transition des biens en capital vif pouvait être levé. — Hernando De Soto

Pas un pour aider ces pays à activer, à convertir le potentiel de production nouvelle contenu dans le stock de biens qu’ils ont accumulés et qui pourraient générer croissance et développement économiques, sous condition de leur formalisation – c’est-à-dire de la mise en place, formelle, légale et officielle d’un régime de propriété privée qui en conférant à ces biens une « existence représentative » leur permettrait d’avoir une vie parallèle, en ouvrant de nouvelles portes aux propriétaires, comme le crédit ou l’hypothèque.

Pas un en Occident pour prendre le temps de dénoncer avec Fareed Zakaria les explications culturelles des phénomènes sociaux « qui perdurent parce qu’elles plaisent aux intellectuels. » Pensons, en France, à Pierre Bourdieu, sociologue de la paranoïa.

Pas un économiste occidental pour remettre en perspective ce que je qualifierais volontiers de faux problèmes, pourtant systématiquement mis en avant : l’envahissement des villes pauvres par les ruraux, l’insuffisance des services publics, l’amoncellement des ordures, la mendicité des enfants dans les rues, la confiscation des bénéfices des réformes agraires par une minorité… que sais-je encore !

Pas un – il fallut attendre De Soto, pas spécialement occidental – pour cerner le vrai problème : celui de la redistribution majeure du pouvoir que ces faux problèmes imposent et donc celui de la spontanéité de l’extralégalité, jugée moins contraignante, même si, in fine, elle est plus coûteuse (il faut bien s’acquitter de l’impôt mafieux) et obère toute perspective de développement en l’absence de droit formel.

Que ceux qui, au Sud comme au Nord, comprennent l’économie, sans dogmatisme ni tendresse particulière pour les idéologies de tous crins – des libéraux donc a priori, ces partisans d’une philosophie du droit fondée sur la liberté, la propriété privée et la responsabilité (toutes et seules valeurs qui rendent possible l’exercice d’une authentique charité bien loin du sirupeux concept de « justice sociale » à la française) – fasse montre d’un peu de pédagogie quant aux effets vertueux de l’instauration d’un régime formel de propriété. Avec des titres officiels reconnaissant la propriété privée, il deviendra possible aux pays en développement, aux émergents et aux PMA, de fixer le potentiel économique des masses de biens accumulés, c’est-à-dire leurs qualités relatives et non propres. Il leur sera loisible de regrouper et d’unifier les informations juridiques les concernant, au sein d’un système qui en valorise tous les éléments. Il deviendra plus aisé de responsabiliser chacun, ne serait-ce que par la disparition de l’anonymat qui pèse actuellement sur ces milliards. La propriété privée a aussi cet effet qu’elle rend les biens fongibles, permettant à ceux qui les détiennent aux yeux de tous de les diviser ou de les réunir pour en avoir l’usage. La propriété, et ce n’est pas le moindre de ses bénéfices, crée également des liens sociaux : tout propriétaire officiel devient membre d’un réseau d’agents économiques. Un tel régime protège enfin les transactions, j’en veux pour preuve la centralisation qu’il a par exemple rendu possible du cours des matières premières à la bourse de Chicago.

Aussi, vous l’aurez compris, m’apparaît-il incontournable de faire en sorte qu’il devienne dans ces pays moins cher d’agir dans la légalité, et d’adapter la loi aux besoins économiques et sociaux de la population pour formaliser l’extralégalité. N’est-ce pas d’ailleurs ce qu’en leur temps ont fait les colonies britanniques sur la côte Est en prenant leur indépendance vis-à-vis du droit anglais devenu inadapté ? Puis les USA en 1862 avec le « Homestead Act » qui alloua devant le fait accompli soixante-quatre hectares de terre libre aux colons en échange de leur promesse d’y vivre au moins cinq années et d’en assurer l’exploitation ?

Lutter contre la pauvreté dans le monde, c’est avant tout faciliter l’accès à la propriété privée en définissant de nouveaux contrats fonciers.

Lutter contre la pauvreté dans le monde, c’est laisser les arrangements locaux influencer l’élaboration d’un droit officiel intégrant ces contrats ; car un libéral ne force rien ni personne, il croit en un ordre spontané, résultat indéfinissable d’une infinité d’arbitrages individuels, mais infiniment supérieur à tout interventionnisme étatiste et autoritaire.

Lutter contre la pauvreté dans le monde, c’est réduire, par des moyens politiques, les obstacles érigés par des siècles de réglementations obsolètes, impropres et faites par et pour moins d’un cinquième de la population de ces pays.

Lutter contre la pauvreté dans le monde, c’est, si l’on s’est intéressé un peu sérieusement à la science économique et à l’économie politique, et que l’on a vu un peu de lumière dans le courant libéral, ne pas abandonner cette cause, par paresse, lâcheté ou égoïsme, à l’Église ou aux ONG, sur lesquels les économistes libéraux ont un avantage comparatif qu’il serait profitable à tous qu’ils exploitent davantage.

Et qui y gagnera en plus des pauvres eux-mêmes (et c’est le plus important) ? L’emploi : les banques bien sûr, mais aussi les sociétés de prêts hypothécaires, les organismes certificateurs, les compagnies d’assurance, les entreprises et services publics, sans oublier la diplomatie, puisque liberté rime toujours avec déclin des tensions internationales.

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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
Posté(e)

Le capitalisme c'est bon,mangez en!(à prendre au 20ème degré)

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Membre, 31ans Posté(e)
economic dream Membre 3 028 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
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Ceux qui ne sont pas libéraux ne connaissent rien à l'économie n'est-ce pas ?

Quelle arrogance ...

Je répondrais tantôt à cet article .

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

Il faudrait demander aux Etats qui ont connu ou subissent encore la dérégulation forcenée ce qu'ils en pensent ^^" Il y a des secteurs vitaux où on ne peut pas faire n'importe quoi. Les usagers d'Enron en ont pris leçon.

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Membre, 45ans Posté(e)
Forumeur survitaminé‚ 45ans‚
Posté(e)

Beurk, propagande de m...

Pour aider les pauvres, il faut au contraire lutter contre l'accumulation nauséabonde des profits de la finance, des banques et autres puissants du monde occidental.

Les libéraux ne veulent pas vraiment lutter contre la pauvreté, ils veulent juste un nouveau vivier d'esclaves moderne pour faire tourner leur économie de merde afin de tirer un peu plus encore les salaires vers le bas.

Ce n'est pas le libéralisme ni le capitalisme qui ont permis le développement du monde occidental, n'entend déplaise aux libéraux. Deux choses ont permis ce développement... La science et le pétrole... Sans ces deux éléments, le développement qu'a été le nôtre n'aurait pas eu lieu. Mais les libéraux ou plutôt les escrocs, préfèrent approprier ce développement à leur idéologie de m...

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Modérateur, A ghost in the shell, 49ans Posté(e)
Nephalion Modérateur 32 643 messages
49ans‚ A ghost in the shell,
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J'adore ce passage là, qui résume bien le problème:

car un libéral ne force rien ni personne, il croit en un ordre spontané,

Le monde n'est pas ainsi fait.

Dans le monde économique réel, le libéral force bien les choses, parce que lui est à l'abri du besoin.

Maintenant envoyez le vivre avec rien au fin fond du Bengladesh, et on verra ce qu'il pense de l'ordre spontané ...

L'économie libérale c'est plutôt:

Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses.

Et on sait tous qui a le pistolet chargé en main ...

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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
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Ooohhh je vous trouve un peu dur!si ils le disent c'est forcément vrai non? Non!ah bon??:)

Modifié par yakiba
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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 37 871 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
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Les libéraux (enfin plus exactement les néo-libéraux) ont déjà tout le pouvoir, dans la grande majorité des pays du monde, et en plus il contrôlent presque toutes les institutions internationales. Qu'est-ce qu'ils veulent de plus? Qu'on leur dise merci? (Merci de prendre tout le fric, de gouverner comme des manches et de précipiter le monde vers la catastrophe, naturellement.)

Modifié par Gouderien
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Membre, 32ans Posté(e)
------- Membre 136 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
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D'où leur vient cette facheuse manie de s'approprier sans arrêt la définition de l'économie ?! Voilà ce qui arrive quand on donne des cours d'économie à l'unif' qui se font passer pour des sciences dures... Si le monde était aussi simple que Mankiw et consorts l'espéraient, il y aurait pas de question à se poser...

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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
Posté(e)
D'où leur vient cette facheuse manie de s'approprier sans arrêt la définition de l'économie ?! Voilà ce qui arrive quand on donne des cours d'économie à l'unif' qui se font passer pour des sciences dures... Si le monde était aussi simple que Mankiw et consorts l'espéraient, il y aurait pas de question à se poser...
et on aurait jamais connu la crise des subprimes puisque ils l'auraient anticipés ou mieux ne se serait jamais produite puisque le système est tellement parfait et sécurisé.

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Membre, Posté(e)
Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le libéralisme, seul vrai chemin pour aider les pauvres dans le monde

Ben voyons, mon colon.

Tiens, on peut le voir en pleine action, en train d'"aider les pauvres" :

http://www.cambodge-...m/?page_id=2921

http://www.humanite....le-licen-543657

Modifié par Wipe
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Membre, 106ans Posté(e)
LAKLAS Membre 14 638 messages
Maitre des forums‚ 106ans‚
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Le libéralisme, ce sont les escrocs au pouvoir. Un jour, une majorité de personnes dans le monde en aura assez, et ce sera terminé !! censored.gif

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Membre, 32ans Posté(e)
------- Membre 136 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Le libéralisme n'a en fait presque rien à voir avec les politiques socio-économiques actuelles, qui sont elles qualifiées de néo-libérales. Le libéralisme est une théorie philosophique très intéressante et qui continue d'inspirer grandement le fonctionnement de nos sociétés, mais c'est à mille lieux de ce qu'ont prôné l'école de Chicago, Thatcher et autres Reagan...

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Membre, Posté(e)
saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Le libéralisme, seul vrai chemin pour aider les pauvres dans le monde

http://www.contrepoi...e-dans-le-monde

En France, ceux qui comprennent l'économie ne s'occupent pas des pauvres et ceux qui s'occupent des pauvres ne comprennent pas l'économie.

T'occupes , les pauvres ont pas besoin de manuel pour savoir quoi faire si le vase déborde , la classe moyenne non plus d'ailleurs , y'a des gouttes d'eau qui mettent le feu parfois

Resteront les plus aisés " à se demander pourquoi l'économie tourne pas comme dans le manuel , pourquoi y'a autant de gangs et de violence et pourquoi de plus en plus de gens se foutent ouvertement de leur gueule et leur envoient des tomates

Pourtant , z'ont un col blanc m'sieur

Pourtant , z'ont fait l'ENA m'sieur

Pourtant , ils font des discours et même à la TV m'sieur

Pourtant , z'ont appris par coeur leur manuel du parfait p'tit péteux , incapable de sortir d"une théorie empirique et qui ne correspond à rien sur le terrain

Pourtant , ils restent dans leur petit monde m'sieur , coupés de la population et de ses réalités

La seule chose qui leur manque en somme , c'est du bon sens , l'essentiel en économie finalement laugh.gif

Modifié par saint thomas
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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
Posté(e)

En fait ils aimeraient bien qu'on se laisse faire"allez,laissez vous faire!c'est pour une bonne œuvre,c'est pour doubler mon chiffre d'affaire pour que je puisse m'acheter une Ferrari".

Parce que le capitalisme repose sur une équation très simple:qu'une minorité de la population s'enrichisse sur le dos de la majorité de la population. Mais pour ça faut que la majorité de la population achète leurs produit et qu'elle soit payée au minimum pour un maximum de profit.

Et en ce moment avec la crise les gens ne consomment plus(ou pas assez à leur goût)et ça ça les emmerdent!

D'oú la propagande ici présente.

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Membre, 33ans Posté(e)
Mirisme Membre 1 346 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Le chili est le pays d'amérique du sud le plus libéral (à cause des fameux chicago boys). Si je suis le raisonnement que je vois ici, il est clairement évident que le chili doit être l'enfer sur terre par rapport aux autres pays sud américains.

Ah et si les pays occidentaux étaient contrôlés par les libéraux derrière Contrepoints, je doute qu'on participe à l'Europe, qu'on ait une banque centrale, que le système éducatif, de retraite et de chomage soit l'actuel. Mais s'il fallait connaitre le libéralisme pour le critiquer hein.

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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
Posté(e)
Texte développant des idées intéressantes et remarquables.

Mais malheureusement illisible pour des individus moyens : phrases extrêmement longues, abus des digressions et mêmes des digressions à l’intérieur des digressions, références culturelles obscures …

Écrivez comme Maupassant pas comme Proust si vous voulez être compris.

j'adore ce commentaire après l'article,on voit vraiment le mépris qu'on les lecteurs de ce "journal" pour les "pauvres" et "idiots" comme nous qui ne comprenons rien.

Enfin si on as bien compris qu'ils veulent nous en*****.

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

quand on sera arrivé au bout de ce système qui est voué a l'échec , on aura plus rien a prouvé et ces soit disant intello donneur de leçon qui sont juste capable de rester le cul sur une chaise vont pouvoir ce taire a tout jamais .

et ceux qui savent ce servir de leur main pour travailler vont pouvoir vivre tranquille ...

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Membre, 32ans Posté(e)
------- Membre 136 messages
Baby Forumeur‚ 32ans‚
Posté(e)

Le chili est le pays d'amérique du sud le plus libéral (à cause des fameux chicago boys). Si je suis le raisonnement que je vois ici, il est clairement évident que le chili doit être l'enfer sur terre par rapport aux autres pays sud américains.

Ah et si les pays occidentaux étaient contrôlés par les libéraux derrière Contrepoints, je doute qu'on participe à l'Europe, qu'on ait une banque centrale, que le système éducatif, de retraite et de chomage soit l'actuel. Mais s'il fallait connaitre le libéralisme pour le critiquer hein.

Et si on parlait des conditions dans lesquelles le Chili a été "libéralisé", mmh ? Salvador Allende, Pinochet, 1973, CIA, ça vous dit quelque chose ? Tout ce qu'il y a de plus libéral, comme système politique, une dictature, n'est-ce pas ? tongue.gif

"Mais s'il fallait connaitre le libéralisme pour le critiquer hein."

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