Les enfants - avec ou sans ? -

Pour moi, c'est égoïste dans le sens où je ne veux pas passer ma vie à vivre pour un enfant : ne pas faire de bruit pendant ses siestes, le faire manger à l'heure où il faut, l'emmener chez le pédiatre, à bébé nageur...

Bref, des gestes anodins et merveilleux pour certains, mais qui moi, m'emmerdent profondément et m'empêchent de sortir bouffer chez une amie, mater ma série préférée, ou boire un coup en ville.

Ma vie est très bien comme elle est. Je ne vois pas l’intérêt d'y ajouter des emmerdes et des frais.

Bonjour,

Je ne désire pas avoir d'enfants... Je n'ai pas de " feeling " particulier avec les enfants et ces derniers ne rentrent pas de prêt ou de loin avec mes projets, mon chemin de vie...

Oui puis avec les éjac faciales, y a pas de fécondation

Pour moi, c'est égoïste dans le sens où je ne veux pas passer ma vie à vivre pour un enfant : ne pas faire de bruit pendant ses siestes, le faire manger à l'heure où il faut, l'emmener chez le pédiatre, à bébé nageur...

Bref, des gestes anodins et merveilleux pour certains, mais qui moi, m'emmerdent profondément et m'empêchent de sortir bouffer chez une amie, mater ma série préférée, ou boire un coup en ville.

Ma vie est très bien comme elle est. Je ne vois pas l’intérêt d'y ajouter des emmerdes et des frais.

Tu peux très bien rester sur cette opinion toute ta vie.

Mais tu es jeune, et tu risques aussi de constater que l'horloge biologique, c'est pas une connerie.

TIC TAC TIC TAC

ça résonne de plus en plus avec l'âge, tu te dis "si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais"

TIC TAC TIC TAC

Pour moi, c'est égoïste dans le sens où je ne veux pas passer ma vie à vivre pour un enfant : ne pas faire de bruit pendant ses siestes, le faire manger à l'heure où il faut, l'emmener chez le pédiatre, à bébé nageur...

Bref, des gestes anodins et merveilleux pour certains, mais qui moi, m'emmerdent profondément et m'empêchent de sortir bouffer chez une amie, mater ma série préférée, ou boire un coup en ville.

Ma vie est très bien comme elle est. Je ne vois pas l’intérêt d'y ajouter des emmerdes et des frais.

c'est vrai que parfois, je voudrais mettre pause(vive les grands parents )

Pour moi, c'est égoïste dans le sens où je ne veux pas passer ma vie à vivre pour un enfant : ne pas faire de bruit pendant ses siestes, le faire manger à l'heure où il faut, l'emmener chez le pédiatre, à bébé nageur...

Bref, des gestes anodins et merveilleux pour certains, mais qui moi, m'emmerdent profondément et m'empêchent de sortir bouffer chez une amie, mater ma série préférée, ou boire un coup en ville.

Ma vie est très bien comme elle est. Je ne vois pas l’intérêt d'y ajouter des emmerdes et des frais.

Ahlalaaa mais c'est bien pire que ça !!! :smile2:

Rooo purée si y avait eu qu'les bébés nageurs ! Non mais y a aussi les mères des bébés nageurs Paillette !!

Plus sérieusement, tout est possible ou presque, faut juste avoir les moyens.

Pour moi, c'est égoïste dans le sens où je ne veux pas passer ma vie à vivre pour un enfant : ne pas faire de bruit pendant ses siestes, le faire manger à l'heure où il faut, l'emmener chez le pédiatre, à bébé nageur...

Bref, des gestes anodins et merveilleux pour certains, mais qui moi, m'emmerdent profondément et m'empêchent de sortir bouffer chez une amie, mater ma série préférée, ou boire un coup en ville.

Ma vie est très bien comme elle est. Je ne vois pas l’intérêt d'y ajouter des emmerdes et des frais.

Tu peux très bien rester sur cette opinion toute ta vie.

Mais tu es jeune, et tu risques aussi de constater que l'horloge biologique, c'est pas une connerie.

TIC TAC TIC TAC

ça résonne de plus en plus avec l'âge, tu te dis "si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais"

TIC TAC TIC TAC

Oui, c'est ce que tout le monde me dis depuis que toute petite, quand je ne voulais pas être maîtresse parce que je n'aimais déjà pas les enfants.

Qui vivra verra

Je pense que l'arrivée du petit de ma soeur mettra un terme à mon débat intérieur. Si mon propre neveu ne me donne pas envie d'avoir un enfant, alors je risque fort de ne jamais avoir envie.

(mais faudrait-il encore qu'elle tombe enceinte )

c'est vrai que parfois, je voudrais mettre pause(vive les grands parents )

Ha ba oui j'imagine :D

Comme dis January, y'a pas que béné nageur... ce ne sont que de simples exemples... je ne me vois pas vivre ma vie pour subvenir au besoin d'un bébé/enfant. Ma vie est la mienne.

Tu penses exactement comme ma fille qui est effarée à l'idée qu'on puisse faire toute sa vie "en fonction de". Parce que c'est bien de cela qu'il s'agit faut pas se leurrer. Et c'est pas seulement les premières années de sa vie, c'est très tard, voire très très tard.

Voilà :D

Ca me rassure qu'une mère dise ça, parce que beaucoup se comportent comme des commerciales et assurent que si si si, t'as encore du temps pour toi, pour sortir, tout ça...

tu n'es juste pas maso :D

Oui puis avec les éjac faciales, y a pas de fécondation

Tu sais, même si le sexe orchestre une grande partie de mon existence, ce dernier ne suffit pas à résumer la personne que je suis :) Mais bon, je pense que tu as voulu t'adonner au petit jeu de la plaisanterie avec moi :D

Pour en revenir au sujet, je tiens ce discours depuis mon passage à l'âge adulte. Alors autant je pouvais admettre qu'à 18 ans, on me dise : " On en reparlera d'ici une dizaine d'années... ", autant qu'à l'approche de mes trente ans, j'ai envie de dire : " Ben vous voyez, je reste fidèle à mes propos... ". Je ne discerne en moi aucune fibre paternelle et cela se voit et se ressent lorsque je suis en compagnie d'enfant(s).

Pour moi, c'est égoïste dans le sens où je ne veux pas passer ma vie à vivre pour un enfant : ne pas faire de bruit pendant ses siestes, le faire manger à l'heure où il faut, l'emmener chez le pédiatre, à bébé nageur...

Bref, des gestes anodins et merveilleux pour certains, mais qui moi, m'emmerdent profondément et m'empêchent de sortir bouffer chez une amie, mater ma série préférée, ou boire un coup en ville.

Ma vie est très bien comme elle est. Je ne vois pas l’intérêt d'y ajouter des emmerdes et des frais.

Je suis pareil, sauf que j'ai un mioche :D Néanmoins, c'est plus lui qui partage ma vie que l'inverse. Je ne verse pas dans les clichés du parent (que d'autres adorent et tant mieux =) ). Ma vie de père est une chose, ma vie d'homme une autre toute aussi importante que je cultive pieusement :p Mais, et pour répondre au sujet, je trouve la pression sociale "t'as toujours pas d'enfant ?!" blablabla assez chiante ^^" Il n'y a pas qu'un chemin au bonheur et à l'épanouissement.

Je n'en veux pas comme dans je n'en voudrais jamais.

Et comme Paillette et Californication on me saoule avec des "tu changeras d'avis, t'es encore jeune". Sauf que non, je le sais, je ne veux pas de rase bitume. Je n'aime pas les enfants, et je l'assume. Je suis sûre de mon choix et j'en ai marre que sous prétexte de l'age et/ou du genre (et oui !) on sache mieux que moi ce que je voudrais ou pas.

Alors pour répondre très clairement à la question : Concevez-vous votre vie sans enfants ?

Parfaitement oui !

"Mais tu va finir par t'ennuyer !"

Et alors, une alarme sur patte me rendra plus heureuse ?

Moi j'ai mon chat, et ça me convient très bien.

Bien que j'ai un bon feeling avec les enfants, je me vois très mal en avoir un.

Et avec la famille que j'ai, ça ne sera pas lui rendre service.

Oui, je peux concevoir ma vie sans enfants... et c'est justement parce que je suis mère.

Le désir d'enfanter s'est manifesté très jeune, je devais avoir environ 13 ans.

Il y avait dans cette "nécessité", une incroyable volonté de mettre un terme à une solitude et un manque (inexplicables à ce moment là).

J'imaginais un être que je pourrais aimer et qui m'aimerait inconditionnellement. L'amour dans sa forme idéale, pure. La notion d'accomplissement, également.

Je suis devenue mère et, Yeats, il est vrai que la venue d'un enfant marque un passage... vers l'âge adulte, je ne le crois pas.

C'est le passage d'un état vers un autre. Il peut être associé à des prises de conscience et son expérience peut engendrer de la maturité mais, il ne faut jamais perdre de vue que cela peut aussi nous renvoyer à des souffrances vécues et bien rangées pour qu'elles ne soient pas désagréables. La venue d'un enfant nous renvoie tout simplement à l'enfant que nous sommes encore, déguisé en grande personne.

Il faut revoir tous nos repères d'existence, tout remettre en cause, tout déconstruire pour reconstruire.

C'est le plus grand risque que puisse prendre un être humain... sans le savoir à l'avance. Parce que oui, parfois, il ne savait pas qu'il souffrait encore.

Devenir parent, c'est merveilleux... mais c'est tout aussi horrible pour qui a des comptes à régler avec soi-même.

Bon, je vais me suicider, je reviens...

Je n'en veux pas comme dans je n'en voudrais jamais.

Et comme Paillette et Californication on me saoule avec des "tu changeras d'avis, t'es encore jeune". Sauf que non, je le sais, je ne veux pas de rase bitume. Je n'aime pas les enfants, et je l'assume. Je suis sûre de mon choix et j'en ai marre que sous prétexte de l'age et/ou du genre (et oui !) on sache mieux que moi ce que je voudrais ou pas.

Alors pour répondre très clairement à la question : Concevez-vous votre vie sans enfants ?

Parfaitement oui !

Si j'avais touché un dollar à chaque fois qu'une amie m'a dit ça pour se retrouver enceinte l'année suivante et me dire " qu'est ce que j'étais conne" , je serais riche !

Oui, je peux concevoir ma vie sans enfants... et c'est justement parce que je suis mère.

Le désir d'enfanter s'est manifesté très jeune, je devais avoir environ 13 ans.

Il y avait dans cette "nécessité", une incroyable volonté de mettre un terme à une solitude et un manque (inexplicables à ce moment là).

J'imaginais un être que je pourrais aimer et qui m'aimerait inconditionnellement. L'amour dans sa forme idéale, pure. La notion d'accomplissement, également.

Je suis devenue mère et, Yeats, il est vrai que la venue d'un enfant marque un passage... vers l'âge adulte, je ne le crois pas.

C'est le passage d'un état vers un autre. Il peut être associé à des prises de conscience et son expérience peut engendrer de la maturité mais, il ne faut jamais perdre de vue que cela peut aussi nous renvoyer à des souffrances vécues et bien rangées pour qu'elles ne soient pas désagréables. La venue d'un enfant nous renvoie tout simplement à l'enfant que nous sommes encore, déguisé en grande personne.

Il faut revoir tous nos repères d'existence, tout remettre en cause, tout déconstruire pour reconstruire.

C'est le plus grand risque que puisse prendre un être humain... sans le savoir à l'avance. Parce que oui, parfois, il ne savait pas qu'il souffrait encore.

Devenir parent, c'est merveilleux... mais c'est tout aussi horrible pour qui a des comptes à régler avec soi-même.

Bon, je vais me suicider, je reviens...

Je n'en veux pas comme dans je n'en voudrais jamais.

Et comme Paillette et Californication on me saoule avec des "tu changeras d'avis, t'es encore jeune". Sauf que non, je le sais, je ne veux pas de rase bitume. Je n'aime pas les enfants, et je l'assume. Je suis sûre de mon choix et j'en ai marre que sous prétexte de l'age et/ou du genre (et oui !) on sache mieux que moi ce que je voudrais ou pas.

Alors pour répondre très clairement à la question : Concevez-vous votre vie sans enfants ?

Parfaitement oui !

Bonjour,

idem que Mel.bzh

Pas eu d'enfants, et même avorté avant la loi de Simone Veil (un grand merci à elle encore) eh bien aucun regret, ma vie n'a pas été moins ou plus dure pour autant.

Puis qui sait pourquoi j'aurais été suffisamment bonne pour pouvoir être certaine "d'élever" des enfants et les rendre heureux une bonne fois pour toutes?

Mais je n'ai aucune haine ni aversion contre les enfants ni les jeunes ni les ados. Je les regarde et les entends avec tendresse et plus avec plaisir la plupart du temps.

Moi je suis super heureuse d'en avoir 2, j'en ai bien profité même si c'est vrai que l'on a tendance à s'oublier pendant pas mal d'années quand ils sont petits; J'ai adoré ma vie de maman et maintenant qu'ils deviennent de plus en plus autonome j'essaie de profiter plus de ma vie de femme;

interressant

moi j'ai une âme d'enfant et j'adore les enfants, j'ai plein de neveu et nièce qui m'adore, j'en ai torché très jeune avec amusement, j'ai éduqué des jeunes en sport pendant des années et si je me retrouve avec un petit tout seul dans une pièce, il est probable qu'au bout de cinq minute je joue avec lui.

cependant je n'en ai pas et ne ressent pas cela comme une obligation d'en avoir, pour moi ce n'est pas une fin(faim) en soit.

j'aurais aimé trouver une femme qui me corresponde mais cela n'as jamais été, étant de nature solitaire je me suis fait petit à petit l'idée d'une vie seul, bien qu'entouré, je n'ai aucun problème avec ça car je croix à l’immortalité de l'âme et au risque dans laisser perplexe plus d'un, je n'ai aucune espèce d'attirance pour la sexualité si ce n'est à travers l'amour, un amour qui serait suffisamment fort pour me donner l'envie de le partager et si de cela venait des enfants , alors oui.

mais il ne me viendrait pas à l'esprit de forcer le destin par désir de quelque chose, non je me laisse porter en jouissant de la vie.

pour ce qui est d'adopter, c'est pareil, si je me trouvais dans une situation ou je doit porter secours à un ou des enfants, je le ferais naturellement mais je ne le ferais jamais volontairement car je ne souhaite pas participer à un système qui profite de cela comme je n'irais jamais acheter un animal de compagnie, j'en ais certain mais c'est eux qui m'on trouvé.